Les nouvelles aventures d’Albert le pervers

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LES NOUVELLES AVENTURES D’ALBERT LE PERVERS

La vie continuait. Au salon, Albert, quand il n’y avait pas de cliente, essayait toujours de me coincer dans un coin pour me baiser.

Comme Norbert me l’avait précisé, je refusais, lui accordant seulement une pipe de temps en temps.

Je souffrais de cette situation, j’avais envie de sa grosse bite ailleurs que dans ma bouche, mais j’avais promis d’obéir en toute chose à mon époux.

Un soir, Norbert me dit :

Tu vas inviter Albert et Marie-France dimanche.

J’essayais de savoir ce que mon époux avait en tête, mais il resta bouche cousue.

Le dimanche arriva. Norbert avait choisi ma tenue. Kilt court, chemisier transparent, qui ne tenait que par deux boutons. Bas, escarpins, et bien sûr pas de dessous comme d’habitude.

On sonne. Je vais ouvrir.

Albert me regarde étonné de ma tenue, Marie-France encore plus, bien qu’elle-même soit vêtue de façon sexy. Mini-jupe, tee-shirt très décolleté.

Nous passons au salon.

Norbert avait préparé un punch très corsé. Discussion, un deuxième verre, Marie-France se laisse un peu aller. Elle rit à toutes les blagues de Norbert. Celui-ci se penche à son oreille pour lui dire je ne sais quoi, nouvel éclat de rire.

Albert regarde, étonné, il ne dit rien, mais il m’interroge du regard.

Je me laisse aller en arrière, contre le dos du fauteuil, j’écarte les cuisses en lui souriant. Il a une vue imprenable sur mon con qui baille, humide de cyprine.

Nous passons à table.

Je m’installe à côté d’Albert, Norbert près de Marie-France.

Le repas se déroule de la même manière, Norbert rempli le verre de Marie-France, il est sans cesse penché vers elle, lui murmurant à l’oreille des trucs osés je pense, car Marie-France rougit en jetant un œil vers Albert.

Norbert a passé son bras autour du cou de Marie-France, sa main descend vers son décolleté, il s’introduit sous le tee-shirt, sa main a atteint le sein, Marie-France sursaute, mais elle ne dit rien. Je sens Albert se raidir, alors ma main disparaît également sous la table, je m’empare de sa bite et lui murmure à l’oreille

Chut chéri, laisse faire.

Norbert caresse le sein de Marie-France, elle a fermé les yeux, mais ne dit rien. Norbert lui murmure quelque chose à l’oreille, elle refuse, Norbert insiste.

Alors, elle se trémousse, ses mains ont disparues sous la table, elles réapparaissent. Marie-France à sa culotte à la main, Norbert s’en empare, il la sent.

Tu sens bon.

Sa main disparaît sous la table, Marie-France sursaute.

Tu as bon goût.

Albert n’en croit pas ses yeux. Voire Marie-France s’abandonner de la sorte, il n’y aurait jamais cru. Cependant que peut-il dire, après ce que nous faisons ?

Norbert se lève

Tu viens chérie, nous allons préparer le dessert.

Direction la cuisine. Nous préparons ce qui sera le clou de la journée, le dessert.

Retour dans la salle à manger.

Sous les yeux ébahis de nos invités, le dessert apparaît.

Imaginaient :

Une table roulante, assez grande pour que je puisse allonger dessus mon mètre 55.

J’y suis, entièrement nue. Norbert a recouvert mes tétons et ma chatte de crème chantilly.

Le dessert vous plaît ? A toi l’honneur Albert.

Celui-ci ne se fait pas prier, il vient vers moi. Sa bouche se pose sur ma poitrine, il suce mes tétons, dévorant la chantilly. Je suis très sensible des seins, ces premières caresses me font déjà mouiller.

Mes cuises s’écartent. Albert s’attaque alors à mon con. Sa langue s’introduit entre mes lèvres, absorbe mon jus mêlé de chantilly, remonte vers mon clito, je n’en peut plus, je m’écarte au maximum, lui offrant ma chatte, j’ai envie de sa bite. Mais Norbert en a décidé autrement.

Il écarte Albert, me remet une dose de chantilly.

A toi Marie-France.

Celle-ci hésite.

Vient goûter au dessert, je suis sûr qu’il va te plaire.

Albert l’encourage. Alors elle s’approche timidement de la table. Sa bouche se pose sur mes seins, sa langue parcourt mes tétons, léchant la chantilly. Elle veut se relever, mais Norbert dirige sa tête vers ma chatte. Après une hésitation, timidement sa langue vient lécher ma moule. Puis elle s’enhardit, elle me fouille le con avec passion. Je m’écarte pour mieux m’offrir. Oh, qu’elle est bonne cette langue qui s’insinue partout, cette bouche qui me suce le clito.

Albert ne tient plus, il me présente sa bite que j’absorbe avec délice. En attendant de l’avoir dans ma chatte, je veux bien le sucer.

Marie-France est toujours inclinée sur ma chatte. Il y a longtemps qu’il n’y a plus de chantilly, mais elle continue de me bouffer la moule avec entrain.

Norbert en profite, il se place derrière elle, la saisit aux hanches, et l’empale d’un coup. Elle est tellement mouillée que la bite s’enfonce jusqu’aux couilles. Marie-France pousse un cri de surprise et de plaisir, mais elle reprend vite ma chatte.

