J’avais encore du travail à faire. Je suis resté un quart d’heure de plus, avant de partir et d’aller la rejoindre. J’avais très envie, mais en même temps je me demandais si c’était une bonne chose. J’étais un peu gêné d’avoir une relation avec une femme mariée. Si la situation avait été inversée, je n’étais pas sûr que j’aurais apprécié qu’un homme vienne glisser sa queue dans le vagin de ma femme, même si moi je n’y rentrais plus et qu’elle était très frustrée. En même temps…Ce serait peut-être la seule fois de ma vie que je pourrais faire l’amour à une femme enceinte. C’était un fantasme standard chez un homme, et je ne pensais pas qu’il puisse me traverser aussi. Les dernières semaines m’avaient prouvé le contraire.
Elle habitait une belle maison aux tons ocres dans la banlieue. J’ai soigneusement évité de me garer devant chez elle.
Elle devait me guetter car, quand je suis arrivé, à pied, elle a ouvert la porte. Elle m’a balancé en plein visage un sourire immense, et son corps. Elle s’était changée, elle portait un caleçon noir, et un T-shirt blanc, qui disaient l’un comme l’autre qu’elle ne portait absolument rien d’autre.
Dès la porte refermée, elle s’est plaquée à moi, me faisant sentir le double volume de son ventre et de ses seins. Elle est venue chercher ma bouche, pour un baiser qui s’est éternisé, sa langue accrochant la mienne. Oui, c’était une évidence, au cas où j’aurais oublié, elle avait envie de pas mal de choses. C’était plus que de la frustration. Un manque qui avait la taille d’un gouffre.
Elle s’est légèrement reculée.
—Je t’ai montré mes nénés?
Là, ils n’étaient plus enveloppés dans son soutien-gorge, mais nus. J’ai été impressionné, même si, contrairement à pas mal d’hommes, je ne faisais pas de fixation sur les poitrines féminines. Mais la sienne, ainsi gonflée, m’a troublé. Avant, elle avait une belle poitrine, sans excès. La grossesse lui faisait le même effet que de la levure chimique sur un gâteau. Ses seins étaient distendus, ils avaient bien pris un tiers de volume.
e qui m’a vraiment troublé, c’étaient ses tétons. Ils étaient en érection, et je n’étais pas sûr que ce soit du à l’excitation, mais plutôt à sa grossesse. Et il y avait une goutte de liquide qui en pendait.
—Prends les dans ta bouche…Ca les calmera. Ils sont en feu en permanence. Tu sais que j’arrive à jouir en me les caressant…Avant, il ne se passait rien…Et là..Si tu les suces, elle a précisé, il y a du liquide qui va sortir…Ca m’arrive depuis quelques semaines.
Pour mieux me le prouver, elle a pressé le bout de ses seins, et il y a eu deux petits jets de lait qui sont sortis. J’ai été un peu surpris parce que je pensais que le lait ne sortait qu’après l’accouchement, pas avant.
J’ai amené ma bouche sur le premier téton, je l’ai englobé de ma bouche, et j’ai caressé le téton. J’ai senti un liquide chaud couler dans ma bouche, pendant qu’elle poussait un long gémissement.
—Ah ça me fait du bien, ça m’apaise…
Le liquide qui sortait d’elle, avait un drôle de goût, qui ne ressemblait à rien que je connaissais. Ca avait un peu le goût du lait de vache, mais c’était différent. Ni plaisant, ni écoeurant. J’ai tourné sur ses tétons, sans que ça déclenche des jaillissements de lait à chaque fois. Surtout, je les sentais bien épais dans ma bouche, j’avais déjà sucé des tétons, je n’en avais jamais eu d’aussi volumineux, et je sentais qu’ils grossissaient encore.
Sa main gauche a glissé entre nous, venant d’abord descendre le caleçon, puis frotter son clitoris, qui s’érigeait en parallèle de ses tétons, avant de venir me défaire pour m’attraper la queue, et la tenir fermement, comme si elle avait du disparaître dans les secondes qui suivaient. Elle m’a masturbé doucement.
C’était vraiment très bon d’être ainsi avec elle. Au final, je ne regrettais pas d’être venu. Il y avait une dimension étrange, tout était exacerbé, comme son corps, ses sens…C’était sans nul doute différent de tout ce que j’avais pu vivre avec des femmes jusqu’à présent. Je me suis dit que ça serait bien si ça durait encore quelques semaines. Le temps qu’elle accouche. Mais on ne peut rien prévoir.
