Au début, apercevant ta silhouette dans le brouillard,
l’envie me prend de me rapprocher de toi,
pour faire connaissance, pour un casuel rencard,
possiblement un peu de bon temps sous les draps.
C’est que tes volutes affolantes, au loin, m’ont attiré
et c’est pour celà que je me permets cette interlude.
Pardonne moi si je t’ai un brin bousculé
de mes manières audacieuses et pas très prudes.
Puis, plus près, je te surprends à me sourire,
me laissant entendre qu’au dialogue tu es disposée.
Dans ton regard bleu profond, maintenant je peux lire
qu’en outre tu n’es pas contre toute éventualité.
Je te plais, c’est sincère, je m’en rends compte,
ton attitude n’est pas du tout farouche,
jusqu’à oser, et ce sans le moindre escompte
de permettre que nos lèvres se touchent.
Tu brûles les étapes, intrépide inconnue,
c’est à moi qu’il revient de faire le premier pas.
Je vois que tu n’aimes pas le superflu,
d’un geste sobre, tu me serres dans tes bras.
Tu me fais vite comprendre que tu ne compte pas en rester là,
et en moi alors cette profonde sensation de manque
de baise, je la partage également avec toi,
allons nous en d’ici, trouvons nous vite une planque.
Voilà, ici nous sommes à présent réunis,
dans cette chambre d’hôtel, austère mais douillette.
Je puis à présent te conter mon envie
sans tabou de te prendre en levrette.
Celà te convient, et c’est tant mieux,
je n’en attendais pas moins de toi.
Sans attendre je te présente mon pieu,
ne t’en fais pas, il est de bonne foi.
Tu n’en a cure, de mes recommandations,
et déjà tu prends la chose en main,
d’une poigne de fer et avec résolution
à le promener fébrilement sur tes seins.
Tu n’es même pas déshabillée encore,
reste calme, sereine, sois patiente.
Enlève d’abord tous les tissus de ton corps
ensuite seulement je pourrai combler tes attentes.
Il ne faudrait pas que j’inonde d’une giclée prématurée,
spontanée, de mon foutre ton joli pull en cachemire,
alors que tu continues de me masturber
tout en ne sachant trop quand je vais jouir…
Rassure toi, coquine, ce n’est pas pour tout de suite,
nous n’en sommes à peine qu’aux préliminaires.
A mon tour, maintenant mais pas trop vite
à ton joli cul de lui faire son affaire.
A quatre pattes sur la moquette tu t’installes,
après que je t’aie arraché ta petite culotte
de mes dents, voilà que tu me présentes mon casse-dalle,
tes jolies petites fesses bien fermes, que je plotte.
Sans plus attendre tu exiges que je te prenne,
extirpant mon fidèle gourdin de sa housse,
tu me l’insères dans ta vulve, et comme une chienne
soudain tu hurles à la mort, car il est plutôt maousse.
Les coups de butoir que je t’infliges à présent,
toujours plus tu en veux, avoues-le, ça t’as manqué.
J’adore tes gros seins, je les pétris, je les prends
et à mamelons bien pincés, ravissement toujours décuplé….
D’autant plus quand d’une tape bien placée
sur tes belles fesses je veux laisser ma trace,
de ma salive mon majeur bien humidifié
s’introduit dans ton fondement de bonnasse.
Te voici comblée dans tous tes orifices
te faisant écurer sans même t’apitoyer.
N’est ce pas ce que tu espérais comme supplice?
En tout cas tu as l’air de fort bien apprécier…
Il ne reste que ta bouche qui soit encore vierge
de tout objet froid, lisse et allongé.
J’y aurais bien enfoncé ma chère verge,
mais pour l’instant dans ton sexe elle s’est fourrée.
Qu’à cela ne tienne, je m’en occuperais plus tard
que lorsqu’avec toi j’en aurais terminé.
Je te la remplirai de mon braquemart
et je te ferais tout avaler.