C’est au moment de la pause du milieu d’après-midi que je suis parti pour le service de comptabilité. L’image des seins de Katia m’obsédait.
J’ai commencé par me perdre dans les couloirs, avant d’arriver, sans savoir trop comment, devant la porte marquée finances/comptabilité. Un peu mal à l’aise, j’ai poussé la porte, passant devant plusieurs bureaux, occupés. Elle a surgi du dernier, ses seins tendant l’étoffe de son corsage, je me suis dit que j’avais bien fait de venir même si ç’avait été difficile. Elle m’a fait un sourire d’encouragement.
—Viens, on va s’isoler.
Ce que j’ai appris dans les jours et les mois qui ont suivi, ça a été que les lieux, en ne mentionnant pas ceux que nous étions entrain d’élaborer, qui ne l’étaient que potentiellement, étaient non seulement labyrinthiques, mais aussi qu’ils se découpaient en une multitude de pièces qui permettaient une occupation très diverse des lieux. Il y avait donc cette partie bureau, et au-delà, une sorte de no man’s land, un dédale de petites pièces qui étaient connectées les unes aux autres, où il y avait de tout, des objets à utiliser, des archives, un coin pause…Je me suis demandé comment il était possible de s’adonner à des actes sexuels aussi tranquillement, puis j’ai compris que les filles, qui devaient toutes en profiter, devaient avoir un code entre elles, et qu’elles évitaient de se rendre dans ces zones quand l’une d’entre elles s’y rendait. A moins qu’elles n’aient envie de quelque chose à plusieurs.
Dans un réflexe, j’ai tendu la main vers son jean, mais elle m’a repoussé.
—Je veux bien te donner mes seins, mais pas ma chatte. Elle est réservée à mon mari. Il a un gros bide, il passe son temps à boire de la bière en regardant des matchs de foot, il me baise une fois par mois, quand il y arrive, mais je suis fidèle. Alors j’ai envie de sexe, et puis les copines m’ont entrainé, mais ça passe pas par ma chatte…
—Tes seins me suffiront, je lui ai répondu. Ils sont vraiment magnifiques.
Elle a fait glisser son corsage, et ils ont jailli à l’air libre, ronds, fermes et volumineux. Elle en semblait très fière, et elle a eu un petit rire en mettant ses mains en dessous, en coupe, et en me les offrant. Je suis venu les toucher, ils avaient une peau douce, puis j’ai agacé ses tétons de l’ongle. Ils se sont durcis sous mes yeux, la faisant gémir.
—On pourrait me toucher les tétons pendant des heures, je crois que je ne m’en lasserais jamais…C’est la partie la plus sensible de mon corps, je pense, même plus que mon clito…
Ils avaient en tout cas une belle capacité érectile. Après les avoir travaillés du doigt, je suis venu dessus de la langue, les frottant avec intensité.
—C’est bien, elle m’a dit. Tu vois, la plupart des hommes veulent que je les fasse jouir avec mes seins, sans se soucier de ma jouissance à moi. Je crois qu’on se reverra. Et que ça mérite une récompense…De toute façon j’avais envie, comme tu me plais…
Je ne voyais pas trop où elle voulait en venir, j’ai compris quand elle a défait sa ceinture, puis le bouton qui tenait son jean, pour tirer celui-ci bas, et dévoiler une culotte blanche en coton qui a suivi le même chemin. Elle était charnue, avec quelques kilos en trop d’évidence, mais ça lui allait bien. Elle m’a défait et elle a sorti ma queue de mon pantalon, en complimentant:
—Tu as une belle queue…
Puis elle a guidé mon gland vers ses lèvres et elle les a frottées avec. On s’est arrosés mutuellement de nos jus intimes, sa chatte ruisselant sur mon gland, tandis que mon liquide pré-sécrétif trempait ses chairs.
—Attends, il faut que je prenne ce qu’il faut….J’ai pas envie de me retrouver en cloque à 44 ans…
Je me suis détaché, la regardant faire quelques mètres, sa croupe charnue ondulant sous mes yeux, pour attraper une boite d’archives neutre sur une étagère. Elle en a tiré un préservatif emballé dont, deux minutes plus tard, elle me gainait. Elle a remonté sa jambe sur le côté, et j’ai poussé ma queue en elle. On a regardé le membre aller et venir dans la muqueuse chaude et souple.
—J’ai bien fait d’accepter, ça me fait du bien…Ta queue me fouille bien…Si seulement mon con de mari pouvait en faire autant…
Je me suis dit que j’avais de la chance qu’elle m’ait accordé ce privilège. Même si au départ, je m’étais plutôt vu jouir sur ou entre ses seins. Mais il y a toujours une part d’imprévu dans une relation.
Elle m’a dégagé de son ventre, pour se retourner et se plier en deux sur la table. J’étais fasciné par sa croupe, charnue et rebondie, un écho de sa poitrine. Son sexe était bien ouvert, et je m’y suis glissé sans problème, la fouillant et la faisant gémir.
—Il faudra que tu reviennes…Il n’y a qu’à toi que je donnerai ma chatte. Si tu en as encore envie.
Ce dont j’avais surtout envie à ce moment précis, c’était de jouir, et je me suis retiré d’elle pour arracher le préservatif et venir cracher ma semence sur sa croupe. Plusieurs traits de sperme sont partis transversalement, l’un d’entre eux venant se caler en haut de sa raie, coulant le long du sillon gravé dans ses chairs.
Pendant qu’elle s’épongeait avec de l’essuie-tout, je suis reparti sur le chantier.
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