Camille, jeune étudiante, 2

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fredschoum


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Bonjour,

Dans la foulée, voici le deuxième chapitre

Merci et bonne journée

 

4 janvier

Aujourd’hui, je suis de retour à l’institut de formation en soins infirmiers.

Je retrouve mes amis qui me racontent leur soirée du Nouvel An. Je me garde bien de leur dire ce qui m’est arrivé ! Non, en fait j’ai passé la soirée tranquille chez moi en buvant un petit coup, bien sagement devant la télévision. Sortir toute seule ? Non, pas mon style !!

Le professeur arrive au bon moment.

Waouhh ! Mais c’est qui celui-là ? Je ne l’ai jamais vu, j’aurais remarqué un homme comme lui. Grand, brun, yeux verts, la trentaine, bien bâtit, habillé d’un pantalon de costume qui épouse ses petites fesses à la perfection. Toutes les filles de la promotion sont bouche bée !

-Bonjour à tous, je suis le remplaçant de votre professeur principal qui est en arrêt maternité jusqu’à la fin de l’année scolaire. Je m’occuperai donc de votre classe et si vous avez le moindre problème, n’hésitez pas à venir me voir. Je vais maintenant vous donner vos différents lieux de stage. Vous partirez trois semaines en formation et j’essaierai de vous rendre visite pour voir comment cela se passe. Vous aurez bien entendu une note pour ce stage. Alors faites de votre mieux.

Il nous distribue alors nos feuilles de départ en stage, en faisant l’appel car il ne connaît pas nos noms. Lorsqu’il dit le mien, sa façon de prononcer « Camille » m’électrise. Il vient vers moi, me regarde droit dans les yeux. Je me fais l’effet d’une pauvre gourde qui est déjà en train de mouiller sa culotte.

Mais il passe rapidement à l’élève suivant, me laissant toute chose !

J’irai en stage dans un centre de rééducation fonctionnelle. Je suis contente, ce n’est pas loin de chez moi. Un petit quart d’heure de bus.

Cette journée de rentrée a démarré fort. Les autres cours ont été aussi peu intéressants que d’habitude.

J’ai passé la journée à guetter notre nouveau professeur, Mr Dupont. Et à chaque fois que je l’apercevais, je dégoulinais dans ma culotte.

Quelle idiote, c’est juste un professeur !

 

11 janvier

Aujourd’hui, j’ai commencé mon stage au centre de rééducation.

Je me suis levée de mauvaise humeur car je ne verrai plus Mr Dupont.

La semaine dernière a été émoustillante, toutes les filles ne parlaient que de lui. Nous avons réussi à apprendre qu’il est célibataire et cadre infirmier dans un service de médecine de l’hôpital voisin de l’école. Nous n’avons pas encore son adresse mais vu le nombre de ses admiratrices, cela ne devrait pas tarder !

Et moi qui pars en stage : Enfin, puisqu’il le faut. J’ai vraiment envie d’être infirmière, de soigner les gens, de leur apporter un soutien dans les épreuves qu’ils peuvent traverser.

Mon premier jour m’a fait découvrir le fonctionnement du centre. Les patients arrivent le matin et rentrent chez eux le soir. Il faut donc les accueillir, leur faire un petit bilan tous les jours : tension, température et éventuellement prise de sang ou électrocardiogramme.

Certains patients ont du mal à se doucher seuls. Une salle de bain est donc à leur disposition et l’infirmière ou l’aide soignante les aide avant de les emmener faire leur séance de kinésithérapie ou d’ergothérapie.

Le centre accueille une quarantaine de patients par jour.

Pour cela, l’équipe est composée de 4 kinésithérapeutes, trois hommes et une femme, et de deux ergothérapeutes hommes. Un médecin vient faire le point tous les jours en début d’après-midi. Deux infirmières, trois aides-soignantes et trois femmes de ménage complètent l’équipe.

Cette première journée, je l’ai passé avec les infirmières, à observer ce qu’elles doivent faire.

Les patients accueillis sont relativement jeunes, de 20 à 45 ans pour la journée d’aujourd’hui. Ce sont essentiellement des grosses fractures au niveau des membres inférieurs ou des attaques cérébrales. Ils sont néanmoins en capacité de rentrer tous les jours chez eux, en ambulance, vers 17h30.

L’équipe de travail est très dynamique et tout le monde m’a accueilli très gentiment.

 

18 janvier

Aujourd’hui, cela fait une semaine que j’ai commencé mon stage. Tout ce passe bien, très bien même.

J’ai découvert une équipe de travail très motivée, toujours à l’écoute du patient.

