1er février
Aujourd’hui il m’arrive quelque chose de génial : un coup de foudre !!
J’ai repris mes cours ce matin et surprise, un nouvel élève est arrivé dans notre classe. Il s’appelle Mickaël et son père qui est militaire vient d’être muté dans notre ville. Il a donc dû changer d’école.
Il est grand, musclé, bronzé (il vient du sud), les cheveux bruns, les yeux verts très clair. On a envie d’y plonger pendant des heures.
Sa voix est assez grave, rauque. Pleine de sensualité.
Et devinez quoi ? Le professeur qui nous fait cours sur les maladies infectieuses nous a séparé en groupe de deux pour faire des exposés. Et je suis avec Mickaël !
Notre sujet portera sur les maladies sexuellement transmissibles.
Je crois que je me suis fait des ennemies parmi les filles de la classe. Il leur reste toujours Mr Dupont. Moi je prends Mickaël.
Nous convenons ensemble de nous retrouver chez moi le lendemain soir, pour commencer notre exposé, rassembler nos idées. Ce sera plus facile chez moi, j’habite tout près de l’école, et il n’y aura pas ses parents et petits frères et sœurs pour nous déranger. Je lui donne donc mon adresse. Faut que je pense à faire mon ménage du coup. Je ne suis pas maniaque, mais pas non plus une souillon.
Ma vaisselle peut traîner trois jours dans l’évier, ça ne me dérange pas. Mais si je sais que quelqu’un vient chez moi, je range tout correctement. Et puis, il ne manquerait plus qu’il tombe sur mes strings mis à sécher sur mon radiateur !!
De plus, j’ai un petit studio. Si je commence à réviser, j’en mets partout, feuilles, livres, stylos…
3 février
Aujourd’hui je n’ai pas de cours. Je suis restée au lit pour faire une très bonne grasse matinée. Ca faisait longtemps que ça ne m’était pas arrivé. Ca fait du bien.
Je me suis couchée bien tard hier soir. Nous avons beaucoup travaillé avec Mickaël sur notre exposé. C’est un garçon très sérieux. Il est venu avec plein de documentations sur les MST, comme on les appelle.
De plus, il a un ordinateur portable qui va bien nous servir.
Il nous faut donc trouver et expliquer les MST les plus fréquentes, et les différents symptômes associés.
Nous passons toute la soirée à rechercher les informations nécessaires, à les réécrire sur l’ordinateur, en les mettant en forme.
J’ai mis un fond sonore à la télé, une chaîne de musique. Et j’ai toujours des bières au frais. Il faut bien se désaltérer de temps en temps.
Mais plus la soirée avance, plus je me sens bien, détendue. J’en ai besoin car nous n’avons pas un sujet facile. Je rougis assez facilement quand il est question de termes à connotation sexuelle. Enfin, uniquement en présence d’autres personnes en face de moi. Ce qui n’est pas le cas quand je regarde des films porno toute seule.
Et ce soir il y a beaucoup de termes sexuels. Les modes de transmission de ses maladies sont en partie sexuels, pour les symptômes, c’est beaucoup sur les parties sexuelles, sexuelles, sexuelles… Les mots tournent dans ma tête !!
Je remarque quand même que Mickaël a aussi de plus en plus de mal à écrire sur l’ordinateur. Les lettres se mélangent.
Nous décidons donc d’arrêter là pour ce soir, car nous avons bien avancé dans l’exposé et ne sommes plus capable de rien.
Il est quand même 23h.
Nous finissons notre bière en parlant de tout et de rien. Il m’en dit un peu plus sur lui.
Il a 22 ans, et est célibataire. Son père part souvent en déplacement ou en mutation, et ses petites copines se lassent vite des relations longue distance.
Il était avec une fille pendant deux ans. Quand elle l’a quitté, il a eu du mal à s’en remettre. Mais c’est vrai qu’une histoire d’amour est dure à gérer lorsque 800 kilomètres séparent le couple.
