Il se passa encore quelques jours avant que ce qui n’était pour le moment qu’une relation inexistante commence à prendre vie et épaisseur.
Ce fut durant un autre de ces moments de pause que les apprentis avaient durant leurs semaines au centre. On leur avait aménagé un petit local qui leur était réservé, une sorte de cafétéria, mais auto-gérée, où ils pouvaient se poser pour prendre un café et manger quelque chose. Garance venait de boire un café, et se dirigeait vers les toilettes. Celles-ci étaient toujours nickel, aussi immaculées qu’impersonnelles, des carreaux blancs au sol aussi bien que le long des murs, avec des lavabos sur la droite et des cabines sur la gauche. Elle avait les mains poisseuses et elle voulait simplement se les laver. Elle s’était positionnée au niveau du lavabo du milieu. Elle avait fait gicler du savon liquide du distributeur dans ses mains, et elle avait commencé à les frotter soigneusement.
Son regard, jusque là dans le vague, s’était posé sur le miroir.
C’était à ce moment-là qu’elle s’était rendue compte que la porte d’une cabine était ouverte, en même temps qu’elle entendait un gémissement, qui n’était pas un gémissement de souffrance, mais bien de plaisir.
Pile derrière elle, dans son axe de vision, calée dans une cabine, se trouvait Stacy. A ses chevilles, il y avait un caleçon noir tassé sur lui-même ainsi qu’une culotte blanche, laissant voir ses jambes pleines et galbées, et son sexe imberbe entre ses cuisses, sexe que Garance avait déjà aperçu sous un autre angle. La différence, c’était qu’elle portait un haut décolleté dont elle avait sorti ses seins. C’était la première fois que Garance les voyait, et ils étaient conformes à ce que ses vêtements en disaient quand ils les enveloppaient. Elle avait des seines lourds, mais magnifiquement fermes, avec de larges aréoles roses et deux tétons durcis.
Elle avait les deux mains occupées. La main gauche était sur son clitoris, le caressant en tournant dessus, la main droite, elle, tripotait un téton, puis l’autre, avant de revenir au premier.
Garance avait d’abord pensé qu’il était impossible que la jeune femme l’ait suivie et se soit calée là comme une provocation supplémentaire, puis elle s’était souvenue que, juste avant d’entrer dans les toilettes, elle avait été arrêtée par une amie à elle, et qu’elle avait eu la sensation que quelqu’un passait derrière elle pour se glisser dans le local…La conversation avait bien duré cinq minutes. La jeune femme avait largement eu le temps de se préparer.
Elle l’avait en tout cas parfaitement prise dans ses rets.
Garance l’avait regardée un moment, moins focalisée sur son corps, ses caresses que sur son visage et le plaisir qu’on y lisait. Plaisir de se caresser ou d’avoir Garance près d’elle, de la provoquer, d’espérer qu’elle vienne vers elle?
Garance resta stoïque pour ne pas donner l’impression qu’elle se précipitait vers elle, même si elle en avait très envie. Elle prit le temps de se sécher les mains sous le séchoir, sans quitter la jeune femme des yeux dans le miroir.
Elle se retourna finalement, regarda la jeune femme qui continuait de se masturber, sans pudeur.
—La main d’une autre fille sur toi, plutôt que la tienne, ça te dirait?
Le sourire de Stacy lui avait dit clairement qu’elle savait avoir joué une partie et l’avoir gagnée. Elle était parvenue à ses fins. Garance en était consciente, mais, elle qui était mauvaise perdante, ça ne la dérangeait pas d’avoir perdu cette partie-là.
