Confinement, sexe, et aide sociale partie 1

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alex condamines


MILFteenvieux et jeune


C’est parce que j’avais déjà travaillé pour les services sociaux de la mairie qu’ils m’ont contacté lors du premier confinement, celui qui a débuté en mars 2020. Je suis étudiant, j’ai 22 ans, et j’ai eu la fibre sociale très tôt, sans que qui que ce soit m’y ait poussé, ni que j’aie pris quelqu’un de ma famille comme exemple. J’ai toujours aimé servir à quelque chose, et, en parallèle de mes études, j’ai donné, chaque semaine, une partie de mon temps libre pour m’occuper d’enfants, de personnes âgées…Sans prétendre révolutionner le monde, mais j’ai vite compris qu’il y avait de gros besoins et jamais assez suffisamment de monde pour y pourvoir.
On a donc commencé le confinement le 17 mars, et, une semaine après, la responsable du service social, Élaine, m’a appelé.
—J’aurais besoin de toi Alain, tu es disponible en ce moment?
—Je fais des cours en visio depuis une semaine. Deux ou trois heures le matin, parce que personne n’est vraiment organisé. Alors j’ai tous mes après-midis.
—Parfait. Alors je t’explique. On a en ville des personnes âgées qui sont fragiles, et il ne faut pas qu’elles sortent, même pour aller faire des courses. C’est trop risqué. Donc on a besoin de volontaires pour leur faire les courses. Tu passes chez elles, tu récupères leur liste et leur chèque, tu vas tout acheter, tu payes, tu leur ramènes les courses et tu évites les contacts au maximum.
—Tu peux compter sur moi.
J’ai dit oui bien sûr, parce que j’appréciais de servir à quelque chose. Mais il n’y avait sans doute pas que ça. Je connaissais Élaine depuis trois ans, et entre elle et moi il s’était passé quelque chose, au bout de quelques semaines, qui s’était prolongé et se prolongeait encore. Donc chaque nouvelle rencontre débouchait très rapidement, on aurait dit que c’était un fait obligé, sur du sexe.
—Passe me voir je te donnerai le calendrier pour la semaine.
Si j’aime les filles de mon âge, je suis également très attiré par les MILFS. Les femmes qui ont dépassé la quarantaine ne sont aujourd’hui plus, comme dans les années 60 des femmes au bord de la vieillesse, mais au contraire, les progrès de la santé au sens très large aidant, des femmes à la sensualité épanouie, avec une maîtrise de la séduction et de la sexualité que les plus jeunes n’ont pas, et qui sont hautement désirables.
Je suis arrivé à la mairie sur le coup d’une heure de l’après-midi, ainsi que je lui avais annoncé.
La mairie était installée dans une belle bâtisse qui avait été rénovée, au fond d’une place. Deux portes en verre coulissantes, une ravissante blonde, baptisée à l’américaine par ses parents, Taylor, avec une chevelure qui représentait une véritable crinière, épaisse et longue, et qui portait toujours de somptueuses robes, qui mettaient en valeur un corps parfaitement bien dessiné m’a souri.
—Elle t’attend.
Je suis parti vers l’un des derniers bureaux, tout au fond.
Si parfois je me demandais pourquoi j’étais autant attiré par elle, il suffisait que je la retrouve, et que mon regard se pose quelques instants sur elle pour le comprendre. Il y avait cette expression aujourd’hui dépassée, qui doit dater des années 60, ‘elle ferait bander un mort’, qui la définissait parfaitement. C’était d’ailleurs étonnant, car elle n’avait rien d’éclatant comme Taylor, avec sa crinière et son corps aux formes bien dessinées. Au contraire, elle était plutôt fine, et sans réelles formes. Mais il y avait son visage, aux traits fins, vraiment bien dessiné, et puis ce qu’on lisait dans son regard vert. Que pour elle le plaisir était une doxa absolue, qu’elle ne vivait que pour ça. Il suffisait de la regarder dix secondes pour que des scènes se dessinent devant vos yeux, devant les miens en tout cas, où le sexe avait une part essentielle. Elle me l’avait dit, puisqu’elle parlait pas mal, elle aimait se confier, vu qu’il n’y avait plus d’homme à la maison, pas plus que d’enfants, et elle avait besoin de parler à quelqu’un, elle avait toujours adoré le sexe, ses plaisirs, et rien ne la rebutait. Pour elle, toutes les occasions étaient bonnes, et quand elle m’avait vu pour la première fois, elle avait eu envie de me sauter dessus. Elle avait su toutefois refréner ses envies, et faire preuve d’un peu de subtilité pour arriver à ses fins, même si les ficelles qu’on tire chez les hommes sont toujours assez grosses…Se coller par exemple contre moi pendant qu’elle me montrait des documents, égarer ses mains sur moi comme par mégarde…Frôler ma queue…S’installer face à moi et me laisser constater que sous sa jupe elle avait des bas stay-up, mais aussi qu’elle avait oublié