LA CHAUDASSE DU JARDIN PARTAGÉ, PARTIE 3

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Frederic Gabriel


ondinismetabouuro


LA CHAUDASSE DU JARDIN PARTAGÉ, PARTIE 3

C’était très curieux, car toute ma vie, ainsi, quoi que je fasse, et dans quoi que je me lance, le sexe m’avait ainsi accompagné. Des femmes avaient croisé mon chemin, et étaient venues vers moi, pour des raisons que je ne m’expliquais pas, et que je n’avais pas cherché à éclaircir. Etais-je attirant, y avait-il quelque chose en moi qui leur laissait penser qu’elles pouvaient, avec moi, réaliser leurs fantasmes ? J’avais eu bien souvent l’impression qu’elles se disaient qu’en ma compagnie, elles pouvaient mettre à jour leurs fantasmes les plus secrets, simplement parce que j’avais l’esprit ouvert.

Je réfléchissais à cela en buvant des verres d’eau glacée. Il était une heure de l’après-midi, et je devais rejoindre Christelle d’ici une heure… Elle venait de m’envoyer un SMS dans lequel elle m’avait écrit : « Je veux que tu arrives avec la vessie pleine à exploser. »

Quand j’ai pris la voiture pour aller la rejoindre, et alors que dans l’heure qui avait précédé, me gaver d’eau ne m’avait rien fait, j’ai senti soudain le poids de celle-ci contre les parois de ma vessie. Ça a d’abord été quelque chose de diffus, puis de plus en plus intense. Ça ne s’est d’ailleurs pas matérialisé comme une envie, mais plutôt comme une pression, de moins en moins supportable, à mesure que j’avançais dans la ville.

Sans doute parce que j’avais bu beaucoup d’eau, mais aussi parce que je m’étais conditionné pour me retenir jusqu’au moment fatal, quand je suis descendu du véhicule, je n’ai pas ressenti une envie d’uriner, mais plutôt que j’avais bloqué celle-ci, qu’elle était plus forte que d’habitude, et que je contrôlais la situation, et que je la contrôlerais jusqu’à ce qu’elle me fasse signe, pour me dise de me libérer.

Elle habitait dans un quartier de la ville qui datait des années cinquante ou soixante, des pavillons dont certains étaient vétustes, d’autres au contraire avaient été rénovés. Le sien appartenait à cette catégorie. Elle devait me guetter, car, quand je me suis garé, j’étais à peine descendu de voiture qu’elle ouvrait la porte, apparaissant sur le pas. J’ai senti mon sexe se durcir. Christelle était vraiment une belle femme, un quarantaine épanouie, une belle silhouette, et avec la capacité à se mettre en valeur. Un instant, j’ai trouvé étrange qu’une femme sexy comme elle puisse ainsi aimer les jets de pisse. Mais c’était créer un rapport étrange entre beauté physique et pratiques sexuelles. On pouvait être magnifique et avoir des goûts hors normes, et sans doute fade et aimer la position du missionnaire.

Quand j’ai été tout près d’elle, elle m’a sauté au cou, et pris la bouche. J’ai senti la chaleur de son corps contre moi. J’étais tout dur, et je me suis demandé comment je pourrais accomplir son fantasmes, mais les choses se sont mises en place naturellement, comme si la nature avait pu se caler en fonction de nos envies. Quand j’ai voulu me soulager sur elle, j’avais suffisamment débandé pour que l’urine puisse sortir, et quand je l’ai pénétrée, j’étais redevenu dur.

Sors ta queue et arrose-moi de ta pisse, maintenant.

Mais… Devant tout le monde ?

A cette heure ci tout le monde est parti travailler… Mais si ça perturbe quelques vieilles voyeuses, ça sera très bien.

Il était vrai aussi, j’y ai pensé après, que ma position par rapport à elle faisait que, sur quasiment tous les angles notre activité serait masquée… Et puis après tout… Si quelqu’un devait nous voir… Tant pis…

Elle a extirpé ma queue de mon pantalon.

Waou, j’ai l’impression que tu es encore plus gros que hier soir… Ou alors, c’est parce qu’on était dans la nuit… Elle est belle ta queue…

Tu sais ça ne rétrécit pas avec l’âge… La queue dure, et l’envie, le désir, on les garde très longtemps, même si les gens pensent qu’au-delà d’un certain âge, il n’y a pas ou plus de sexualité…

C’est bien ce que je vois, elle a répondu en me caressant doucement la verge.

Elle l’a lâchée, me laissant la reprendre dans ma main pour que je me vide sur elle. Il y avait un double obstacle, il fallait que je débande, mais aussi que ma vessie, qui s’était bloquée quasi automatiquement, se débloque. C’est venu rapidement, et j’ai libéré un premier jet d’urine, court, qui est venu tremper une première fois le tissu de sa jupe, faisant une tache sombre au dessin irrégulier. Elle a eu un petit rire, clair et joyeux, et m’a dit :

C’est exactement ce que je voulais.

