Camille, jeune étudiante, 6

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Frédérique Marchal


confessionsoftteen


20 mars

Le temps continue à défiler à toute allure.

Je n’ai pas une seconde à moi en ce moment. Je croule sous le travail scolaire. Je dois finir mon mémoire dans les temps pour le déposer et j’ai encore un dernier stage à faire. J’ai appris cette semaine que j’allais l’effectuer dans le service médical de la fac, avec une de leurs infirmières.

A moi les petits étudiants !

Non, j’ai dit que je me calme niveau mec. Je ne veux plus me faire avoir. La seule chose qui m’embête, c’est que je suis grave en manque de sexe. Mon Bob ne me suffit plus. Alors j’essaie de me concentrer sur mes devoirs, mais ce n’est pas simple.

Un petit livre d’anatomie me met dans tous mes états. Les planches de dessins du corps humain m’émoustillent, ça devient grave Docteur.

En cours, je ne peux pas m’empêcher de regarder en direction de Mickaël et je repense à nos deux séances de sexe, un peu brutales mais tellement jouissives !

Je n’arrive toujours pas à comprendre pourquoi il ne veut plus me voir. C’est vrai qu’en cours il est super sérieux, presque le meilleur de la classe, mais y a pas que les cours dans la vie.

Je suis sûr qu’on aurait pu faire un bout de chemin ensemble. Notre devoir sur les MST a cartonné, nous avons eu la meilleure note.

En même temps je ne le vois pas avec une autre fille non plus, ça me rassure. Il ne m’a pas lâchée pour une autre au moins.

Faut que j’arrive à le sortir de ma tête, et de ma chatte.

Allez, je me motive, je commence mon dernier stage de formation demain et je dois être en forme.

 

3 avril

Déjà une semaine de stage, je ne l’ai pas vu passer.

Le service de médecine préventive de la fac est constitué d’une équipe super dynamique, infirmière, médecin, psychologue et même des assistantes sociales. On peut proposer également des consultations spécialisées comme un tabacologue ou un gynécologue (ça me rappelle quelque chose…).

Le rythme est très soutenu et je n’ai pas le temps de m’ennuyer. J’accueille les étudiants, les aide à remplir un questionnaire, prends les premières constantes comme la tension et les dirige vers leur consultation.

Il y a plus d’étudiantes que d’étudiants, malheureusement pour moi. Je ne peux pas beaucoup me rincer l’œil. Mais j’ai eu certains moments sympathiques dans le cabinet du médecin lors d’auscultations en sous-vêtements.

Les étudiants en sport sont particulièrement bien foutus. Avec les muscles bien dessinés, de belles fesses, un dos et un torse sculptés.

Je suis très discrète mais me fait cependant remarquer par deux/trois jeunes qui m’adressent un clin d’œil en repartant.

Je me suis même surprise à regarder le corps des filles, bien proportionnées. De beaux seins, des jambes interminables, la peau bien douce. Je crois que je suis vraiment en manque de sexe moi !

Voilà que je mate les filles. Ca tourne pas rond, franchement. Je me surprends même à me demander l’effet d’une langue féminine dans ma bouche, des doigts tout doux et tout fins m’effleurer le corps et descendre jusqu’à mon intimité. Mais la question essentielle que je me pose, c’est de savoir si une fille pourrait me combler entièrement, il leur manque un appendice pour moi indispensable au grand finish, une bonne bite. C’est vrai qu’il existe des jouets comme mon Bob mais pour moi ça ne remplace pas la chaleur humaine.

En fin de journée, j’ai pris l’habitude de rester encore au bureau pour finaliser tous les dossiers de la journée, les ranger et travailler sur mon mémoire. J’ai la chance d’avoir accès à un ordinateur donc je ne me prive pas.

