On était au milieu de l’après-midi quand le mail m’est arrivé, en quasi immédiateté, puisque je le laissais ouvert en même temps que je travaillais.

J’ai besoin de vous voir. Vous pouvez passer à mon bureau à partir de 16 heures 30?
Jean-Baptiste V… , directeur des ressources humaines.

J’ai été un peu surprise. Et mon instinct m’a aussitôt dit que ce mail n’annonçait rien de bon.
Ca faisait maintenant sept ans que je travaillais pour cette boite. Notre job, c’était de créer des sites clefs en main pour des entreprises qui nous le demandaient, en collant à leur désidérata.
La compagnie avait démarrée petite, par la grâce de deux associés, qui aujourd’hui passaient leur temps sur les routes pour vendre nos compétences, et commençaient à trouver des marchés à l’étranger.
Quand j’avais intégré la boite, j’avais été la huitième recrutée. Aujourd’hui, c’étaient 45 personnes qui travaillaient ici.
Dont deux femmes seulement.
On touchait du doigt le fameux plafond de verre qui faisaient que dans les boites informatiques, il n’y avait qu’une minorité de femmes. Ca tenait à pas mal de choses, souvent au fait que, même surdiplômées, elles ne s’estimaient pas aussi compétentes que les hommes.
Je n’avais pas vraiment eu ce type de complexe. Je me sentais aussi capable que les autres. J’avais été recrutée sans problème, et mon intégration n’avait jamais été difficile.
C’était du moins ce que je croyais jusqu’à seize heures trente.
Je ressentais un léger malaise, en montant l’escalier vers l’étage. En bas, se trouvaient des espaces ouverts, ainsi que des salles de réunion si on voulait travailler à plusieurs, personne n’avait de bureau attitré, à l’étage par contre ceux qui nous dirigeaient n’avaient pas respecté ce qu’ils prônaient.
Je suis arrivé devant le bureau du DRH…On ne le voyait pas très souvent…On travaillait à plusieurs sur des projets, qui étaient validés en fin de course par nos deux patrons, généralement en visio…On connaissait tous notre travail…S’il fallait changer quelque chose, on le faisait.
La porte s’est ouverte alors que j’allais entrer. Je me suis trouvée face à celui que tout le monde surnommait JBV. Je crois bien qu’il n’y avait pas une seule personne ici qui ne le trouvât étrange. Il était l’illustration parfaite du geek tel qu’on le voit dans les films. Un geek qui aurait mal vieilli. Edith, ma seule copine ici, forcément, me disait l’autre jour qu’elle le voyait encore puceau à 40 ans.
C’était un grand type, mais vraiment très grand, il devait faire un mètre quatre-vingt-quinze, toujours habillé avec des costumes impeccablement coupés, qui soulignaient sa maigreur, brun, les cheveux très courts. Il avait un regard vif, intelligent, et souriait vraiment très rarement. Il n’était pourtant ni désagréable, ni hautain, mais on sentait bien une distance entre lui et les autres, distance qui n’était pas du mépris.
Il m’a fait signe de m’installer. Je me suis laissée glisser dans l’immense fauteuil en forme d’oeuf, que j’ai trouvé confortable et enveloppant.
—Je tenais à vous parler…
—On me reproche quelque chose, je le sens, je n’ai pas pu m’empêcher de répondre.
Je n’avais pas la langue dans ma poche. C’était plus fort que moi. Il fallait que je parle, que je réponde…
—Pas vraiment…En fait, ça n’a rien à voir avec votre travail.
—Encore heureux. Je crois qu’en huit ans, je me suis donnée à fond pour l’entreprise, et que j’ai contribué autant à sa prospérité qu’à sa notoriété. Personne n’est irremplaçable, mais j’ai fait ma part, et plus que ma part.
—Le problème est ailleurs, il a dit sobrement.
Je dois dire que j’ai été vraiment décontenancée. D’autant que je le sentais très gêné. Et c’était bien la première fois. Il était plutôt gauche, pas très chaleureux, mais je ne l’avais jamais vu comme ça.
—Ecoutez, ça me met très mal à l’aise, mais je suis bien obligé de vous en parler…Hé bien…Il y a eu plusieurs plaintes concernant vos tenues…
Il ne me regardait pas en face…Je ne l’avais jamais vu comme ça…Et je dois dire que le thème qu’il venait d’aborder me laissait totalement perplexe.
