Au moins de juin, pour la première fois depuis longtemps, j’ai été libre. En effet, à cause de la crise, mes obligations professionnelles ont été drastiquement réduites et j’ai bouclé ce que j’avais à faire en quelques jours.
J’ai fait quelque chose que je n’avais pas fait depuis des années. Je suis sorti de chez moi, et l’après-midi, j’allais me poser dans des champs sur une couverture, avec un bouquin, une glacière contenant de quoi boire frais, et je profitais de la nature autour de moi.
J’avais un point d’accroche: la hauteur d’une colline à partir de laquelle j’avais une vue sur toute la vallée. J’aimais l’idée de pouvoir embrasser du regard l’ensemble des lieux, et toute leur variété, petits villages, forêts, champs, près, vignes…
C’est d’ailleurs comme ça que je l’ai aperçue la première fois. Mon regard glissait sur la diversité du paysage et je l’ai vue.
Elle, la cycliste.
Elle remontait une route en lacet, autre que celle que je prenais pour venir, mais qui amenait au même endroit, il y avait d’ailleurs un croisement. Elle pédalait avec acharnement, pliée en deux sur son vélo, concentrée. Elle avait un casque, et la tenue habituelle du cycliste, le maillot et le short.
J’ai compris que c’était une femme quand elle a été plus proche et que j’ai remarqué que le maillot était tendu par une belle poitrine. Pour le reste…Elle avait une silhouette fine, et plutôt androgyne. Enfin, c’était parce que je ne la voyais pas de plus près d’évidence.
La configuration de la colline faisait qu’elle était étagée, et que, si en s’y positionnant on pouvait tout voir, l’inverse n’était pas vrai. De la végétation vous masquait.
C’est comme ça qu’elle ne m’a pas aperçue, alors même que je ne cherchais pas à me cacher.
En bas de la colline, il y avait un large à plat, comme une pause sur la route, avant qu’elle ne grimpe, jusqu’en haut, là où il y avait cet embranchement. Et la route s’ouvrait, sur la gauche, sur un large parking.
Ca devait être le quatrième jour que je venais me caler là, sa silhouette désormais familière, et je l’ai vue s’arrêter et descendre de vélo. Elle était fine, avec deux proéminences, celle de ses seins, qui tendaient bien le maillot, allongés et charnus, et une croupe remarquablement bien dessinée.
Elle avait attrapé un bidon, accroché traditionnellement le long du tube inférieur, et elle avait bu longuement.
La suite m’avait plus surpris. Par tant l’acte que son positionnement.  Juste derrière elle, il y avait des pins. Elle aurait pu se glisser entre et être invisible. Pourtant, elle est restée sur le terre-plein, éventuellement visible par une voiture qui passerait. Pour le moment, il n’y en avait pas…Mais une voiture, ça arrive vite.
Elle s’est calée juste derrière le vélo.
Elle était relativement loin, mais j’avais une bonne vue, et donc je pouvais voir tous les détails.
Elle a commencé par descendre le caleçon. Dessous, elle avait une jolie culotte en dentelle rouge. Elle l’a aussi tirée vers le bas, au niveau de ses genoux, me donnant à voir ses zones intimes. Le bas de son ventre, le renflement de son pubis, qui partait en une pente douce vers son sexe, que j’apercevais comme une fente dont sortait un bout de chair.
Elle s’est accroupie, et je l’ai vue beaucoup mieux. Les deux bourrelets de son sexe étaient encore clos, mais il y avait un bout de lèvre qui sortait de chaque côté.
Elle a passé la pulpe de ses doigts dessus, dans un mouvement latéral, de droite à gauche, dans un geste dont je n’ai pas vu la signification, mais il n’y en avait peut-être pas.
Je me demandais ce qu’elle allait faire. Exhibitionniste, elle avait envie de se caresser au vu et au su de tout le monde?
La réponse était beaucoup plus prosaïque. J’ai vu son sexe se transformer sous mes yeux, s’entrouvrir, son urètre saillir, et un premier jet d’urine, copieux, est sorti. Un jet puissant, qui a duré quelques secondes, et qui a frappé le sol loin. Après ce premier jet, elle a lâché des jets réguliers, le regard dans le vague.
J’ai été un peu surpris. Uriner, c’est un acte intime, et je n’avais jamais vu, même si l’intimité se relâche parfois, une des femmes dont j’avais pu partager la vie, faire pipi. Et là, je la voyais se vider, et je trouvais ça troublant. Erotique et troublant. Je m’interrogeais aussi sur la nature de cet acte, le fait qu’elle se soit calée ainsi en bord de route.
