Big beautiful woman

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Frederic Gabriel


tabou


BIG BEAUTIFUL WOMAN

J’avais fait un dernier plein le mardi. Je prenais habituellement du SP 95, mais il y avait un panonceau HORS SERVICE accroché à la poignée. Pareil pour le diesel. Seul le 98 était encore dispo. Mon moteur acceptait les deux, 95 et 98. J’ai rempli mon réservoir. L’ homme à la caisse m’a dit :

Inutile de revenir. On ne sera pas livré demain, ni même après-demain. C’est fini pour le moment.

Tous les jours, je faisais soixante kilomètres. Trente aller, trente retour. Je savais que je pourrais venir travailler jusqu’à la fin de la semaine. Mais lundi, si je calculais bien, et je savais que je calculais bien, je pourrais sans doute partir, mais pas revenir. Ce blocage des raffineries par les routiers avait commencé une semaine plus tôt et il ne semblait pas prêt de s’arrêter, prenant toute une nation travaillante en otage.

C’était le mercredi. J’étais dans la salle de repos, je buvais un café. Myriam était là. Elle a fini la cafetière, et est venue s’asseoir près de moi.

Alors, le blocage des pompes, ça ne te gêne pas ?

Pour elle, ce n’était pas un problème. Elle habitait à trois minutes du CFA, elle pouvait tenir un mois avec un plein.

Lundi, je prendrai le bus pour venir. Ça me fera des trajets qui me boufferont du temps. J’ai calculé, ça doublera mon temps de trajet. Mais bon, pas le choix. A moins qu’il y ait un déblocage miracle dans les jours qui viennent.

Elle a avalé une gorgée de café avant de dire :

Si tu veux, tu peux venir dormir à la maison. Il y a deux chambres d’amis, et je te ferai à manger. Tu sais que je ne cuisine pas mal…

Tu es prête à me prendre en pension ?

Rassure-toi, tu n’auras pas à payer.

J’ai d’abord pensé qu’elle plaisantait, mais elle semblait sérieuse.

Ça faisait 10 ans qu’on se connaissait. On s’entendait bien. Au-delà d’être de simples collègues, on était devenus amis. On discutait souvent ensemble, on avait des goûts communs, et on avait mangé plusieurs fois ensemble.

Je ne l’avais jamais considérée comme plus qu’une amie. Sans doute victime d’une forme de grossophobie que je ne voulais pas admettre. Si elle avait un très joli visage, son corps était marqué par un excès de poids. 20,30 kilos ? Disons que là où il fallait des formes, elle avait tout ce qu’il fallait, mais il aurait fallu gommer le superflu.

Est-ce que j’avais déjà envisagé qu’on puisse être amants ? Sans doute que oui, comme tout homme… J’étais en particulier fasciné par sa poitrine. J’avais vu dans des films pornos des hommes se faire caresser par les seins volumineux d’une fille et ça m’avait plu.

Et elle ? Difficile à dire ? Je n’avais pas perçu de signes allant dans ce sens…

Écoute, si je ne trouve pas de solution pourquoi pas ?

Je n’y ai plus trop pensé. Le vendredi, pourtant, on s’est croisés, et je lui ai dit :

Ça va être compliqué la semaine prochaine.

Les routiers bloquaient toujours et il n’y avait pas vraiment de négociation en vue. Ça faisait bien deux semaines qu’il y avait des tables rondes qui s’avéraient toujours infructueuses. S’ils étaient délogés, ils se réinstallaient bien vite.

Mon offre est toujours valable. C’est comme tu le sens.

Je n’ai pris ça comme une alternative sérieuse que le dimanche soir, quand je me suis rendu compte que je ne me sentais vraiment pas de prendre le bus. Ça me semblait une perte de temps et des efforts pour rien, alors que j’avais une solution plus avantageuse. Pourquoi ne pas profiter de cette offre ?

Je l’ai appelée le lundi matin.

Ta proposition tient toujours ?

Laquelle ?

De m’héberger quelques jours. De cette façon, serai beaucoup plus tranquille. Je participerai aux frais.

Te fais pas de souci pour ça. A ce soir.

A dix-huit heures, je me garais devant chez elle. Une belle demeure des années 60 qu’elle avait achetée et faite rénover.