Elle avait glissé à genoux devant celle qui devait devenir son amante, saisie par une envie qui explosait enfin en elle, et à laquelle elle cédait, comme un barrage qui explose et libère ses eaux. Elle avait envie de découvrir le corps de la jeune femme et d’en profiter. Mettre ses mains partout. Elle commença par caresser ses jambes, tandis que Stacy continuait à se toucher le sexe. Elle avait, exactement comme elle l’avait imaginé, une peau douce et brûlante. Exactement ce qui lui plaisait. Puis elle céda à son envie la plus forte, et vint poser sa langue sur ses chairs intimes. La jeune femme écarta sa main pour lui laisser le champ libre. Son goût intime lui remplit la bouche dès les premières secondes, enivrant comme un alcool. Elle fit une première reconnaissance sur le sexe de celle qui allait devenir sa maitresse, le pourtour de son sexe, ses lèvres, son clitoris, l’intérieur de sa vulve. Ca ne devait pas être si mauvais, car Stacy tremblait de plaisir, ses deux mains à présent accrochées à ses tétons qu’elle tordait frénétiquement pour ajouter à son plaisir. Garance crut comprendre qu’elle allait jouir. Elle ne se trompait pas, car la jeune femme, se mordant les lèvres pour ne pas attirer l’attention, poussa une espèce de feulement, un braillement étouffé, ça elle l’avait bien compris, et, à la grande surprise de Garance, elle éjacula, comme l’aurait fait un homme, lâchant plusieurs jets d’un liquide crémeux qui ressemblait à du sperme, mais n’en était assurément pas.
Incapable de se retenir, et sans doute dans l’idée de lui rendre la monnaie de sa pièce et de l’aguicher aussi, Garance défit son pantalon, dévoilant un slip souillé de sécrétions, puis un sexe dilaté d’excitation, et elle se procura très vite du plaisir, emportée par un orgasme d’une rare violence.
Il y eut un temps de repos, au terme duquel les deux jeunes femmes, toujours dans l’espace de la cabine, se regardèrent, prenant conscience que quelque chose les rapprochait, qui ne tenait pas uniquement au sexe.
—Tu est libre à quelle heure ce soir?, finit par demander Stacy.
—17.
—Moi aussi. Je t’attends devant, on ira chez moi. On sera seules. Je te rendrai ce que tu m’as donné. Je te lécherai bien la chatte, et je t’enfoncerai ma langue jusqu’à l’utérus. J’ai une langue longue, tu verras. Au fait je m’appelle Stacy.
Garance revint au présent. Dans ce moment de malaise, se rappeler de ce souvenir lui avait fait chaud au coeur.
Ca avait été un bon début, et la suite avait été sans doute tout aussi bonne. Cela faisait en tout cas six mois qu’elle n’était plus allée voir une autre fille. Il y avait entre elle et Stacy une osmose qui faisait que, sans doute pour la première fois depuis qu’elle avait démarré des relations amoureuses, elle se sentait épanouie et comblée.
—Ecoutez, on nous a transmis une vidéo. Elle est arrivée hier par la journée. Je ne vous cacherai pas que c’est un mail anonyme, qui renvoie à un fichier vidéo. Et cette vidéo nous pose problème.
Sans doute parce qu’elle ne se sentait pas sûre d’elle, la jeune femme avait voulu appuyer ses propos en lui montrant la vidéo.
Elle avait fait pivoter son écran d’ordinateur, et démarré le lecteur.
Ce que remarqua Garance, avant même de prêter attention aux images, ce fut la qualité de la vidéo. Une vidéo prise sans aucun doute avec un téléphone portable, de très bonne qualité, mais légèrement tremblante. Il y avait d’ailleurs un moment où on voyait un bout de mur, et l’autre un bout de porte. C’était une vidéo qui avait été prise il n’y avait pas très longtemps de cela, une semaine, Garance s’en souvenait parfaitement.
Avaient-elles été imprudentes? Sans doute que oui, puisque quelqu’un avait pris cette vidéo. Pourtant, il suffisait de traverser le centre pour voir cent fois pire. Un jour, elle avait surpris un couple, qui, sans vraiment se cacher, sur un banc qui partait vers une allée transversale, s’adonnait aux joies du sexe, la fille penchée sur la queue du gars, lui faisant une fellation, quasiment au vu de tous. Une autre fois, elle avait surpris, beaucoup plus exposés, mais ça ne paraissait pas les gêner, un autre couple, la fille était assise sur les genoux du gars, elle avait retroussé sa jupe, dont le tissu couvrait ses cuisses, mais était soulevé à l’arrière, et à la manière dont elle se faisait bouger sur lui, ainsi qu’à son expression, on comprenait qu’elle avait son sexe dans le ventre, et qu’elle prenait du plaisir.
