24 janvier
Aujourd’hui c’est dimanche. Demain je commencerai ma dernière semaine de stage au centre de rééducation. Tant mieux.
Je crois que je me suis fait prendre pour une poire. Loïc a bien joué avec moi. Après notre épisode de la balnéo, il m’a évité, me disant juste bonjour et au-revoir.
Vendredi j’ai donc décidé d’avoir une petite discussion avec lui. Il m’a laissé sur ma faim la dernière fois, j’aurais tellement aimé encore goûter les joies du sexe avec lui.
Et pourquoi pas démarrer une relation plus sérieuse ?
Je ne lui ai pas mentit quand je lui ai dit que pour moi la différence d’âge ne compte pas.
Je ne dis pas que je suis amoureuse, non. Mais j’aurais pu le devenir. Et je lui en veux de m’ignorer depuis qu’il a eu ce qu’il voulait.
Vendredi donc, à la première occasion, en fin de matinée, je vais le voir pour discuter :
– Salut Loïc, je voudrai parler avec toi s’il te plait.
– Oui, vas-y, qu’est-ce que tu veux ?
– Ce que je veux ? Pas grand chose. Je me demande juste pourquoi tu m’ignores ! Qu’est-ce que je t’ai fait ?
– Rien du tout, c’était très bien lundi mais t’emballe pas. Tu veux quoi d’autre ?
– Quoi d’autre ? Quoi d’autre ? Et c’est tout ? Pour toi c’était que du cul ?
– Attend, stop. Tu t’es imaginé quoi ? Que je suis célibataire ? Qu’on va se mettre ensemble et vivre une grande histoire d’amour ? Et bien ma pauvre fille, je vis déjà avec une femme que j’aime, qui m’a donné deux enfants que j’adore. Et tu voudrais que je foute tout ça en l’air pour toi ? Tu rêves ! Oui j’avais envie de toi, oui c’était très bon mais basta. On a baisé mais ça me suffit. Je ne veux aucune relation. Alors désolé si tu as cru autre chose mais entre nous ce n’est pas possible. Maintenant je vais manger. Salut.
Et il me plante là, toute con, à la limite de pleurer et de foutre le camp.
Voilà, je me suis encore fait avoir. Mon histoire de nouvel an ne m’a donc servi à rien. Je vais finir par croire que c’est mon destin, de me faire baiser et larguer.
Mais le pire c’est que je garde en moi le bonheur de la jouissance que Jérôme et Loïc m’ont apporté. J’ai vraiment adoré me faire prendre comme ça, par des inconnus, comme une fille facile.
Je vais prendre mon mal en patience, il me reste une semaine de stage. Je serai de nouveau avec les infirmières, donc plus besoin de manger avec Loïc et toute l’équipe.
Hier, samedi, j’ai repensé à tout ce qui m’arrive en ce moment. Je ne sais pas si je suis dans une période particulière de ma vie mais j’ai des envies de sexe tout le temps.
De toute façon, ce qui c’est passé avec mes deux dernières aventures est très bizarre pour moi. Je n’ai pas pour habitude de me jeter dans les bras ou sur la bite du premier venu.
Mais je ressens des choses particulières dans mon ventre, des petits fourmillements que j’essais de faire taire.
Ce n’est pas toujours facile, bien au contraire. Je prends de plus en plus régulièrement mon Bob, mon ami fidèle, qui ne quitte pas sa place dans le tiroir de ma table de chevet, à côté de mon canapé que j’ai transformé en lit.
Mon jouet intime est d’une couleur argent, tout lisse, d’un diamètre et d’une longueur moyens. Ce qu’il faut pour me soulager.
Donc hier soir, en repensant à mes aventures, je me sens toute « chose » à l’intérieur de mon ventre. J’ai envie de me faire du bien. Seulement je ne veux pas me masturber comme d’habitude. Enfin, disons que je ne peux pas utiliser ma chatte pendant quelques jours. Alors que faire ?
J’ai tellement envie de mon orgasme. Et si… Non… Et pourquoi pas ? Faudrait essayer, savoir quelle sensation cela ferait. Oui, je veux parler de mon petit trou, mon anus.
Il est vierge mais dans les films que je regarde de temps en temps, cela a l’air de leur faire tellement de bien.
Bon, j’avoue, j’en regarde un peu plus souvent que de temps en temps. Un ancien petit copain m’y a initié pendant quelques mois. Je n’arrive plus à m’en passer !!
J’ai même tout ce qu’il faut dans ma table de chevet : du gel intime . Et oui, avec mon ex, je n’avais pas toujours envie de faire l’amour alors j’étais parfois assez sèche. Pour lui faire plaisir on le faisait quand même mais avec du lubrifiant.
Je prends donc mon gel que je badigeonne sur mon Bob. Je m’en mets aussi une noisette sur mon petit trou. Ca fait une sensation bizarre. C’est froid. Et ça glisse beaucoup; Normal, c’est fait pour ça !