J’ai sonné. Elle est venue ouvrir. Très différente de la fille que je côtoyais tous les jours. Une robe noire, fluide, fendue très haut sur le côté. Elle avait les jambes gainées de nylon, des escarpins avec des talons de plusieurs centimètres et elle était maquillée. Ça m’a déconcerté de la voir aussi féminine. Ce qui m’a déconcerté encore plus c’est que j’ai senti mon sexe se durcir, dans quelque chose de très violent, j’ai tout de suite été très dur, et très surpris, je n’imaginais pas pouvoir ainsi éprouver du désir pour Myriam du fait de son surpoids et je me rendais compte, peut-être parce qu’elle avait gommé sa neutralité, qu’elle POUVAIT être attirante, même avec trente kilos en trop. Ça m’a totalement déconcerté.

Je suis passé devant elle, respirant un parfum fruité très fort. Non, la Myriam que je connaissais depuis dix ans n’avait vraiment rien à voir avec celle qui avait ouvert la porte et était apparue devant moi.

Je te montre ta chambre !

Elle m’a guidé vers la droite. Une chambre d’ami simple et fonctionnelle, avec un grand lit.

Tu veux qu’on joue à un jeu de société ?

C’était l’une de nos passions communes. Au Centre de Formation, on avait trouvé dans une salle une tonne de boites de jeux abandonnées et on avait souvent fait des parties dans nos heures creuses.

  Le living était clair et spacieux. On s’est installés sur le vaste canapé. Il y avait une pile impressionnante de boites de jeux contre un mur.

Un Scrabble ? j’ai proposé.

Je la regardais. Le living, avec ses baies vitrées, laissait rentrer la lumière d’une journée finissante, et je me suis rendu compte que, sous la robe, elle était entièrement nue. Ça se voyait à la manière dont elle remplissait le tissu, mais aussi dont elle le tendait, et aussi à la liberté de son corps dessous. Ses formes n’étaient pas gainées comme à l’accoutumée, et j’ai eu cette pensée, je me suis dit que, décidément non, qu’elle fasse 130 kilos était tout sauf un obstacle. Elle restait une femme, et une femme désirable. Sur surplus de chair, contrairement à ce que j’avais longtemps pensé, n’empêchait pas qu’on puisse avoir envie d’elle.

On a joué pendant dix minutes, et je sentais entre nous une tension, quelque chose de très fort, mais de totalement inexprimé, comme je n’avais jamais senti auparavant.

C’est au bout de ces dix minutes qu’elle m’a dit, négligemment :

J’ai très envie de te faire une fellation, ça te dit ? Ça fait longtemps que j’en ai envie, et ça serait le bon moment pour passer à l’acte…

Comme elle m’aurait dit :

Une tasse de café ?

Elle n’a pas attendu ma réponse. Il faut dire que mon érection était particulièrement visible, et que je n’avais rien fait pour la cacher. Elle a amené sa main dessus, et elle m’a caressé doucement, faisant monter le feu dans mon ventre. Il y avait une habileté dans sa caresse qui m’a un rien surprise.

Ça fait très longtemps que je te désire… Si tu savais le nombre de fois où je me suis branlée en pensant à toi. Mais pour toi, j’étais trop grosse. Heureusement qu’il y a des hommes qui aiment les filles très en chair, plus que tu ne crois. Ça m’a permis d’avoir mon comptant de sexe. Parce que si j’avais du t’attendre…

Elle a commencé à descendre la fermeture-éclair de mon pantalon.

Enfin, je crois que les choses viennent de changer radicalement. Il était temps !

Le meilleur signe que les choses étaient en train de changer radicalement, c’était précisément qu’elle sortait ma queue de mon pantalon. Le désir explosait en moi. Il n’y avait plus de limite, on avait vraiment basculé sur autre chose.

Bon, je vois que je ne te laisse pas indifférente…

L’image que j’avais d’elle était radicalement changée. Je n’avais pas pensé qu’elle puisse avoir des amants… Je l’imaginais seule… Je repensais à ces vidéos pornos que j’avais regardé un moment, qui mettaient en scène des BBW des Big Beautiful Women, des femmes très en chair, qui offraient leurs corps à des hommes, vidéos que je trouvais excitantes. J’avais toujours regardé du porno, mais si j’avais maté ce type de vidéos à un moment, c’était sans doute parce que j’avais un intérêt pour elle que je ne voulais pas m’avouer.