Mais il était vrai que cette scène, sans doute filmée par quelqu’un qui était jaloux d’elle, et ils étaient nombreux, était particulièrement éloquente, et qu’il était impossible en la voyant de nier quoi que ce soit.
Il était vrai aussi que l’une comme l’autre, elles étaient obsédées par le corps de l’autre, l’envie de l’autre, et qu’elles se donnaient du plaisir mutuellement en ces lieux, et pas seulement quand elles étaient seules, chez l’une ou l’autre.
Ce matin-là, quand elle était arrivée, les deux jeunes femmes se retrouvaient sur le parking pour se dire un bonjour et esquisser quelques caresses, se glissant l’une dans la voiture de l’autre, elle avait soulevé sa jupe, une grande jupe fluide noire en lui disant:
—J’ai une petite surprise pour toi.
La surprise, était-ce qu’elle avait une grande culotte blanche en dessous? Non, sans doute pas. Ce qui l’était par contre, c’était la manière dont le tissu de la culotte se posait sur sa chair. On aurait dit qu’il y avait quelque chose de différent. Quelque chose entre le tissu et son pubis. Stacy eut un petit rire en écartant la culotte et la laissant voir un bout de plastique noir qui déconcerta Garance. Elle se demanda ce que c’était, et eut la réponse quand Stacy d’un mouvement de bassin, libéra le plastique qu’elle avait bloqué entre ses cuisses, et le gode, noir, luisant, et d’une bonne taille jaillit, obscène.
—Je me suis équipée, j’ai envie de te pénétrer avec. Ca te dit?
L’idée que Stacy soit pourvue d’une queue, même de plastique, et qu’elle la fouille lui avait tordu le ventre d’envie, en même temps qu’elle trempait sa culotte.
—Je suis libre dans deux heures…
—On se retrouve au troisième…
Le centre, était plutôt construit dans la longueur, mais bénéficiait quand même de trois étages, le dernier étant partiellement occupé et bénéficiant donc d’endroits inoccupés. Il était facile de s’y faufiler.
La vidéo était le témoignage d’une partie de ce moment. On y voyait le coeur de l’action, pas son début. Garance était arrivée la première, et elle s’était caressée en attendant sa complice, surexcitée, défaisant son jean, baissant son slip pour se frotter le sexe. Quand Stacy l’avait rejointe, elle avait plus descendu son jean, sa culotte, et elle s’était pliée en deux au dessus d’une table. Ca avait été très rapide…Pas de discours inutiles…Stacy avait approché, soulevé sa jupe, dégagé le gode ceinture de sa culotte, et elle en avait appuyé la tête contre ses lèvres. Garance était restée excitée en attendant de retrouver sa copine pour ce moment, et, sans surprise, Stacy avait devant elle un sexe ouvert,dégoulinant avec des lèvres bien gonflées. Elle les avait bien frottées, faisant gémir la jeune femme avant de glisser en elle. Stacy avait cru défaillir, tellement c’était bon de sentir cette queue glisser en elle. Ce n’était pas une vraie queue, mais c’était la queue de Stacy, et ça faisait toute la différence.
La vidéo avait filmé ce moment, au coeur de leur interaction, où Stacy l’avait fouillée savamment, alternant les rythmes, et lui donnant un plaisir qui l’avait submergée et faite exploser dans un orgasme, puis un second…Sur la vidéo, on voyait bien l’acharnement de Stacy à la fouiller, et aussi le plaisir de Garance, cambrée, et qui avait crié quand elle avait joui, même si c’était un cri étouffé, vu les lieux. Stacy avait elle aussi joui, se tétanisant, sans doute le poids du gode sur sa vulve, ou le plaisir de fouiller sa partenaire.