—Viens, maintenant, j’ai envie que tu me pénètres…
Elle m’a entrainé vers une chambre, qui n’était pas celle qu’elle partageait avec son mari. La culpabilité, sans aucun doute. Une chambre d’amis, avec un grand lit qu’elle avait défait, et qui ferait parfaitement l’affaire.
Elle avait posé la boite de capotes bien en évidence sur la table de nuit.
Elle avait ôté le T-shirt dans le living pour me donner ses seins, elle a fait descendre le caleçon quand on a été dans la chambre, me présentant l’intégralité de son corps difforme qui m’excitait cent fois plus que je ne voulais bien l’admettre. Elle a glissé sur le lit, se calant contre un oreiller, et se masturbant en attendant que je sois couvert d’un préservatif, frottant ses lèvres dilatées d’excitation. J’ai déchiré l’emballage, et j’en ai tiré la rondelle de plastique gluante pour venir la faire glisser sur ma queue.
Dans la vie on a souvent des surprises. Imposées par les autres. Mais on s’en impose aussi soi-même.
J’étais là, je la regardais se tripoter, le sexe béant, attendant la queue qui allait la remplir, et puis, tout d’un coup, une mini-panique s’est emparée de moi. Quelque chose dont je n’aurais pas pensé que ça puisse m’arriver. J’ai eu la vision très nette de la tête d’un sexe en pleine érection déchirant des chairs, les perforant…Causant des dommages irréparables…Une vision qui m’a horrifié…Et puis cette vision s’est quasi immédiatement estompée. Tant pis…Son envie et la mienne étaient plus fortes que tout…
Ca s’est fait très vite après…Je me suis installé sur le lit. Elle est venue face à moi, son ventre en proéminence. Elle s’est posée au dessus de moi. J’ai pensé, ce genre de pensée stupide que l’on peut avoir dans de tels moments, qu’elle allait être lourde sur moi, que ça allait peut-être bloquer les choses. Et puis elle a attrapé ma queue, l’a orientée vers l’ouverture de son sexe, et elle s’est laissée descendre. Elle m’a avalé, et s’est posée sur moi, effectivement lourde, mais ça allait. J’ai été envahi par la sensation de son sexe autour de moi, et ça m’a submergé. Le sexe était d’une femme enceinte était-il plus doux, plus chaud, plus caressant? C’était une bonne question à se poser, à laquelle je n’avais sans doute pas la réponse. Mais j’ai éprouvé un plaisir très fort. En plus, je sentais ses jus couler autour de moi, comme si elle avait voulu arroser ma queue.
—J’ai enfin ce que je veux, elle a dit, avec une expression extatique. une queue dans le ventre. Tu pourrais pas la laisser en moi, pour que je l’aie toute la journée. Qu’elle me frotte bien…
—Je te reconnais plus, je lui ai dit, alors qu’elle esquissait un mouvement pour se faire monter et descendre sur moi, son ventre ballottant sous mes yeux.
—Ca se tassera une fois la naissance accomplie.
—Et si tu restais tout le temps comme ça? Obsédée par le sexe…
Il y a eu quelque chose qui est passé dans son regard.
—Une vilaine obsédée qui ne ferait que penser au sexe jour et nuit? Ca serait terrible…
Elle se faisait aller et venir sur moi, frottant mon sexe avec constance…
On en était là, montant vers le plaisir, quand elle m’a dit:
—Je voudrais quelque chose d’autre…Enfin, si c’est possible…
Je me demandais où elle voulait en venir…Ce qu’était cet autre chose…J’ai compris quand elle est soulevée, faisant sortir ma queue d’elle. J’étais très dilaté, comme je l’étais rarement quand je faisais l’amour à une femme…A situation exceptionnelle, queue exceptionnelle…
Je ne suis pas sûr que l’ancienne Charlène aurait envisager de se faire sodomiser. Pour la nouvelle par contre, c’était une envie qu’elle a matérialisé en guidant ma queue quelques centimètres plus bas que son vagin, vers les plissements de son anus.
Je me suis dit que ça n’allait jamais rentrer. Que c’était sans doute la première fois. Elle a posé mon gland pile au milieu de tous ses plissements. Et puis il n’est passé quelque chose. J’ai vu mon gland disparaitre, rentrer totalement en elle. Le gland seulement. Je me suis demandé comment c’était possible. Est-ce que son mari la sodomisait? Après tout, je ne savais pas tout d’elle, et il était possible qu’il se passe des choses intenses dans son couple, même si elle semblait dépassée par tout ce qui se rapportait au sexe avant. Ou alors, dans la métamorphose de son corps, sa chair était devenue plus élastique…Et puis je ne me suis plus posé de questions, parce que ma queue est rentrée en elle, en glissant naturellement…Je me suis retrouvé complément fiché en elle, ma queue disparue, mais gainée par le conduit étroit dont la sensation autour de mon sexe était vraiment enivrante. Si j’avais eu des doutes, je ne regretterais pas au final d’être venu.