Ainsi, sous les yeux d’Albert, qui ne s’attendait pas à cela, Norbert défonce la chatte de sa petite amie.

Norbert s’active dans la chatte de Marie-France, je m’active sur la bite d’Albert. Nous sommes partis pour un après-midi mémorable.

La langue de Marie-France me fouille le con. Il y a longtemps qu’il n’y a plus de chantilly, mais la salope y a pris goût. Sa langue se glisse entre mes lèvres, elle aspire mon clito, je ne vais pas tarder à jouir, Albert aussi est au bord de l’explosion. Je sens sa bite enfler, son foutre jaillit et m’envahit la gorge, j’avale consciencieusement, mais j’en garde un peu, saisissant Marie-France par les joues, je m’approche d’elle, mes lèvres se posent sur les siennes, elle les écarte pour répondre à mon baiser. Alors, je laisse couler dans sa bouche le sperme d’Albert que j’ai conservé. Marie-France est surprise.

Avale le foutre de ton mec.

Elle déglutit et avale. Ceci déclenche son orgasme, provocant celui de Norbert qui crache son foutre au fond de la chatte de sa maîtresse.

Nous sommes momentanément repus.

Albert contemple Marie-France. Elle est un peu honteuse de s’être laissé aller de la sorte. C’est à moi de la maintenir dans ces bonnes dispositions, car la journée n’est pas terminée.

Je la prends par les épaules et l’attire vers moi. Pour maintenir son excitation, ma main se pose sur son sein.

Tu sais Albert me baise depuis quelques temps déjà, et regarde mon homme, il n’est pas jaloux, au contraire, alors je crois qu’Albert va accepter de te voir baiser avec d’autres, et prendre ton pied. Je vais m’occuper de toi.

Marie-France est encore un peu réticente, mais je la sens frémir entre mes bras. Comme moi c’est une chaudasse. On va pouvoir en tirer quelque chose.

Nos mecs recommencent à bander.

Deuxième étape. Marie-France, comme moi, il y a quelques temps, refuse de sucer, alors je lui demande de sucer Albert. Elle refuse d’abord, mais j’insiste, alors timidement, elle approche sa bouche du braquemart de son mec, elle pose ses lèvres sur le gland, Albert est heureux, il va enfin pouvoir cracher son foutre dans la bouche de sa dulcinée. Marie-France ouvre les lèvres, elle engloutit la bite de son amant. Je lui prodigue mes conseils. Peu à peu elle s’enhardit. Sa langue parcourt la queue, elle lèche le gland, ses lèvres coulissent le long de la colonne. Albert est aux anges, mais il est tellement heureux de baiser la bouche de sa petite amie, qu’il ne résiste pas longtemps, je le vois se crisper, alors je maintiens la tête de Marie-France :

Avale tout

Ce qu’elle fit courageusement. Albert l’embrassa tendrement. Norbert bandait toujours, la bite à la main il attendait son tour.

Marie-France, il te reste une dernière épreuve, tu seras ensuite prête pour devenir une vraie petite salope. Norbert va t’enculer.

Non pas cela. C’est sale et cela fait mal.

En amour rien n’est sale. De plus Albert n’attend que cela, pouvoir t’enculer, mais comme il est un peu gros, il faut préparer ta rondelle. Tu verras, avec Norbert cela va bien se passer. Il te faudra un peu de temps pour être bien ouverte, mais je vais m’en occuper. Tu sais, moi, pour ma première fois, c’est toute une caserne de pompier qui m’est passée dessus, j’ai vite été ouverte.

Norbert me regarda, l’air abasourdi, je ne lui avais pas encore tout raconté Il faudra que je lui fasse lire mes textes.

Marie-France fini par se laisser convaincre. Je l’installais sur le canapé, à genoux. Je lui écartais les cuisses, sa chatte était encore béante, je crois que, malgré son appréhension, l’idée de se faire enculer la faisait mouiller. Je lui léchais sa rondelle, la mouillant copieusement, j’y introduis un doigt, puis deux, les faisant tourner pour agrandir sa rosette. Norbert présenta sa bite à la future enculée.

Mouille la bien.

Marie-France ouvrit la bouche, s’empara du braquemart de mon homme, le deuxième qui franchissait ses lèvres.

Elle l’humecta abondamment.

Norbert se positionna, il posa son gland sur la rosette, et, sous les yeux d’Albert, il entreprit d’enculer sa petite amie.

Marie-France se raidit.

Ne résiste pas. Pousse comme si tu voulais chier.

Le gland franchit l’obstacle, la queue suivit. Norbert état tout entier dans le cul de la belle. Marie-France avait poussé un léger cri, plus de surprise que de douleur. Norbert entama son va et vient,

Marie-France commençait à pousser des râles de plaisir. Elle allait au-devant de cette bite qui la défonçait. Soudain, Norbert se tendit, il lâchait son foutre qui inondait les entrailles de la belle enculée.

Alors Marie-France poussa un cri de jouissance.

C’était fait. Norbert avait baisé et enculé la petite amie d’Albert. Ils étaient quittes. L’avenir se révélait radieux pour nos couples. Il fallait encore faire de Marie-France une vraie salope, mais ça, c’était mon job.

Nous proposâmes à nos amants de passer la nuit à la maison. Le lendemain nous ne travaillions pas, à part Norbert, et je voulais aller faire quelques emplettes avec Marie-France, et autres choses, mais cela fera l’objet d’un autre récit. 

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