Big and beautiful partie 3

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frederic mancini


cuni


Notre relation s’est finalement développée sur deux rails. On s’entendait très bien et on passait pas mal de moments ensemble. En toute amitié. Et puis il y avait le sexe à côté.

Sur le site du centre, il y avait un accès aux emplois du temps de tous les professeurs. Il fallait croire que Joëlle y avait jeté un coup d’œil. Quand j’avais une heure de battement, je la trouvais sur mon passage, et son regard brillant me disait clairement ce qu’elle venait chercher. Mais j’avais autant envie qu’elle. Une sorte de drogue, pour ainsi dire. J’étais accro à ses formes pleines, qu’elle me laissait regarder, caresser, prendre dans mes mains. Rien que ça, sans parler du reste, suffisait à me procurer une félicité sans bornes. J’aimais voir ses seins volumineux, fermes et fiers, avec leurs aréoles bien roses, et leurs tétons qui semblaient ne jamais devoir cesser de durcir et de s’allonger, ses fesses dont mes mains ne prenaient qu’une partie, cette taille certes marquée de bourrelets, ces hanches larges, ce sexe volumineux, ultime offrande, excitant et démesuré, renflement volumineux, lèvres très charnues, ce clitoris impressionnant, plus gros et plus long que certains micro-pénis, ces jus qui coulaient d’elle, abondants…Elle était tout sauf menue et c’était ça qui me plaisait. J’avais aimé des corps menus, mais aujourd’hui mes envies me portaient vers autre chose. Que les filles et moi nous nous soyons rencontrés était finalement un heureux hasard.

Et puis elle aimait le sexe, et elle avait un savoir-faire et une imagination, qui mêlés, donnaient des options qui ne pouvaient que rendre accro.

Elle arrivait vers moi, avec une seule phrase à la bouche.

–Viens, j’ai envie de sexe. J’ai envie qu’on s’occupe de ma chatte depuis ce matin.

Aux baies, trop dangereuses, elle préférait à présent des petites salles sans vitres dans lesquelles on pouvait s’enfermer. C’était un choix parfait.

Des moments précis reviennent. Jamais les mêmes.

Elle a remonté la magnifique robe, une de plus, qu’elle arborait, en satin, imprimée avec des dessins qui représentaient des cases de BD, dévoilant son corps, et son absence de slip. Elle avait un simple collant à même la peau, et j’ai tout de suite vu que l’état de son sexe disait bien son excitation, et qu’elle ne mentait pas. Son sexe était tout gonflé, et ses lèvres bien sorties d’elle, gorgées de sang. Son clitoris était aussi bien évident, et il n’était, je m’en suis rendu compte dans les minutes qui ont suivi, même s’il était déjà impressionnant qu’à une petite mesure de son érection. Le signe pourtant le plus évident de son excitation, c’étaient que ses jus coulaient d’elle, régulièrement, et qu’ils avaient trempé sa chair et le collant sur une large zone. C’était un filet constant, dont l’accumulation la marquait.

Même si j’avais voulu le nier, il m’apparaissait comme une évidence qu’elle me troublait et m’excitait, et je pouvais sans doute en dire autant de Myriam.

Elle s’est basculée, sur une table pour m’offrir son ventre. Sous cet angle, je voyais son sexe mieux que jamais, et j’étais totalement consumé par le désir.

–J’ai envie que tu me lèches la chatte. Et que tu la lèches bien. Pas quelque chose de bâclé. Que tu viennes sur moi et après en moi. Que tu rentres ta langue bien et que tu me caresses à l’intérieur.

Elle souriait, anticipant le plaisir. Je me suis approché d’elle, en pensant à un vers du poème de Baudelaire, LA GÉANTE. Parcourir à loisir ses magnifiques formes. C’était exactement ce dont j’avais envie, et pour l’éternité. Je savais que j’aurais du mal à être rassasié, et pour moi ce moment était un moment de bonheur et de plaisir.

Elle s’est soulevée pour me laisser lui enlever le collant. Je ne savais pas s’il s’agissait des terribles jeux dont parlait Baudelaire, mais c’était, en tout cas, des jeux qui me plaisaient. Elle s’est cambrée, pendant que j’attrapais le nylon autour de sa taille, et que je descendais le collant. L’odeur, forte, de ses sécrétions vaginales, m’est aussitôt montée aux narines. Une odeur poivrée, puissante, qui m’a fait tourner la tête.

Le collant est arrivé à ses genoux, et j’ai plongé sur elle.

Il y avait des filles qui n’aimaient pas les cunnis. Elles refusaient qu’un garçon puisse les lécher. Il y avait aussi des garçons qui détestaient faire ça à une fille. Moi, j’avais toujours adoré, à la fois parce que j’aimais donner du plaisir à mes partenaires, mais aussi parce que j’aimais avoir sous les yeux ce qui faisait l’essence d’une féminité, le sexe d’une femme. Et sans aucun doute, j’étais bien servi, avec ce sexe hors normes.

Je voulais lui donner le meilleur de moi-même. Je suis venu sur ses lèvres. Je les ai parcourues de ma langue. Le goût intense de ses sécrétions m’a envahi, qui ne venait plus me lâcher. Cette simple caresse l’a faite gémir, et ses jus sont devenus plus abondants. J’ai basculé sur une autre technique, venant les prendre entre mes lèvres. Lèvres entre lèvres, si on peut dire. J’ai tiré dessus. Elles étaient épaisses, avec une capacité d’extension, et saturées des liquides qui coulaient d’elle. Je ne devais pas être mauvais, car elle poussait de petits gémissements, quasi inaudibles, heureusement pour nous. Une lèvre, puis l’autre.