Un instant, Garance fut tentée de demander à la jeune femme de lui faire parvenir la vidéo. Mais ce n’était sans doute pas spécialement indiqué.
—Oui, effectivement, c’est moi et mon amie.
—Vous comprenez bien que nous sommes embêtés par votre comportement.
—J’ai déjà vu cent fois pire, et de manière plus exposée, depuis que je suis ici.
—Le problème, c’est qu’il n’y a aucune trace, et là…
Garance resta un moment silencieuse. Il lui fallait trouver une stratégie. Et vite.
Il y avait une possibilité. Jouable. Garance se faisait de toute façon peu d’illusion sur ce qui l’attendait. Elle était condamnée, alors même qu’il lui restait trois mois de formation, à être renvoyée pour conduite indécente. Alors, autant jouer le tout pour le tout.
—Je crois que vous ne comprenez pas bien. Ma devise, et celle de son amie, c’est qu’il faut profiter des bons moments quand on peut. Parce qu’il vient un moment où, précisément on ne peut plus. Vous même vous ne vous l’avouez pas, vous êtes figée sur l’image que vous voulez donner de vous-même, sur votre fonction, mais vous avez envie, au fond de vous-même, de donner libre cours à vos désirs, vos fantasmes. Parce que vous en avez, comme tout le monde.
Garance se leva, et contourna le bureau, à la grande surprise de la jeune femme, qui se mit à paniquer. Elle posa ses fesses sur le bord du bureau, et, d’un geste assuré, elle vint faire glisser le haut de la robe de la jeune femme. Celle-ci, ne sachant que faire, n’esquissa pas le mouvement de la repousser. Il y avait dans son regard quelque chose, une lueur qui rejoignait ce qu’il y avait dans son regard quelques minutes plus tôt, un mélange d’envie et de fascination.
Garance descendit la robe, dévoilant un torse fin et un soutien-gorge couleur sorbet, qui enveloppait une poitrine menue, mais qui semblait bien formée. Garance glissa les mains dans le dos de la jeune femme, et dégrafa son soutien-gorge, les mettant à nu. Quand elle se pencha sur elle et qu’elle prit le premier téton dans sa bouche, le caressant de la langue, la jeune femme gémit. Elle glissa ensuite sur l’autre téton. Elle se demanda si cela suffisait pour la faire basculer. Elle laissa glisser sa main le long du ventre de la jeune femme, venant caresser une chair douce et délicate dans un mouvement circulaire. Se disant que la manoeuvre qu’elle avait tenté, une sorte de manoeuvre de la dernière chance basculait soudain, pour elle, sur autre chose. Un moment comme elle n’en avait pas rêvé, dans ce bureau, moment qui prenait de l’épaisseur, de l’ampleur, à présent que la jeune femme se laissait aller. D’elle-même, et à ce moment-là, Garance comprit qu’elle avait gagné, elle bascula une de ses jambes fines, largement dévoilées par sa robe courte qui avait remonté quand elle s’était calée dans le fauteuil sur le côté. Elle fut surprise de constater que le nylon était celui de bas stay-up, qui s’arrêtaient en haut de ses cuisses, ouvrant sur sa chair, et lui offrant la vision d’un slip mauve, marqué en son centre par une large tâche d’humidité.
—Enlève-moi ma culotte et mets ta langue sur ma chatte.
