Anouche cherche ses orgasmes (3)

Anouche cherche ses orgasmes (3)

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maxime



ANOUCHE CHERCHE SES ORGASMES (3)

Le bas de Rose refuse toujours de s’accrocher et cela donne à François cinq minutes de film supplémentaires. Il s’approche plus près du miroir pour ne rien perdre de la scène. Il perçoit le murmure de la voix de la jeune fille.

Des nylons à ce prix ! Vraiment, c’est de la cochonnerie ! Punaise, ce n’est pas vrai : encore envie de pisser, je ne peux pas traverser le couloir pour aller aux toilettes, cela me ferait passer nue devant François ! Oui, dans la casserole du chien !

François entend le jet violent de la pisse sur le fond métallique ! Pchhh ! Elle a des sacrées envies quand elle se masturbe, un véritable geyser transparent ! Il n’a jamais vu cela : c’est merveilleux pour lui, un peu comme un film pornographique en direct où il serait aussi acteur ! Il regarde, il parvient même à distinguer l’ouverture de la vessie tellement elle pousse ! Sublime ! Les garçons adorent regarder les filles faire leur pipi, pourquoi ? C’est comme ça, pour eux c’est un magnifique circuit, la chatte qui craque et s’écarte à ce moment, le vagin, puis la vessie qui laisse passer l’urine qui jaillit en force, il a le tout d’un coup, et gratuit en plus. Elle finit avec un soupir d’extase.

Le bas s’est déchiré, et elle se tourne pour en prendre un autre, avec ma caméra en main, je jubile ! Tel un forcené sur un travail, je suis la scène et je n’arrête pas d’appuyer sur le déclencheur : clic, clic, clic ! Rose se tient face à moi au moment où elle se glisse dans une jolie culotte à froufrou argenté, agrémentée de belles paillettes dorées. Je suis surpris et je me pose une question, pourquoi ne la remonte-t-elle pas complètement ? Elle la monte jusqu’à sa taille, mais se slip semble flotter et cela ne lui convient pas ! Elle la retire, se baissant de nouveau et elle en saisit une autre, recommençant le travail pour mon plus grand plaisir, et cela, trois fois de suite ! La lingerie étalée sur le lit pour choisir, elle ajuste ses nylons encore une fois, puis elle s’admire ensuite devant la glace de son armoire, mais elle s’est placée sur le côté, et il m’est presque impossible de voir cela. Huit bonnes et longues minutes viennent de se passer. La voilà qui retourne certaines de ces culottes et méduser, je comprends alors pourquoi plusieurs sont coupées en deux, juste au niveau de l’entre-jambe, bien ouverte au milieu ! C’est le travail de Rose dans la couture, je m’en doute : elle a rajouté deux boutons pour l’ouverture comme dans un body ! Cela pour une masturbation plus rapide à l’école ou en classe sans descendre son linge ! Elle fait aussi ce genre de boulot pour ses copines, cela moyennant une petite rémunération bien sûr, car c’est un travail ! Elle en adopte une de couleur noire, brodé rouge : très jolie !
Doucement ma jolie salope ! Ne va pas trop vite ! Ainsi, je peux faire regarder cette belle vidéo pour quinze euros à des centaines d’imbéciles ! Allez, mets-moi ce beau soutien-gorge sur tes beaux melons ! Quels fruits magnifiques que tu as là !

— Tout va bien François ? Je ne t’entends pas : tu peux prendre un café !
Pour répondre à la question de Rose, et pour ne pas que la jeune fille entende le son de sa voix trop près de la porte de sa chambre, je suis obligé de faire une petite marche arrière rapide dans la cuisine, je bouscule une chaise qui fait un bruit d’enfer.
— Oui, prends ton temps, je regarde une publicité !

Je suis en ébullition, et je réfléchis au moyen de coucher Rose dans le lit : sans la forcer !

Je me tâte les boules qui se sont de nouveau remplies de sperme, et je sens mon pénis qui remonte avec plaisir. Quant à Rose, je la vois qui soupèse ses seins, toute fière, elle finit par les sucer, et comme toutes les filles, elle pelote et touche la masse de chair, elle tâte quelques minutes pour déceler les imperfections qui peuvent se trouver là ! Je bande de nouveau à fond, je sors ma bite au dehors du pantalon, pour la rouler sous ma main sur la table en regardant le miroir ! Comment faire pour qu’elle dise oui ?Je la vois assise sur le bord de son lit avec son chien, avec qui elle vient d’entamer une discussion. Elle le caresse pour lui dire.

Mais non, je ne t’engueule pas, après tout, tu n’es qu’un petit chien de compagnie qui adore ma chatte et qui en aime l’intérieur. C’est certain, tu ne peux pas me donner d’orgasme, tu n’es pas fait pour cela, et puis, je ne suis pas zoophile, c’est dégoûtant cela. Tu aimes ma cyprine ? Bon, disons alors que je te fais une petite gâterie parce que tu n’as jamais eu de femelle ! Si cela te convient comme plaisir, tu lèches bien, et je t’en fourni chaque fois que tu en a envie, d’accord comme cela ? je ne suis pas empoisonné, et dès que je mouille, tu auras ta part, c’est promis.

C’est à ce moment que François décide de se lancer pour pouvoir la baiser, il se racle la gorge pour que Rose l’entende, juste à l’instant où elle passe son soutien-gorge, elle se redresse soudain pour voir son propre reflet à demi-nu dans le miroir de la porte ! Elle fronce les sourcils, se demandant alors si le garçon a vu son image au moment où elle passe son slip, ou quand elle se masturbe ? Il a suivi la scène ? Elle se rapproche sans bruit vers le couloir pour regarder la glace. Elle pousse un soupir, exhibitionniste elle-même, cela la tranquillise,car il reste l’amoureux de sa meilleure amie ! Elle ne veux pas qu’il lui raconte certaines choses !

Non, il n’a rien pu voir dans le reflet, et puis même ! Rose le contemple, il est tranquille, le nez dans les prospectus ! En allant aux toilettes, elle l’aurait aperçu tout de suite ! Sa copine lui a dit que François est un garçon sérieux, il n’est pas censé faire des choses de ce genre, lui et Mouni ont quand même des idées à part ! Mouni lui a fait comprendre en lui dévoilant ses photos privées déposées sur son ordi !
Rose se dit que quand on vit seul, on garde de mauvaises habitudes, comme se branler n’importe ou quand l’envie nous prend ou se promener toujours nue partout dans la maison ! Mais voilà mon excuse, pense Rose : maman aussi se masturbe dans la salle de bain devant moi quand elle le désire, et cela, avec de grands bruits, elle aussi se balade toujours nue au moment de faire sa toilette ! Souvent, par jalousie de ne pas pouvoir atteindre l’orgasme, Rose lui demande quand elle sort de la salle de bain : ça fait du bien ? Un jour en train de regarder des photos pornos sur l’ordi, sa mère se branle au moment où sa fille mange, Rose se lève prise par le spectacle de sa mère, elle l’accompagne dans la danse ! Mouni a surgi à ce moment, elle vient lui rendre visite, prise par l’envie en regardant sa copine et sa mère, elle soulève alors sa jupe pour retirer un petit slip rouge : je peux venir avec vous demande t-elle alors timidement ? Sans attendre la réponse, la voilà qui se lance avec eux dans cette merveilleuse branlette à trois ! La fin : elles se sont sucées une par une en soixante-neuf, et comme sa mère est une grande crieuse dans l’amour, il y a eu du bruit ce jour-là dans l’appartement.

Je dois fermer la porte pour passer une robe : un mec ça s’excite vite pense Rose ! François se dit au même moment : bientôt elle sera comme sa mère : cette bonne grosse mature bien roulée doit être ravissante nue, avec un cul sublime, sûrement même mieux que la fille ! Avec ce qu’il faut où il faut de chair, le cul comme les seins, avec des jambes bien rondes ! Pris par ses folles pensées, l’érection de François s’intensifie, il se rappelle à présent avoir vu le cul de la mère une fois en grande surface « pas de slip » et la chatte pas rasée cette bonne maman, le fruit défendu comme perdu au milieu des poils, comme une forêt de vieux pins ! François a un morceau de ferraille dans le pantalon, il bande plus à présent, c’est un peu comme un vrai cheval.
François s’avance de nouveau pour essayer de discerner le reste, la porte se referme, lentement… Il la pousse doucement, et ce qu’il voit le fait avaler de travers ! Après avoir passé
un beau soutif, la voilà qui s’allonge sur le lit les yeux fermés, elle remonte pour écarter ses jambes, comme un ciseau ouvert ! Ainsi posé, l’ouverture vaginal semble énorme, elle se glisse un tampon de grosse taille dans la chatte, elle le pousse bien à fond avec un râle de plaisance. Rose le retire et le jette sur le sol, elle recommence dix fois de suite au moins, chaque fois qu’elle le sort, c’est lentement avec un : eunnnn! de plaisir ! Une douzaine de tampons se retrouvent ainsi sur la moquette !

Elle tire fermement sur le capuchon de la peau qui protège son clito, une chose qu’elle ne fait pas souvent, cela lui cause des douleurs, mais là, elle le sent plus gros que d’habitude ! Elle regarde dans le miroir qu’elle tient en main, il ressemble à une petite saucisse violette, grosseur : comme le pouce, longueur cinq à six centimètres au moins ! Bien rond, elle le sort patiemment du clito, un peu comme un gland qui sort d’un pénis, elle l’a rendu extrêmement sensible par ce qu’elle vient de lui faire subir ! Elle serre les dents pour supporter les picotements, et les décharges électriques qu’elle ressent : Rose en tressaute sur le lit, et pousse un cri de douleur. Elle si prend mal pense François, j’en suis certain, laisse-moi te décalotter cela et tu verras !
Malin, il
tousse volontairement plus fort encore une fois, bien décidé à se faire entendre par la jeune fille qui tourne la tête, pour voir le reflet de François qui la regarde ! Elle se lève d’un bond pour sortir de la chambre à demi-nue, et elle saisit brutalement le jeune homme par les cheveux, pour le secouer avec violence.
— Espèce de sale petit voyeur, depuis combien de temps me regardes-tu ? Tu m’as espionné depuis le début ? Je vais raconter toute cette histoire à tes parents ! Tu regardes aussi ta vieille se branler ? Si tu l’as fait pour moi, tu dois aussi le faire pour elle : tu n’as pas honte ?
Je l’engueule, mais en fin de compte, je suis contente que se morveux m’ait espionné ! À l’école, j’aime écarter les cuisses sur les bancs de la cour pour exposer mon slip devant les yeux des mecs : agréable pour moi et pour eux  !
— Ne crois pas une chose pareille ! Je t’en prie ne fais pas cela, hurle François qui fait semblant de pleurnicher : il veut à tout prix la conquérir, car il a compris le problème de la fille, il va coucher avec, et lui donner l’orgasme qu’elle attend depuis longtemps.
Une énorme bosse déforme le pantalon du garçon qui est en pleine érection, et elle voit que son froc est tout mouillé, elle comprend alors que François s’est masturbé aussi. Elle le prend par la queue qui glisse sous sa main, encore mouillé par le sperme ! Pour la première fois de sa vie, elle lèche ses doigts avec plaisir,
tu t’es branlé en admirant ma chatte ? C’est bien, petit dégueulasse lui dit-elle.
— Oui ! je me suis branlé quand je t’ai vu le faire ! Tu es trop belle quand tu pisses, et comme tu mouilles, c’est magnifique chez toi, c’est un merveilleux plaisir pour tous que tu donnes là, tu es belle comme une reine, je voudrais goûter encore plus, voilà tout, laisse moi sucer ! Mouni ne coule pas comme cela, elle est sèche, et elle refuse souvent que je la prenne en bouche. Tu es belle et séduisante !

Ce jeune troue du cul veut me sucer, et après tout pourquoi pas se dit Rose ? Il faut bien commencer un jour avec un mec ! Je me redresse fièrement sous les compliments de François, et il me vient alors une idée : Mouni t’a déjà dit que j’ai du mal à jouir ? Nous allons faire un accord :si tu réussis à me faire disposer d’un bon orgasme, je ne dirais rien à tes parents !

Oui, j’ai vu ! Moi, j’y parviendrais lui répond François, et toi, tu auras le premier orgasme de ta vie. Ensuite, tu viendras me dire merci.

Impossible lui dit-elle d’une voix moqueuse ! Je ne peux déjà pas toute seule, tu la vue ? les personnes qui m’ont aidé non plus d’ailleurs, et toi, tu vas y parvenir ? Allez, laisse-moi rire ! Tu te tournes des films ! Étale-moi ta queue, et tes bijoux de famille que je regarde ton attirail de combat ! je lui fais tomber le froc pour lui saisir les couilles à pleines mains, je les malaxe doucement et tendrement ! 

Tu les aimes demande le garçon qui se tient les jambes écartées, les mains posées orgueilleusement sur les hanches ?

Sur les photos que Mouni a laissé visionner à Rose, elle déjà vu le sexe du jeune garçon, mais en réel, il présente autre chose, elle en a le souffle coupé ! Il est dur, et protubérant, avec des boules énormes, mais combien il mesure ? C’est dingue chez un mec aussi jeune que lui, sa bite est longue pour son âge, c’est incroyable ! Ne bouge pas, et elle se saisit de son mètre ruban de couturière, pour lui mesurer le pénis ! 19 cm et quand il durcit à fond, c’est 20 cm ! Tu n’auras bientôt plus la place qu’il faut pour le cacher dans ton pantalon ! Allez, au travail mon cher, à genoux à présent, je le veux ! Suce-moi ! Tu as intérêt à me faire cela bien sinon… Attention à tes dents s’il te plaît, je ne veux pas d’égratignure sur ma chatte, douceur et délicatesse. D’abord, tire sur le fil de mon tampon et retire-le ! J’aime quand cela glisse lentement, c’est bien meilleur de cette façon, ne te comporte pas comme un sauvage, c’est comme dans la chanson Déshabillez-moi.

A suivre

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