J’avais le corps et le ventre en feu. Je me suis défait, et j’ai trouvé, au bout de mes doigts, ma queue toute dure. Gorgée de sang. Je me suis caressé doucement pour m’apaiser, pendant que je remontais sur son clitoris. En quelques minutes, il avait pris du volume et de la longueur. J’ai tourné dessus de la pointe de la langue, mis j’avais un autre objectif. Tout comme j’avais enveloppé ses lèvres de ma bouche, mais autrement, je suis venu prendre son clitoris. Il m’a bien rempli la bouche. Une chair ferme et souple à la fois. J’ai fait aller et venir ma bouche dessus. J’avais eu, quelques minutes plus tôt cette pensée sans doute basique, qu’elle devait éprouver vu la taille de son clitoris, un plaisir trois fois plus intense que d’autres femmes. Je ne savais pas si c’était le cas, en tout cas elle était en plein nirvana, cambrée, elle aurait sans doute crié si on n’avait pas eu une sorte d’obligation de nous retenir, pour ne pas attirer l’attention.

Si j’étais troublé par elle, troublé par ce moment, je l’étais encore plus par le fait que ce clitoris, si différent de ceux que j’avais pu caresser jusqu’à présent, ressemblait à une queue. Ce n’était pas qu’il en avait la forme, ni la consistance, mais, dans sa manière de remplir ma bouche, il avait tout d’une queue. C’était un peu comme si elle avait été une fille spéciale, pourvue d’un double sexe, un vagin et une queue. Et spéciale, elle l’était de toute façon, par ses formes inusitées.

J’ai senti son clito grossir encore dans ma bouche. J’ai fini par le lâcher. J’avais d’autres plans en tête. Simplement réaliser ce qu’elle voulait.

Son sexe était largement ouvert. Dilaté d’excitation. On voyait parfaitement ses intérieurs, ses chairs intimes avec leurs creux et leur pleins, leurs replis et les parois délicates. Je suis parti à l’assaut d’elle, en regrettant de ne pas avoir une langue aussi longue que son clitoris. Mais je pouvais quand même me débrouiller pour la caresser efficacement. Ca a semblé faire monter son plaisir de plusieurs crans.

Elle inondait ma bouche de ses jus intimes, et après avoir dit :

–Je crois que je vais jouir !

Elle s’est tendue et a craché plusieurs jets de liquide qui m’ont explosé au visage.

Elle avait bien remarqué que je me caressais. Il était fort probable que je me finisse, désireux de soulager les tensions qui traversaient mon corps, mais ça ne s’est pas passé comme ça. Elle m’a dit:

–Viens, je vais te faire jouir comme aucune femme ne t’a fait jouir.

C’était sans doute ce que j’attendais d’elle, tout comme de Myriam par la suite. Un plaisir autre que celui que j’avais pu connaître de par le passé, même si j’avais déjà eu des partenaires corpulentes. Aucune en tout cas qui ait un tel goût du sexe.

Je n’ai pas oublié le moment qui a suivi, parce qu’il était excitant au possible. Je l’ai d’ailleurs quémandé encore plusieurs fois, ou bien elle me l’a donné sans que je lui réclame. C’était bon au possible, intense au possible, chaud au possible.

Toujours allongée, elle m’a guidé jusqu’à ce que la tête dilatée de ma queue soit toute proche de son clitoris, qui, même si elle avait joui restait figé dans la plénitude de sa dilatation maximum. Il y a eu quelques secondes de répit, puis un premier contact. Tenant bien ma queue, agitant son bassin, elle est venue frotter la tête de son clitoris contre mon gland. Juste avant que sa chair ne rentre en contact avec la mienne, elle m’avait dit :

–Surtout, ne jouis pas tout de suite.

Au premier contact de la tête de son clitoris moi, j’avais cru qu’un courant électrique de 300 000 volts remontait dans mon corps. C’était la première fois qu’une fille me faisait ça, et c’était du plaisir à l’état pur.

J’étais partagé entre deux forces contraires. L’une qui me poussait à jouir, tellement c’était bon et excitant de sentir sa chair tourner sur moi, caresser mon gland, venir frotter mon méat en essayant de s’y glisser, et une autre qui m’incitait à faire un effort quasi surhumain sur moi-même pur profiter de ce moment unique et qui l’a été encore plus quand elle a commencé à pousser la tête de son clitoris dans mon méat…Elle est parvenue à rentrer de quelques millimètres, puis un peu plus encore. Je n’aurais jamais imaginé pouvoir être ainsi pénétré par une femme. Elle n’a pas été très loin, mais c’était suffisant pour donner une autre dimension à mon plaisir, et me donner aussi l’impression qu’elle allait plus loin en moi.

J’ai tenu aussi longtemps que je le pouvais. Quand elle a senti que j’étais vraiment au-delà de mes limites, elle s’est dégagée…L’orgasme m’a déchiré, j’avais rarement joui aussi fort.

J’ai craché du sperme comme si je ne m’étais pas vidé depuis six mois. Les rubans crémeux qui sont sortis de moi ont maculé son clitoris et les chairs alentour.

 

 

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