Rappel des épisodes précédents
A 20 ans, j’ai toujours été attiré par les femmes dans la quarantaine, épanouies et libérées. J’ai connu intimement Inès, une confrère de mes parents alors que je venais chercher un colis dans sa société. J’avais entendu dire qu’elle multipliait les aventures, et n’ai pas été déçu. Dès le week-end suivant, nous avons été invités à diner par Josy, une de ses amies, en compagnie d’autre couple. Une belle occasion pour un jeune homme de vingt ans de passer une soirée agréable avec 3 femmes délurées en demande de sexe.
Alors que Josy me propose de venir diner chez elle quelques jours plus tard, nous avons une invitée surprise, Lydia, une autre de ses amies que je prends plaisir à séduire et à dépraver pour la première fois avec la complicité de Josy.
En fin de semaine, Josy m‘appelle au téléphone pour m’inviter à diner, en me disant qu’elle souhaite me parler d’une chose importante. Elle en profite pour me pour me dire que Lydia, elle aussi, lui a demandé mon numéro de téléphone.
– J’ai eu une idée qui pourrait te plaire et surtout t’aider, toi qui cherche toujours des jobs d’étudiant pour améliorer ton quotidien. Viens diner, demain soir, tu pourras même rester dormir, enfin dormir c’est pas certain, me dit elle en riant, si tu en as envie. Je voulais t’inviter dans un resto sympa, mais on sera plus tranquille pour parler à la maison.
Quand je la retrouve le lendemain soir chez elle, une bouteille de champagne à la main, nous sommes aussi heureux l’un que l’autre de nous retrouver sans tierce personne.
Elle a quelque chose que je suis incapable de définir, et qui me plait. Une femme au bras de laquelle j’aimerais sortir en bonne société, mais aussi, qui peut être totalement débridée, sans aucun tabou à d’autres moments.
Elle revient sur la soirée avec Lydia en me disant qu’elle n’en revient toujours pas, elle qui n’avait jamais laissé transparaitre quoi que ce soit.
– Je compte sur toi pour m’aider à la débaucher un peu plus. Ca m’excite rien que d’échafauder des scénarii, mais ce n’est pas de cela dont je voulais te parler ce soir.
J’espère que je vais te dire ne va pas te choquer. Laisse moi juste aller jusqu’au bout et nous en parlerons ensuite.
Avant de commencer, il faut que tu saches que c’est un fantasme que j’ai depuis plusieurs années. A chaque fois que j’y
pense ou que je me fais des scénarii avant de m’endormir, je suis excitée et je me caresse jusqu’à me faire jouir.
Tu as beau être un étudiant de bonne famille, comme on dit dans notre ville, tu es comme beaucoup d’entre vous, tu n’as pas beaucoup de moyens et tu te refuses de demander à tes parents de t’aider. C’est tout à ton honneur. J’ai bien vu lors de la soirée et encore cette semaine avec Lydia que tu plaisais aux femmes dans la quarantaine autant qu’elles te plaisent, et qu’en plus tu sais les faire jouir. Elles ne demandent qu’à te revoir, j’en suis un bon exemple. Que dirais tu si ces femmes aisées, célibataires ou mariées, t’aidaient à poursuivre tes études un peu plus confortablement en contre partie de leur donner du plaisir et de les aider à vivre leurs fantasmes ?
La stupéfaction se lit sur mon visage. Je ne m’attendais absolument pas à ce qu’elle me propose.
– Je me doute que tu es surpris, ça se voit sur ton visage. C’est juste faire plaisir à ces femmes qui vont t’aider, une sorte de sponsoring !
– Si je t’écoute bien, lui dis je, tu me proposes de me prostituer ?
