Et le lendemain matin, alors que je pensais qu’elle avait oublié, elle s’était glissée dans mon appartement. La pendule lumineuse sur le meuble près de l’entrée disait 5 heures 54.
–Cinq minutes de sexe le matin avant de partir travailler. Cinq minutes pour jouir vite et intensément, et y penser toute la journée. Ça te dit ?
Elle s’était approchée de moi. Elle avait marié un caleçon noir, très moulant avec une chemise d’homme et une veste blanche.
–Laisse-moi faire.
Elle a descendu le caleçon jusqu’à mi-cuisses. Dessous, elle avait un slip en dentelle d’un rouge éclatant. Elle l’a écarté, pour me donner à voir sa toison blonde, et l’ouverture de son sexe. Il y avait un bout de lèvre qui sortait de son sexe.
Elle m’a défait. Les lettres lumineuses servaient de repère. 5 heures 55. 5 minutes pour un moment de plaisir. J’avais le sentiment qu’elle, elle avait une horloge dans la tête.
Elle m’a trouvé déjà bien dur. Le matin, j’avais toujours envie de sexe. Le fait de penser à elle…La voir arriver vers moi… Ça avait suffi.
Elle a attrapé ma queue, et elle l’a amenée au contact de ses lèvres. J’ai senti, contre mon gland, sa chaleur, son sexe s’ouvrir, le relief de ses lèvres, et puis très vite les premiers jets d’humidité couler et me maculer. Ce qui me manquait d’érection, je l’ai gagné très rapidement…
Je me suis laissé emporter par le moment…Au plaisir de sentir son sexe contre le mien, de le sentir s’ouvrir, correspondait celui qu’elle éprouvait à percevoir mon gland tout gonflé contre elle… On regardait tous les deux, pour ne pas en perdre une miette. En un temps record, ses lèvres étaient totalement sorties d’elle, s’étaient mises à gonfler, et ma chair était luisante des jus qui coulaient d’elle.
Quand elle avait senti que j’allais jouir, elle avait dégagé ma queue pour que mon sperme vienne maculer la face interne de son slip. Jet après jet, j’avais eu des jaillissements copieux et marqué sa culotte d’une crème blanche.
Elle avait remonté son slip puis son caleçon.
–Je vais garder ton sperme contre moi, et j’y penserai toute la journée. Et toi aussi tu penseras toute la journée à ce moment.
J’avais posé mes yeux sur la pendule au moment où le 5 59 devenait un 6 00. Un timing impeccable.
Le soir même elle m’avait confié que cette initiative, issue de son imagination, avait eu plus d’impact sur elle qu’elle ne l’aurait imaginé. Elle était restée dans un état d’excitation toute la journée, ne cessant de repenser à ce moment bref, et elle était allée se caresser dans les toilettes pour se soulager. Le sperme avait séché, mais elle avait longtemps gardé la sensation qu’il était encore liquide contre elle.
Et depuis on avait ce rituel. Cinq minutes pour jouir. Elle était la maîtresse des horloges,
Une bonne manière de bien démarrer la journée, avec de l’optimisme, du plaisir, mais aussi de marquer les heures qui viendraient avec le fil rouge du plaisir comme un soutien dans le travail.
Il y avait eu un tournant quelques semaines plus tard, parce qu’on en avait assez du préservatif, on avait fait un test. Pas de sale maladie. Alors on avait cédé, sur ces cinq minutes, à ce dont on avait réellement envie. ‘Ce que je veux demain matin, c’est que tu remplisses mon vagin de sperme. Jusqu’à la dernière goutte. Et ensuite le sentir couler hors de moi toute la journée, en repensant à ta queue en moi, allant et venant en moi et à ton jaillissement en moi.’ Elle était arrivée à 5 heures 55, en jupe tailleur, et elle m’avait poussé sur le canapé, sortant ma queue en même temps. Quelques caresses, mais j’étais déjà bien raide, elle avait retroussé sa jupe. Dessous, elle n’avait pas de slip. Et pour cause, il était accroché à son poignet. Elle était venue se ficher sur moi. Cinq minutes pour jouir, mais intenses, et qui concentraient sur peu de temps ce que nous déroulions plus lentement le soir. Elle s’était fait aller et venir sur moi, me frottant, m’inondant, jusqu’à ce que ma semence vienne taper contre mes parois intimes. Comme elle m’avait dit une fois ‘Tu es un vrai geyser’ et je l’avais bien remplie, suffisamment en tout cas pour que du sperme coule d’elle au moins toute la matinée, et lui rappelle ce moment.
