Deux nouveautés et un concours !

Salut à tous et à toutes !

 

Cette semaine, deux nouveautés parues chez Media 1000 et un concours, exclusivement sur Tweeter, pour gagner un roman érotique !

 

Comment j’ai perverti ma fiancée et ma soeur, récit anonyme qui vient de paraître dans la collection Les Confessions Erotiques

 

 

Le narrateur de cette confession a sa copine dans la peau, comme on dit. Elle le tient. Il en a fait une fille dépravée, et ne peut plus se passer d’elle. Elle accepte tout, absolument tout. Ce qu’il ne sait pas, c’est qu’elle raconte ce qu’ils font ensemble à sa petite sœur. Qui n’est plus si petite que ça. Cependant, il a des idées vieux jeu, notre ami. On n’épouse pas une fille dépravée. Alors, fatalement, elle en épouse un autre. Est-ce fini pour autant ? Vous voulez rire ; ce n’est qu’un début, ils vont continuer le combat des sexes. Et la petite sœur ne sera pas la moins ardente des trois. Enfin, pour tout simplifier, notre tombeur épouse une troisième luronne. Une fille sérieuse, celle-là, garantie sur facture, n’ayant jamais servi. Fin de l’histoire ? Vous voulez rire ? C’est maintenant que ça va vraiment démé­nager. Une confession profondément immorale, mes amis !

 

Un extrait :

 

Je m’appelle Benjamin E. Il y a une vingtaine d’années, j’étais encore sur les bancs de la fac de sciences, à Marseille. De parents aisés, je ne m’inquiétais nullement pour l’avenir, je traînais plutôt dans les bistrots que dans les amphis. C’est d’ailleurs cette vie facile que ne supportait plus ma fiancée. Nous avions tous les deux vingt-trois ans, mais Elisabeth travaillait déjà. Elle avait interrompu ses études très jeune et avait trouvé un boulot de caissière dans une grande surface. D’ailleurs, c’était souvent grâce à elle que le frigo de mon studio était rempli… Moi, j’étais toujours dehors. La plupart du temps, quand je l’entraînais chez moi, c’était pour la baiser.

Elisabeth habitait chez ses parents, avec sa sœur Christine âgée de dix-sept ans. Pour quitter l’environnement familial qui lui pesait, elle n’avait trouvé d’autre solution que de se marier. Ce qui m’avait plu chez elle, outre sa beauté, c’était qu’elle soit encore vierge. C’était si rare à vingt ans. Pour coucher avec elle, je lui avais dit que je l’épouserais dès la fin de mes études. Comme elle était prête à tout pour se marier, elle a accepté facilement.

Au fil des mois, la confiance s’est installée entre nous. Elle avait perdu sa timidité et me montrait à présent, sans fausse pudeur, qu’elle aimait baiser. Je la sodomisais, elle me suçait jusqu’à avaler mon sperme, mais je n’étais pas prêt pour autant à lâcher ma vie de célibataire. Pourtant, jamais une fille ne m’avait autant excité. Avec son teint mat, ses longs cheveux châtains bouclés et ses yeux bleus, elle faisait se retourner plus d’un homme sur son passage. Surtout que ses formes plantureuses étaient toujours moulées dans des jeans ou des robes étroites. Parfois, je marchais derrière elle uniquement pour voir ses magnifiques fesses se tortiller sous sa jupe. J’en étais arrivé à penser que si elle restait avec moi, c’était surtout pour mon tempérament débordant de vitalité. Mais un jour, un chef de rayon qui la draguait constamment s’est décidé à la demander en mariage. Sans plus tenir compte de mes sentiments à son égard, cette salope a accepté. Evidemment, quand elle est venue m’annoncer la nouvelle, je suis entré dans une rage folle. Je ne pensais pas que j’y tenais autant.

Pendant plus d’une heure, elle a essayé de me calmer en m’expliquant que ce n’était pas une vie, qu’elle voulait des enfants… Je l’ai prise par le bras et je l’ai poussée violemment sur le canapé.