Elle s’est mise à me caresser, avec une habileté que je n’aurais pas imaginée, l’habileté d’une fille qui avait souvent des rapports sexuels, ses doigts habiles sur moi, me frôlant, tournant sur ma queue, sur mon gland, sur mes couilles, montant et descendant avec habileté et facilité, me mettant dans tous mes états. Ma queue se gorgeait de sang, et un liquide pré séminal coulait de mon méat avec Ses jambes par aller vers elle plus tôt. On avait perdu pas mal de bons moments. Mais on pouvait tout rattraper. C’était bien ce qu’on faisait.

On est restés longtemps dans ce moment, dans cette caresse, allant jusqu’à la limite de me faire jouir, mais sachant à chaque fois freiner mon explosion.

Quand elle s’est penchée sur moi j’ai compris que si sa main était habile, sa bouche l’était encore plus. Bien sûr pas mal de filles m’avaient déjà fait des fellations, mais certainement jamais avec son habileté. J’ai bien aimé sa technique, qui consistait à parcourir ma chair, en se posant à certains moments, en restant floue à d’autres, avec sa bouche et sa langue… C’était très subtil et très efficace, beaucoup plus sans doute que ce que m’avaient fait pas mal de filles, faire aller et venir leur bouche sur ma queue, en attendant que j’éjacule…

Ça a été au bout d’un moment qu’elle s’est redressée et qu’elle a attrapé sa robe, pour la faire remonter le long de son corps, puis passer par-dessus ses épaules J’ai été surpris, parce que j’avais pensé éprouver de la répulsion à la voir nue, et ça n’a pas été le cas, bien au contraire. Mon excitation a redoublé d’intensité, et je ne pensais pas cela possible.  

Son corps était vraiment désirable. Elle avait des hanches très marquées, mais moins de ventre que je n’avais plus l’imaginer. Bien sûr, elle avait des dimensions hors normes. Mais dans ces dimensions, il y avait une harmonie qui faisait passer les choses, et les rendait très excitantes. Et puis son corps, même très volumineux, était vraiment très bien dessiné. Sans déséquilibre. Ses jambes, par exemple, étaient vraiment bien galbées.

Ses seins, bien que volumineux ne pendaient pas, au contraire, ils défiaient, comme je n’aurais pas imaginé que c’était le cas, la pesanteur, ronds et fermes. Elle avait des aréoles roses très larges, et des tétons qui bien que certainement pas encore totalement érigés, se révélaient sans nulle comparaison avec tous les tétons que j’avais pu contempler jusqu’à présent, dans leur longueur et leur épaisseur.

Elle avait un pubis gonflé, qui descendait vers la proéminence de sont mont de Vénus, elle aussi réellement impressionnante, même si pour le moment ça n’était que de la chair, coupée en deux par une fente. Toutefois, j’ai remarqué que la chair était luisante, parce qu’un liquide, celui de son excitation, sortait de cette fente.

Avec un sourire étincelant, et sans doute un rien diabolique, elle s’est basculée en arrière sur le divan, et ouvrant ses jambes, elle s’est mise à se caresser, mon regard collé à elle, que rien n’aurait pu détourner. Ça a été une expérience troublante, mais tout était troublant avec elle, quand il s’agissait de sexe, je m’en rendais compte. Elle s’est mise à se caresser devant moi, faisant tourner ses doigts sur sa fente sans réelle continuité, engageant d’abord un mouvement circulaire, puis frottant son clitoris dans un mouvement de biais, avant de glisser deux doigts en elle pour se pistonner.

C’était toujours troublant de voir une fille se masturber, mais chez elle, ça prenait une dimension autre. Ce qui m’a scotché, ça a été certes de lire le plaisir sur son visage, un plaisir bien réel, mais au-delà de voir comment son sexe se métamorphosait.  Ça m’a rappelé un film de science-fiction que j’avais vu dans mon enfance, je ne me souvenais plus de son nom, où un continent émergeait en sortant de l’eau. Et bien, ça a été exactement pareil pour sa vulve. Sa fente s’est dilatée, et ses lèvres ont commencé à sortir d’elle. Un gros paquet de chair qui s’est épanoui, autant en longueur qu’en épaisseur… Je n’avais jamais vu des lèvres comme ça… J’avais bien sûr déjà vu des filles qui avaient des lèvres bien développées, chaque fille est unique… J’avais eu une copine pendant deux ans qui avait des lèvres extraordinairement fines et longues, qui se dépliaient quand elle était excitée…Mais là… Il y avait à la fois le volume, la longueur, et son sexe, sous l’effet de l’excitation se redessinait totalement… Le déploiement des lèvres, qui constituaient comme une avant-garde, était rejoint par un clitoris qui s’était de lui-même dégagé de sa gaine. Certains hommes malheureusement munis de micro-pénis auraient pu lui envier ce clitoris qui les dépassait certainement en dimension, longueur comme largeur.