On s’est calés dans un nouveau cycle. Je suis venu poser mes mains au milieu de sa croupe, et je l’ai faite aller et venir sur ma queue qui apparaissait et disparaissait, le latex se souillant au fur et à mesure. Pendant que j’occupais de l’arrière, elle se concentrait sur l’avant. Elle se masturbait avec frénésie pour qu’un plaisir accompagne l’autre. Elle caressait son sexe par zone, frottant deux ou trois minutes un endroit avant de passer au suivant. Elle a commencé par se tirer sur les lèvres, une technique que je ne connaissais pas, avant de se frotter sur le clitoris. Vu sa dilatation, difficile d’ignorer quoi que ce soit de son intérieur jusqu’à l’utérus. Un instant j’ai eu la vision cauchemardesque d’un bébé sortant prématurément, jaillissant d’un seul coup. Mais pour le moment, il n’y avait que des sécrétions qui ruisselaient d’elle.
Il s’est passé trois minutes encore avant qu’elle ne commence à me faire pipi dessus.
Elle m’a dit, alors que je continuais de la fouiller:
—Je vais faire pipi…Il me pèse trop sur la vessie.
J’ai vu son urètre saillir, et un premier jet de pipi, court, chaud, a coulé sur moi. Suivi par un autre..Je ne m’attendais pas à ça…Elle m’arrosait le ventre de son urine. J’ai été un peu surpris, en même temps, j’ai trouvé ça vraiment agréable. Un plaisir supplémentaire, particulier, dans une configuration particulière. Le pipi ruisselait sur la surface de mon ventre, avant de couler sur les draps. Elle pourrait faire la lessive après…
Et puis elle a joui, en se tordant sur moi, crachant des sécrétions vaginales qui ont succédé au flot d’urine. J’ai joui en elle, incapable de résister plus longtemps.
On est partis sous la douche ensemble pour nous laver de tous les liquides qui nous avaient trempés. Elle a passé un autre caleçon, un t-shirt, et elle a mis les draps à la lessive. Elle avait préparé une tarte aux abricots. On a basculé sur un goûter.
—J’ai encore envie de sexe. Tu crois qu’on pourrait se revoir?
—Tu n’as pas peur que progressivement, tu sois handicapée par ton ventre?
—Je voudrais que tu me prennes jusqu’au moment où je rentrerai dans la salle d’accouchement.
—Beau programme.
Assez ironiquement, c’est à peu près ce qui s’est passé. Il y a eu quelque chose qui s’est passé entre nous. Elle avait envie de sexe, et moi j’avais envie de sexe avec elle, mais il s’était tissé au delà, et nous étions conscients tous les deux, quelque chose entre nous, quelque chose de puissant et intense, une sorte de lien, quelque chose de fort, qui passait en grande partie par les jeux sexuels auxquels nous nous livrions, sans limite.
Elle avait décidé de ne pas basculer tout de suite sur son congé de maternité, 6 semaines avant, 10 après. Et puis un matin, elle n’est pas venue.
J’ai eu un SMS:
Bon c’est cuit pour le moment.
La veille encore, j’étais chez elle. La première position qu’elle avait dessinée n’était plus accessible. On avait basculé sur la deuxième. Je la prenais en levrette, me glissant dans son sexe dilaté, en contemplant son énorme ventre.
On a appris la naissance dans les jours qui ont suivi. J’ai été lui rendre visite à l’hôpital, comme tous les collègues. Le gosse était moche, il s’arrangerait sans doute en grandissant. Elle semblait ravie de me voir. Elle a soulevé le drap pour me montrer sa nudité. A part sans doute quelques kilos à perdre, elle était redevenue la Charlène que je connaissais bien. Et quelque chose me disait aussi que cela s’appliquait également à ses envies. Il y avait dans ses yeux une lueur qui avait totalement disparu.
Elle est revenue dix semaines après.
J’ai levé les yeux sur elle, et j’ai immédiatement compris que l’ancienne Charlène était de retour.
Je n’ai pas vraiment été surpris.
On est repartis sur une relation plus classique.
Elle n’a jamais abordé ce qui s’était passé entre nous.
Souvent, quand je suis seul, je me branle en pensant à ces moments, uniques.
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