– Ferme-la ! Ce sont des conneries, tout ça. C’est surtout sa queue que tu veux, salope !

Sous l’invective, elle a rougi, prête à pleurer. Je ne lui en ai pas laissé le temps. J’ai sorti mon sexe et le lui ai fourré sous le nez.

– Alors, elle est plus grosse que la mienne ? Allez, dis-le !

Les yeux baissés, elle a murmuré d’une voix plaintive :

– Mais non… ce n’est pas ça…

Elle s’est arrêtée de marmonner, louchant sur mon gland en gémissant :

– Je t’en prie, c’est fini, nous deux…

Je voyais bien que ma verge lui faisait encore de l’effet. Devant son faux air, je me suis emporté.

– Tu vas me sucer et on verra si c’est fini entre nous !

Elle a rejeté sa nuque en arrière, mais rapidement, je l’ai coincée contre le dossier du canapé.

– Suce-moi, je suis sûr que tu en meurs d’envie !

Des larmes ont coulé sur ses joues, puis, s’avouant vaincue, elle a pleuré sur son manque de volonté.

– C’est la dernière fois ! Je le fais… mais c’est la dernière fois…

Dans un mouvement d’abandon, elle a ouvert la bouche et a aspiré mon gland. Cette nouvelle situation me faisait bander à l’extrême. Jamais je n’avais encore forcé une fille et je découvrais que j’aimais ça. Apparemment, ça lui plaisait aussi. Sans que je le lui demande, Elisabeth s’est mise à pétrir mes couilles. Elle les adorait trop pour s’en empêcher. Depuis le temps, je la connaissais par cœur. La bouche pleine de salive, les joues creusées, elle me pompait en aspirant ma queue. Gros comme la tête d’un champignon, mon gland ourlait ses lèvres à chaque va-et-vient. Je crois que c’est à cet instant que j’ai su qu’elle serait incapable de me résister, même si elle venait à se marier.

La tension nerveuse et l’excitation m’ont fait éjaculer en quelques minutes, comme un puceau. Je voyais Elisabeth avaler le sperme en se trémoussant sur le canapé. Elle comprimait ses cuisses en les frottant l’une contre l’autre. C’était une certitude, cette fille serait toujours à moi, autant que je le voudrais. La voyant dans cet état d’excitation, j’ai poussé le vice plus loin et lui ai demandé de se branler devant moi. Souvent, elle le faisait pour me faire plaisir, mais cette fois, elle était si excitée qu’elle aurait fait n’importe quoi pour que je la baise. Avec des gestes nerveux, elle a ôté son jean et son pull, puis a fait valser ses chaussures et éparpillé ses sous-vêtements autour d’elle. Complètement nue, elle s’est affalée sur le canapé, les cuisses ouvertes en grand. Elle a plaqué une main contre sa vulve et l’a frottée sur toute la longueur de sa fente, en me regardant dans les yeux.

J’avais toujours adoré la voir obéir à mes exigences, surtout quand elle m’offrait le spectacle de sa masturbation. Chaque fois qu’elle se branlait devant moi, elle me mettait dans un incroyable état d’excitation. J’aimais ses lèvres mauves, molles, froissées, déjà brillantes de mouille. Au sommet de sa vulve, son clitoris dardait entre deux plis de chair rose. Elle le prenait toujours entre son pouce et son index et le faisait rouler entre ses deux doigts. De sa main libre, elle s’emparait d’un sein et triturait sans ménagement sa longue tétine pourpre. Ses larges aréoles sombres s’enflaient de désir. Ça me plaisait beaucoup de voir sa lourde poitrine ballotter, et elle le savait.

De nouveau en érection, je lui ai dit :

– Tu te branleras aussi devant l’autre ?

Les yeux brillants, elle m’a fixé un instant, puis elle m’a répondu d’une voix enrouée par l’émotion :

– Tu sais bien qu’il n’y a qu’avec toi que je le fais.

