Un soir, alors que je me promène dans le parc, je vois un gros danois gris s’avancer vers moi. Il a le souffle court et une laisse pend de son cou. Il a sans doute échappé à l’attention de son maître. Je me penche et je regardai la médaille. Le chien s’appelle Fred et il y a une adresse. Comme Fred ne semble pas agressif, je prends la laisse dans l’intention de le ramener à son propriétaire mais, auparavant j’ai une petite idée. Je retourne chez moi toujours avec le chien qui me suit allègrement. Je me faufile dans mon appartement sans que mon proprio ne me voie. Juste à regarder le sexe du chien je sens que j’ai mouillé ma culotte. Je me déshabille et me rends dans ma chambre. Je ferme la fenêtre, je mets les stores et un rideau. J’allume ma lampe de chevet pour avoir une ambiance tamisée. Le chien me regarde d’un air entendu, la langue sortie dans un sourire. Je suis très excitée. J’enlève mon chandail et mon soutien-gorge. Puis, mon leggins et ma petite culotte. Le chien s’avance vers moi et gémit. Je sens qu’il a l’habitude de ce que je désire. L’a-t-il déjà fait ? Nous verrons… Il approche son nez de ma chatte et commence à la lécher. J’en ai les jambes qui tremblent. Je me couche sur le dos, sur mon lit, bien au bord pour pouvoir donner le maximum d’espace au chien. Il lèche en gémissant. Il lèche frénétiquement mon clito et commence même à vouloir entrer sa langue dans mon vagin. J’en tremble et je mouille de plus en plus. Le chien s’applique à ne rien laisser, pas une goutte de ma précieuse cyprine ne lui échappe. Et là… Je jouis. Une fois qu’il a terminé, il s’assoit et me regarde en gémissant. Je reprends mes esprits. Je me relève en tremblant toujours d’excitation. Je prends une paire de gros bas dans le tiroir de la commode, pour éviter ses griffures. Je lui en passe aux pattes arrières et aux pattes avant. Il me laisse faire, comme s’il avait l’habitude qu’on lui fasse. Il me lèche la chatte lorsqu’elle passe près de son museau. Je m’assois à terre près de sa queue. Je le flatte doucement, avec tendresse, à partir de la tête jusqu’aux fesses. Toujours en insistant plus vers le bas. Puis, je descends mes mains en dessous de lui pour prendre sa bite qui commence à sortir. Elle est impressionnante. Elle doit faire au moins 25 cm de long et six cm d’épaisseur. Le Danois gémit quand je caresse son pénis. Je le lui masse profondément et sa bite grossit de plus en plus. J’en ai déjà vu des comme ça mais aussi grosse et démesurée, jamais. Elle est vraiment d’une beauté… J’approche mon visage et je lèche le dessus, laissant mes mains caresser doucement ses testicules. Cela le fait gémir, comme s’il pleurait. Je prends finalement son sexe totalement dans ma bouche et je me mets à la limer de bas en haut. Le plus profondément dans ma gorge. Je la sens se cogner contre mon palais. Lorsque le sperme sort je ne m’y attends vraiment pas. Je me retrouve alors couverte de son sperme, du visage jusqu’aux fesses. Je le sens couler entre mes seins. Du coup, je le lime moins fort. Je la sors de ma bouche et je me rassois. Le chien me renifle et commence à me lécher sur tout le corps. Il lèche tout son sperme et, au passage, il remange ma chatte que ma cyprine a inondée. Sa langue est tellement bonne, que je jouis encore une fois. Mais je le veux en moi. Je le regarde et je vois que son énorme engin est prêt à fonctionner. Je me recouche sur le lit mais, je laisse mon bassin dans les airs. Je n’ai même pas la peine de l’encourager que le chien est déjà sur moi en gémissant de plus en plus fort. Je prend délicatement son pénis et le dirige vers l’entrée de ma grotte secrète, trempée comme un parapluie après un orage. Dès qu’il sent l’ouverture magique, le chien pousse sa queue dans le trou bien lubrifié par ma cyprine. Il pousse d’un coup profondément. Je sens cette énormité aller et venir très vite. Toute sa queue est en moi. Je me fais baiser Profondément comme jamais. J’ai très rapidement plusieurs orgasmes. Quand finalement sa tonne de sperme se déverse en moi je m’effondre sur mon lit, satisfaite de mon amant. Le chien sort sa queue qui dégoutte encore. Une chance que je n’ai pas eu sa boule, qui doit mesurer dans les dix centimètres de diamètre. Il m’aurait déchiré la chatte car, je ne suis pas habituée à recevoir un tel engin en moi. Un jour, peut-être, si je le revois, j’essaierai… Puis, il se retourne vers moi en un 69 involontaire. Je saisis sa queue et j’aspire tout le sperme qui la couvre, tandis que de sa langue râpeuse il me lèche avidement le vagin, le clitoris et l’anus. Une fois terminés, nous nous sommes reposés, juste le temps que la machine se remette en route. Et c’est là que j’ai pensé à mon petit trou. Je dirige mon regard vers la bite du chien, elle est de nouveau au garde à vous. Et là, j’ai trop envie qu’il me prenne en levrette. Je me mis donc à quatre pattes sur mon lit et je mouillai mon doigt et l’insérai dans mon trou. Le chien qui me regardait faire s’approcha alors de moi et me grimpa dessus. Je pris sa queue et la dirigea vers mon anus. C’était serré mais je réussis à la faire entrer. Quand le chien le sentit il poussa et sa grosse queue grossit encore elle me remplissait totalement. Et il me lima comme personne ne m’avait jamais fait. Je jouis très fort. Je ne peux me retenir de crier de jouissance. Ce qui encourage le chien à aller de plus en plus fort et plus vite. Quand son foutre se déverse finalement dans mon cul je jouis de plus belle en un magnifique cri de jouissance. Mais la queue du chien est devenue trop grosse.