Elle a fait pipi longtemps, des traits courts, marquant la terre et l’asphalte, proches, de sombre. Il y a eu quelques courts jets, et puis plus rien…Elle a fait un mouvement de bassin qui lui a certainement permis, mais je n’ai pas pu le voir, de libérer quelques gouttes. Elle est restée là un moment, comme ça, accroupie, le sexe offert au vent, au soleil, et à mon regard qu’elle ne soupçonnait pas, avant de se redresser, de remonter son slip, et son caleçon, de se remettre en selle, et de repartir.
J’ai pensé qu’en continuant sa route, elle allait forcément me voir, mais ça n’a pas vraiment posé problème. Elle est passée dans un grand arc-de-cercle autour de moi, je ne suis même pas sûre qu’elle m’ait vu, à vrai dire, et elle a disparu.
Ca m’avait vraiment troublé. De voir ce joli corps de femme, de voir ses parties les plus intimes, de la voir faire pipi. Je me sentais un peu voyeur, mais en même temps, je ne m’étais pas placé là pour la mater. J’aurais pu mettre mes mains sur mes yeux, les fermer…J’avais été curieux, et puis tous les hommes ont envie de voir des corps de femme, il y a forcément une curiosité pour l’autre sexe.
Ce qui m’a par contre surpris, ça a été que, dans les jours qui ont suivi, ça s’est renouvelé, avec des variations. Comme une pièce de théâtre qu’on aurait joué devant mes yeux.
On suivait nos deux voies parallèles. Moi, là, l’après-midi pour me détendre en pleine nature, elle pour faire un trajet dont j’ignorais le début et la fin. Deux mondes totalement différents mais qui avaient un point d’accroche. Dans un rapport vraiment étrange.
J’ai ressenti une étrange satisfaction le lendemain à retrouver sa silhouette. Elle avait apparemment une belle collection de shorts, de maillots et de casques.
Ca s’est passé comme la veille, avec pourtant une différence majeure.
Elle est arrivée donc sur la plateau et elle s’est arrêtée. Une bonne rasade d’eau. Je connaissais maintenant mieux sa silhouette. Paradoxalement, la tenue de cycliste, classique, qui aurait pu lui conférer une certaine masculinité, me paraissait maintenant, au contraire, mettre en valeur des charmes féminins.
Elle s’est calée, au bout d’un moment, comme la veille, pour une miction. Aux yeux de tous. Et sous mes yeux. Elle avait, sous son caleçon, un slip noir qu’elle a descendu et, le ventre nu, comme la veille, elle s’est accroupie.
Elle a commencé par lâcher plusieurs grands traits de pipi, et puis ça a été parti pour une infinité de jets plus courts.
La différence majeure, ça a été, et ça m’a surpris que, une fois qu’elle a été vidée, elle s’est caressée…Est-ce que ça l’excitait de faire pipi ainsi? La miction elle-même? Ou le fait de s’exhiber…
C’était aussi la première fois que je voyais une fille se masturber. Elle a adopté un mouvement circulaire, tournant sur ses lèvres dans une répétition qui était sans aucun doute gage de sa jouissance. Elle a très vite fermé les yeux, et j’ai vu qu’elle jouissait, se tendant…Elle a lâché des jets de liquide, mais ce n’était pas du pipi.
Elle s’est rajustée et est repartie, me laissant aussi intrigué que rêveur.
J’avais le sentiment de me trouver dans une situation étrange, décalée, fantasmatique.
Je la revoyais tous les après-midi à présent.
La différence, je l’ai perçue dès le lendemain. Elle est arrivée et elle a fait sa pause postméridienne. Avant une différence essentielle. Au lieu de rester sur l’à-plat, elle a traversé la route, et elle a commencé à escalader la colline. Elle est montée sur quelques mètres avant de  se soulager. Entre elle et moi, il y avait deux rangées de buissons. Et ce n’étaient pas des rangées compactes, mais des arbres qui, non seulement laissaient passer la lumière, de par leur structure, mais, qui, de plus, étaient plantés à quelques mètres les uns des autres.
Et donc, elle était beaucoup plus près de moi cette fois. J’ai eu le sentiment qu’elle savait très bien que j’étais là et qu’elle s’offrait.
