comme une envie de sexe partie 1

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alex condamines


au travailenceintetabou


On avait fait la pause café. Installée sur un fauteuil à roulettes, sa tasse à la main, elle avait fait glisser le siège jusqu’à moi resté à mon poste de travail. Je me suis tourné. On était face à face.
—J’ai envie de sexe.
Je l’ai regardée, un peu surpris. Cela faisait un an et demi que je la connaissais, et je ne l’avais jamais entendue aborder le sujet, fut-ce pour une vanne mal placée.
—Avant je n’y pensais pas énormément, elle a continué. C’était lui qui venait me chercher. Mais depuis que je suis enceinte…Pas au début…Je crois que ça a été le premier mois…Et après…Ca a tourné à l’obsession…Je ne fais que penser à ça, matin, midi et soir…Je n’ai jamais été comme ça…Je me fais honte.
—Faut pas, j’ai répondu, un peu désarçonné par cette confession. Et c’était vrai que je n’aurais pas naturellement associé le goût du sexe à sa personne. c’était d’ailleurs ironique, car c’était une jeune femme vraiment magnifique, que tous les hommes regardaient, mais qui, contrairement à d’autres, parfois moins jolies, n’était absolument pas attirée par les plaisirs de la chair, alors qu’elle aurait pu avoir tous les partenaires qu’elle voulait, et passer avec eux des moments intenses. Elle était l’exemple même de ces femmes, ravissantes, qui passaient leur vie dans le quasi dégout de la sexualité, et n’avaient pas la chance de connaître le bonheur de faire l’amour. Elle s’était d’ailleurs mariée très tard, après une très longue période de célibat.
—Tu veux que je te dise…Devant les yeux, j’ai des images en permanence…Comme si je regardais des films pornos, à part que c’est moi qui les crée les films pornos, avec mon imagination…Je suis devenue malsaine…Je m’imagine faisant l’amour avec des hommes que je croise dans la rue, ou des hommes que j’ai connus…J’imagine des scènes, des positions…Je n’ose même pas te décrire…Oui, j’ai trop honte…Et puis n’y a pas que ça…
—Ah bon, j’ai dit.
Je commençais à être sérieusement émoustillé par sa narration…
—Je me suis mise à regarder des pornos…Tu te rends compte? Moi, qui jamais n’en avais regardé même par curiosité…Je les regarde, et je m’imagine être à la place de la fille qui fait l’amour. Oh la la…D’ailleurs j’ai découvert plein de choses que je ne connaissais pas…
Et puis c’est pas tout…
Question confession, c’était vraiment la totale. Elle avait décidé de se libérer de tout ce qui lui pesait sur la conscience. Pourquoi moi? C’était une bonne question.
—Je passe mon temps à me branler…Dix fois, vingt fois par jour…J’ai le sexe en feu, et j’ai envie de me toucher…Alors j’arrête ce que je fais et je me caresse….Et je vais jusqu’au bout…Je me fais jouir. Le problème, c’est que dix minutes après, j’ai envie de recommencer.
Je me suis demandé si j’avais bien entendu le terme ‘branler’…C’était bien la première fois que j’entendais dans sa bouche un mot vulgaire. Elle aurait pu dire ‘me caresser, me toucher’, même ‘me masturber…’ Oui, d’évidence, elle était en pleine décadence. Une nouvelle Charlène se tenait devant moi.
—Et j’imagine que tu te tripotes AUSSI en regardant des films pornos?
— Ben oui..Il y a des scènes qui m’excitent trop…
—Comme quoi?
—Ce qui m’excite le plus c’est…C’est quand je vois des filles qui prennent des queues énormes qui rentrent en elles et qui bougent dedans…C’est basique, mais c’est ça que je voudrais..Des queues dans mon ventre toute la journée pour m’apaiser…Parce que j’en peux plus…J’ai trop envie de sexe.
—Mais ton mari?
Elle m’a jeté un regard désabusé.
—Depuis qu’il sait que je suis enceinte, il ne me touche plus…Toujours la même histoire, tu vois.
Il y a eu une pause. Et puis soudain, elle s’est cambrée, tendue, et elle a soulevé la robe de grossesse qu’elle portait, jusqu’au niveau de son ventre, gonflé. Dessous, elle avait juste un collant qui enveloppait sa chair. Je ne savais pas précisément à quel mois de sa grossesse elle en était, mais elle avait un gros ventre, tendu et je trouvais cela excitant.
—Je supporte plus de mettre de culotte, alors je mets juste un collant…Tant pis si on voit mon cul… Si je pouvais, je me baladerais à poil…
J’ai eu envie de lui dire que ça ferait plaisir à tous les hommes qui travaillaient avec elle, et sans doute aussi à quelques filles aussi…
Elle avait les jambes entrouvertes, elle les a ouvertes un peu plus, et elle m’a dit:
—Tiens, regarde l’état de ma chatte, elle est tout le temps excitée.