« S’il veut la sortir de mon anus, il va peut-être me blesser », pensais-je.
Je ne bouge plus et le chien après quelques essais se couche sur moi. Il faut attendre que sa queue rapetisse. Quelques temps plus tard, il a pu la sortir. Je m’effondre sur mon lit. Le chien vient se coucher à côté de moi. Je le flatte, le caresse un peu avec beaucoup d’amour et je me lève. Mes jambes sont tremblotantes. Je vais directement à la salle de bain prendre une douche, pour enlever tout le sperme puis, je me rhabille. Je reprends la laisse et je sors avec le chien. Je me rends à l’adresse indiquée et je sonne. C’est un homme qui me répond.
– Oui.
– J’ai trouvé votre chien dans le parc.
– Fred ?
– Oui.
– Ah ! Et bien, merci.
Je lui donne la laisse. En espérant qu’il ne se doute de rien mais après un examen attentif de son chien il me regarde et me dit :
– Vous voulez entrer quelque instant s’il-vous plait.
– Je ne sais pas.
– Vous êtes trempée, je ne peux pas vous laisser dans cet état.
De ce fait quand je suis sortie la pluie était fine mais elle a pris de la puissance au fur et à mesure que je me dirigeais vers chez lui. Et c’est vrai, je suis trempée jusqu’aux os. Je pénètre dans la maison et nous nous présentons. Elsa pour moi et Eric pour lui.
– Écoutez, vous êtes trempée, si vous voulez, allez vous changer dans la salle de bain.
J’accepte par un geste gentil du menton, tout en souriant. Il me conduit jusque la porte de la salle de bain. Une fois à l’intérieur, j’enlève mes vêtements et mes sous-vêtements, et je les mets dans la sécheuse à côté de moi. Je ressors dans un peignoir trois fois trop grand pour moi et je me retrouvai assise dans un confortable divan en train de me réchauffer au cognac. Mon hôte vient s’asseoir à côté de moi. Sa présence et l’alcool commencer à se faire sentir. Je deviens excitée. Je sens la mouille tremper ma chatte de plus en plus. Je mets mes jambes sous moi et, de ce fait les pans du peignoir s’ouvrent laissant à la vue de mon hôte mes cuisses et ma chatte. Je me couvre mais sa main vient sur la mienne et il l’écarte gentiment, doucement. Sans rien dire, il me couche sur le dos sur le divan et se penche vers moi. Il prend mon verre et trempe ses doigts dans le cognac. Il écarte mes cuisses au maximum et étend du cognac sur ma chatte. Il lèche délicatement le cognac. Je ferme les yeux pour mieux savourer le moment. Il ouvre mes grandes lèves et déverse des gouttes d’alcool qu’il aspire aussitôt. Il déverse le verre en entier sur ma chatte et le boit, goutte à goutte. Il titille mon clito avec ses doigts tandis qu’avec sa langue il pénètre dans mon intimité déjà bien lubrifiée. Il l’enfonce au plus profond. Il remonte bien vite sur mon clito.