Il préfère maintenant prévenir tout de suite les filles qu’il ne cherche rien de sérieux. Tant qu’il n’est pas installé quelque part avec un boulot fixe, il ne s’engagera pas.
Pas banal le bonhomme. Il dit direct à une fille qu’avec lui ce n’est pas du sérieux. Le pire c’est qu’il m’avoue que ça marche bien. Les filles lui courent toutes après.
Tant mieux pour lui. Ce n’est pas dur de vouloir être avec lui, il est gentil, a l’air vraiment sérieux à l’école au vu de l’exposé, et surtout il est beau comme un dieu. Bref, le mec idéal pour une jeune fille. On a envie qu’il nous prenne dans ses bras et plus si affinité !
Faut que je me calme, je vais devenir toute rouge et il ne comprendra pas ce qui m’arrive ! Rougir toute seule, faut le faire quand même.
Il prend congé vers minuit. Il a encore trente minutes de marche pour arriver chez lui, et demain il a cours lui. Nous ne sommes pas dans le même groupe de travaux pratiques.
Nous nous faisons la bise pour nous dire bonne nuit. Il m’effleure juste le bras en même temps. Quelle sensation ! Nous nous regardons un long moment dans les yeux puis il se retourne et part.
Que voulait dire ce regard ?
8 février
Aujourd’hui, nous sommes lundi.
Les jours défilent à toute allure, c’est incroyable. Les cours et nos devoirs ensuite m’épuisent. L’hiver est trop long aussi, il n’a pas fait beau depuis longtemps. Ce temps gris me tape sur les nerfs.
J’ai hâte que le soleil revienne.
Ce week-end a été morne. J’ai beaucoup de devoirs à rendre la semaine prochaine, alors du coup, je n’ai même pas pris l’air. Je suis restée chez moi, avec la musique en fond sonore, à plancher sur mes cours. J’ai aussi un mémoire qui commence à prendre forme.
Le seul moment de bien dans le week-end, c’est le samedi soir, à minuit. Commence alors le film X d’une certaine chaîne du satellite.
Mais comme je suis fatiguée en ce moment, j’ai du mal à rester éveillée jusqu’à minuit. La semaine dernière, je me suis endormie à 23h30 pour me réveiller avec le générique de fin du film. J’étais en colère !
Samedi j’ai réussi à rester réveillée. L’histoire était assez sympa. Si je vous assure, des fois y a des histoires. Bon, qui ne tiennent pas forcément la route très longtemps, normal, c’est un film X. Faut bien finir par avoir du sexe.
Donc l’histoire : dans un hôpital, sacrée coïncidence, les infirmières distribuaient des soins particuliers aux patients. Et les médecins eux, soignaient les infirmières. Tout le monde y trouvait son compte.
Une scène en particulier m’a énormément émoustillée : l’infirmière se plaint d’avoir mal entre les jambes et le médecin l’ausculte. Il la fait mettre sur une table gynécologique avec les pieds dans les étriers.
Et il prend le spéculum pour le lui enfoncer dans le vagin. Faut bien voir de quoi elle souffre. La pauvre à l’air d’avoir mal, on voit bien que quelque chose la démange ! Et il faut que le spéculum fasse des va et vient, pour savoir si elle n’a rien de grave, bien sur.
J’aime bien dans les films X voir les filles se mettre des objets dans leurs trous, god ou autre. Je vis vraiment les scènes sur mon canapé.
Mais le spéculum et vite remplacé par autre chose, bien vivant et chaud, la bite du médecin, qui la laboure comme ça, sur la table d’examen.
Il finit par lui juter dessus et elle le remercie de l’avoir si bien soigné.
Les patients sont vraiment heureux d’être à l’hôpital. Les infirmières sont aux petits soins pour eux.
Et moi sur mon canapé, je suis aux petits soins de mon vagin, avec l’appui de Bob bien sur.
Après ça, en général je passe une très bonne nuit.