de mettre une petite culotte, me laissant tout le temps pour détailler le dessin de son sexe…C’était venu tout naturellement, au bout de deux ou trois séances, je n’avais pas protesté quand elle avait défait mon pantalon et sorti une queue qui, en sa présence était entre semi-dure, et dure, et entrepris une fellation destinée à me montrer ses aptitudes bien réelles. J’ai vraiment compris ce jour-là la différence entre une fille de vingt ans, et une femme de quarante-cinq. C’était peu de choses de dire que j’ai pris un plaisir infini à la sentir me caresser de la langue et de la bouche. Et, quand j’ai joui, tout sauf dégoûtée par le sperme, la voir resserrer sa bouche autour de ma queue pour avaler ma semence jusqu’à la dernière goutte.
La porte de son bureau était entrouverte. Je m’y suis glissé. Elle était au téléphone, mais sur haut-parleur, prenant des notes, avec de temps en temps un oui. Elle m’a fait signe d’entrer. J’ai contourné le bureau. Elle m’a regardé, m’a fait un sourire, et elle a défait mon pantalon pour en sortir ma queue, déjà à moitié raide de désir. Elle me donnait ce qu’aucune autre fille ne me donnait. Comme par exemple cette main qui est venue sur moi, chaude, souple et caressante et qui m’a procuré immédiatement du plaisir. Avec elle, j’avais vraiment appris à me contrôler, parce que dans les premiers temps, je jouissais très vite. Trop vite…Entre deux oui, quelqu’un lui dictait apparemment des consignes, et tout en continuant à me caresser, elle est venue balader sa langue sur mon gland, de petits coups de langue qui ont très vite fait monter mon excitation et mon plaisir. Elle m’a fait un petit signe, qui voulait dire ‘Ne jouis pas tout de suite…J’ai envie de plus…’ C’était ça que j’aimais quand je lui rendais visite. Du sexe, immédiat, le plaisir sans bla-bla inutile.
Alors qu’elle tournait sur mon gland, j’ai lâché un trait de sperme qui lui a atterri sur la joue. Elle a fait un geste muet, l’air de dire que je ne me maîtrisais pas vraiment.
Tout en continuant de prendre quelques notes, son interlocutrice, une voix âgée, la noyait de baratin, lâchant de temps en temps quelques informations, elle a tendu la main vers un tiroir, dont elle a extrait une boité de préservatifs. Elle a commencé par soulever sa jupette, pour me faire voir ses jambes, gainées de bas stay-up ainsi que son sexe, nu, intégralement épilé. Je me demandais toujours si elle enlevait sa culotte quand elle savait que j’arrivais ou si elle se baladait constamment cul nu…Sous un pantalon, ce n’était pas grave…Mais comme elle aimait les robes et les jupes courtes…Il devait y avoir pas mal de frustrations et de crises cardiaques autour d’elle. Elle avait des jambes particulièrement bien dessinées, fines, et que bien sûr les bas stay-up mettaient en valeur. J’aimais son sexe, parce que, même au repos, il y avait toujours ses lèvres qui en sortaient, et c’était une vision troublante.
Tout en continuant de parler avec son interlocutrice, dont le discours n’était ni audible, ni cohérent, mais il ne fallait sans doute pas s’arrêter à ça, elle a déchiré l’emballage de l’un des préservatifs, et elle en a tiré une rondelle de latex toute grasse, d’une couleur jaune, et qui sentait le citron. Elle a posé la rondelle sur mon gland et elle a habilement fait coulisser le préservatif le long de ma queue, jusqu’à me gainer totalement du latex.
Elle s’est dégagée de son fauteuil, et m’a fait comprendre, par signes, qu’elle souhaitait que je vienne m’installer à sa place, pour ensuite venir s’asseoir sur moi. J’ai obéi, je me suis calé dans le fauteuil, sa chaleur avait imprégné le rembourrage du siège. Ma queue était bien raide, collée à mon ventre. J’ai soulevé sa jupe pour contempler ses fesses, qui me fascinaient autant que le reste de son anatomie. Elles n’étaient pas énormes, pas menues non plus, bien rondes et bien dures, dans un ovale parfait. J’ai posé mes mains dessus, les trouvant chaudes et fermes…Je les ai caressées doucement, avec dans mon champ de vision, entre ses cuisses, son sexe, qui, parce qu’elle aimait qu’on lui caresse les fesses, s’est lentement entrebâillé, des filaments de sécrétions vaginales en pendant, qui restaient accrochés à ses lèvres qui gonflaient.
Avec elle, je passais toujours des moments très forts. Et puis il y avait toujours quelque chose de spécial, d’original, de décalé.   Ce qui m’a plu, cette fois, ça a été qu’on soit sur deux champs en même temps. Les plaisirs du sexe et l’obligation d’écouter quelqu’un qui n’avait plus vraiment toute sa cohérence mentale, prise dans une logorrhée verbale dont surnageaient de temps à autre des éléments utiles, qu’elle notait, rythmant l’acte sexuel.