– Tu es vraiment une belle salope, pour le tromper déjà !

– Et ça te plaît que j’en sois une, hein ? C’est toi qui en profites !

Elle s’est mise sur le côté, m’a présenté ses fesses et les a écartées en roulant des hanches. Elle a geint, haletant d’un souffle rauque.

– Baise-moi, encule-moi ! J’ai envie de ta bite partout !

Elle m’avait toujours fait un effet terrible, et j’étais incapable de lui résister. Mais avant, je voulais l’entendre me supplier. Je lui ai demandé d’enfoncer ses doigts dans ses orifices, et elle l’a fait sans hésiter. Lentement, elle a glissé ses phalanges fines entre ses fesses et ses cuisses, puis a enfoncé le majeur et l’index réunis de chaque main dans ses trous dilatés. Depuis longtemps, je l’avais habituée à s’enfoncer des godemichés et des vibromasseurs dans le vagin et dans l’anus. Parfois, c’était moi qui l’enculais avec ce que j’avais sous la main, un stylo, une bougie, une bouteille de coca… Elisabeth était comme folle. Elle fouillait avec des gestes fébriles ses muqueuses enflammées.

– Prends-moi ! Viens vite, je n’en peux plus !

Je me suis avancé sans hâte, la faisant languir davantage. Quand ma queue a été en contact avec ses fesses, j’ai lancé :

– Tu continueras à venir me voir, même si tu te maries !

– Non, non, c’est la dernière fois… Je te l’ai dit…

Ses gestes prouvaient le contraire. Couchée sur le côté, elle me tendait son cul sans me regarder. Je voyais ses doigts aller et venir à toute vitesse dans son vagin et son anus. Les bords de son anneau bistre en étaient déformés.

J’ai ôté ses doigts de son cul, et aussi sec, j’ai ajusté mon gland contre le cratère noir. Il était mou, enflé comme une bouche. D’une forte poussée, je me suis enfoncé. Elisabeth a hurlé autant de douleur que de surprise, quand mes couilles ont buté contre sa fente. Pourtant, elle a continué à frétiller des fesses en râlant :

– Aaaah, salaud, tu me déchires !

– Tais-toi, tu aimes ça !

Tout en tenant une de ses jambes relevées, je me suis agité frénétiquement dans son cul. J’enfonçais ma queue de toutes mes forces, la ressortant presque entièrement pour la replonger aussitôt. Son anus se boursouflait chaque fois que mon gland était prêt à sortir. Je l’enculais sauvagement comme si c’était vraiment la dernière fois. J’ai renouvelé ma proposition :

– Tu reviendras me voir, même mariée ?

Devant son silence, j’ai cessé tout mouvement.

– Dis que tu acceptes ou j’arrête !

Elle a cherché de l’air en ahanant, puis perdant pied comme une noyée, elle a acquiescé en donnant des coups de cul vers l’arrière.

– Oui, oui, je reviendrai te voir ! Mais continue, encule-moi encore !

Ravi, je lui ai défoncé le cul sans la ménager, je voulais qu’elle s’en souvienne. Elle a joui en criant, griffant le cuir du canapé, agitant sa tête et ses fesses de droite à gauche. J’étais sûr qu’elle s’en souviendrait suffisamment longtemps pour ne pas oublier sa promesse. A mon tour, je l’ai rejointe dans l’orgasme, en pressant ses gros nichons.

Quand elle m’a quitté, elle s’excusait presque.

– Je dois partir… tu sais que mes parents m’attendent pour dîner…

Elle a filé sans que je lui adresse un mot. Je savais qu’elle finirait tôt ou tard par revenir.

 

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Femmes sous hypnose, écrit par Francis Salignac, qui vient de paraître dans la collection Bibliothèque Erotique

 

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Un vieux roman cochon du temps de nos grands parents. L’action se déroule à la fin du xixe siècle. Un jeune homme de bonne famille est fiancé à une jeune fille qu’il adore. Mais sauf quelques baisers, elle ne lui accorde rien. Puis un jour il assiste à une étonnante séance d’hypnose, au cour de laquelle un riche débauché livre sa propre femme, hypnotisée, à la convoitise de ses invités. A son réveil, l’épouse a tout oublié. Notre héros a découvert sa vocation. Un roman délicieusement vicieux !

