Salut à tous et à toutes !
Avant de vous présenter les deux textes du mardi, je vous rappelle que l’inscrition sur MesHistoiresPorno.com est gratuite, qu’elle prend trente seconde et qu’il s’agit d’un espace d’expression entièrement libre, sans aucune censure (coucou Facebook), sur lequel vous pouvez publier toutes les histoires de #cul qui vous passent par la tête ! #Confessions, #fantasmes, #BDSM, #romances #sex, histoires réalistes ou pas, faites-vous (et faites nous !) plaisir ! Vous êtes ici chez vous ! Et vous êtes assuré d’avoir plusieurs centaines de lecteurs !
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Les Ô de la déraisÔn. 2 – Ô Marianne, de Pierre Triarde, une histoire sexy et bon enfant de rencontre sexuelle placée sous le signe de la picole.
Un extrait :
« Je repérai le bar en question et vis effectivement une bouteille de gin au trois-quarts pleine. Je m’en servis une bonne rasade à la suite de quoi je partis à la recherche d’indices qui me renseigneraient sur la personnalité de mon hôte. Je trouvai dispersés un peu partout sur les fauteuils et les meubles des CD de country et de folk américain, des livres de science-fiction, des polars, des DVD dont trois étaient des classiques de la pornographie. Un des trois films attira mon attention car je me souvenais l’avoir déjà visionné avec des copains. Le château des soupirs, une histoire porno du temps où le genre possédait encore ses lettres de noblesse. Je tournais fébrilement la boite entre mes doigts lorsque je sentis une présence derrière moi. Marianne regardait par-dessus mon épaule l’objet qui accaparait tant mon attention. Pris dans le sac, je reposai vite le DVD sur le meuble de la télévision. »
A lire en intégralité ici : https://blog.meshistoiresporno.com/histoire/les-o-de-la-deraison-2-o-marianne/
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Comment j’ai découvert mon candaulisme, de Coquin-Coquine, est, comme son nom l’indique, un très réussi récit d’#initiation et de #candaulisme.
Un extrait :
« Comment est né mon fantasme candauliste ? Je vais vous le raconter.
Nous fréquentions les clubs échangiste dans la capitale, petit à petit ma femme s’était laissée aller, et maintenant elle s’assumait exhibitionniste sans problème. Nous étions ce qu’on appelle des « côte-à-côtistes », ce qui veut surtout dire qu’il ne se passe rien en dehors du couple.
Ma femme aime se montrer et porter des vêtements sexy qui la mettent en valeur, et le Cap d’ Agde est parfait pour ça. Ce soir-là, chemisier transparent sur ses jolis seins bien fermes, mini jupette en cuir cachant à peine la naissance de ses fesses et dévoilant son intimité dès qu’elle se baissait – ce qu’elle ne manquait pas de faire en toute innocence – et sous laquelle elle portait un string ouvert, très joli, des bas et des cuissardes avec lesquelles elle dépassait le mètre 80, aussi la remarquait-on quand elle déambulait dans les allées du Cap. »