—Vous comprenez, il y a un certain équilibre à préserver dans toute entreprise…Et vos tenues perturbent certains de vos collègues…
—Il me semble que je ne m’habille pas comme une putain… Je trouve cette remarque totalement inadmissible et sexiste… Vous ne feriez absolument pas la même réflexion à un homme.
Il ne savait plus quoi dire. Et moi j’étais sérieusement décontenancée. Parce que je ne voyais pas en quoi mes tenues pouvaient être une offense au bon goût et une provocation aux bonnes moeurs…Ironiquement, si quelqu’un avait du être mise en cause, ç’aurait été Edith. Elle était toujours très sexy. Et je trouvais que sur ce plan là, moi qui étais toujours, en j’étais bien consciente, une geekette, je ne lui arrivais pas à la ceinture. Elle avait un budget vêtement très conséquent, avec des tenues neuves très régulièrement et la féminité était son alliée. Elle adorait les jolies robes, les tailleurs colorés, portait des pantalons moulants, n’hésitait devant aucun décolleté…Elle se dévoilait beaucoup plus que moi. Mais évidemment, je n’allais pas questionner ce qu’il me disait en mettant en cause celle qui était devenue une amie au fil du temps. Moi, c’était quotidiennement jean et hoodie. Alors bien sûr, le jean, c’est pas essence un vêtement érotique, qui colle au corps…Mais Edith avait des robes ou des jupes qui dévoilaient la quasi intégralité de ses jambes, des pantalons si moulants qu’on n’avait plus rien à deviner, des décolletés parfois très profonds…
Il a lâché avec une infinie difficulté:
—Le problème, c’est vos crop tops…
Un aveu qui lui avait coûté.
Là on était au coeur du débat.
Je ne sais pas si vous savez ce que c’est qu’un crop top…C’est un haut court, c’est à dire que, quelle que soit sa forme, il va couvrir les épaules, ou bien se dessiner sous formes de bretelles, envelopper la poitrine intégralement, et descendre ensuite plus ou moins bas, en laissant généralement le ventre, ou une partie du ventre à nu. C’était un vêtement très à la mode à la fin des années 90, début des années 2000, et puis il était revenu en grâce depuis quatre ou cinq ans.
Et c’était vrai que ma tenue de base, c’était un jean ou un pantalon, un hoodie, et sous le hoodie, un crop top. J’avais adopté ce vêtement depuis pas mal de temps, parce que je le trouvais sexy, et particulièrement sur moi. Je ne me trouvais pas particulièrement belle, quand je regardais Edith, je trouvais que je ne lui arrivais pas à la cheville, mais je considérais que j’avais deux atouts, un ventre plat et musclé, je faisais énormément de musculation, et une belle poitrine. J’aimais mes seins. Ils étaient totalement naturels, lourds, bien formés, bien ronds, avec un galbe qui les dressait, marqués par de belles aréoles roses, et des tétons qui avaient une nette tendance à durcir pour un rien. La nature avait été de mon côté.
L’hiver, j’entrouvrais le hoodie. L’été je n’en portais pas.
—Je n’ai pas le sentiment que ce soit un vêtement particulièrement érotique. Il y a cent fois pire.
Toujours mal à l’aise, il m’a répondu:
—Si, justement. Il y a d’une part le fait qu’on puisse voir votre ventre, et c’est quelque chose de troublant, un ventre nu, et puis vos crop tops mettent en valeur votre poitrine…Et les deux conjugués…Je pense que vous pourriez mettre des T-shirt, à partir de demain…Ca passerait nettement mieux.
Assez ironiquement, ce jour-là, il ne faisait pas chaud, j’avais mis un pull, et je ne l’avais pas enlevé. On ne voyait donc rien. Mais j’avais envie de contre-attaquer. De le provoquer.
Je me suis redressée sur ma chaise, et j’ai fait passer le pull par dessus mes épaules.
—On va examiner l’objet du délit ensemble. Alors aujourd’hui j’ai un crop top effectivement. Il est blanc, en maille, avec deux bretelles, il est légèrement décolleté, et effectivement il laisse mon ventre à nu. Alors qu’est-ce que vous en pensez?
Je crois qu’il aurait vraiment aimé être ailleurs.