J’ai glissé le regard entre ses cuisses, et effectivement, son sexe n’était pas au repos, une simple fente découpée dans ses chairs dont rien ne serait sorti. Il était tout gonflé, entrouvert sur son intérieur, les lèvres dehors, elle-mêmes épaisses, et il y avait de l’humidité qui marquait ses chairs, mais qui mouillait aussi le collant. Je me suis même rendu compte qu’en haut de ses lèvres, son clitoris sortait, un petit bout de chair qui dépassait de la gaine qui l’enveloppait normalement. Oui, aucun doute à ce sujet, elle était bien excitée.
—J’ai envie que tu mettes ta queue dedans. Ca me fera du bien…T’es pas obligé de la laisser longtemps…Juste une minute ou deux que ça me calme…Parce que là, j’en peux plus…Et que tu frottes un peu à l’intérieur…Ca serait possible, tu crois?  Si tu veux, tu la mets pas entière, juste un bout. Tu sais, j’ai pensé un moment m’acheter un gode…Mais je me suis dit que ça ne remplacerait jamais une queue bien chaude…
Je dois bien avouer que je n’ai pas su quoi dire. Charlène et moi on était collègues depuis cinq ans. On se connaissait bien, on s’entendait bien. Il n’y avait jamais eu l’ombre d’une dispute entre nous. Elle était d’une grande gentillesse, et en même temps un peu trop naïve. Et bien sûr pas consciente de l’impact qu’elle pouvait avoir auprès des hommes. Elle avait une manière de s’habiller qui n’incluait nullement l’impact que celle-ci pouvait avoir auprès de la gent masculine, sans doute parce qu’elle ne s’estimait justement pas potentiellement attirante. On avait tous un souvenir de Charlène plus marquant qu’un autre…Un sein qui se barre de son décolleté en réunion, Charlène grimpée sur une échelle le long d’une étagère pour attraper un dossier en mini-jupe avec juste un string dessous…
Mais je n’aurais jamais imaginé qu’on en arrive là.
Difficile de dire que je n’en avais pas envie. Charlène, on l’avait tous regardés avec du désir, en sachant qu’elle était inaccessible. Mariée, heureuse en ménage.
Et là  une porte s’ouvrait.
Et puis son corps de femme enceinte me troublait énormément. Autant que le récit qui l’accompagnait.
—On finit à 14 heures…Tu pourrais passer chez moi…Mon mari est en voyage. Il rentre dans la nuit…Il ne rentrera pas à l’improviste, il n’y a aucun problème…
—Tu ne crois pas que c’est à lui de faire ça?, j’ai objecté.
—Non, il est vraiment pas intéressé, elle a répondu, amère. Dès que je lui ai dit que j’étais enceinte…Fini…Après il me présente sa queue, mais il me demande de le masturber ou de le prendre dans ma bouche…Et moi ça me suffit pas…Même si c’est mieux que rien…Je me caresse pendant que je le masse, et je me fais jouir…Je suis même pas sûre qu’il s’en rende compte…
Elle a baissé la voix, avant d’ajouter.
—Tu peux pas faire quelque chose là, déjà, maintenant? Pas me pénétrer, je voudrais juste que tu frottes ta queue contre mes lèvres deux minutes. Ca me ferait déjà du bien…
Je crois que mes vannes ont cédé d’un seul coup. Je m’y refusais, et puis…J’avais trop envie…
—Pas ici…On va aller aux toilettes. Pars la première…
Elle a eu un petit sourire, qui voulait sans doute dire qu’elle était heureuse d’être parvenue à me convaincre.
Les toilettes étaient juste à côté du bureau que nous partagions. Mais je tenais à être discret. Elles étaient mixtes. Une grande pièce, simple, avec deux cabines et des lavabos.
Elle m’attendait dans une cabine, le collant au niveau des genoux, le ventre offert.
—J’ai envie de sortir ta queue de ton pantalon.
L’ancienne Charlène n’aurait pas du ça. Mais elle avait disparue, habitée par un démon maléfique. Je l’ai laissée faire.
—Oh mon Dieu, elle est trop belle. Exactement ce dont je rêvais. Une bonne queue bien longue et bien dure…Dis donc, je vois que ma proposition ne t’a pas laissé indifférent…
C’ était bien le cas.
Elle l’a attrapée. Son visage exprimait une félicité sans pareil.
—Oh mon Dieu, déjà tenir une queue…Une queue aussi belle..
On avait tous les deux, bien loin de nos préoccupations de bureau, le regard baissé vers nos sexes. J’étais tout raide, gorgé de sang, et elle, son sexe s’ouvrait dans des proportions impressionnantes, baillant vraiment sur son intérieur. En même temps, un liquide visqueux coulait d’elle, d’abord deux ou trois filets, puis un véritable ruissellement, le long de ses cuisses, puis sur ma queue quand elle l’a posée contre elle. J’ai d’abord pensé qu’elle se pissait dessus, mais c’était juste les sécrétions issues de son excitation, l’odeur, intime, intense, le disait clairement.