Il a été décidé avec les infirmières que je passerai une journée à observer le fonctionnement chez les kinésithérapeutes. Je reste donc aujourd’hui avec Loïc. C’est lui qui s’occupe de la balnéothérapie. J’ai pris mon maillot de bain et j’ai mis un grand t-shirt par dessus.

Loïc arrive dans la pièce de la piscine avec seulement son maillot, un boxer, qui ne cache rien de son anatomie. Et là, il me dit :

-Enlève-moi donc ce t-shirt ! On va dans l’eau avec nos patients. Fais pas ta timide, j’ai déjà vu des centaines de filles en maillot, et pas toutes aussi bien foutu que toi.

Bon, je crois que je n’ai pas le choix.

Les premiers patients arrivent, il faut se mettre au boulot.

La matinée avance vite mais je ressens quelque chose de bizarre. Loïc ne manque pas une occasion pour m’effleurer, passer à côté de moi, très près, avec un petit sourire sur les lèvres. Il ne devrait pas jouer avec le feu, c’est que moi je suis très vite dans un état pas possible ! Me ferais-je des idées ?

Toujours est-il que Loïc est plutôt pas mal. Grand, blond aux yeux bleus, le genre de mec qu’on croiserait dans une salle de sport. Malgré un petit ventre avec des poignées d’amour, ses bras sont bien musclés, on a envie de se lover dedans.

Il faut que la journée se finisse vite, que je puisse rentrer chez moi pour me soulager avec mon god. Et oui, même si je n’ai pas eu beaucoup d’expériences sexuelles, je n’ai pas honte de dire que je me masturbe régulièrement. Et depuis que je ne vis plus chez mes parents, je ne me mets plus n’importe quoi dans le vagin (carotte, banane, objets du quotidien déviés pour que mes parents ne se doutent de rien), je me suis acheté mon petit Bob.

Je regarde furtivement l’horloge, il est l’heure de faire sortir les patients. Une infirmière et une aide soignante arrivent pour nous aider à les sécher et les habiller pour le repas de midi.

Une fois tout le monde partit, nous allons nous changer. Les cabines ont des parois très fines qui ne vont pas jusqu’au plafond. On entend très bien les personnes qui parlent dans les autres cabines.

Loïc me dit :

-Tu sais, tu es vraiment bien foutu.

-Merci (qu’est-ce que je peux répondre à ça ?).

-T’as un petit copain actuellement ?

-Non, pas en ce moment.

-Pourtant tu es bien mignonne, moi je te prendrai tout de suite si j’avais ton âge. Mais à 36 ans…

Et moi de répondre :

-Tu sais, la différence d’âge, ce n’est pas grave. J’en ai connu des mecs dans ma vie (bon ok j’exagère). De mon âge je veux dire. Ils sont immatures au possible.

Je crois qu’il va penser que je l’encourage. Mais n’est-ce pas ce que je veux intérieurement ?

Et voilà, la porte de la cabine s’ouvre. Je suis les seins à l’air, mais j’ai déjà mon pantalon. Loïc pareil.

J’esquisse un geste pour cacher ma poitrine quand il m’en empêche en me prenant les bras qu’il me met derrière le dos. Il m’embrasse violemment à pleine bouche !

Sa langue vient s’enrouler autour de la mienne. Il me lâche les bras, me serre contre lui, contre sa virilité que je sens énorme.

-Comme j’ai envie de toi ! Tu me fais bander comme jamais !

Ses mains emprisonnent mes seins, les malaxent, en titillent les tétons tandis que sa bouche dévore la mienne avec brutalité. J’aime, je gémis, j’en veux plus. Sa main descend, veut ouvrir le bouton de mon pantalon quand une voix nous crie :

-Dépêchez-vous de vous changer, on vous attend pour aller manger.

Sauvée par un collègue ! Sauvée ? Non, j’en veux encore !

Nous finissons de nous habiller en silence, frustrés chacun de notre côté, et allons rejoindre les autres en prenant soin de ne pas nous regarder ni nous toucher.

Mon cœur n’arrive pas à reprendre son rythme normal. Je ne mange quasiment rien alors que les efforts de ce matin avec les patients devraient m’avoir ouvert l’appétit.

Je ne pense qu’à une chose, me retrouver seule avec Loïc, et finir ce qu’on a commencé.

Manger avec l’équipe de la rééducation se révèle néanmoins très divertissant. Ils ont tous un franc parlé, des blagues salaces régulières et des références au sexe tout le temps.

Ce qui ne contribue pas à m’apaiser. Je me sens dans un autre monde, à penser à ce qui se serait passé si personne ne nous avait interrompu.