Mais en ce moment, je n’ai pas la très grande forme.
En plus, j’ai l’impression que Mickaël m’évite. Nous ne nous sommes pas revu pour finir notre exposé, et c’est à peine s’il me dit bonjour le matin.
Je décide donc d’aller le voir pour nous expliquer.
– Salut Mickaël.
– Salut Camille, comment vas-tu ?
– Moi ça va, mais j’ai l’impression que tu m’évites. Il y a quelque chose qui ne va pas ?
– En fait, oui. Je suis rentré trop tard la dernière fois et mon père n’était pas très content. Du coup, je ne peux plus venir chez toi le soir. Je ne sais pas comment te le dire mais nous ne pouvons plus nous voir.
– Attends, on ne doit plus se voir uniquement à cause de ton père ? C’est quoi cette blague ? Dis-moi vraiment ce qui te tracasse.
– Je t’assure, mon père est très autoritaire. Ce n’est pas pour rien qu’il est militaire. Il veut que je ne pense qu’aux études et pas aux filles. En plus, il s’est passé quelque chose entre nous chez toi. Notre dernier regard m’a fait des frissons dans le dos. Je ne comprends pas trop ce que ça veut dire, et je préfère prendre mes distances.
– Je ne comprends toujours pas. Tu as peur de quoi ? De tomber amoureux ? T’inquiètes pas, moi aussi je tiens à mes études et je suis sérieuse. Je tiens quand même à finir notre exposé. Tu peux toujours venir chez moi un après-midi.
– D’accord, si tu y tiens. Mercredi je n’ai pas cours et mon père travaille.
– OK pour moi, tu viens vers 14h ?
– OK. Salut.
– Salut.
Décidément je n’y comprendrai jamais rien aux garçons !
Un regard lui a fait peur. Mais peur de quoi ?
14 février
Aujourd’hui, j’ai enfin le temps d’écrire tout ce qui m’est arrivé depuis lundi. Par quoi commencer ?
Mercredi, après-midi très enrichissant avec Mickaël.
Il est venu comme convenu à 14h. Et nous avons beaucoup travaillé pour arriver à finir notre exposé. Cela s’est même très bien passé. Nous avons discuté de tout et de rien.
J’ai l’impression que le courant passe bien entre nous. Mais je ne veux pas aller trop vite, peur de le faire fuir à nouveau.
A 16h30, nous avons enfin fini. Il n’a plus qu’à tout imprimer chez lui, et on peut le rendre à notre professeur demain. Ensuite, on fera notre exposé devant la classe.
Je sors alors une bière pour chacun, histoire de fêter un peu la fin du travail et je m’installe à côté de lui sur le canapé. J’allume la télé et je mets juste une chaîne de musique. Après-midi spécial slow ! Ca tombe bien. Ca met directement l’ambiance que je voulais.
Nous parlons de choses et d’autres, de la formation, des stages qu’il a déjà fait, de ses projets professionnels.
La bière aidant, on se déride bien et nous en venons à parler de sujets un peu plus brûlant : les petites amies ou pour moi, petits copains.
Il me redit qu’il n’est jamais resté longtemps avec une fille. Mais il ne m’a pas tout dit :
– En fait, j’ai un petit problème qui m’empoisonne l’existence : je suis du genre violent quand je n’ai pas ce que je veux. Je ne ferai jamais aucun mal à une fille, mais je ne suis pas tendre du tout lors de mes rapports. Je ne sais pas d’où ça vient. J’effraie toutes mes petites copines qui me croient méchant et dominateur.
– Ah bon ? A ce point là ?
– Je ne sais pas pourquoi je te raconte tout ça, je crois que j’ai trop bu.
– Mais non. Si tu veux, je te raconte aussi quelque chose de personnel, comme ça on sera à égalité ?
– Ok.
