Salut à tous et à toutes ! C’est lundi, et comme tous les lundis (sauf quand je suis débordé de boulot, haha), trois nouvelles histoires pour votre plus grand plaisir !
Vous pourrez vous délecter de la suiter du Journal d’une accro aux collants, de Frédéric Mancini. L’héroïne poursuit dans ce second chapitre ses aventures fétichistes et délurées. Elle aime jouir, faire jouir et ne vous laissera pas indifférent.e, que vous soyez lecteur ou lectrice !
Un extrait :
« J’aime me mettre en scène. J’y réfléchis quand je ne tourne pas, pour être prête quand justement je me cale sur l’écran.
Je commence en restant dans le champ de la caméra, faisant celle qui ne savait pas qu’on la matait, vacant à ses activités. Et devant une armoire, je m’inquiète soudain de savoir si mon collant n’a pas filé. Je me penche sur mes jambes, j’en pose une sur une chaise, et j’explore le nylon, qui, bien évidemment, n’a rien, en imaginant de l’autre côté de l’ordinateur, ceux que je ne verrai jamais, mais qui eux me voient, tétanisés. Il est toujours facile de tirer sur certaines ficelles…
Je reviens à mon bureau. J’adore imaginer les spectateurs, ces spectateurs que je ne connaîtrai jamais, figés devant leur écran, regardant avec fascination et émotion, dans le plus basique des cas, se caressant dans le cas le plus probable en m’admirant, les hommes faisant aller et venir leur main sur leur queue, les femmes faisant tourner leurs doigts sur leur sexe.«
A découvrir en entier ici : https://blog.meshistoiresporno.com/histoire/journal-dune-accro-des-collants-partie-2/
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Avec les deux premiers chapitres de Maud et Léo, vous pourrez vous initier, si vous ne pratiquez pas beaucoup cette manière moderne de prendre son pied, à l’art délicat du sexto.
Un extrait :
« — Les doigts toujours actifs dans votre cul, je vous caresse le clitoris noyé dans une mouille abondante, et votre cul est tendu, reins cambrés, prêt à recevoir l’hommage de ma queue, et je joue avec un vibromasseur de belle taille sur le clitoris, parcourant vos lèvres. Je le plante sans plus de préparation dans votre con, et …
— Aaaaahhhhhh….
Elle eut son premier orgasme violent, une décharge électrique lui parcourait le bas des reins, les fesses tendues. Elle s’agitait, tremblait, un vibromasseur faisait son office.
— Les doigts dans le cul sentent la pénétration de la queue artifice toujours raide, et votre fessier s’ouvre toujours plus sous ces assauts multiples. Regarder ce cul offert et la chatte bourrée par le vibro, m’excite au plus haut point, et…«
A découvrir en entier ici : https://blog.meshistoiresporno.com/histoire/maud-et-leo-chapitres-1-et-2/
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Dick Sainte-Cécile, enfin, avec Feu d’artifice, nous offre une histoire de candaulisme un peu plus perverse que d’habitude… et je vous laisse découvrir vous-même si le titre fait plutôt référence au 14 juillet ou à d’autres éruptions, plus liquides…
Un extrait :
« J’étais partagé entre deux sentiments contradictoires. D’un côté je voulais faire irruption, feignant la rage afin de susciter le désarroi de tes compagnons. En agissant ainsi j’affirmais ma supériorité de mâle légitime devant l’assemblée de ces jeunes gens et je complétais mon triomphe en te prenant sous leurs yeux. À leur place. C’est ainsi que j’avais vu les choses initialement. Et c’est ce à quoi tu t’attendais. Et d’un autre je voulais savoir ce que ça faisait de te voir jouir sous les assauts d’un autre. D’autres en l’occurrence. Et de voir ce que tu pourrais improviser alors que tu ne me verrais pas venir te libérer de ces mâles m’excitait au plus au point.«