Et à vrai dire, en même temps que je parlais, mon image se reflétait dans la baie vitrée juste derrière lui, et je me suis effectivement rendue compte de ce que ma tenue pouvait avoir de troublant. Ce crop top là, et les autres aussi, que je portais était effectivement moulant. J’avais l’habitude de ne pas mettre de soutien-gorge, car j’estimais que les crop tops enveloppaient suffisamment ma poitrine, mais aussi qu’ils la maintenaient.
Je me rendais compte à quel point, au final, ils me mettaient en valeur. Que ce soit pour mes seins ou pour mon ventre. J’ai toujours pensé, je ne suis pas la seule, que la nudité était moins excitante en elle-même que sublimée par l’écrin d’un vêtement, et effectivement, le top soulignait vraiment le galbe de ma poitrine, faisait qu’elle était mise en évidence, plus que si elle avait été nue, et il mettait aussi en valeur mon ventre en dessous.
Bref, au final, j’étais aussi troublante qu’Edith avec sa féminité exacerbée.
Je ne sais pas ce qui m’est passé par la tête. Un mélange de pas mal de choses sans doute. Une envie de pousser à l’extrême cet aspect de moi. Aussi de contre-attaquer sur une remarque que je trouvais de toute façon inadmissible. J’avais le droit de m’habiller comme je voulais. Et puis aussi de manipuler quelqu’un qui, je m’en rendais bien compte, n’était pas vraiment à l’aise avec les femmes et leurs charmes.
—Ecoute, on est seuls toi et moi dans ce bureau, là c’est la fin de la journée. On est tranquilles. Je n’ai jamais eu aucune volonté provocatrice, et pour tout te dire, tu ne m’en aurais jamais parlé, je ne me serais pas rendue compte de l’effet que je peux avoir. Mais là, voilà on y est, et effectivement, je m’en rends compte. Et je me dis que tu aurais peut-être envie de profiter un peu de mon anatomie. Et moi je ne suis pas contre. On peut se faire du bien toi et moi, non?
Il était complètement figé et aussi rouge qu’une écrevisse. C’était une belle manière finalement de le punir. Retourner la situation contre lui.
Je me suis levée, j’ai contourné le bureau, et je me suis approchée de lui.
—Si tu me dis ça, c’est peut-être aussi un petit peu parce que tu as souvent admiré mes crop tops, toi aussi, non? Tu vois le problème, ce n’est pas forcément mes tenues…Mais plutôt le regard qu’on pose dessus.
J’ai attrapé une de ses mains, posée sur la table. Il était une belle illustration du terme ‘catatonique’, même si une belle érection déformait son pantalon, et si, quand j’ai pris sa main, il m’a laissée la guider vers son ventre. Je l’ai plaquée dessus.
Il s’est passé quelque chose d’étrange à ce moment précis. D’abord, lui s’est totalement décoincé, et puis moi, j’ai été prise à mon propre jeu. Je ne voulais sans doute pas aller très loin, mais je me suis tout d’un coup rappelée que je n’avais pas eu de plaisir sexuel, de quelqu’ordre que ce soit depuis belle lurette, et puis  je me suis rendue compte qu’il n’était pas si mal que ça, et qu’il avait, semblait-il, une belle queue dans son pantalon.
Alors les choses se sont enchainées. Sa main est devenue plus audacieuse. Clairement, on était passés d’un état à un autre, d’un moment à un autre. Surtout, il se révélait très différent de ce qu’il m’avait d’abord semblé être. Quelqu’un qui n’était pas si rigide que ça, coincé que ça, mais aussi et surtout quelqu’un qui méritait qu’on lui porte un quelconque intérêt. Et ça je ne m’y attendais pas du tout au premier abord. Je le voyais vraiment différemment depuis quelques secondes.
Il m’a caressé doucement le ventre. Ca m’a fait un bien fou, donné un réel plaisir. Je n’ai pas pu m’empêcher de gémir. J’ai senti cette si agréable chaleur envahir petit à petit mon corps, me détendre, me donner du plaisir, et mon sexe, clos, s’ouvrir, s’humidifier et mouiller ma culotte. Ces derniers temps, trop de travail, le sexe avait pris trop peu d’importance dans ma vie. Il resurgissait, mais je n’aurais pas imaginé que ça puisse être comme ça, dans ces conditions, avec lui, avec quelqu’un qui me reprochait d’avoir un crop top.