Elle a amené mon gland, tout gonflé, contre ses lèvres. La sensation, le relief de ses lèvres, l’humidité chaude, m’a envoyé une décharge d’électricité dans le corps, un condamné à mort aux USA n’en recevait pas autant. Elle a poussé un long gémissement.
—Oh que c’est bon…
Je me suis rendu compte que des larmes coulaient de ses yeux. Mais ce n’étaient pas des larmes de tristesse. Plutôt de joie.
Elle a un peu utilisé ma queue comme elle aurait utilisé un pinceau, la faisant aller et venir sur l’ouverture de son sexe. Elle semblait en plein nirvana. Mais je ne valais pas mieux. Je me croyais au dessus d’elle, qui était en manque, mais les sensations étaient tellement fortes que j’éprouvais un plaisir intense, et surtout, j’avais le sentiment que j’allais jouir. Alors que je n’avais pas envisagé ce schéma au départ, je pensais lui donner du plaisir à elle, mais rester moi nettement en retrait.
Elle a remonté mon gland sur son clitoris, et elle l’a obstinément caressé…Elle s’est mise à trembler, elle s’est cambrée. Sans doute que si on avait été dans un autre lieu, elle aurait hurlé, mais elle avait quand même conscience que, si on était dans les toilettes, un peu isolés, et surtout si quelqu’un était par hasard rentré, qu’on n’ait pas entendu, pousser des hurlements de plaisir n’était pas forcément la chose à faire.
Ca faisait déjà quelques secondes que je sentais la jouissance monter en moi, et sans aucun doute, la voir ainsi jouir devant moi a été un sorte de déclencheur. J’ai été traversé par un orgasme qui a vraiment été délicieux, et, sous son regard qui a semblé émerveillé par ce jaillissement, j’ai commencé à napper sa chair d’une crème blanche qui sortait de moi jet après jet, source qui ne semblait pas prête de se tarir. Il était vrai que je n’avais pas eu l’occasion d’un rapport depuis plusieurs semaines, ceci expliquant peut-être cela.
Elle a ramassé mon sperme du bout des doigts, en plusieurs fois, et elle l’a avalé, avec une expression extasiée, comme si c’était la meilleure des substances. Je me suis dit que l’ancienne Charlène n’aurait vraiment pas fait cela. Mais elle avait disparu, enfouie sous la nouvelle Charlène.
Elle a laissé redescendre sa robe, je me suis rajusté après m’être rapidement nettoyé. J’ai tiré la chasse d’eau pour masquer nos activités coupables, avant d’entrouvrir la porte de la cabine. Personne dehors. Je me suis arrêté au lavabo pendant qu’elle sortait, la première.
On a passé le reste de notre journée de travail dans une atmosphère étrange. Elle avait une expression extatique sur le visage, qui tenait sans doute autant à ce qui s’était passé qu’à ce qui allait se passer, tel qu’elle l’envisageait, et moi je repensais à ce moment intense.
Il y a eu quelques moments sympathiques. Ainsi, elle a tiré de son sac une boite de préservatifs, apparemment neuve.
—Je l’ai achetée hier…Je pensais que tu dirais oui…J’ai envie de sentir ton sperme sortir en moi. Quand ça vient taper contre mes parois intimes, ça me rend folle.
Puis elle m’a dit après:
—Tu crois que ça va être possible avec mon gros bide? Oh, ben oui, il y a plein de solutions envisageables…
Et elle s’est mise à crayonner sur une feuille de brouillon. je ne savais pas qu’elle dessinait aussi bien, plutôt dans le style caricature. Sur l’une de ces caricatures, elle était à quatre pattes, et juste derrière, une silhouette masculine, avec une queue dressée s’approchait d’elle, alors qu’elle tournait la tête avec un sourire radieux sur le visage. Sur la deuxième, elle était assise sur un sexe d’homme, l’homme derrière elle, invisible, on voyait son gros ventre, et sa queue entre ses lèvres. Elle m’a balancé la feuille.
—Tiens, ça te donnera des idées.
Je suis resté rêveur devant le dessin, évocateur, avant de le ranger rapidement, parce qu’un collègue arrivait dans le bureau.
On approchait des quinze heures qui devaient nous permettre l’un comme l’autre de boucler une journée de travail commencée tôt, et qui, en temps habituel nous aurait vus l’une comme l’autre rentrer chez nous, pour nous retrouver le lendemain matin. Mais tout allait être différent.
—Tu connais mon adresse? Je t’y attends, elle a dit, se redressant avant de m’offrir un dernier panorama de son intimité, avant de partir, incitatif bien sûr, au cas où j’aurais changé d’avis. Elle a soulevé la robe, tournant sur elle-même pour me présenter aussi ses fesses. Elle avait toujours eu un derrière plein et rebondi, la grossesse l’avait augmenté de manière spectaculaire mais sans aucun doute aussi très excitante. Elle a laissé retomber la robe, et elle a disparu.

 

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