Ce qui était fascinant, aussi, c’était la manière dont du liquide coulait de son sexe, avec une abondance que rien ne semblait devoir arrêter. Un liquide sirupeux, épais, qui se répandait sur ses chairs et qui venait tremper ses doigts…

Il y a eu ce moment particulier où on s’est caressés, face à face, moi faisant aller et venir ma main sur ma queue, pendant qu’elle frottait son sexe. On éprouvait un plaisir profond, mais on savait qu’on irait plus loin.  

Je me suis levé et je me suis approché d’elle. Elle ne m’avait pas encouragé à le faire, à vrai dire, rien ne m’y incitait, sauf sa position, ce degré supplémentaire que nous avions atteint dans notre relation, et notre intimité. Mais elle ne m’a pas repoussé, alors que je me laissais glisser à genoux, et que je venais poser mes mains sur ses cuisses, chair brûlante sous le contact soyeux et électrique du nylon. Je suis parti la tête la première avec la volonté de lui donner du plaisir mais aussi d’en éprouver.

J’ai parcouru son sexe, en prenant tout le temps. On avait toute la soirée devant nous. On n’avait pas encore mangé, mais ça n’était pas vraiment une obsession. On avait avant tout faim de l’autre. C’était un plaisir intense pour moi que de tourner sur ses lèvres, de sentir leur épaisseur, et d’avoir la gorge inondée par ses jus les plus intimes. Je frottais ma queue en même temps, congestionnée de désir, dilatée à l’extrême. Même si je ne l’avouais pas, et si je ne me l’avouais pas, c’était ce moment que j’attendais.

J’ai commencé par un simple contact visuel. Elle avait un clitoris vraiment impressionnant, ce genre de clitoris qu’on assimile à l’éléphant blanc. On en rêve, on en parle, mais on ne le voit jamais. Si, j’avais vu une ou deux fois, sur des sites porno de gros clitos, mais c’était vraiment une exception. Voire même des images truquées. Et là, sous les yeux, j’avais ce morceau de chair énorme, qui gonflait encore en frémissant, très épais, long aussi, et je me disais que ça n’était pas vraiment possible. Pourtant si, puisque je l’avais sous les yeux. Je me suis fait la réflexion que ce clitoris était finalement une sorte de pénis, un peu comme si elle avait été hermaphrodite. Sensation qui s’est prolongée quand je suis venu agacer le bout de chair volumineux de la langue. Si Myriam était expansive dans sa vie de tous les jours, elle l’était aussi quand elle éprouvait du plaisir, et elle s’est mise à gémir alors que je parcourais ce gros morceau hypernervé. J’ai finalement choisi de venir le gainer de mes lèvres et de le sucer comme j’aurais sucé un pénis. Je n’avais jamais eu cette opportunité, je n’en avais jamais eu envie, mais dans les sensations, ça devait ressembler à ça. Ses jus étaient encore plus abondants, elle ruisselait littéralement, autre signe, sans doute, de son plaisir à ce moment.

Je crois que je vais jouir, elle a dit.

Elle s’est tendue et un flot de liquide est sorti d’elle, m’arrosant. Elle a laissé l’orgasme la traverser, puis elle m’a dit :

Si j’ai eu du plaisir, il faut que tu en aies aussi…Tu as envie de quoi ? Tout est possible avec moi…

Je m’en rendais effectivement compte. Je n’ai pas vraiment eu à réfléchir. Il y avait un fantasme que j’avais toujours eu, celui de ses seins ; Il fallait dire que, même si elle avait des tenues plutôt discrètes, fluides et passe-partout, elle avait souvent, et je n’étais pas sûr qu’il y avait de sa part une quelconque préméditation, car au CFA, elle voulait rester discrète, des T-shirts, des hauts, des robes qui décolletaient une grande partie de sa poitrine. Et c’était vrai que j’avais souvent fantasmé sur l’idée qu’elle s’occupe de ma queue avec ses seins. Il n’y avait pas de fantasme précis, plutôt un cadre, que je pensais préciser si un jour l’occasion se présentait. Quelque chose que je n’avais pas cru matérialisable à l’époque, et qui devenait aujourd’hui réalité. Elle ne l’a même pas lu dans mon regard, je crois simplement qu’il y a eu une sorte de transmission de pensée entre nous, et elle s’est redressée pour mettre ses seins à portée de ma queue.