J’en étais arrivé à un point où ces deux moments constituaient pour moi un réel point d’équilibre, donnant du sens à ma vie. J’aurais eu du mal à m’en passer. Et sans doute aussi à me passer d’elle. Nous étions de plus en plus proches. Outre ces soirées de sexe, et ces cinq minutes le matin, nous nous voyions tout le temps. Elle passait me voir toutes les deux minutes, sous des prétextes fallacieux, et même sans prétexte du tout et c’était pareil pour moi. On mangeait ensemble, on sortait ensemble.
Et il y a eu ce 5 heures 55 là.
Elle est arrivée comme d’habitude à 54. Hyper-sexy, encore plus qu’à l’habitude. Il fallait dire que sans doute même enveloppée par une serpillière, elle aurait été sexy. Une jupe courte, plissée, surplombant un nylon sombre et des cuissardes lacées noires, aux talons hauts et fins, avec en haut un top orange sous un blouson de cuir. Elle avait retroussé la jupette, pour me montrer qu’il n’y avait nul parement sur le devant, pour masquer son sexe, avant de se retourner. Ses fesses bien rondes, cambrées, tendaient le nylon. La lumière du jour qui débutait a fait étinceler quelque chose dans son sillon, m’intriguant. Elle me les a offertes et se penchant en avant contre le mur et en descendant le nylon. Ainsi courbée, elle me donnait une meilleure perspective sur l’espace de chair offert. J’ai vu une pastille métallique noire, qui masquait son anus, et j’ai compris qu’elle y avait fiché un anus plug.
Je me suis approché, me mettant à nu. Elle a tendu sa main vers ma queue, a fait quelques va-et-vient dessus, comme pour s’assurer de sa dureté, avant de la guider vers elle, et de me surprendre. Car elle ne l’a pas guidée vers l’ouverture large de son sexe, mais vers l’étroitesse de sa muqueuse anale, que je n’avais abordée jusqu’à présent que de la langue, bien qu’elle soit occupée par le plug. . Mais les temps changent. J’ai senti contre mon gland le morceau de métal. D’une contraction, elle l’a fait glisser, me révélant la forme de l’objet d’abord épais, puis qui s’affinait, et qui, dans le temps qu’il avait occupé sa chair, avait dilaté celle-ci, de telle sorte que l’accès était nettement plus facile. La muqueuse était bien ouverte, on en voyait les parois internes, roses et délicates.
Il y a sans doute eu quelque chose de très bestial, un désir cru, sans artifices, quand je suis venu en elle, pénétrant facilement parce qu’elle m’avait ouvert la voie. Elle a poussé une sorte de cri rauque.
–Remplis-moi et fouille-moi. J’ai envie de bien te sentir dans mon cul.
Il y avait quelque chose de très animal dans ce moment, dans la manière dont je l’ai fouillée, allant et venant en elle, avec cette nouvelle expérience de sentir une muqueuse plus étroite m’enserrant, et ces brèves captures visuelles renforçant mon excitation, sa muqueuse dilatée dans laquelle je sortais presque avant de rentrer à nouveau, ouverte comme je ne l’avais jamais vue ouverte, et plus bas, son sexe qui s’était en peu de temps dilaté, ouvert, je ne l’avais jamais vu s’ouvrir aussi vite, c’était sans doute à la mesure de la force de son excitation. Une excitation partagée. Je crois bien qu’on avait jamais été excités sur le coup de 5 heures 55…J’en ai eu la preuve quand on a crié, moi en jouissant, elle en sentant le sperme venir cogner contre sa muqueuse.
Contrairement à ce qui se passait quand je sortais de son vagin, il n’y a pas eu une seule goutte de semence qui a coulé quand je me suis retiré de l’anus qui s’est lentement refermé, alors qu’elle se réajustait.
Elle m’a souri.
–Ça sera mieux que d’habitude ; Le temps que ça sorte, il y en a pour toute la journée. Une journée entière de plaisir à repenser à ces cinq minutes. En attendant une soirée ensemble.
Nos bouches se sont rapprochées. En reculant, elle m’a dit :
–Ce soir, pour changer, on pourrait peut-être dormir ensemble chez l’un ou chez l’autre. Qu’est-ce que tu en dis ?
Un engagement supplémentaire.
Elle a rajouté :
–Même si on se réveille dans le même appartement, on aura toujours notre moment de 5 heures 55, rassure-toi.
Elle s’est éclipsée, ses talons claquant sur le sol. Je l’ai suivi de quelques secondes, le temps de fermer l’appartement, avec l’image du sperme coulant par intermittences de sa muqueuse anale me tournant dans la tête.
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