 

Un extrait :

 

Je suis un très vieux monsieur qui vit dans sa bibliothèque en ressassant ses souvenirs. Je suis seul aujourd’hui la plupart du temps, et cela me convient. Déjà, pendant ma jeunesse, les gens m’intimidaient alors que les livres me rassuraient. Et, pour je ne sais trop quelle raison, je trouvais les femmes plus inquiétantes que les hommes, sauf pendant leur sommeil. J’aimais mieux regarder dormir une fille que l’écouter parler. Dans la contemplation de son visage lisse, dans le mouvement du drap soulevé par ses seins, dans ses paroles confuses et dans ses soupirs prolongés, je trouvais un avant-goût de la possession physique.

J’étais aussi sensuel que timide. Et c’est sans doute la raison pour laquelle l’hypnose, c’est-à-dire le sommeil artificiel, m’est apparue comme la solution miracle. C’est à elle que je suis redevable des plus vifs souvenirs sexuels de ma jeunesse.

L’histoire que je vais raconter s’est passée avant la Première Guerre Mondiale. Je venais d’avoir vingt ans et j’étudiais les langues anciennes à la Sorbonne. Je n’avais pas l’intention de devenir professeur : sans être colossale, ma fortune me permettrait de vivre sans travailler, comme la plupart des aristocrates. Simplement, j’avais la passion des civilisations disparues et j’ambitionnais d’entreprendre un jour des fouilles archéologiques.

Nous étions à la fin avril, mes examens approchaient et j’avais des journées épuisantes. Je venais de rentrer chez moi, rue Vaneau, quand le concierge glissa mon courrier sous la porte. Mon attention fut attirée par une enveloppe ornée d’un blason. A l’intérieur, se trouvait un carton d’invitation à l’en-tête du comte Dupont d’Urville, un ami de ma famille. Bertrand, le fils de celui-ci, me conviait le samedi suivant à une soirée, au cours de laquelle il présenterait sa fiancée milanaise à ses amis. Sur le bristol corné, il était précisé que Florence Mancini ferait, « sous hypnose et en public, une démonstration de ses talents d’épouse et de courtisane ».

Ainsi, Bertrand se préparait à exhiber sa fiancée. Cela n’avait rien d’étonnant, l’hôtel d’Urville était connu dans la haute société comme un lieu de libertinage effréné. A soixante ans passés, veuf depuis longtemps, le comte était grand amateur de chair fraîche. Chaque fois, je me rendais avec empressement à ses invitations.

La lettre de son fils m’avait troublé, j’étais curieux de faire la connaissance de Florence. On la disait très représentative de la beauté lombarde, mélange d’angélisme et de lascivité qui se caractérisait par une peau blanche, des yeux bleus et des cheveux châtains exagérément bouclés. Bertrand la mettrait-il nue devant nous ? C’était bien probable.

Par association d’idées, mes pensées dérivèrent du côté de Gabrielle, ma fiancée. Elle, pour rien au monde, n’aurait consenti à retirer ses vêtements devant moi, ni à plus forte raison devant des tiers. Se pouvait-il que sous hypnose… La pensée m’effleura.

Oubliant un peu mes examens, j’attendis le samedi avec impatience. Je n’avais rien dit à Gabrielle. Mon concierge nettoya mon smoking et astiqua mes bottes. Un fiacre me déposa devant le portail de chêne sculpté des Dupont d’Urville. Le comte vivait avec son fils qui étudiait vaguement la médecine, mais passait en réalité son temps autour des tables de jeu et à courir le jupon. Florence Mancini devait être remarquable pour avoir su retenir l’attention du jeune aristocrate blasé.