Garance ne demandait pas mieux. Elle fit glisser ses mains le long des jambes de la jeune femme, attrapa sa culotte sur ses hanches, et la descendit, dévoilant un sexe rasé, fente découpée dans une chair délicate, dont émergeaient deux fines lèvres, ainsi qu’un filet de sécrétion, gras, qui coulait entre ses fesses. A cet instant, Garance avait totalement oublié la menace qui pesait sur elle, et qu’elle était là entrain de manoeuvrer, elle n’était plus qu’une fille ayant envie d’une autre fille, qui plongea sur elle, caressant ses cuisses avant de venir empaumer ses fesses à pleines mains et porter sa langue sur les chairs douces pour les honorer du mieux qu’elle le pouvait. La jeune femme, s’abandonna totalement dans son fauteuil, se laissant aller en arrière dans le siège confortable, et projetant son ventre en avant. Garance balaya le sexe de la jeune femme de la langue, faisant le maximum pour lui donner du plaisir. Ce n’était d’ailleurs pas tant qu’elle voulait lui donner du plaisir pour être ainsi dégagée de toute charge, mais ce qui avait d’abord été une manipulation devenait un plaisir. Elle éprouvait un plaisir intense à faire jouir cette fille, magnifique, même si elle lui en voulait énormément de l’avoir mise en accusation. Elle avait un joli corps, un corps attirant, et, en plus de tenter de l’infléchir, elle aurait eu un moment de plaisir. Elle glissa d’ailleurs sa main dans sa culotte, pour se caresser, en même temps.
—C’est bon…Mais…(la jeune femme sembla hésiter…Je veux que tu me fasses un analingus.
Garance se demanda si la jeune femme lui demandait comme elle aurait demandé à n’importe quelle maîtresse ou parce qu’elle se sentait en position de force pour exiger ce qui lui plaisait le plus.
Et, comme convaincue qu’elle allait effectivement obtenir l’analingus qu’elle convoitait, la jeune femme bascula son ventre plus en avant pour lui offrir, au coeur de sa croupe, les plissements qui constituaient sa muqueuse anale.
Garance n’avait jamais encore fait un analingus à une fille. Mais elle ne se laissa pas pour autant démonter, elle innovait quasiment tous les jours avec Stacy…Alors…
Au bout de sa langue, Stacy sentit d’abord le relief particulier de la muqueuse anale de la jeune femme, puis un goût fort. Elle avait du chier, peut-être en arrivant, sans se laver, évidemment. Mais ce goût prononcé ne la gênait pas. Au contraire, c’était excitant, tout comme de caresser la muqueuse de la jeune femme, et de sentir, à la manière que son corps avait de se tendre, que cela lui procurait du plaisir, un plaisir intense qui semblait, effectivement beaucoup plus fort qu’avec un cunni classique.
Surtout, Garance sentit sa muqueuse anale devenir plus souple, et s’ouvrir, laissant à la jeune femme le champ libre pour pousser plus haut dans ses chairs…Ca semblait procurer un plaisir intense à la jolie femme, et sans doute qu’elle aurait crié son plaisir si elle s’était trouvée ailleurs…Un plaisir qu’elle poussa vers l’orgasme en venant appuyer ses doigts contre son clitoris, qui saillait en haut de ses lèvres, décalotté à présent…Ses jus coulaient, venaient se perdre dans sa raie, arrosant sa muqueuse anale et lubrifiant les caresses de Garance, qui sentait elle aussi monter le plaisir en elle. Elle n’oublierait certainement pas ce moment, même s’il était né dans des conditions bien particulières. La jeune femme jouit au bout de sa langue, alors que, toujours à genoux devant elle, elle se frottait fébrilement pour arriver à jouir.
Elle finit par se redresser. La jeune femme lui jeta un regard qui était dans une autre dimension.
—Je crois qu’on va oublier toute cette histoire. La vidéo va disparaitre.
C’était peut-être le moment de tout oser.
—J’aimerais récupérer la vidéo, si je vous donne une adresse mail, c’est possible?
Sans attendre la réponse, Garance écrivit son adresse sur un bloc.
Elle allait passer la porte quand la jeune femme la rappela. Très différente de la jeune femme froide, à la limite de l’arrogance, qui avait mené la majeure partie de l’entretien.
—J’ai envie d’autres caresses. Manuelles et buccales. Je vais ajouter à mon mail une adresse et un numéro de portable. On se verra ailleurs, surtout pas ici. Ce n’est vraiment pas une bonne idée.
Et elle fit un clin d’oeil à Garance. Celle-ci sortit du bureau.
Non, ce n’était vraiment pas une bonne idée, mais elle ne commettrait pas deux fois la même bêtise.
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