Les locaux sont vite désertés par les employés qui n’ont qu’une hâte, rentrer chez eux, retrouver leur famille, faire leurs courses…

Demain, le gynécologue a sa consultation à la médecine préventive. J’ai regardé son planning et il n’est pas trop chargé. Je vais lui demander de m’examiner, j’ai une sorte de petit bouton sur une lèvre. Ca me démange un peu et ça me fait peur. Pourtant ça fait des semaines que je n’ai eu aucun contact à risque avec un mec.

J’espère qu’il pourra me trouver un créneau.

 

10 avril

Et voilà, une semaine de plus dans mon stage. Et quelle semaine ! Il m’est arrivé tellement de choses et j’ai hâte de les écrire.

Pour commencer, lundi je suis arrivée en demandant à la secrétaire de me rajouter si possible sur le planning du gynécologue. Elle m’a donc mis un rendez-vous en fin de journée, après les consultations déjà prévues.

Quand le gynécologue est arrivé, je suis restée sans voix. Un beau jeune homme qui doit avoir à peine fini ses études, bien bâti, brun avec les yeux bleus cachés derrière des lunettes. Je ne savais pas que des lunettes pouvaient rendre aussi sexy.

Du coup, je me suis dit que je ne pourrai jamais me déshabiller devant lui, je serai trop gênée. Et lui dire que j’ai un bouton mal placé ? Quelle horreur !

Mais c’est impossible d’aller annuler chez la secrétaire, j’aurai l’air d’une girouette.

J’ai commencé ma journée de travail avec la tête ailleurs, complètement gênée de ma consultation qui ne fait que de se rapprocher au fur et à mesure que le temps passe.

Comment je vais faire si je deviens toute rouge, il va voir qu’il me fait de l’effet. Et si je mouille sur la table d’examen ? C’est clair qu’il le verra direct.

Oh lala, je me sens de plus en plus mal moi !

Quand je regarde dans la salle d’attente, je ne vois que des filles avec de grands sourires devant la porte du gynécologue. Elles ont l’air bien content de se retrouver là. Et lorsqu’elles sortent, elles ont un sourire encore plus grand. Mais il leur fait quoi au juste ?

La fin de journée arrive, les employés commencent à partir des bureaux. Il reste encore deux jeunes filles devant chez le gynécologue. La secrétaire me demande alors si je peux gérer seule afin de rentrer chez elle.

Oui, bien sur, je connais le fonctionnement maintenant, finaliser les dossiers et les ranger.

Lorsque la dernière fille entre chez le médecin, je me rends compte que la prochaine c’est moi. La secrétaire étant partie, je pourrai annuler mon rendez-vous mais je veux savoir ce que c’est que ce bouton, donc je n’ai pas vraiment le choix.

Je vais devoir y passer, à la casserole, euh, non, pas à la casserole, à l’examen médical !

La fille sort du bureau, je range son dossier et je me retourne juste quand le médecin arrive derrière moi. Il me dit alors :

–          Je crois que vous êtres ma dernière patiente ?

–          Oui, oui, j’arrive à balbutier, je viens.

–          Vous pouvez aller vous asseoir au bureau et je vous rejoins dans deux minutes.

Je rentre alors dans le bureau et m’assoie. Je me sens un peu comme dans du brouillard, j’essaie de trouver une phrase toute faite pour lui expliquer mon problème.

Il revient, s’installe au bureau avec mon dossier et me regarde.

–          Alors, vous vouliez me voir ?

–          Oui Docteur. En fait j’ai un bouton à côté de mon bouton, euh… oui… vous savez, un bouton à côté de mon clitoris… euh… sur la lèvre, et ça me démange un peu…

Mais ce n’est pas possible, je pourrais me baffer toute seule ! Pourquoi je bafouille maintenant ? Et je lui parle de mon bouton secret en plus, il doit me trouver ridicule.

Il me regarde et me demande d’aller me déshabiller pour m’installer sur la table d’examen.

Je vais dans la petite cabine, les joues toutes rouge. Heureusement que je suis passée aux WC avant, histoire de me « lingériser » la chatte, au moins elle sent le propre.