Je ne peux me retenir de frémir face à ses délicates caresses si excitantes. Je mets mes mains sur mes seins et je caresse mes mamelons devenus sensibles. Leurs pointes déjà dressées montrent mon excitation face à ses caresses. Eric se relève et ouvre son jean. Il ne porte pas de caleçon. Sa queue se dresse juste devant ma bouche. Elle est assez courte mais très grosse. Je me débarrasse du peignoir et me mets à genou sur le divan. Je la prends dans mes mains et la masse de haut en bas. Doucement, lentement, délicatement. Je regarde Eric droit dans les yeux et je me laisse tomber sur le sol. Lui s’assoit sur le divan. Je suis juste à la hauteur de sa bite. Je descends ma tête sur sa queue et je dépose de légers baisers sur son prépuce. Elle est bien dure et semble palpiter entre mes doigts. J’approche doucement mon visage et je passe ma langue sur le gland. Avec mes mains je caresse ses belles couilles. Je laisse glisser ma langue sur toute la longueur de sa queue. Ce qui semble bien l’exciter au maximum. Mais soudainement il prend ma tête dans ses mains et me la dirige vers sa queue qui ne demande qu’un soulagement. Je ne me fais pas prier et j’engloutis doucement sa bite. Je sens bien qu’elle doit être aussi imposante que celle de son chien. Et, en repensant à Fred, je deviens encore plus excitée. Comme je suis affairée à le pomper comme une chienne, je ne vois pas qu’un chien que je ne connais pas vient d’entrer intrigué par les bruits de son maître. Eric l’a vu et il le siffle. Il avance alors doucement vers nous et je sens bientôt sa truffe froide contre mes fesses. Il cherche d’où vient l’odeur de chienne en chaleur. Il trouve enfin la source et commence à lécher ma chatte. Je sens mes jambes trembler et mon rythme sur la queue d’Eric s’intensifie. Je sens frémir Eric et son foutre se déverse en grands jets drus dans ma bouche. J’essaie d’en avaler le plus possible mais quelques gouttes s’échappent de ma bouche pour tomber sur ma poitrine. Quand il sort sa queue de ma bouche, je me rapproche pour nettoyer sa bite de son foutre. Je lèche sa queue et, de fond en comble, je ne laisse rien, car, je prends bien soin de son gland sous ma langue. Je lâche finalement sa queue. Elle retombe molle et vidée de toute son énergie. Le chien a arrêté de me lécher quand le sperme d’Eric a déferlé. Ma chatte me démange. Elle a envie de se faire fourrer sauvagement. Je me retourne vers le chien et je vois sa grosse bite rouge sortie de sa gaine poilue. Je m’aplatis sur le sol, je saisis sa queue et l’amène à ma bouche. Je suis en position de levrette et je pompe le chien comme une vraie chienne que je suis. Bientôt je la sens grossir dans ma bouche. Contrairement à son maître elle est plus longue et je la sens cogner dans le fond de ma gorge. Je ne la voudrais pas ailleurs. Je dirige une de mes mains vers mon clito, devenu sensible et je commence à l’agacer. Comme je monte ma bouche de haut en bas sur la queue du chien Eric quitta la pièce pour revenir avec Fred. Quand il me voit, il secoue la queue de contentement car, il me reconnaît. Il s’approche aussitôt de ma chatte et me la bouffe avec frénésie. Eric s’assoit sur le divan et se masturbe en me regardant sucer un chien et me faire bouffer la chatte avec un autre. Fred pénètre sa langue au maximum dans ma chatte, en essayant de se faire un chemin dans mon vagin en feu. Il lape mon clito, mes lèvres et mon anus de sa langue rugueuse et baveuse. Je devine que le chien que je suis en train de sucer va éjaculer. Je sens aussitôt un grand flot de sperme se déverser dans ma bouche. J’en avale la moitié. L’autre moitié, je le laisse m’asperger la poitrine, les épaules et le dos jusqu’aux fesses. Le chien s’avance vers moi et commence à me lécher les seins ne voulant rien perdre de son foutre. Pendant ce temps, Fred lui que l’éjaculation de son copain a excité au plus haut point me monte et essaie de trouver ma chatte. Il met ses pattes autour de ma taille. Je prends conscience qu’il n’a rien pour me protéger contres ses griffes. Je sais que je ne serais alors plus maîtresse de rien. Mais cela ne me dérange pas vraiment. Il essaye un premier coup mais sa queue butte contre ma cuisse. Eric s’aperçoit que j’ai besoin d’aide pour me faire baiser pas son chien. Il se lève et dirige la queue de Fred contre mes grandes lèvres. Le chien n’a pas besoin d’aucun encouragement. Il pousse fortement et fait pénétrer sa queue profondément en moi. Au premier assaut, j’ai un orgasme délirant qui me déchire de tout mon corps. Pendant ce temps, la sensation de l’autre chien suçant mes seins me fait gémir de plaisir. Fred va au plus profond de moi. Et sa rapidité à me baiser, me fait orgasmer comme une folle. Il va et vient en moi à toute allure me laissant faible et satisfaite. Quand il explose en moi j’ai un autre orgasme qui me fait presque perdre la notion du temps. Je sens son foutre se déverser en moi et se déverser au plus profond de moi. Quand il peut enfin se retirer de moi je me laisse tomber sur le sol. Comblée et satisfaite. Mais il n’en a pas fini avec moi. Loin de là.
