La fille était à l’accueil, qui attendait. Son regard s’est illuminé, et son corps a frémi quand elle m’a aperçu. Ses lèvres se sont ouvertes, celles de sa bouche, et elle m’a dit:
—Viens!
C’était une envie partagée, intense. J’ai trouvé curieux de passer d’un étage à l’autre, d’un corps à l’autre, mais la vie, au final, est faite de situations décalées. Elle m’a entrainé dans la pièce même où on avait bu le café quelques minutes plus tôt.
—Tu pousses la porte, je lui ai demandé, en remarquant qu’elle ne le faisait pas.
—Je suis obligée de surveiller si quelqu’un arrive…On va se mettre un peu au fond, il y a de l’ombre.
Je n’en étais pas vraiment sûr, et je me suis senti un peu mal à l’aise, mais très vite, le désir a surmonté ce malaise. Elle m’a défait, avec un sourire ravi, et elle m’a mis à nu.
—Dis donc, tu as sacrément envie, toi.
Comment lui expliquer qu’elle avait commencé à m’allumer, mais qu’ensuite, il y avait aussi eu le moment avec Madame X…, et qu’au final, ces deux situations m’avaient rempli de désir, et dilaté ma queue? Mais sans doute n’ignorait-elle rien de ce qui se passait ici, et des envies de la femme. Elle a enserré ma queue dans sa main, sans trop appuyer, et elle s’est mise à me caresser doucement. Ma queue s’est mise à suinter, un liquide abondant qui a poissé sa main et ma chair. Elle est descendue plus bas, sur mes couilles, les malaxant doucement. J’adorais qu’on me touche par là, et le plaisir s’est imposé en moi. J’ai tendu les mains vers elle pour attraper l’ourlet de sa robe, et je l’ai redressée, avec l’envie d’une caresse mutuelle. J’ai écarté le tanga pour avoir accès à son sexe, qui m’est apparu différent de celui que j’avais touché deux étages plus haut, une toison intacte, couleur miel, bien fournie, qui passait en travers d’un sexe ouvert et finalement aussi coulant que celui de madame X.… J’ai amené mes doigts sur elle. Dès le premier contact, hyper sensible, elle a gémi. J’ai tourné sur ses lèvres, avec la surprise de voir apparaître son clitoris en haut de celles-ci, et à travers les poils, s’érigeant sous mes yeux, fin mais très long et qui n’en finissait pas de grandir. Chaque femme avait décidément un sexe qui ne ressemblait à aucun autre. J’ai senti ses sécrétions couler sur mes doigts, et envahir la paume de ma main. On s’est caressés mutuellement, sa main sur mon sexe, la mienne sur le sien, avant qu’elle n’aille chercher dans son décolleté un préservatif emballé.
—J’ai été le chercher dans le bureau du Bureau Information Jeunes pendant que tu étais là haut. Il y a un bocal avec plein de préservatifs.
Elle a déchiré l’emballage et a sorti un préservatif qu’elle a tendu, le latex résistant à l’extension pour venir le resserrer sur ma queue en pleine érection et le faire descendre jusqu’à la racine de mon membre. On avait la même envie, elle d’être pénétrée, moi de la pénétrer, et elle a approché ma queue enveloppée du latex de ses lèvres, pour que je rentre en elle. Elle était plus petite que moi, mais par chance, elle avait des talons qui la rehaussaient. Ma queue a glissé en elle de quelques centimètres, je ne pouvais pas, vu notre position, aller plus loin, et la sensation de son sexe autour de moi, une muqueuse souple et délicate, m’a submergé, comme, vu son expression, sa bouche entrouverte pour lâcher un soupir, la présence de ma queue en elle l’a remplie de sensations fortes.