Je m’installe sur la table d’examen, les fesses au bord, et remonte mes pieds dans les étriers. Je me sens bien vulnérable avec les jambes écartées comme ça.

Le médecin arrive et s’assoit sur un tabouret en face de moi, enfin, de ma chatte. C’est super gênant, il a une vue imprenable. Il m’examine avec ses doigts gantés, trouve le bouton, celui qui démange, l’autre il le laisse tranquille.

Il m’annonce que ce n’est rien du tout, que dans deux jours il aura disparu et me propose, tant que je suis là, de me faire un frottis.

Je me sens bien bête d’avoir paniqué pour rien, mais j’accepte le frottis. Je suis déjà les jambes écartées, autant en profiter, pas de la façon que je souhaiterai mais c’est pour ma santé.

Le gynécologue prend alors un spéculum, met de la vaseline dessus et commence à me le rentrer dans la chatte. J’ai du mal à rester stoïque mais ça me fait de l’effet quand même. Bon calmons nous, c’est juste un examen. Je regarde le plafond, compte les plaques de contreplaqué histoire de me calmer.

Il rentre un grand coton tige, me fait mon frottis et m’enlève le spéculum. Je me sens bien vide, ça fait bizarre.

Mais il n’en pas encore fini avec moi, il introduit deux doigts dans ma chatte et me fait un toucher vaginal assez long, en palpant mon ventre en même temps. Ouah, plafond, contreplaqué… Je me répète que c’est son boulot de médecin, mais c’est dur de ne pas penser à ses doigts au fond de moi.

Je comprends toutes les filles reparties du bureau avec le sourire.

C’est enfin fini et il me propose d’aller me rhabiller.

J’y cours presque, les joues toujours en feu.

Lorsque je reviens au bureau, il m’explique deux trois petites choses pour les résultats du frottis et me dit au revoir.

Je ressors, classe mon dossier, ferme le bureau de la secrétaire et rentre chez moi.

C’est bien tout ça, je suis rassurée mais j’ai la chatte en feu et personne pour me l’apaiser.

Je ne veux pas de Bob, je n’ai pas de sex friend à appeler comme ça à l’improviste et j’ai décidé de ne plus avoir de coup vite fait avec le premier venu. Mais bon sang comment me calmer ?

Une petite idée me trotte bien dans la tête, mais non, pas possible, et si… c’était bien nouvel an quand même. Est-ce que j’oserai aller « lever » un mec dans cette boite échangiste ? Ou me mêler à un groupe déjà dans l’action ?

 

17 avril

Je reprends mon écriture aujourd’hui car j’ai du m’interrompre dimanche dernier. J’avais mal à la main.

Donc, oui, il fallait que je trouve quelque chose pour calmer mon envie furieuse de sexe.

Mais de là à aller de nouveau dans cette boite ?

J’ai renoncé, déjà le temps que mon bouton parte et les démangeaisons avec.

Alors quoi faire ? Sur un coup de tête, j’ai pris la direction du sexe shop le plus proche et j’y suis rentrée. Tout d’abord sans savoir quoi prendre mais mon regard a été vite attiré par les godemichés. Pas n’importe lesquels, j’en ai vu un bizarre, avec une bite assez grosse et grande et attachée à la base une autre bite, mais de diamètre plus petit. Dans un premier temps, je n’ai pas compris puis ça m’a fait tilt, on a bien deux trous en bas, nous les filles !

Donc un gros et grand pour la chatte et un petit pour notre rondelle, plus étroit heureusement. J’ai osé, je l’ai acheté malgré le moment de gêne à la caisse lorsque le vendeur (moche comme un pou) m’explique qu’on peut l’utiliser en simple ou en double. Donc juste la grosse bite pour la chatte, avec la petite du coup qui vient caresser le clitoris, ou en double dans les deux trous.