Une fois le mouvement amorcé, les choses se sont déroulées naturellement. J’ai lâché des traits courts sur elle, en m’efforçant de tremper toute la surface du tissu. Notre pratique était à mi chemin entre des jeux d’enfants, puérils, pour ne pas dire imbéciles, et des jeux d’adultes, plus vicieux et plus excitants. D’ailleurs ça me faisait bander, et j’étais constamment dans un aller-retour entre une érection plus marquée, et un dégonflement que je m’imposais, nécessaire pour que l’urine sorte. J’ai bien trempé la jupe, ensuite je suis remonté sur la veste, trempant aussi le T-shirt sur lequel s’ouvrait cette dernière. Le tissu s’assombrissait, celui du T-shirt est devenu transparent. Elle s’est tournée, me présentant son dos. Ses fesses tendaient sa jupe, bien proéminentes, et c’est elles que j’arrosais en premier. Elle a commenté :

Cette urine chaude, c’est comme une caresse contre moi. T’as pas idée comme ça m’excite… J’ai l’impression que mon clitoris a triplé de volume ! J’ai toujours aimé les jeux de pipi, depuis l’adolescence. C’est une copine qui m’a entraînée là-dedans… Elle exerçait plus ou moins une domination sur moi. On jouait à des jeux lesbiens, un jour, elle m’a faite m’agenouiller, elle a soulevé sa robe, baissé sa culotte blanche et elle m’a inondée de pipi, longtemps… J’ai joui plusieurs fois, sans même me toucher. Depuis, je suis obsédée par ça. Le seul problème, c’est de trouver un partenaire qui ne trouve pas ça sale.

Tu en as trouvé un je crois, j’ai répondu, en l’arrosant de plus belle.

Quand j’ai eu délivré la plus grande partie du liquide qui m’encombrait, devant comme derrière, elle était inondée.

Viens, on rentre.

Je me suis retrouvé dans un grand living clair. Elle avait eu la précaution, cela m’a amusé, de recouvrir les tapis et les deux divans de bâches.

Elle m’a entraîné vers un des deux divans qui se trouvaient en face à face et m’a poussé dessus. Momentanément libéré, même si je sentais bien que j’avais encore des réserves, j’étais tout dur. Je devais bien le reconnaître, ces jeux m’excitaient aussi.

Elle a retroussé sa jupe. Dessous, ses jambes gainées par le nylon de bas stay-up, son sexe était nu, et il marquait effectivement, comme elle me l’avait affirmé, toute son excitation, dilaté au point de laisser voir son intérieur, rose, le clitoris dardé et effectivement très long, plus que la veille en tout cas, preuve que ce qu’elle disait était vrai, et que tout ce qui avait trait à la miction l’excitait effectivement.

Elle a attrapé la boite de capotes et m’a rapidement gainé d’un ruban de latex tiré d’un emballage d’alu… Son sexe a gainé le mien, le frottant. Elle s’est faite monter et descendre sur moi avant de s’immobiliser. J’ai compris pourquoi quand j’ai vu la partie supérieure de son sexe saillir, et son urètre partir en avant. Elle a poussé un petit cri, sans doute parce que, comme pour moi, elle était bloquée, avant de lâcher un trait, plus long que le mien, qui est venu fouetter ma chair. Elle m’a arrosé de plusieurs traits copieux, qui se sont répandus sur mon ventre, montant jusqu’à mon torse, avant de couler autour de moi. Heureusement, effectivement qu’elle avait mis du plastique partout…

Elle a adopté ce rythme, lâchant plusieurs traits d’urine, puis se faisant à nouveau monter et descendre sur moi, me laissant me demander ce qui lui procurait le plus de désir, se vider sur moi ou sentir mon sexe aller et venir contre ses muqueuses. C’était une question stupide, car l’évidence, c’était que les deux réunis  et additionnés lui procuraient autant de plaisir. Elle se frottait le clitoris, et je crois bien que je n’en avais jamais vu d’aussi gros. Il semblait s’allonger sous mon regard, illusion ou réalité. Ma seule certitude, ça a été que les trois mélangés, jeux de pipi, nos sexes imbriqués, et son doigt sur son clitoris ont amorcé en elle une série d’orgasmes qui l’ont fait se tordre sous mes yeux, en criant de plus en plus fort. Je me suis dit que de tels moments, je voulais en vivre encore, et que je voulais la revoir, et jouer à d’autres jeux ondinistes. Puis je n’ai plus pensé pendant quelques secondes, parce que j’ai joui, explosant dans son ventre, en crachant mon sperme dans la capote.

On en n’avait pourtant pas fini. Elle s’est arrachée à moi, et a basculé à quatre pattes, tendant vers moi sa croupe, bien charnue, et que sa position ouvrait, laissant voir ses muqueuses. Elle a planté son regard dans le mien, une manière de me dire : « Viens ! »

Elle n’avait pas besoin de m’en prier. Je me suis dégagé de la capote, dont le réservoir était rempli de sperme, et je l’ai arrachée. J’étais encore tout dur, moins sans doute, mais ça a été parfait pour l’arroser, d’abord sur cette croupe dont le charnu me fascinait, puis ensuite, j’ai visé ses muqueuses… Je ne pensais que cela aurait autant d’effet. Elle s’est littéralement tordue. Je crois bien qu’elle a joui à nouveau, et de manière répété4, mais cette fois en perdant vraiment le contrôle. Quand mes ressources ont été épuisées, je suis venu sur elle et je l’ai pénétrée à nouveau. J’étais surexcité, et je devais me retenir pour ne pas jouir tout de suite. J’avais l’impression de n’avoir jamais été aussi long ni aussi dur. J’avais rarement regretté mes expériences concernant le sexe. Là, c’était vraiment très bien. Elle se frottait le clitoris comme une damnée. J’ai glissé ma main entre ses cuisses, à la rencontre de la sienne, et j’ai bougé avec elle… C’est peut-être ça qui l’a faite jouir à nouveau, ou alors de sentir à nouveau le sperme jaillir, ou encore de se libérer d’un jet d’urine qui a duré longtemps, et m’a éclaboussé.

Trempés de pipi, on s’est enlacés, complices comme je l’avais rarement été avec une fille. La vie est parfois curieuse. Il avait fallu ce biais pour que nous nous rejoignions vraiment.

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