– Non pas du tout, cela n’a rien à voir. Tu aurais pu me dire être « escort boy », ce serait plus proche. C’est juste donner du plaisir à ces femmes qui veulent rester discrètes et ne prendre aucun risque, contre un petit cadeau pour t’aider dans tes études. Et puis, cela nous permettrait d’élargir le cercle d’amies dont tu en connais déjà certaines, sans non plus, prendre de risques. Comme tu t’en doutes, par mes activités, je connais beaucoup de monde et certaines de ces femmes me font parfois des confidences ou des sous entendus. Regarde, Lydia qui veut déjà te revoir. Elle est mariée à un industriel important de la région et son mari ne la touche plus depuis des années. Elle était malheureuse jusqu’à votre rencontre. Tu lui as juste permis d’exprimer sa vraie nature. C’est elle qui m’a fait me décider à te parler. Elle a tellement envie de toi, qu’elle m’a demandé ce qui pourrait te faire plaisir. Elle veut te faire un cadeau, et elle m’a parlé d’une magnifique montre. Tu sais ce que ça vaut une très belle montre ? Quelques milliers euros au minimum. Pour elle ce n’est rien, mais pour toi, c’est une année scolaire plus facile.
– Et toi, Josy, tu viens faire quoi là dedans ?
– Tu me fais réaliser un de mes fantasmes. Je trouve des femmes aisées qui ont envie de passer du bon temps. C’est moi qui leur ferai comprendre que tu galères, et les « cadeaux » tu ne t’en occupes pas, ce sera moi. Je te rassure, je n’y toucherai pas, je n’ai pas besoin de ça pour vivre. Tu me raconteras, et je profiterai de toi, car moi aussi j’ai en permanence envie de toi. Pour ne rien te cacher, j’en ai glissé un mot à Lydia, en lui précisant que tu ne serais au courant de rien. N’y penses pas quand tu la reverras, reste naturel. J’aimerais savoir ce qu’elle va faire !
– La seule règle à respecter c’est de ne jamais parler à personne de tes rencontres en dehors de moi bien sûr. Et surtout de ne jamais parler d’une femme à une autre. Lydia sait bien que tu as été le compagnon de plaisir d’autres femmes et elle s’en fiche totalement.
Quelques jours plus tard Lydia m’appelle pour me proposer d’aller diner le samedi soir dans une auberge étoilée à une centaine de kilomètres en me disant que pour éviter de prendre des risques si nous profitons des vins et alcools, elle a réservé une chambre et que nous ne rentrerons que le lendemain.
Je préviens Josy qui me dit de rester naturel et de ne penser qu’au plaisir de cette soirée. Elle connaît cette adresse et m’indique que cette auberge est en fait un petit manoir discret, connu pour les escapades de couples illégitimes et que le sauna avec piscine est magnifique. Tu vas être étonné par le luxe, me dit elle, avant de me souhaiter une bonne soirée.
Lydia a décidé que je conduirai sa voiture, une superbe BMW. En passant la prendre, elle me demande si sa tenue me plait. Une robe courte, près du corps qui met en valeur ses formes. Alors je nous nous embrassons, je passe mes mains sur son corps et remonte sous sa robe le long de ses cuisses. Je tire sur les cordons de son string pour lui enlever.
– Tu n’as pas besoin de ce bout de tissu, ta chatte sera accessible et visible en permanence. Si tu en as mis dans ta valise, tu peux les enlever. Avec tes tétons qui transpercent le tissu, tu es parfaite. Tous les hommes au manoir vont se mettre à bander en te voyant, et les femmes vont se jeter sur toi pour te caresser ou t’arracher les yeux. Je te protègerai de ces panthères.
Dans un éclat de rire, nous partons. Le parking de ce manoir, caché de la route et accessible après s’être annoncé à la grille, est occupé par des berlines de luxe. De la réception de l’hôtel, nous pouvons découvrir une salle de restaurant assez particulière. Plongée dans une demi obscurité, les tables centrales sont éclairées pour être visibles de tous les convives, alors que les tables situées en pourtour sont disposées de telle manière à ce que les occupants restent le plus discret possible. Le plaisir de s’exhiber pour certains, de voir pour d’autres. Derrière ce restaurant, un bar avec piste de danse et petites alcôves.
Une piscine et un sauna spacieux occupent le sous sol du bâtiment.
Le diner est succulent et nous profitons des excellents vins. Je fais attention à ce que le verre de Lydia ne reste jamais vide. Au fur et à mesure du diner, l’alcool fait son effet et Lydia se lâche de plus en plus.
– Tu as remarqué la table avec le couple juste à gauche de nous ? me demande Lydia.