Je suis donc rentrée chez moi, et je me suis installée devant un bon film de cul en compagnie de Double bite, nettoyé et prêt à l’emploi.

Comme j’étais déjà émoustillée par tout ce que j’ai pu voir dans la boutique, je suis bien humide.

Devant mon film, je fais passer le gros gland le long de ma fente, afin de le lubrifier un peu. Je mets de la vaseline sur le petit god, pour plus tard.

Le film est un classique mais qui marche à tous les coups. Le boulanger arrive à domicile pour livrer et « déposer » son pain dans la chatte de sa cliente, qui attendait sagement en peignoir dans sa cuisine.

Le boulanger commence à se frotter à elle, la baguette dans la main, il la lui promène sur le corps avant de sortir de sous son tablier une autre baguette, plus chaude celle-là, qui va directement dans la bouche de sa cliente, accroupie par terre, peignoir ouvert sur son corps nu.

Quand il décide d’assoir la cliente sur le plan de travail pour enfourner sa baguette bien profond, je fais de même de mon côté avec le gros god. Je n’arrive pas à décrire la sensation de mon engin forçant les parois de ma chatte pour le premier passage. C’est juste hallucinant, j’adore le premier passage, que ce soit une vraie bite ou autre chose, god ou légume (euh… oui, ça m’est déjà arrivé…). On sent on ne peut plus intimement la façon dont s’écarte le vagin pour laisser la place au membre qui va vous pilonner.

Bien évidement, vu la taille de Double Bite, je dois faire quelques aller retour avant qu’il soit bien installé au fond, bien profond, avec sa petite bite reposant sur mon clitoris.

Ca fait bizarre, je n’ai jamais rien eu d’aussi gros dans le vagin, la sensation n’est pas forcément très agréable sur le moment.

Je commence à bouger le bassin en rythme, et à faire des mouvements de va et vient avec le god. A chaque poussée le petit god vient cogner contre mon clitoris et me procure des petites décharges d’électricité. Mon vagin se moule autour du gros membre et cela me donne chaud, très chaud. J’essaie de tenir le même rythme que mon boulanger qui continue son pilonnage en règle de sa cliente sur le plan de travail.

Il la redescend, la retourne, croupe en l’air et commence à lui élargir sa petite rondelle avec les doigts. D’abord un, lentement, de plus en plus loin, puis deux doigts qu’il rentre bien profond dans son cul.

J’en profite pour retourner mon Double Bite dans l’autre sens, le petit god venant buter contre mon propre trou du cul.

Grâce à la vaseline, le bout du gland s’y enfonce sans aucun souci. J’ai deux bites en moi. Ma chatte est à moitié comblée et mon petit trou également. Je pousse de plus en plus loin, tout doucement, pour laisser le temps à mon anus de bien se dilater.

Et puis j’y suis, mes deux god profondément en moi, baisée par les deux trous. Je me sens étroite de partout.

A la télé, la cliente a désormais aussi une bite bans le cul et vu comme elle gémit, elle adore ça.

J’essaie de suivre le rythme du boulanger, mais je n’y arrive pas. Je dois faire tout doucement pour commencer, pour m’habituer à cette sensation nouvelle d’être envahit, comblée.

Je sors et rentre mon Double Bite en rythme, j’ai très chaud, les sensations sont multipliées. Je sens en moi une bulle qui monte de mon ventre à ma tête, de ma chatte à mon cul, et qui soudain explose. Je jouis comme jamais, et ma jouissance n’en fini plus, je me crispe, j’ai des spasmes qui parcourent tout mon corps, c’est trop bon.

Je fini par me calmer, Double Bite toujours enfoncé en moi et je récupère doucement une respiration quasi normale.

Je suis allongée sur mon canapé pendant que le boulanger jouit à son tour sur les seins de sa cliente.

J’extirpe mon god tout dégoulinant de mouille et je n’ai plus qu’à aller me coucher, en espérant faire de bons rêves.

 

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