20 ans – Une amie des parents (1)

12345
Loading...

Assas


initiationMILFteen


Julien, 20 ans, et suis étudiant. Comme beaucoup d’entre nous, j’essaye de trouver des petits jobs pendant les vacances mais cette année je n’ai pas réussi. Quand mes parents qui sont  grossiste en meuble dans une grande ville normande, m’ont proposé de les aider, je n’ai pas hésité. Je sais que la somme qui vont me donner à la fin des 2 mois sera moins élevée que si j’étais en usine ou dans des bureaux, mais au moins je connais l’ambiance au sein de l’entreprise et je n’aurai pas de mauvaise surprise. Même si travailler avec ses parents comme patrons, c’est pas toujours facile.

Tout se passe bien, et quand il faut faire des livraisons, seul ou pas, chez des clients de l’entreprise, je suis toujours partant. Voir du monde, gérer sa journée comme je le veux moment que toutes les commandes sont livrées, ca me va bien.

Alors que je rentre ce jour là un peu plus tôt que d’habitude, ayant livré tous les colis, mon père demande si un des employés peut  livrer  des pièces détachées chez une confrère pour lui rendre service en urgence. Je lève la main le 1er, je n’ai pas envie de trier des papiers ou ranger des colis, je préfère faire une dernière livraison mais surtout j’ai entendu plusieurs fois mes parents parler d’elle en disant qu’elle n’est pas facile et que dans son entreprise les employés marchent à la baguette. Ce que j’ai cru comprendre aussi dans le milieu professionnel et même dans un salon pro, c’est qu’elle est jolie et qu’elle a eu de nombreuses aventures. Que des bruits, car aucun de ses sois disant amants a fait de confidence.

J’ai envie de savoir à quoi ressemble cette femme de 40 ans, et puis si elle n’est pas commode autant que ce soit moi pour éviter tout incident avec un employé.

En arrivant dans l’entreprise, je demande où je peux la trouver, et un de ses employés m’indique un des bâtiments de stockage. En rentrant dans le bâtiment, j’entends une voix féminine qui donne des instructions pour le rangement qui a été fait et qui ne lui convient pas. Le ton ne prête pas à réplique.

Arrivant dans son dos, je m’annonce par un simple « bonjour », auquel elle répond par un laconique, « oui, une minute ».

Je prends un peu de recul pour ne pas gêner et j’ai tout loisir de l’observer de dos. En chemisier et  petits talons  elle a de belles formes et de très belles fesses moulées par son jean.

En se retournant, la 1ère chose qui m’interpelle, ce sont ses yeux foncés magnifiques et son regard perçant.

– Bonjour Madame, je suis Julien et mon père m’a demandé de vous amener en urgence un colis.

– Ah oui, me dit elle, venez avec moi  et  nous partons vers les bureaux.

Excusez moi de vous avoir fait attendre, mais je remettais un peu d’ordre. J’ j’aime bien que les choses soient bien faites.

– Je vous en prie, c’est  tout à fait normal et j’ai tout mon temps à cette heure ci.

Quand elle me dit qu’elle va appeler un  des employés pour prendre le colis dans ma camionnette, je lui réponds que je vais aller chercher le colis et que je peux me débrouiller tout seul.

En revenant avec le colis dans les bras, j’ai tout le temps de l’observer. 1m, 75 brune aux cheveux courts, de grands yeux foncés,  un regard perçant,  un chemisier dont les deux boutons du haut sont défaits et une poitrine attirant le regard, sans être volumineuse. A son regard, je me rends compte que l’examen est réciproque. Je ne sais pas comment interpréter son sourire, si c’est le colis qu’elle attend, ou de me voir la regarder, ou si c’est à cause de moi, en espérant qu’elle n’est pas aperçue que je commence à avoir un début d’érection sous le jean.

Je pose le colis par terre comme elle me le demande. Elle se penche pour l’ouvrir et vérifier que c’est bien ce qu’elle attend, je plonge mes yeux dans l’encolure du chemisier qui révèle deux seins  ronds qui ne semblent avoir besoin du soutien gorge qu’elle porte.

Accroupie devant moi, elle se relève avec un sourire éclatant. Elle n’a pas pu ne pas s’apercevoir de mon érection qui est maintenant parfaitement visible. Avec un regard ambigu, elle me dit,

– C’est parfait me dit elle avec un regard ambigu, tu remercieras ton père de t’avoir envoyé. La prochaine fois, j’espère que c’est toi qui reviendras me livrer.

En retournant vers la camionnette, je réalise qu’en arrivant alors qu’elle était dans le bâtiment, le chemisier était fermé jusqu’en haut.

En rentrant chez mes parents, mon père me demande si tout s’est bien passé, sachant qu’elle n’est as toujours commode. Je lui confirme qu’elle a été très aimable et qu’elle le remercie.