Et je me mets à lui raconter ma soirée échangiste. Moi aussi j’ai trop bu je crois. Je suis dans un drôle d’état. Je passe sur les détails mais je lui dis l’essentiel. Que quand j’ai en face de moi un mec qui me plait, je suis prête à faire beaucoup de choses cochonnes.
Et oui, je me suis fait prendre pour une conne, mais j’ai adoré cette soirée, j’en garde un bon souvenir. Pas du mec mais du plaisir que j’ai eu.
Je n’ose plus le regarder dans les yeux, mais ça me soulage d’en avoir parlé avec quelqu’un.
– Et bien, me dit-il, je n’aurai pas imaginé que tu sois comme ça. Tu fais tellement sérieuse en classe. Mais ne t’inquiète pas, je ne le dirai à personne.
– Merci. Je crois que j’ai un peu trop bu. Et oui, il ne me faut pas grand chose ! Je vais aller faire du café, tu en veux un ?
– Oui, merci, et après je vais rentrer.
Le café est vite fait. Mais cela me permet de m’activer un peu pour cacher ma gêne. Je suis quand même une incorrigible pipelette.
Il m’a fait une confidence alors j’ai voulu lui en faire une aussi.
Je me pose pas mal de questions par rapport à ce qu’il m’a avoué. Il devient violent pendant l’amour. Oui, mais agressif ou méchant ? Ou alors plus brute que la moyenne ? Cette confession ne me rebute pas du tout. Cela aiguise plutôt ma curiosité et mon envie de lui.
Nous buvons notre café en silence, en regardant les clips de musique à la télé.
Je me sens somnolente. Je remonte les pieds sur le canapé et pose ma tête sur ma main. Mes yeux se ferment tout seul.
Dans mon rêve, quelqu’un me touche les jambes, remonte de long de mes cuisses pour arriver à mon sexe. L’autre main me caresse tout doucement les seins à travers mon t-shirt. Bien évidement, je n’ai encore pas mis de soutien-gorge !!
J’émerge de mon sommeil en ouvrant les yeux, pour découvrir les mains de Mickaël toujours sur moi. Je tourne la tête pour le regarder. Dès qu’il s’en aperçoit, il arrête tout de suite de me toucher. Cela me fruste.
-N’arrêtes pas, lui dis-je.
Il se penche alors vers moi pour m’embrasser et nous nous retrouvons allongés sur le canapé, lui au-dessus de moi.
Il a un bon goût de café dans la bouche. Sa langue caresse la mienne, ses mains reprennent leur exploration sur mon corps, s’égarent sous mon t-shirt, me l’enlève rapidement.
Je fais pareil avec le sien et je découvre un torse superbe, tout en muscles et bien bronzé.
J’ai de la chance : je tombe toujours sur des mecs bien foutus!!!
En plus il embrasse vraiment bien. Ses lèvres sont douces, sa langue avide de découvrir la mienne, de jouer avec, de lui tourner autour de plus en plus vite.
Ses mains descendent le long de mon ventre, cherchent la fermeture de mon jean, essaient de l’ouvrir.
Malheureusement pour lui, il n’y arrive pas. Son baiser devient un peu plus rude au fur et à mesure qu’il s’acharne sur mon pantalon. Moi j’ai déjà déboutonné le sien et j’essaie de le faire glisser le long de ses jambes.
D’un seul coup, il tire de toutes ses forces et me casse la fermeture ! Mon pantalon s’ouvre enfin mais il est bon à jeter à la poubelle.
Ce n’est pas grave, mon excitation commence à atteindre des sommets.
Nous nous débarrassons de nos derniers vêtements et nous retrouvons nus sur le canapé. Je le savais : il est super bien membré.
Oh, pas autant que Loïc, mais très honnête quand même.
Une de ses mains descend vers mon sexe, l’autre s’attarde sur mes seins, les malaxant l’un après l’autre.
Je commence à gémir, et lui aussi. De plus en plus fort. Deux doigts rentrent d’un seul coup dans mon vagin, sans préparation préalable. Mais dans mon état d’excitation, je suis déjà tellement mouillée que ça ne me fait pas mal.