Une foule nombreuse et élégante se pressait dans le grand salon de l’hôtel particulier. L’assistance était composée d’hommes de tous âges, amis du père ou du fils, que je connaissais de vue. Dans le brouhaha, un camarade de la Sorbonne, tout émoustillé, me dit que Florence venait d’arriver. Je guettai son apparition, en vain. Un buffet proposait des montagnes de langoustes délestées de leur carapace et des alignements de bouteilles de champagne. J’y fis honneur comme les autres en attendant que le spectacle commence.

Au centre de la pièce, chose rarissime à l’époque, trônait une caméra de cinématographe entourée de puissantes lanternes électriques. Cela ne m’étonna pas venant des Dupont d’Urville, toujours avides de mettre les plus récents perfectionnements de la technique au service de la lubricité. Ainsi, dans son jeune temps, le comte avait été parmi les premiers à Paris à oser placer devant l’œil d’un appareil photographique non pas un paysage, un monument, ou un aïeul, mais une femme nue.

La lourde machine de prise de vues et les projecteurs étaient braqués sur une table recouverte d’un plaid écossais. Le décor était planté, mais les acteurs se faisaient attendre.

Dans l’espoir d’apercevoir Florence avant son entrée, je quittai le salon pour me diriger vers les appartements privés. Dans un boudoir, où une dizaine de personnes observaient le plus profond silence, j’assistai à une scène étrange. Bertrand se tenait penché sur une jeune fille aux abondants cheveux frisés, allongée dans une bergère ; sa fiancée milanaise sans aucun doute. Je m’approchai. Florence était grande, distinguée, et sa robe de brocard rose rehaussait son teint de lait. Les mains serrant les accoudoirs de son fauteuil comme pour l’emprisonner, Bertrand la fixait d’un regard impérieux. Battant des paupières, la bouche entrouverte, elle paraissait subjuguée. Il lui murmurait des paroles inaudibles qu’elle répétait à voix basse. Enfin, elle dit à haute voix, d’un ton mécanique :

— J’obéirai… à Bertrand… je ferai… tout ce qu’il me commandera.

Elle répétait sa phrase quand Bertrand m’aperçut.

— Florence, je te présente mon ami, Francis de Salignac.

Elle m’adressa un regard absent, sa main moite tremblait tandis que je l’effleurais d’un baiser. Bertrand lui donna le bras et l’entraîna au salon. Les invités s’écartèrent pour les laisser passer. Rigide, les yeux vides, Florence s’adossa à la table couverte du plaid. Le comte d’Urville, dont les cheveux blancs faisaient ressortir le teint de terre cuite, s’arma d’une badine pour nous détailler en termes crus, des cheveux aux chevilles, les avantages de sa future bru. Il la tourna, la pencha et fit l’éloge de sa croupe, comme un maquignon. Florence reprit une posture décente et Bertrand s’adressa à nous :

— Maintenant, messieurs, je vais avoir l’honneur de vous montrer une femme sous hypnose. Je vais l’aider à se déshabiller devant vous et à dévoiler ses beautés.

Un murmure d’approbation incrédule parcourut les rangs. Bertrand claqua dans ses doigts et Florence s’avança en se dégrafant dans le dos, avec l’expression absente d’une femme qui se croit seule dans sa chambre. Bertrand défit prestement, au creux des épaules de la jeune fille, les boutons hors d’atteinte. Elle laissa tomber sa robe à ses pieds et l’enjamba en toute quiétude. Selon la mode de l’époque, elle était encore habillée des pieds à la tête, mais ne portait pas de corset. Sa fine chemise flottait sur ses seins dont on devinait les aréoles, et un jupon dissimulait encore son pantalon : le sous-vêtement obligé des femmes avant la Première Guerre, quand n’existait pas encore la désastreuse culotte.

Pour nous faire admirer l’élégance de la silhouette de la jeune fille, Bertrand la fit circuler dans la pièce, dressée sur ses talons démesurés, les mains aux hanches, un étrange sourire figé aux lèvres. Des commentaires à voix basse, des toux en cascade accompagnaient le passage de la belle indifférente. Je remarquai que quelques invités, dans les coins sombres, avaient sorti leur sexe et se branlaient sournoisement.