Le soir avant de m’endormir, je regrette de ne pas avoir fait un peu plus pour lui montrer mon intérêt, mais je suis trop réservé avec les filles et les femmes. Je suis bien obligé de reconnaître que j’ai souvent plus de succès avec les femmes de 40 ans et plus qu’avec les filles de mon âge. Un succès « amical », mais jamais plus. Elles me font plus d’effet que les filles de 20 ans qui me semblent trop lisses. Je ne sais pas si j’aurai l’occasion de la revoir.

La semaine suivante, c’est au tour de mon père de me donner cette occasion. Deux paires de charnières de portes de meubles sont manquantes pour livrer un client, et mon père l’appelle pour savoir si elle peut le dépanner.

– En fin d’après midi, tu iras chercher les 2 portes au dépôt de Mme Loroy. C’est elle qui m’a demandé que tu n’y ailles qu’en toute fin de journée pour ne pas la déranger. Tu peux y aller en moto, ce sont deux paquets de charnières qui manquent pour les  livraisons de demain. N’oublie pas de la remercier. (J’espère bien !)

J’y vais en moto, le coeur battant, en me disant que je risque d’être déçu, je me fais sûrement des idées.

En m’entendant arriver en moto, elle m’interpelle depuis le bâtiment de stockage dont la double porte sur rails est grande ouverte.

– Julien ? Viens je suis dans le bâtiment, j’en ai encore pour 5 minutes.

Quand je l’aperçois, surprise !! Toujours en chemisier mais elle a changé le jean pour une jupe au dessus du genou.  Jambes superbes fines et galbées, surtout qu’elle est penchée sur un carton dont elle se sert comme table pour remplir des imprimés, et que la jupe  est remontée de plusieurs centimètres dévoilant la moitié de ses cuisses.

En se retournant, elle me sourit et me demande,

– Je voulais te demander si tu préférais le jean d’hier ou la jupe de ce soir, mais j’ai déjà ma réponse !!

Juste en la regardant, mon jean est déformé par mon érection. Je dois être rouge comme une pivoine.

– Ne rougis pas, je le prends comme un compliment. Une femme de 40 ans qui émeut à ce point un homme de 20, ça ne peut que lui faire plaisir sauf si elle est coincée, et c’est pas mon cas. Viens plutôt m’aider à monter sur ce carton.

Alors qu’elle a déjà posé un genou sur le bord du carton, je la prends par les hanches pour la faire monter

– Mets tes mains sur mes fesses, ce sera plus facile. Tu n’attends que ça, vas y.

Je ne me le fais pas dire deux fois et je passe mes mains sous le bout de jupe et je pousse Elle se met à rire.  A 4 pattes, pour noter les références du carton, j’ai une vue directe sur sa petite culotte en dentelle rouge. Pour redescendre, elle s ‘assoit au bord du carton du bas, et s’attend les jambes pendantes à ce que je la prenne par les hanches pour l’aider mais au lieu de ça je la bloque sur le carton en restant debout entre ses jambes et nos deux bouches se rejoignent.  Nos langues s’emmêlent pour visiter la bouche l’un de l’autre. Sa main flatte mon érection, je finis de déboutonner son chemisier et je malaxe ses deux seins. Son soutien gorge nous gêne, elle ne me laisse pas le temps de le dégrafer, c’est elle qui le fait me laissant l’accès libre à deux belles oranges et deux tétons qui pointent, je les lèche avant de les agacer avec les dents et de les aspirer. Pendant tout ce temps, elle a ouvert ma braguette et déboutonné mon jean. Elle a plongé la main et caresse ma queue à travers mon slip pour la faire durcir encore plus.

– Monte sur le carton, je vais m’occuper de toi.

Elle m’embouche en s’occupant uniquement du bout, enroulant sa langue autour du gland et léchant le frein. Se doutant que je ne vais pas tenir longtemps, elle aspire ma queue en entier faisant couler sa salive le long de la tige puis vient la lécher et recommence plusieurs fois avant de me laisser m’occuper d’elle.

Assise, allongée sur les coudes, jambes écartées, je bouchonne sa jupe autour de la ceinture pour pouvoir lui écarter au maximum les cuisses et la lécher par dessus sa petite culotte trempée. Sans attendre la petite culotte rejoint mon jean par terre et je colle ma bouche à sa chatte, pour goûter à sa liqueur aussi profond que possible, avant d’aspirer sa perle sortie de sa cachette. Elle me serre la tête entre ses cuisses pour une première jouissance.

Sortant  de nulle part un préservatif, elle m’enveloppe avant de se mettre à 4 pattes, fesses bien relevées pour que je puisse la prendre. Sa chatte est trempée de ma salive et de son jus,  son intérieur est brûlant. Je m’introduis doucement en une seule fois jusqu’au fond. Elle émet un grognement de bonheur. Ce ne sera pas le dernier, j’alterne les coups rapides en profondeur  et ralentit par des coups lents et profonds en ressortant presque le gland quand je la sens au bord de l’explosion. Nous jouissons de concert.

– Eh bien, dis moi. Tu rougis facilement mais tu ne me feras croire que je suis la 1ère.  En tout cas, elle ou elles t’ont appris à satisfaire une femme.