On est restés comme cela pendant plusieurs minutes, moi faisant aller et venir le bout de ma queue qui était fiché en elle, éprouvant les sensations de son sexe autour du mien, sa chaleur, son humidité, elle frottant son clitoris dans un mouvement circulaire, ce dernier à présent très long, comme une étonnante antenne qui serait sortie d’elle. On a trouvé du plaisir dans ce jeu à deux, jusqu’à ce qu’elle me dise:
—J’ai envie que tu me prennes vraiment maintenant. Et puis, on ne peut pas s’éterniser, tôt ou tard, c’est mathématique, quelqu’un va arriver.
C’était vrai qu’il n’y avait encore personne dans l’entrée, mais c’était certainement une question de minutes avant que quelqu’un ne se présente. Et éventuellement ne nous voie, car je n’étais pas convaincu que nous n’étions pas visibles.
Elle a dégagé ma queue de son sexe pour venir se placer dans une autre position, se pliant en deux au dessus de la table sur laquelle étaient étalés les machines et le nécessaire pour les garnir. Elle s’est penchée, tendant vers moi sa croupe, allongée et charnue, l’ouvrant ainsi sur les plissements de son anus. Entre ses cuisses, son sexe était boursouflé d’excitation. Elle s’est tournée vers moi, et elle m’a dit:
—Viens, fouille moi bien et fais moi jouir.
Je me suis glissé dans son sexe, cette fois rentrant plus complètement. Elle a poussé un soupir quand elle a senti que la tête de ma queue venait cogner contre son utérus. J ‘ai esquissé  un premier mouvement, plutôt long, un aller et retour, et que j’ai voulu aussi lent que possible, la faisant gémir.
C’est à ce moment-là que j’ai remarqué la femme.
Elle venait d’arriver dans l’entrée. Elle devait avoir une quarantaine d’années, pas très grande, un corps fin, un minois gracieux encadré par une chevelure brune bouclée. Elle portait un tailleur rouge cerise, avec un T-shirt blanc sous la veste.
Elle cherchait quelqu’un pour l’accueillir, son regard tournant autour d’elle, et il s’est posé sur nous très rapidement. Nous avions glissé d’une zone dans laquelle nous n’étions pas visibles, et encore, je n’en étais même pas vraiment convaincu à une zone de haute visibilité, dans laquelle nous pouvions parfaitement être vus.
Elle a été surprise, et pourtant, en même temps, elle a esquissé un petit sourire. J’ai compris qu’elle ne partirait pas en hurlant nous dénoncer, mais qu’au contraire, elle ressentait du plaisir et du trouble à nous voir.
Elle a observé pendant quelques secondes, prenant du plaisir me voir fouiller les parties intimes de la belle rousse avec ma queue, avant d’oser franchir les quelques mètres qui nous séparaient pour nous rejoindre et prendre sa part. Surprenant ma partenaire qui a eu un instant une expression de panique, mais n’a pas bougé, parce qu’elle avait envie, comme moi, d’aller jusqu’au bout.
La jolie quadra brune s’est d’abord positionnée tout près de nous, roulant sa jupe à sa taille, dévoilant ses jolies formes, hanches bien marquées, ventre et sexe visibles sous un collant transparent, qu’elle a baissé pour se caresser. Elle s’est mise à se frotter avec énergie sous nos yeux, même si cela ne lui suffisait apparemment pas. Elle est venue s’accroupir au dessous de nous, et, tout en caressant un sexe que j’apercevais du coin de l’oeil, à présent bien dilaté et humide, elle est venue balader sa langue sur nos deux sexes, léchant ce qu’elle pouvait, la surface de ma queue quand celle-ci sortait de la vulve de ma partenaire, les lèvres bien étalées du sexe de ma partenaire, et mes couilles gonflées, sa caresse buccale envoyant de l’électricité dans mon ventre. C’est elle, qui, après que la jeune rousse ait éclaté dans un orgasme, et parce que je n’avais pas encore joui, a sorti ma queue dilatée du vagin de la jeune femme, l’a mis à nu en faisant glisser la capote, et l’a fourré dans sa bouche, alors que j’allais jouir, pour boire mon sperme sans en laisser perdre une goutte, spasme après spasme.

 

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