Aidé par son père, Bertrand acheva de déshabiller la jeune fille, ne lui laissant que ses bas noués par des jarretières et ses hautes bottines. Ses seins en poire apparurent, puis son petit cul bombé, que son ventre plat et sa taille mince faisaient ressortir. Sa vulve aux chairs épaisses, qu’entouraient d’abondants poils frisés, étonnait par sa bestialité. Sur un signe de son fiancé, Florence s’allongea sur la table couverte du plaid, et un valet en costume actionna la manivelle de la caméra. Couvrant le ronronnement de l’appareil, Bertrand reprit la parole :

— Et maintenant, messieurs, vous allez avoir l’avantage d’observer une femme opérer une fellation pendant son sommeil.

Il sortit son pénis, que Florence, tournant la tête, prit dans sa bouche. Elle suçait bien et paraissait y prendre plaisir. La queue durcit rapidement et lui emplit la bouche. Elle maintenait le membre par la base et soupesait les couilles. Bertrand titillait le bout de ses seins, et de temps à autre les pinçait en tournant. La jeune fille grimaçait furtivement de douleur, mais ne se réveillait pas et continuait de sucer à pleine bouche.

Debout de l’autre côté de la table, le comte replia les genoux de sa future belle-fille et lui ouvrit les cuisses pour exhiber sa fente très étirée. Des bouclettes sombres, collées par l’humidité, bordaient les chairs mûres jusque autour de l’anus dont on devinait la protubérance entre les fesses entrouvertes.

Ecartant ses chairs à deux doigts, le comte masturba la jeune fille. Il allait vivement de son clitoris, dont la languette rose pâle émergeait des poils, à son anus qui commençait à béer. Au passage, il séparait ses lèvres déjà grasses de sécrétions et leur faisait rendre un son mouillé. Les bruits obscènes excitaient le sexagénaire et il insistait lourdement.

C’est alors que le comte fit un geste péremptoire en direction du fond de la salle. Sa fidèle gouvernante, Gretzel, une petite Alsacienne de dix-huit ans costumée en soubrette de bordel, sortit de derrière une tenture et, à pas comptés, comme une actrice, se rendit aux ordres son maître. Pour quelques instants, on se détourna de la fiancée de Bertrand écartelée sur la table. Les joues roses, les yeux embués d’émotion, la bouche appétissante comme un chou à la crème, Gretzel s’avançait vers nous.

Une résille tenait dressé son chignon roux sur le sommet du crâne. Un corset noir à lacets, pièce essentielle du costume des servantes alsaciennes, étranglait sa taille par-dessus sa fine chemise, et projetait en avant ses seins plantureux et très écartés. Ils bougeaient à chaque pas ; les deux taches de sueur qui garnissaient sa chemise, par transparence, faisaient apparaître les pointes. Quand elle passa devant nous, un murmure s’éleva dans son dos. Sa courte jupe noire, fendue de la ceinture à l’ourlet, laissait voir la raie de son large cul.

Elle s’accroupit aux genoux du comte, fesses écartées. J’espérais qu’elle allait se soulager devant nous, mais elle se contenta de défaire la braguette de son maître et de prendre sa queue dans sa bouche. Elle suçait avec encore plus d’entrain que Florence. Le visage du comte s’enflamma, ses rides se creusèrent, et ses attouchements sur la fente de Florence se firent plus vifs. Il la travaillait à deux mains, les bagues qui garnissaient ses longs doigts poilus brillaient.

Interrompant son manège quelques instants, il fit largement bâiller la vulve et l’offrit à l’objectif de la caméra. Les chairs gonflées luisaient, des spasmes parcouraient la fente écarquillée de l’anus au clitoris. Quand il introduisit son index tendu dans le vagin, celui-ci se referma en l’aspirant et quelques gouttes de pisse jaillirent.