L’autre chien lécheur ne demande qu’à essayer cette chienne que je suis devenue. Eric me prend fortement par le bras.
– Ce n’est pas fini ma chienne. Il te reste à me satisfaire et Zick aussi. Fred a eu son contentement mais il t’a fourrée ce matin, pas nous. Alors tiens-toi prête à nous servir.
– Je ne demande que ça.
– Je te le souhaite bien bébé. Maintenant je veux voir ton beau petit cul.
Je me couche sur le dos à plat ventre et j’écarte mes fesses au maximum.
– Plus que ça je vois rien, me dit-il.
– Je peux pas faire plus mon gros.
– Tu vas bien voir qui c’est le gros !
Il se précipite sur moi et me pénètre l’anus sans aucun préliminaire. Au début c’est un peu douloureux mais je sens le plaisir monter en moi. Et la sensation du tapis rude sous moi accentue ce plaisir. Eric me lime le plus brutalement qu’il peut et cela m’offre un bel orgasme. Les chiens sont assis de part et d’autre de moi et attendent leur tour afin de profiter de moi. Soudain, Eric s’arrête de me limer et se couche sur le dos avec moi sur lui. Sa bite est toujours au fond de mon cul. Fred a envie de venir sur moi.
– Fred, reste où tu es ! Zick, c’est ton tour ! ordonne Eric.
Zick s’approche de moi et me monte sans aucun préambule. Lui non plus n’a pas de bas pour éviter qu’il me griffe pendant qu’il me baise. La queue de Zick est dure et prête. Il trouve ma chatte sans aucune aide et me pénètre avec sauvagerie. Quand Eric voit son chien me fourrer, reprend de la vigueur et commence des mouvements de va et vient. Cette sensation… je crois m’évanouir de plaisir. Le chien qui me pilonne vite et profondément dans ma chatte et l’homme qui me lime l’anus le plus fort qu’il peut. Les deux sexes mâles en moi me donnent plusieurs orgasmes de suite. C’est presque simultanément qu’ils se déversent en moi. Je sens les jets de leur sperme chaud. Partout en moi. Il y en a tant que ça déborde. Zick est resté coincé en moi. Il se couche le mieux qu’il peut sur moi tandis que moi, je m’affaisse sur Eric. Lui se dégage de sous moi et court chercher son appareil photo. Il me prend sous tous les angles et fait plein de gros plans du sexe de Zick en moi. Comme je flatte Zick, je sens sa bite grossir en moi au lieu qu’elle diminue et bientôt il me fourre de nouveau avec vigueur. Encore plus vite qu’avant et il va buter au fin fond de mon vagin. Il éjacule, recule et sort de mon sexe. Je reçois alors tout son foutre sur mon ventre, mes seins, mes jambes et même sur mon visage. J’étends son sperme sur moi et prenant bien soin de mes seins et de mon clito, que je badigeonne généreusement. Zick vient aussitôt lécher son foutre sur mon clito et Eric l’aide de ses doigts. Quant à Fred, il vient me laper mes seins pleins de foutre. Mais je n’avais pas envie qu’il me lèche, je voulais garder tout le foutre sur moi. Je prends finalement sa queue qui est ressortie de son Foureau et je lui fais une pipe. Je le fais éjaculer partout sur mon corps. Eric prend la queue de Zick et la dirige vers moi. Il a excité son chien et le foutre de Zick vient s’ajouter à celui de Fred. À son tour, Eric vient se finir et je me retrouve couverte de sperme de la tête au pied. Je me relève et dit :
– Je voudrais mes vêtements, je souhaite rentrer chez moi.
– Tu ne veux pas prendre une douche ?
– Sûrement pas !
Eric va chercher mes vêtements qui, entre temps, ont séché et je m’habille. Mes vêtements me collent à la peau mais je ne veux surtout pas perdre mon odeur. Les deux chiens sont couchés et somnolent. Eric passe sa robe de chambre. Il me reconduit à sa porte et sur le seuil m’embrasse longuement.
– Tu reviendras ?
– Oh oui ! Sûrement…
Je retourne chez moi en souriant. Tous les hommes, comme les chiens, se retournent sur mon passage.
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