Salut à tous et à toutes ! Aujourd’hui, encore une histoire de #sexe en #vacances (nos auteurs auraient-ils hâte que l’été arrive ?), et le 19ème épisode (déjà ? eh oui !) de l’infatigable saga #texmex #porn de Mia Michael !
GALETS,de Frédéric Gabriel, nous raconte une rencontre romantique sur une plage, qui se conclut par un très réussi #cunnilingus…
Un extrait :
« Elle doit avoir vingt, vingt-et-un ans… Elle n’est pas très grande, un mètre soixante-cinq, soixante-six et elle a des formes. Une poitrine lourde, avec des aréoles larges. La fraîcheur du matin fait pointer ses tétons. Elle a des hanches bien marquées, des fesses pleines et hautes que j’aperçois tandis qu’elle avance jusqu’aux douches. J’ai aussi eu le temps d’apercevoir une toison blonde, taillée, en haut d’un sexe clos.
Elle va jusqu’aux douches, tourne le robinet. Je m’approche.
— J’avais un reste de gel douche dans le camion, je crois que ça le fera, en attendant mieux.
Elle me sourit, un vrai sourire, de gratitude, en attrapant le flacon. Nos doigts se touchent l’espace d’un instant, je me demande si c’est volontaire. Ce qui n’est pas volontaire, en tout cas, mais plutôt un réflexe, c’est cette érection qui se déclenche, et tend ma combinaison. Je bats en retrait, de peur qu’elle ne l’ait remarquée. Ce qui m’a troublé, ça n’a pas été tant de la voir nue face à moi, que d’être si proche, et de sentir la chaleur de son corps, tout près de moi, me pénétrant. »
A lire en intégralité ici : https://blog.meshistoiresporno.com/histoire/galets/
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JUSTICE CAJUN, de Mia Michael : du #BDSM, des #punition toujours plus imaginatives et #perverses, du piment, du soleil ! Tous les ingrédients de votre saga favorite sont réunis !
Un extrait :
« Vania, relève sa jupe, baisse sa culotte et pisse devant nous, sans aucune pudeur. Je veux l’imiter, mais elle me dit :
— Toi, seulement quand je te le dirai.
Ouch ! Ma vessie est toute frustrée. J’ai du mal à retenir quelques gouttes ! Après s’être soulagée, elle me dit :
— Viens me lécher.
Sale garce ! Elle ne peut pas secouer son cul pour faire tomber les dernières gouttes, comme font toutes les filles qui n’ont pas de papier ? On dirait que non ! Je vais vite m’agenouiller derrière elle, j’écarte ses fesses et je lèche les gouttelettes accrochées à sa toison noire. J’ai le nez contre son anus et très bonne nouvelle : il sent Heure Bleue. Quand c’est fait, elle se redresse en disant :
— Maintenant, tu as ma permission.
Ouf ! Je m’accroupis et mon jet est tellement fort qu’il constelle mes mollets de gouttes dorées. A ce moment-là se pointe une vieille camionnette. Je crois qu’on dit un pick-up. Les hommes installés à l’arrière poussent des cris en me voyant faire pipi. «