D’une main, je tiens mon Bob, et de l’autre je prends un livre. Mais pas n’importe quel bouquin. Je suis fana depuis quelques mois de livres érotiques. J’en achète régulièrement et je les dévore en quelques heures.
Les passages les plus émoustillants, je les repère et les relis en compagnie de Bob.
Je fais passer mon god sur ma chatte, mes lèvres et je continue comme ça pendant quelques minutes. Je suis vraiment dans ma lecture. Cette fille qui se fait prendre en sandwich par deux hommes… Ca me rend toute chose.
Il est temps de passer au sérieux de l’action. Je commence des petites pressions sur mon anus avec Bob, tout léger d’abord, puis de plus en plus fermement. Le bout commence à rentrer, puis sortir, puis re-rentrer, toujours plus loin.
En fait je n’ai même pas mal. La sensation est inhabituelle mais la chaleur monte en moi progressivement. Mon poignet frotte à chaque passage sur mes lèvres et mon clitoris. Celui-ci se réveille doucement.
Mon livre est depuis longtemps posé sur le côté de mon lit, mes yeux fermés, mon imagination toujours braquée sur la fille et ses deux compagnons. Je me dis : dommage, je n’ai qu’un god !
J’ai maintenant les deux mains sur mon Bob, une par devant et l’autre par derrière. Le frottement de mon poignet sur mon clitoris me fait voir des étincelles. Je continue de rentrer mon god dans mon cul, de plus en plus loin, et de le ressortir. Je fais des mouvements de va et vient qui me font d’un seul coup monter au plafond !
Mon orgasme est violent et très long. Mes spasmes me prennent tout le corps, et n’en finissent plus.
Comme c’est bon ! Je ne connaissais pas ça par le vagin. Quelle sensation étonnante. Est-ce que c’est pareil avec une vraie bite ? Aurai-je le courage d’essayer la prochaine fois avec un homme ?
31 janvier
Enfin mon stage est fini. Cette dernière semaine a été très dure car un de mes professeurs est venu me noter sur un cas pratique.
Pas de chance pour moi, ce n’était pas Mr Dupont, mon super prof, mais une femme que je n’apprécie pas trop. Elle est assez coincée, toujours en tailleur jupe. Je crois même que je ne l’ai jamais vu sourire.
Je m’en suis tout de même bien sortie, 16 sur 20. J’ai du accueillir un patient, lui faire le bilan prévu et le doucher.
Les infirmières et aides soignantes m’ont offert un joli bouquet de fleurs. Moi j’ai ramené du gâteau pour tout le monde. J’ai connu une très bonne ambiance au sein du centre de rééducation. Même si je ne restais plus beaucoup avec les kiné et ergo, le personnel soignant a été très gentil avec moi, me montrant tout ce que je devais voir. Les patients ont tenus quasiment tous à me faire la bise et me souhaiter bonne chance pour le reste de mes études.
Je suis donc libérée de se stage, très enrichissant mais il me devenait dur de côtoyer Loïc tous les jours.
Si il aime sa femme, il ne la trompe pas, tout simplement.
Je lui en veux de m’avoir fait espérer quelque chose de plus sérieux qu’une simple partie de jambes en l’air.
Mais c’est tout moi ça, je m’emballe trop vite pour un homme. J’ai un cœur d’artichaut. Je tombe vite amoureuse mais je crois que je me lasse tout aussi vite de mes petits copains. Je n’ai pas l’âge non plus de me marier et d’avoir des enfants. Je tiens à avoir mon diplôme et à travailler quelques années.
Enfin bon, demain retour à l’école. Je vais revoir Mr Dupont. Mes amis me manquent aussi un peu. Quand je suis en stage, je ne les côtoie plus beaucoup. Nous sommes éparpillés dans la ville et trop fatigués le soir pour se retrouver. De plus, selon les stages, certains ont des horaires décalés, de matin ou d’après-midi, ce qui fait que nous ne trouvons pas toujours de créneaux horaires pour se voir.
Cette nuit j’ai fait un drôle de rêve : j’étais retournée dans la boîte échangiste et j’y retrouvais… Loïc !
En fait, j’ai revécu la même soirée qu’à nouvel an, mais avec lui, et plus Jérôme. Très bizarre. Mais quand je me suis réveillée ce matin, j’étais toute trempée. Ma main a glissé dans le tiroir de ma table de chevet pour prendre Bob, et je me suis fait du bien toute seule pendant quelques minutes.
J’étais encore dans mon rêve et ma main a trouvé toute seule le chemin à faire prendre à Bob. Mon vagin était déjà assez humide pour que mon god rentre d’un seul coup à l’intérieur de moi.
Ca fait un bien fou de se réveiller comme cela. Ca met de bonne humeur tout de suite.
Quel bonheur l’orgasme du matin!!
Je crois que je n’oublierai jamais la bite super bien proportionnée de Loïc. Il vient me hanter dans mes rêves, dans mes fantasmes. Il faut que j’arrête et que je passe à autre chose. Mais je n’y arrive pas. Nos ébats me trottent continuellement dans la tête.
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