– Je n’ai jamais été tentée par les filles de mon âge qui se prennent pour des princesses et qui font des manières. J’ai eu la chance de rencontrer deux professeures dans la quarantaine et j’aime les femmes épanouies. J’ai encore beaucoup de choses à apprendre avec une femme comme toi. Tu es superbe, et très gourmande à ce que tu m’as montré

– C’est joliment dit ! Tu es libre ce soir ? Viens à la maison pour t’occuper de moi.

Je la suis en moto. Arrivée chez elle, nous prenons une douche ensemble avant de diner sur la terrasse. Elle a passé un kimono court qui  met en valeur ses formes et qui laisse accessible ses trésors. Assise à côté de moi, le bas s’ouvre tout seul me laissant regarder sa chatte et sa toison brune coupée très courte en forme de triangle. Je n’ai repassé que mon mini shorty parfaitement ajusté. Elle aussi peut mesurer en permanence l’effet qu’elle me fait.

– Elle te plait, dis moi. Tu n’arrêtes pas de la regarder et en plus ton shorty m’indique que tu es à nouveau en forme. C’est ça que j’aime avec les hommes jeunes, c’est qu’il sont insatiables.

– C’est normal, belle comme tu es. Et insatiable, je peux vérifier que tu l’es aussi, il suffit de demander !! (rires). Tu as une chatte magnifique, j’adore ta toison courte.  Je n’ai qu’une envie c’est de venir me frotter dessus avant de plonger en toi. Si tu permets, j’ai juste envie de modifier ton kimono.

Passant derrière elle, je plonge les mains par l’échancrure pour attraper ses seins et les malaxer avec douceur avant d’attraper ses tétines déjà tendues pour les faire rouler entre mes doigts. Et j’écarte les pans du kimono avant d’aller me rassoir.

– C’est mieux comme ça. Tu as des seins superbes et avec les tétons qui bandent c’est dommage de les cacher sous ton kimono.

– Petit salaud, tu ne crois pas que tu vas t’en tirer comme ça ? Tu m’excites et tu me laisses en plan, tu vas voir

Mais il vous suffit Madame, de demander !!

Elle se lève, tire ma chaise, et baisse mon shorty, avant de me dire que je ne vais pas m’en tirer comme ça.

Elle se jette sur ma queue dressée pour me pomper et me lécher jusqu’à ce que  je lui demande de s’arrêter au risque de jouir.

Je l’entraine sur une chaise longue bain de soleil.

– Profite de ma toison et remplis moi pour me donner du plaisir.

Après avoir frotté mon gland sur sa toison et laissé goûter des gouttes de précum, je lui relève les jambes sur mes épaules et plonge en elle. J’aime voir ses yeux me fixer et se fermer à chaque aller retour.

D’elle même, elle se met  à 4 pattes les fesses bien cambrées. Cette fois ci je n’hésite plus. Je colle ma bouche à sa fente pour la faire couler, ma langue enduite de sa liqueur, je colle ma bouche à sa corolle et je lèche son centre en essayant de la perforer avec ma langue.

– Oui, vas y j’adore. Peu de mecs osent ou aiment me lécher le petit trou avant de rentrer leur queue.  Inès va exploser en sentant mes jets de sperme fouetter ses entrailles.

Nous  nous quittons que le lendemain matin après avoir pris le petit déjeuner ensemble avant d’aller travailler.

– Tu sais que tu fais partie des privilégiés. Peu d’hommes viennent ici,  et jamais la 1ère fois. J’espère que tu vas avoir envie de revenir. Tu vas dire quoi en arrivant chez tes parents ?

– Revenir ? A ton avis ? Un coup de téléphone et j’accours. Pour les parents, rien du tout.  Je vais leur donner les charnières, c’est tout. Mon père ne posera pas de question et si ma mère me demande, je lui dirai que je suis resté dormir chez une amie, c’est tout.  Je ne dis jamais rien sur ma vie intime à qui que ce soit, y compris à mes parents. Cela ne regarde personne. A toi,  c’est différent. Tu n’as pas de crainte à avoir pour ta réputation !

– Oh je m’inquiète pas pour ma réputation, je sais bien ce que racontent certains hommes que j’ai éconduit ou dont je n’ai pas relevé les grivoiseries, et ce que racontent certaines femmes frustrées.

– Ecoute, à la maison je n’ai jamais entendu quoi que ce soit sur toi, sauf que tu savais ce que tu voulais en affaires et que ta société fonctionnait bien.

A suivre …

 

CETTE HISTOIRE VOUS A PLU ? N’OUBLIEZ PAS DE LA COMMENTER ET DE LA PARTAGER !

 

Vous êtes auteur ? Cliquez sur ce lien pour lire quelques conseils d’écriture

 

Abonnez-vous à la page Facebook de MesHistoiresPorno et des Nouveaux Interdits : https://www.facebook.com/nouveauxinterdits

Vous avez aimé ce texte, vous aimerez sûrement ...

Donnez nous votre avis !

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *