« Baiser ! Baiser ! Baiser ! Me faire bourrer le cul ! » tournait en boucle dans sa petite tête frustrée de n’avoir pu défoncer ce con. Il lui fallait de la viande, des tu l’aimes mon cul ma chatte ma bouche à pipe. Elle se savait proche d’un boxon où Paul allait de temps en temps se faire bouffer la bite et doigter le cul.  Un boxon mixte. Elle accéléra le cul. Les néons, folles enseignes de toutes les couleurs, irisaient sa tête. Tout en marchant, elle se repassait les mots de Paul à faire mouiller une enfant de deux ans. Une usine à mouille. Un supermarché du fion. De la baise de chez baise. 

Assisse dans un large fauteuil devant un grand écran sur lequel la matrone faisait défiler des offres. Avec des numéros. Comme au restau, pensa-t-elle en suintant du cul tant elle avait envie. Jeunes, vieux, grosses gros, maigres, jaunes, noires & noirs, blancs de blancs. L’embarras. Elle était paumée. Perdue de gourmandise.

Sur l’écran, ça se présentait comme un site porno sur le net, des petits films de quelques minutes, montrant le désir en chair et en pixels. 

Elle passa ses jambes de chaque côté des accoudoirs. Sa chatte verrait mieux en se branlant, on perçoit un objet quand on sait s’en servir, disait l’autre. Go !

Un gros blond en pyjama bleu électrique assis sur un canapé moche, il enlève son pantalon et découvre deux cuisses larges comme quatre jambons, sa bite est banale sans poils ou quasi et très peu parlante, moyenne, il se met à genoux sur le canapé pour se montrer, c’est mieux,  sa bite en érection face caméra. Il bande con, sans entrain. Prépuce calotté, décalloté. Bof ! Elle démouille. Il se retourne, et présente son cul à l’objectif, ce n’est pas un cul, c’est une immensité de viande, énorme, un animal blanc gélatineux, la raie est comme mangée de chaque côté par des traces noires, des nervures très fines qui l’irriguent, il continue de se branler en poussant des cris, des souffles, la bite qu’elle devine pleine main verse son foutre sur le canapé… Il pète en même temps !

Le deuxième est couché sur un lit défait. Il relève son T-shirt blanc sale, on voit son torse imberbe. Il est jeune. Ado. Il masturbe son caleçon. La caméra resserre, filme sa main sur le tissu vert céladon. Il pousse des petits cris d’animaux traqués, pris au piège, victime. Son calfouette est trempé à l’emplacement de la bite, une grande tâche qui court sur plusieurs centimètres, il passe ses mains à l’intérieur, et en retire du foutre gluant sur le bout du doigt qu’il porte à sa bouche, une sauce onctueuse made in odor di mascula 

Un gros noir ligoté et bâillonné, à genoux sur une moquette blanche où trône un grand canapé gris, il gigote comme un fou, porte un chemisier blanc, une jupe noire (!) et des collants noirs (!). Il est habillé en gonzesse ! Les liens passés de part et d’autre de ses miches les font ressortir sous le chemisier tendu à craquer, c’est un peu long, quelqu’un va-t-il venir l’enculer, le branler, le battre ? Non, ça dure, on n’entend que sa pauvre douleur étouffée par le bâillon, c’est tout ! 

Une bite en gros plan, une bite géante que le mec masturbe entre ses deux doigts. Une vraie bite ! Mafflue, large comme la tête d’un être venu d’ailleurs. Brrrrr !  Il jouit sur l’objectif. Épais. Ça dégouline ! Elle aussi, sa chatte mouille grave. Ses doigts sur le clito. Elle est au bord du jouir. Elle met cette grosse bite de côté dans un coin de sa tête. Et elle passe chaude au suivant.

Ils sont deux nus sur un lit, un blanc et un jaune.  À poil ! Le blanc couché sur le ventre lèche les pieds d’un jaune couché sur le dos. Une pute entre dans le champ et vient s’allonger entre eux de façon à se faire branler par les pieds de l’asiate et sucer le cul en même temps par le blanc qui pompe avec vigueur.  La girl dont on ne voit pas le visage, mouille à donf ! Le jaune commente en gloussant, la langue passe de la chatte aux pieds et court sur la cheville de la fille qui miaule comme une bête. Son cul est dévoré ! Sa chatte hurle cyprine.  Puis ils manœuvrent autrement. La pouffe suce le jaune pendant que le blanc l’encule.  Ça jouit de partout ! Des yeux fous de foutre dans le cul et hors du cul, les bouches nettoient tout, les bites, les couilles, les orteils, les culs. Celle qui regarde n’en peut plus. Elle appelle la matrone. Elle veut ! Illico !

 

À suivre…

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