Salut à tous et à toutes !
Je suis de retour, avec un jour de retard, pour vous présenter comme chaque semaine les dernières nouveautés de Média 1000, et les récents textes que vous m’avez envoyés et qui m’ont tapé dans l’œil.
Et je vous rappelle que si VOUS AUSSI vous voulez publier vos histoires coquines sur le site MHP, rien de plus simple : il suffit de s’inscrire, c’est gratuit et ça prend deux minutes, et de poster votre prose. Il y a en ce moment un petit délai entre le moment où vous postez votre texte et celui où il est effectivement en ligne, mais je travaille à le combler !
À bientôt, donc ! Et en attendant, voyons ensemble les dernières histoires que vous m’avez envoyées :
Manoir, parties 9, 10 et 11, par OliHen69 :
Vous vous souvenez des délirants Fantasmes de Shawn, dont je parlais il y a deux semaines ? Manoir, c’est le même auteur, le même imaginaire extrême et déviant, et le même désir de partager sans limite ni tabou une histoire BDSM que ne renierait pas Pauline Réage !
Extrait : Le 15 septembre, Emmanuel et Dominique me conduisent au manoir. Je suis vêtue de ma robe avec ma jupe éventail, qui se retrousse d’un geste, mais toujours à corselet montant jusque sous les seins, et portée avec un boléro fermé au cou. Il suffit d’enlever le boléro pour que les épaules et les seins soient nus, et sans même enlever le boléro, de l’ouvrir, si l’on désire voir les seins.
Je fais le trajet sans mon boléro, assise cul nu, sur le cuir de la banquette arrière, me livrant aux caresses, baisers et pincement de mes mamelons. Emmanuel a pris soin de lier mes poignets en joignant les anneaux des bracelets de cuir dans mon dos. Mes pieds nus sont chaussés de mules à hauts talons.
Pour lire l’histoire en intégralité, voici les liens :
Épisode 9 : https://blog.meshistoiresporno.com/histoire/manoir-9e-partie/
Épisode 10 : https://blog.meshistoiresporno.com/histoire/manoir-10e-partie/
Épisode 11 : https://blog.meshistoiresporno.com/histoire/manoir-11e-partie/
Et du côté de Média 1000 ?
Pourquoi ne pas vous jeter sur Trois parodies érotiques, du toujours sémillant Étienne Liébig, déjà responsable de quelques autres récits érotico-humoristiques à La Musardine, tels que son best-seller Comment draguer la catholique sur les chemins de Compostelle, paru en 2006 ? Ce nouveau livre, léger et délicieux, compile trois parodies érotiques : Les Contes de mémé lubrique, Le Parfum de la chatte en noir et La Vie sexuelle de Blanche Neige.
Extrait : Dans la capitale d’un pays de l’Orient, vivait un tailleur fort pauvre du nom de Mustafa. Son travail lui fournissait à peine de quoi faire vivre sa femme et son fils unique.
Le fils, nommé Aladdin,
avait bon cœur et ne manquait pas d’intelligence, mais il aimait un peu trop jouer avec les enfants de son âge, et il s’échappait quelquefois du logis paternel pour faire de longues parties avec ses petits camarades. On était à peu près sûr de le trouver sur la grande place près de la maison de ses parents. Aussi était-il bien connu de tout le voisinage.
Dès qu’il fut en âge d’apprendre un métier, son père entreprit de lui enseigner le sien. Aladdin ne semblait pas avoir un vif plaisir à manier l’aiguille, mais il s’y résignait par nécessité, lorsque Mustafa tomba gravement malade et mourut.
La pauvre veuve dut fermer la boutique de son mari et subsister avec le peu qu’elle pouvait gagner en filant du coton et en suçant des voyageurs de passage, mais comme elle était vieille et moche, elle ne rapportait pas bézef. N’ayant pas de quoi payer l’apprentissage d’Aladdin, elle le confia au premier tailleur qui voulut bien se charger de lui. Cet homme n’enseignait pas grand-chose au jeune garçon, à part quelques petits trucs pour donner du plaisir à un homme en lui chatouillant l’anus avec une plume de paon ou en lui léchant les couilles. Mais Aladdin, bien qu’il eût déjà quinze ans, se fichait royalement des leçons de son maître et préférait jouer à « touche quiqui » sur la place publique avec les gamins du quartier. Sa mère ne manquait pas d’en être informée par les uns et par les autres, et elle en ressentait un vif chagrin, car elle aurait aimé participer, ça l’aurait changé des vieux culs ridés du quartier. Lorsqu’elle lui reprochait sa légèreté, il se sentait ému et promettait d’être plus raisonnable et de l’inviter la prochaine fois ; mais il ne tardait pas à retomber dans la même faute et oubliait sa maman, contrainte de se tripoter toute seule la fabrique à dattes.
Pour en lire un peu plus : https://blog.meshistoiresporno.com/produit/trois-parodies-erotiques/
Voilà, c’est tout pour cette semaine, et à mercredi prochain !
Christophe Siébert