Sa main sur mon sein se fait plus brutale. Ses doigts titillent mon téton gauche, avant de passer au droit, de le pincer, le tordre, le tirer.
Je ne veux pas rester inactive mais je n’arrive pas à reprendre mes esprits. Ses doigts dans mon vagin rentrent et sortent de plus en plus vite.
Mes deux mains se crispent dans son dos, les ongles se plantent dans sa peau. Ca le fait réagir encore plus durement.
Ses doigts sortent de mon vagin, tout de suite remplacés par sa bite qui rentre d’une seule poussée. Je pousse un cri qui tient plus de la douleur que du plaisir mais je ne veux pas qu’il s’arrête.
Sa deuxième main libre vient en renfort de la première sur ma poitrine. Mes deux tétons sont triturés en même temps.
Je ne sais pas si je dois souffrir ou jouir mais en tout cas ces sensations cumulées me rendent folle. Sa bite me lime sans douceur mais coulisse avec facilité grâce à ma mouille.
Mickaël gémit de plus en plus fort, avec de petits grognements. Je dois lui faire aussi mal avec mes ongles qui montent et descendent le long de son dos, mais je n’arrive pas à m’arrêter.
Il me fait mal, alors je lui rends la pareil.
Mais ça à l’air de décupler son plaisir.
Et le mien grâce à ses mains et sa bite qui me donnent des sensations ambigües.
Je ne sais toujours pas si je dois avoir mal ou avoir du plaisir. Je décide de surfer sur la vague de jouissance, de me concentrer sur mes sensations.
Et l’orgasme arrive, surpuissant, me laissant tremblante et au bord de l’évanouissement.
Mickaël accélère le mouvement et soudain se retire de moi et viens se branler au-dessus de ma tête. Il décharge son sperme sur mes joues, ma bouches, mes yeux, mon menton.
Je veux connaitre son goût alors je sors ma langue et je me lèche les lèvres.
Nous nous retrouvons dans les bras l’un de l’autre sur le canapé, tremblants, essouflés, en sueur.
Nous n’avons même pas besoin de nous parler, nous devons déjà reprendre notre souffle.
Au bout de dix bonnes minutes, il commence à parler :
-j’espère ne pas t’avoir fait mal ? Je t’avais prévenue, je peux être violent mais je ne prends mon pied que comme ça.
-Ne t’inquiète pas, même si j’ai eu un peu mal, le plaisir l’a emporté sur la douleur. Je pense même que ça l’a décuplé.
-Tu veux bien recommencer alors ?
-Oui, mais je t’en prie, pas tout de suite. Laisse-moi récupérer un minimum !!!
-De toute façon je dois rentrer chez moi et je ne veux pas d’ennuis avec mon père.
Et il est parti, me laissant nue sur mon canapé, avec dans la tête les images de nous deux pendant l’amour. Enfin, je devrai plutôt parler de baise, car je pense que ce n’était pas de l’amour mais bien de la baise à l’état brut.
Je n’ose pas me lever, de peur de marcher en crabe.
Mais franchement, je n’avais jamais connu ça.
Je reste même un peu sur ma faim. J’aurai tellement voulu le prendre en bouche pour le sucer. Je ne l’ai même pas pris en main, pas caressé, pas gouté la douceur de la peau autour de son membre, de son gland.
Oups, je dérive.
Je ferai mieux d’aller prendre une bonne douche et ensuite au lit.
J’espère bien revivre tout ça dans mes rêves.
CETTE HISTOIRE VOUS A PLU ? N’OUBLIEZ PAS DE LA COMMENTER ET DE LA PARTAGER !
Vous êtes auteur ? Cliquez sur ce lien pour lire quelques conseils d’écriture
Abonnez-vous à la page Facebook de MesHistoiresPorno et des Nouveaux Interdits : https://www.facebook.com/nouveauxinterdits