Avec cette expérience que je n’avais pas imaginée, elle savait exactement ce qu’il fallait faire à un homme pour lui donner du plaisir. Elle a attrapé ses loches à pleines mains, comme une arme dont elle avait l’intention de se servir. Et c’est bien ce qu’elle a fait, venant frotter ma queue de ses seins, jouant d’abord avec sa chair, puis basculant sur quelque chose de plus ciblé, amenant ses tétons sur ma chair à vif. Ses tétons étaient à l’image de son clitoris. Je n’avais jamais connu aucune fille avant qui ait des tétons aussi long ni aussi épais. La sensation du téton contre moi était aussi inédite qu’excitante. J’ai pensé en mon for intérieur que c’était dommage qu’on ait attendu dix ans alors qu’on aurait pu connaître des moments aussi forts avant.

Elle s’est penchée un peu plus pour envelopper ma queue de ses seins. Je me suis retrouvé niché au sein d’une chair délicieusement tiède et délicieusement douce. Dire que j’aurais pu manquer ça… C’était très différent d’être dans une chatte. Dire que c’était mieux, moins bien… C’était en tout cas différent… Mais sans doute que d’être dans sa chatte à elle était aussi différent.

Elle m’a gardé niché en elle un moment, avant de faire en sorte que la partie supérieure de ma queue, mon gland et un bout de ma queue soient à l’air libre. Elle a penché son visage vers ma queue, et elle s’est mise à faire tourner sa langue sur moi. J’avais l’impression, illusion ou réalité que jamais ma queue n’avait été aussi dilatée, ni mon gland aussi gros. J’ai senti que je montais vers l’orgasme, sans rien pour me retenir…Une coulée brûlante s’est répandue dans mon corps, et j’ai balancé je ne sais combien de traits de sperme, ça n’en finissait pas, dans son décolleté, son visage, et ses cheveux, ce qui a semblé la ravir. Je n’avais pas joui depuis longtemps… Et sans doute que mon corps voulait lui rendre une sorte d’hommage.

Il était déjà tard. On s’est rajustés. Elle avait acheté une paella le matin, chez un traiteur du coin. On lui a fait honneur, avant de se retirer chacun dans notre chambre. On commençait très tôt le lendemain matin, et on savait l’un l’autre que si on se laissait encore aller, même si on en avait vraiment envie, on passerait une nuit blanche, qui nous empêcherait d’être efficaces le lendemain.

Je n’oublierai pas cette semaine. Il y avait toujours le blocus des raffineries, alors je suis resté chez elle. Je rentrais le soir directement chez elle, en amenant de la nourriture, pour payer mon loyer.

Dès la porte fermée, on sautait l’un sur l’autre. On ne l’a jamais vraiment formulé, mais je crois qu’on avait bien ce regret de ne pas avoir profité l’un de l’autre plus tôt, et peut-être la volonté de rattraper le temps perdu. Ou peut-être d’amorcer quelque chose. En tout cas, la semaine a été un test effectif. Le sexe avec elle, c’était bien, en tout cas mieux qu’avec toutes les filles que j’avais pu connaître avant. Quelque chose d’intense, de fort et de subtil, qui me faisait rendre compte que j’avais vraiment eu trop de préjugés sur elle. Il ne fallait jamais juger AVANT, mais une fois qu’on était dans une relation.

C’est le jeudi soir sur le coup de 17 heures, que l’annonce a été faite par le gouvernement. La situation était débloquée, et l’essence allait ressortir des raffineries.

Le soir, elle m’a demandé, on venait de faire l’amour :

Tu comptes repartir demain soir ?

Il faut attendre que les stations soient approvisionnées… Je passerais bien le week-end avec toi.

Oui, il n’y aura sans doute rien avant lundi.

J’ai attendu avant d’ajouter :

Cette crise m’a fait réfléchir. J’ai envie de faire des économies de carburant… Je resterais bien le soir avec toi. Et puis tu pourrais aussi venir à mon appartement.

Son sourire m’a dit qu’elle avait compris mon message.

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