Elle s’est laissé descendre sur moi, continuant de me tourner le dos, ses fesses s’ouvrant alors qu’elle se calait sur moi, et qu’elle guidait mon sexe vers sa vulve. Je suis rentré en elle sans problème, retrouvant l’enveloppe chaude et douce de sa muqueuse. Elle m’a totalement avalé. On est restés comme ça un moment, s’enivrant du plaisir d’être complété par le sexe de l’autre. Elle continuait de prendre des notes, et dire oui, mais d’une voix différente, cassée. Elle a posé ses mains sur les deux accoudoirs, et elle s’est mise à se faire bouger, pour que mon sexe vienne frotter contre sa muqueuse vaginale.
Enfin, au bout du fil, la personne s’est tue.
—Très bien, madame B…, je pense qu’on va en rester là pour aujourd’hui, puisque vous m’avez tout dit.
Elle avait débité la phrase d’un seul bloc, elle n’aurait sans doute pas pu ajouter un seul mot. La jouissance montait en elle. Mais j’aurais pu en dire autant. Pour moi, elle ne venait pas seulement d’avoir mon sexe caressé par le sien, mais aussi d’avoir à ma disposition ce corps qui me séduisait, cette peau chaude que je caressais pendant qu’elle bougeait sur moi. J’étais remonté le long de son torse, sur son dos, jusqu’à ses seins, dégrafant le soutien-gorge pour mieux pouvoir les caresser. Elle avait des petits seins qui avaient, pour moi, infiniment de charme, et dont j’aimais caresser les tétons, extrêmement réactifs et érectiles.
J’ai redescendu les mains, contournant son corps pour venir sur le devant, à hauteur de son clitoris, décalotté, que j’ai caressé, la faisant monter, je connaissais bien son corps, maintenant, et ses réactions, vers l’orgasme. Elle s’est laissé retomber sur moi, et j’ai senti que la jouissance s’emparait de son corps. Une jouissance puissante, qui, comme à chaque fois, a entraîné la mienne, par ricochet. J’ai libéré mon sperme, trait après trait, dans le préservatif, sentir ma semence taper contre ses muqueuses, la faisant gémir.
On est resté comme ça un moment, sans que je sorte ma queue de son ventre. En d’autres lieux, on aurait pu tenter autre chose, mais je devais accomplir ma mission, et puis, même si tout le monde savait que quelque chose se produisait quand j’étais avec elle, on avait quand même le risque que quelqu’un qui ne savait pas (Même si j’en doutais) fasse irruption dans la pièce.
On s’est dégagés l’un de l’autre, rajustés…Le moment était venu de faire un bilan des missions que je devais accomplir. Elle m’a tendu cinq feuilles, une par après-midi.
—J’aurais dû te faire venir chaque jour…Ce moment qu’on vient d’avoir était trop bon…J’en ai envie d’autres…Mais…On verra la semaine prochaine.
J’ai examiné le listing. 14 heures/17 heures 30…Une heure et demie pour chaque client, le temps de récupérer leur liste de courses, d’aller les chercher, les prendre, les ramener…Mais je savais par expérience que, dans de telles configurations, le temps passait vite.
—Sans violer le secret médical, tu as quelques indications pour chaque personne, leur âge et s’il y a des problèmes que tu dois connaître. Par exemple la première que tu vas voir est sourde comme un pot, donc si ça ne répond pas, ce n’est pas qu’elle n’est pas là…Éventuellement, elle a un portable, tu fais son numéro.
J’ai attrapé les feuilles qu’elle me tendait. Il était temps de se mettre au travail.
—Bon, à une prochaine fois.
Je lui ai tourné le dos. Au moment où j’atteignais la porte, elle m’a interpellé.
—Hé ?
Bien campée dans son fauteuil, mais jupe retroussée, et jambes basculées sur les côtés, elle avait fiché deux doigts dans son sexe, et elle s’ouvrait, me laissant voir une bonne partie de sa muqueuse.
—Tu y penseras quand tu seras tout seul et que tu te branleras.
Elle m’a laissé le temps de bien m’imprégner de cette image. Effectivement, je me branlerais en y pensant. C’est pour cela, pour cette image, pour ces attitudes, pour ces paroles, que je l’appréciais autant.
J’ai quitté le bureau. Au moment où je passais devant le comptoir de réception, Taylor a soulevé sa robe. Elle avait un soutien-gorge rouge, exactement assorti à sa magnifique robe, et sans doute des problèmes de budget l’empêchant de se payer des petites culottes. Difficile de ne pas admirer ce corps bien charnu, je me suis en tout cas arrêté pour y jeter un coup d’œil, alors qu’elle tournait sur elle-même, me laissant bien le temps de l’admirer. Elle avait un corps voluptueux. Rien à voir avec celui de son supérieur. Mais chaque femme a son charme. Et ses charmes.
—Il n’y a pas qu’elle qui a des qualités. Tu devrais y penser. Et puis, je suis sûre que ma chatte est plus humide que la sienne.
—N’en sois pas si sûre, j’ai répondu.
Je suis parti avec l’image de son corps gravé sur la rétine.

 

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