J’imagine des choses qui me font rougir et qui me rendent à nouveau très humide. Il faut vraiment que je me calme. Ou plutôt non, je ne veux pas me calmer, je veux continuer à faire des cochonneries avec Loïc.

Après le repas, nous prenons un café en attendant le médecin. Les infirmières nous rejoignent pour faire un premier point sur les patients.

Le médecin arrive ensuite dans le bureau et nous évoquons les différents problèmes de rééducation de nos patients. Ensuite, il passe dans sa salle d’examen avec l’infirmière pour rencontrer ceux qui le souhaitent. Défilent alors devant sa porte tous les jours une dizaine de patients.

Nous redescendons avec Loïc à la balnéo pour nous préparer avant l’arrivée du groupe de l’après-midi. Pas de chance pour moi qui voulais reprendre les choses là où elles s’étaient arrêtées ce matin, les patients sont déjà là.

L’après-midi avance néanmoins rapidement, fait d’effleurements, de regards plein de sous-entendus. Je me sens  dans un drôle d’état.

Les patients remontent au fur et à mesure de la fin de leurs exercices, et bientôt nous nous retrouvons seuls.

Je me dirige vers ma cabine en lançant un regard à Loïc, regard que j’espère torride. Il me suit tout de suite. Pour une fois que je réussi le coup du regard torride !! On a trente minutes devant nous car la balnéo fini plus tôt que les autres ateliers.

Il referme la cabine derrière nous. Il me prend violemment les lèvres dans un baiser vigoureux, sa langue venant chercher la mienne. Ses mains m’enlèvent le haut de mon maillot, me touchent les seins, me pincent les tétons.

Je gémis, j’aime qu’il soit violent. On dirait qu’il est assoiffé de sexe. Il passe rapidement à mon sexe, me descend le bas du maillot, se presse contre moi, son sexe déjà énorme. Ma curiosité me pousse à lui enlever son boxer pour voir sa virilité. J’y pense depuis des heures et des heures. Je dois le voir, le prendre en main, le caresser. Mes doigts peinent à en faire le tour. Ca ne rentrera jamais en moi !

Loïc continue à me toucher partout, je m’assois sur le petit banc de la cabine, les fesses le plus possible au bord. Il se met à genoux devant moi, deux doigts s’infiltrent dans mon intimité toute trempée. Il fait des va et vient avec sa main, sa langue arrive sur mon clitoris. Je n’arrive pas à m’arrêter de gémir, pourtant il faut que je me retienne. Je ne dois pas crier. Il suffit que quelqu’un passe dans le couloir et m’entende. Ca ferait joli, la stagiaire qui s’envoie en l’air avec le kiné !

Sa bouche est merveilleuse ses mains continuent à me limer en changeant de rythme. De plus en plus vite, puis doucement, puis encore plus vite. Il rentre un  troisième doigt Je n’en peux plus, je me cabre d’un seul coup, un orgasme puissant me transporte sur une autre planète.

Loïc ne me laisse pas le temps de souffler. Il se redresse, dirige son sexe vers l’entrée de mon vagin et commence à rentrer tout doucement. Ses trois doigts on déjà fait une partie du travail. Je l’aide en écartant mes lèvres avec mes mains. Je vois sa bite disparaître au fur et à mesure jusqu’à entrer entièrement en moi. Je la sens bien, elle me rempli trop, elle est trop grosse. J’ai l’impression que je vais craquer. Il bouge doucement d’avant en arrière et mes sensations reviennent en force.

Malgré sa taille, il me fait du bien avec quelques brèves pointes de douleur. Je sens une chaleur m’envahir à nouveau et nous gémissons ensemble, nos souffles se faisant de plus en plus rapides.

Il sort de moi presque entièrement pour y replonger violemment, de plus en plus violemment. Mon sexe s’est fait progressivement à sa taille, et je ne ressens plus que du plaisir.

Une des mains de Loïc me triture les seins, les tétons. Il me fait presque mal mais bizarrement j’adore. Ca me fait gémir, mouiller encore plus.

S’en m’en rendre compte, je crie de plus en plus fort :

-Oh oui, vas-y, ce que tu es gros, ça me fait tellement de bien, continue, ne t’arrête pas. Oui lime moi, oh je vais jouir…

Un deuxième orgasme me traverse, puissant, énorme.

Loïc accélère le rythme et me rejoint dans un cri.

Je m’écroule par terre à côté de lui. Il me prend dans ses bras et nous avons besoin de plusieurs minutes pour nous calmer.

 

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