J’ai attrapé sa main et je l’ai posée sur mon crop top. Il  m’a caressée à travers le tissu. J’aimais qu’on me touche les seins, éventuellement me les toucher moi même, et là c’était bien, d’autant que le tissu frottait contre mes aréoles et mes tétons, et que ces derniers  se sont mis à durcir sous le frottement du crop top, la manière douce mais un peu rêche.
Je me suis dit que j’allais lui rendre la pareille, et le caresser aussi. Et puis j’avais envie de découvrir à quoi correspondait cette masse qui tendait le pantalon.
Je n’ai pas été déçue.
Il avait vraiment une belle queue. Exactement comme j’aimais. Pas quelque chose de monstrueux, d’hors norme, non, simplement une queue bien longue, bien développée, bien charnue, qu’on avait du plaisir à regarder, à caresser, et à prendre dans son ventre.
Quand je l’ai enveloppée de ma main, il a eu un spasme, il s’est tendu, en poussant un gémissement.
—Retiens-toi, je lui ai intimé. Ne jouis pas tout de suite, sinon on ne pourra rien faire. Qu’on puisse au moins avoir quelques minutes de plaisir.
Il m’a caressé la poitrine sans oser passer sous le crop top, pendant que j’allais et venais sur sa queue. S’il me donnait du plaisir en me caressant, j’en avais aussi à avoir cette queue au creux de la main, chaude et dure, se durcissant encore, et ruisselant sur nos chairs.
J’ai ramené ma main à mon top, l’espace d’un instant, et je l’ai relevé. Je me voyais dans les baies. Mes seins, sortant de sous le tissu, ça a fait un jaillissement qui lui en a mis plein les mirettes. Et c’était vrai que mes seins, dans leur charnu comme dans leur volume, étaient aussi impressionnants qu’attirants. Si j’avais du être fière d’une partie de mon corps, ça aurait été celle-là.
—Je vais résoudre le problème d’une manière radicale…A partir de demain, plus de crop top…Je me baladerai les nichons à l’air. Qu’est-ce que tu en dis?
Je ne suis pas sûre qu’il ait compris que c’était de l’humour. Mais à ce moment, il n’était plus vraiment DRH, juste un homme qui appréciait que ma main caresse sa queue, que lui puisse poser ses mains sur mes seins, et que, d’une main d’abord timide, puis qui s’est enhardie, il les caresse. En me donnant du plaisir.
Je savais de quoi j’avais envie.
Il m’a laissé le guider, alors que je faisais pivoter le fauteuil pour qu’il soit face à moi. Je me suis penchée sur lui, et, dardant ma langue, je suis venu tourner sur sa queue. Le goût de sa pré-semence, un goût sucré, a vite rempli ma bouche. Je l’ai travaillé en tournant sur toutes les parties de sa queue, le long de sa tige, je glissais dessus, je suis descendue sur ses couilles. J’avais eu un petit ami qui m’avait dit, alors que je lui faisais une fellation: ‘ Caresse mes couilles, ça me donne plus de plaisir encore que quand tu joues avec ma queue…’ et je n’avais pas oublié la leçon…Depuis je descendais toujours par là…Et ce qu’il m’avait dit se révélait vrai sur tous les hommes.
Ce qu’il m’avait révélé était sans aucun doute le résultat de plaintes, mais n’était-ce pas aussi la manifestation d’une fascination que lui aurait éprouvée? Je connaissais les hommes, je savais qu’ils étaient tous sensibles à une paire de seins…Et moi j’avais envie de lui proposer quelque chose de différent. Et de donner, comme je l’avais déjà fait de par le passé, un rôle à mes seins.

Mes seins sont venus se caler autour de sa queue, et je crois bien qu’il a été surpris parce qu’il ne s’attendait pas à ça. Je l’ai enveloppé, et je me suis mis à le caresser doucement. 
Sa queue était totalement enveloppée dans une chair que je savais être douce et chaude. Je la sentais vibrer dans mon décolleté, disparue dans le doux creux qui la prenait totalement. C’était l’avantage d’avoir une belle poitrine comme la mienne. J’espérais qu’à ce moment, il regrettait tout ce qu’il m’avait dit. Il se rendait compte que dans mon crop top, il y avait de quoi lui donner un plaisir intense.