– Oui, la femme te dévore des yeux. Quand elle te regardera la prochaine fois, fais lui ton plus beau sourire et en même temps ouvre un bouton de plus de ta robe, en la regardant dans les yeux, comme invitation.
Alors que je m’attends à ce que Lydia retarde un peu cette invitation, elle s’exécute immédiatement. A mon plus grand plaisir, la femme après avoir glissé quelques mots à l’oreille de son compagnon de table, ouvre à son tour un peu plus sa robe.
– Tu ne vas pas la laisser gagner, Lydia !
L’alcool aidant, mais aussi l’excitation que je mesure en glissant mes doigts sous sa robe jusqu’à sa fente qui est trempée, Lydia déboutonne sa robe jusqu’à la ceinture, et ouvre un peu le haut pour lui laisser admirer à distance sa poitrine aux tétons dressés. La femme se lève et viens vers nous.
– Bonsoir, que diriez vous d’aller prendre le champagne avec nous au sous sol ?
Sans nous laisser le temps de répondre favorablement à son invitation, elle glisse sa main sur la poitrine de Lydia pour jouer avec un téton et l’embrasse sur la bouche.
Lydia ne voulant pas être en reste glisse sa main plus bas pour, je suppose, caresser l’entre jambes de sa nouvelle amie.
Nous rejoignons tous les quatre le sous sol, les deux femmes devant nous se tenant par la main, robe largement ouverte, laissant apparaître leurs seins en liberté. Notre sortie de la salle de restaurant est particulièrement remarquée.
Arrivés au sol, nous choisissons une table au bord de la piste de danse ou plusieurs couples dansent déjà, alors qu’à plusieurs tables certains convives ont largement commencés à partager des pratiques très intimes. Deux femmes sont agenouillées devant leurs conjoints ou le conjoint de l’autre couple, pour offrir leurs bouches aux membres de ces messieurs.
Lydia et sa nouvelle amie rejoignent très vite la piste de dans entourées de plusieurs couples. Les hommes et femmes présents viennent danser autour d’elles. Les hommes n’hésitent pas à se coller contre leurs fesses pour leur faire sentir leurs sexes durs et les femmes les prennent par le cou pour les embrasser et leur peloter les seins. Très vite, Lydia et Valérie se retrouvent nues, en porte jarretelles et bas pour danser. Marc et moi sommes excités à les voir se déhancher sans aucune pudeur et à danser collées l’une à l’autre, frottant leurs ventres l’une contre l’autre.
Les deux robes à la main nous les entrainons vers un coin câlin fermé par une porte mais nous permettant de rester visibles de tous au travers d’une large baie vitrée.
Lydia et Valérie sont déchainées et se mettent en 69 pour se donner du plaisir mais aussi pour nous laisser l’accès à leurs bouches et leurs chattes dégoulinantes de jus.
Alors que je lèche la corolle de Lydia à 4 pattes dont le sexe est déjà occupé par la langue de Valérie, je sens une main caresser les boules. Je me doute que cette main est celle de Marc. Voyant que je ne m’oppose pas à cette caresse inhabituelle, sa main vient branler ma queue avant qu’il s’en occupe avec sa bouche. Une première très excitante. Les deux femmes nous regardent, alors que je caresse à mon tour son sexe circoncis, beaucoup plus épais que le mien.
Lydia vient pomper le sexe de Marc et m’encourage à partager ce sexe entre nos deux bouches. Une autre première fois que de prendre entre mes lèvres un sexe masculin.
Marc et moi stoppons nos jeux avant d’exploser.
Après quelques minutes de repos, les deux femmes reviennent à la charge pour être prises des deux côtés l’une après l’autre.
Après une autre bouteille de champagne, Lydia me propose de rejoindre notre chambre.
– Je ne savais pas que tu aimais les queues de mecs ?
– Moi non plus ! Tu as assisté à une grande première. Dans le feu de l’action, j’ai trouvé cela excitant et je n’allais pas me dérober quand Marc a commencé à me caresser, mais je préfère m’occuper d’une jolie femme comme toi !
– Cela tombe bien, me dit Lydia, car j’ai encore envie de ta queue après une bonne douche.
La nuit va être très courte, avec en plus le plaisir de se réveiller dans les bras l’un de l’autre pour un petit déjeuner au lit « mouvementé ».