— Oh, la petite fontaine ! Ah, la grosse cochonne !

La bouche pleine du sexe de son fiancé, Florence gémissait comme un animal, des soubresauts agitaient son ventre et ses cuisses. Devant ce spectacle, je me suis masturbé comme mes voisins. Sucé et branlé par sa gouvernante, le comte ne tarda pas à jouir.

— Chienne, avale mon foutre. Surtout, n’en laisse pas perdre.

Avec des rires de connivence, les invités applaudirent discrètement. Gretzel conduisit le comte vers une ottomane, dégrafa son col et lui servit un cordial. Cependant, Bertrand s’était placé en tête de table, les mollets de sa fiancée reposant sur ses épaules. Il ajusta sa queue à l’ouverture du vagin et s’y enfonça aisément. Florence n’était pas vierge ; j’eus une pensée pour Gabrielle, ma fiancée, si exagérément pudique. Les mains sous les fesses de la fille, Bertrand y allait à grands coups. De nouveau gaillard, son père se tenait à ses côtés et l’encourageait :

— Y êtes-vous, mon fils ? Ah, votre fiancée jouit, regardez comme elle mouille ! Elle vous suce bien ?

— Une vraie goule !

— Donnez-lui son compte, maintenant !

Bertrand se raidit en pliant les genoux au moment d’éjaculer. Nouant les chevilles sur sa nuque, Florence jouit en serrant les cuisses et en se masturbant.

Au moment où mon sperme arrosait le tapis, deux domestiques, qui bandaient d’une façon éhontée dans leur culotte à la française, enveloppèrent dans le plaid la fille inconsciente et l’emportèrent. Bertrand s’essuya avec un mouchoir de dentelle, rangea sa queue mollissante et referma sa braguette. Le salon empestait le foutre et le cigare. Bertrand fit ouvrir les fenêtres et nous invita à le suivre dans le jardin d’hiver, où, derrière un buffet débordant de fromages et de cochonnailles, des laquais débouchaient des bouteilles de bourgogne. Bertrand nous pria de l’excuser et nous quitta.

Il revint au bout de quelques minutes en compagnie de sa fiancée rajustée, repoudrée, et réveillée de sa stupeur hypnotique. Il me la présenta de nouveau, et elle me salua comme si elle faisait ma connaissance Elle paraissait légèrement flotter, et les invités souriaient d’un air entendu. Elle se tourna vers Bertrand.

— Alors, vous m’avez endormie longtemps ? Vous ne m’avez pas fait faire de bêtises, au moins ?

Bertrand la rassura :

— Vous avez été remarquable, nous avons beaucoup appris. Grâce à vous, nous avons pu vérifier à quel point l’hypnose fait avancer la science.

Elle accepta un canapé de foie gras et un doigt de bourgogne. C’était très étrange, elle était la seule femme de l’assemblée à l’exception de Gretzel, tout le monde l’avait vue se conduire comme une bête, et elle n’en avait pas le soupçon. Pourtant, sous sa robe et son pantalon, son sexe, même après les ablutions à l’eau chaude par les servantes, était encore irrité et devait perdre du sperme. A l’idée de ses poils poissés, comme pendant qu’elle se faisait branler et baiser sur la table, je me mis à bander.

La conversation roulait sur l’art, Florence discourait brillamment de la dernière exposition des « fauves ». Tous les hommes présents l’écoutaient avec la même lueur dans les yeux. Elle était exclue du secret que nous partagions. J’étais sous le coup d’un émerveillement infini. Se pouvait-il qu’elle ait vraiment tout oublié ?

A présent, par son comportement réservé, sa façon de ratiociner, elle me rappelait d’une façon étonnante ma propre fiancée. Se pouvait-il que Gabrielle elle aussi, dans des circonstances semblables, révèle une nature aussi lubrique ?

Rentrant chez moi, je me promis de me renseigner sur l’hypnose dès que la préparation de mes examens m’en laisserait le loisir.

 

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