Je l’ai massé doucement. Après des débuts heurtés, il semblait maintenant capable de maîtriser sa jouissance, même s’il suintait d’abondance, huilant ma chair.
Je me suis dégagée un instant et j’ai contourné la table. J’aurais pu le faire jouir comme ça, mais, sans doute égoïstement, j’avais envie d’un sexe dans le ventre. Ca faisait trop longtemps…Il aurait peut-être préféré exploser dans mes seins…Mais on pouvait très bien concilier les deux.
J’avais toujours des préservatifs avec moi. Je me disais ‘Au cas où…’ Une rencontre, une envie pressante…Tout était possible…En tout cas, ce scénario-là, je ne l’avais pas imaginé…
J’ai trouvé la boite, pris un préservatif, et je suis venu l’ajuster sur la queue. C’était un médium-size, et sa queue s’était encore dilatée et allongée sous l’effet de ma caresse, mais le latex a quand même couvert les trois quarts de sa queue. C’était suffisant pour que j’enlève mon jean, ma culotte, et que, deux secondes plus tard, je vienne me placer à l’aplomb de son membre roide. S’il avait tous les symptômes du désir, une queue gorgée de sang, dressée au maximum, mon sexe présentait lui des symptômes typiquement féminins. Je me sentais béante, et je ruisselais sur mes chairs. J’avais envie de sentir un sexe en moi, dans ma muqueuse, de le sentir me remplir, bouger en moi, me frotter. Je me suis laissée descendre sur lui, pensant à la dernière fois où un homme m’avait pénétré. Ca faisait trop longtemps…Mais sa queue était exactement ce qu’il me fallait pour renouer avec ce bonheur ineffable.
Je l’ai fait rentrer en moi. Il faut croire qu’un vagin, c’est suffisamment élastique, parce que je suis arrivée à l’avaler totalement.
Je me suis faite aller et venir sur lui. Ca me grisait totalement. J’étais bien loin du bureau, bien loin de ces problèmes de crop top, prenant un plaisir grandissant, mais m’efforçant de mesurer son plaisir à lui. Je voulais lui faire quelque chose qu’il n’oublierait pas.
Quand j’ai senti qu’il allait jouir, je me suis dégagée, j’ai arraché le préservatif de sa queue, et je l’ai repris entre mes seins, les serrant légèrement pour qu’il soit totalement avalé par ma poitrine…Ca a été la touche supplémentaire qui a déclenché sa jouissance, et j’ai senti son sperme jaillir au creux de mes seins, dans des jets qui ne semblaient jamais devoir finir. Je n’avais pas joui jusqu’à présent, et j’ai été surprise de sentir un orgasme monter en moi, sans doute autant à cause du fait que mes seins étaient sensibles, que de ce que j’aimais cette manière de jouir, que je n’avais jamais encore expérimentée.
Vous allez sans doute me demander ce qui s’est passé par la suite. Hé bien en fait, pas grand chose. Je me suis rhabillée, j’ai repassé mon crop top, fermé mon blouson, et je suis partie avec plein de sperme entre les seins, du sperme qui coulait le long de mon ventre. J’aurais pu me nettoyer, mais ça m’excitait terriblement d’être comme ça, de rester comme ça et une fois arrivée à la maison, je me suis masturbée, jouissant jusqu’à ne plus avoir aucune force.
Le lendemain matin, je suis arrivée au travail avec un nouveau crop top, noir, moulant, court, sous mon sweat shirt zippé, il faisait chaud, mais je n’ai eu droit à aucune réflexion, et je n’ai pas été convoquée. Alors les crop tops et moi, ont a continué un partenariat qui avait une nouvelle nuance. Avant je n’étais pas vraiment conscience de leur impact potentiel. Maintenant, c’était bien le cas. Ils valorisaient mes charmes, des charmes dont j’étais nettement plus consciente.
Je croisais de temps en temps JBV. Il me saluait comme il saluait tout le monde, en gardant ses distances, mais je lisais dans son regard une étincelle qui disait clairement qu’il regrettait que ce moment n’ait été qu’un one shot.
La magie qui l’avait enveloppée ce jour-là s’était évanouie.
J’aurais pu remonter un soir, mais je n’en avais pas envie. J’ai préféré utiliser mon crop top pour d’autres actes de séduction.

 

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