En fait, je devais être totalement visible depuis le premier jour, et, si elle s’était soulagée sans arrière-pensée, elle avait du me remarquer pendant qu’elle se vidait, et elle avait décidé de réitérer le lendemain ce qui aurait du autrement sans suite. Parce qu’elle aimait s’exhiber, et que la situation était parfaite.
Je distinguais mieux son visage. Et son corps. Son sexe. Et sa miction. 
C’était vraiment une jolie femme, dans la quarantaine.
La vessie pleine, elle a longuement arrosé la végétation, avant de se donner du plaisir, cette fois différemment, en glissant ses doigts en elle.
il a fallu encore une journée pour qu’elle arrive jusqu’à moi. Elle s’est arrêtée sur la plateau, et elle est montée, dépassant les trois rangées de buissons, pour venir se caler devant moi. Trois, quatre mètres nous séparaient.
Son regard a plongé dans le mien. Il n’y a pas eu un mot d’échangé. Elle avait bu en bas. Elle venait s’exhiber devant son seul spectateur. Elle a descendu son short de cycliste. Dessous, cette fois, un slip mauve. Elle l’a tiré vers le bas.
Je n’avais jamais vu son sexe d’aussi près. Ses poils blonds, une toison qu’elle avait gardée, et une fente qui, lorsqu’elle s’est accroupie, s’est naturellement ajustée pour sa miction. Elle s’est ouverte, et son urètre est apparu, nettement visible. Trou dont est sorti le premier jet d’urine.
La différence, et elle était essentielle, c’était que le jet de pipi me visait clairement, et qu’il est venu fouetter mes vêtements en diagonale.
Elle a continué de m’arroser, des jets brefs, mais puissants, et plus longs que ceux qu’elle sécrétait habituellement. Elle a trempé mes vêtements. Et je me suis rendu compte que ça m’excitait.
On agit souvent par instinct. Quand son jaillissement n’a plus été que quelques gouttes égarées sur sa peau, je me suis redressé, et je me suis approché d’elle. Elle est restée en position. Etait-ce ce qu’elle attendait? J’ai sorti ma queue, raide, mais encore suffisamment souple pour que je lui rende la pareille.
Je voulais faire pipi, mais d’abord rien n’est sorti. Et puis quelque chose s’est libéré, et le premier jet est venu en travers de ses seins.
J’ai continué de les arroser, et le tissu est devenu transparent, me donnant à voir une poitrine vraiment bien dessinée, gonflée, pleine et dressée.
Se faire ainsi arroser, ça avait l’air de la transporter. Elle se masturbait en même temps que je l’arrosais, et le gonflement de son sexe disait clairement son excitation. Une fois ses seins révélés, j’ai tourné autour d’elle, de manière à tremper totalement son maillot. Revenant face à elle, j’ai vu que, les yeux mi-clos, elle approchait de la jouissance. Elle a lâché une espèce de cri, et des jets de sécrétions. Je ne m’étais pas vidé la vessie, mais l’érection qui m’avait pris m’avait bloqué. Je n’ai même pas eu à me caresser, j’ai joui. Le premier jet de sperme est parti dans ses cheveux. Elle a levé le visage vers moi, pour me faire comprendre qu’elle voulait que je lui arrose le visage de semence. J’ai orienté mon gland vers sa face, et elle s’est retrouvée maculée de traits de sperme.
Il n’y a pas eu un mot échangé. Elle m’a quand même fait un sourire avant d’attraper dans le léger sac à dos qui l’accompagnait une serviette. Elle s’est essuyée le visage, a enlevé son maillot, épongé son torse, et passé un maillot sec. Elle m’a souri, et s’est éclipsée.
Si je n’avais jamais eu l’occasion de jouer à des jeux de pisse, j’ai largement pu me rattraper dans les jours qui ont suivi. On avait désormais tous les jours ce rendez-vous qui n’était inscrit nulle part. Je l’attendais, elle montait me rejoindre.
Le lendemain, elle a montée la colline, elle s’est déculottée en arrivant devant moi, offrant à mon regard ses parties intimes, puis elle s’est laissée glisser sur moi, sortant ma queue de mon pantalon. J’étais tout raide, car je la trouvais extrêmement attirante, mais aussi tout simplement j’aimais ce qu’elle me proposait.
Elle s’est posée de telle sorte que son sexe soit juste au dessus de ma queue, mais elle n’est pas descendue dessus…Il y a eu un moment de concentration, de préparation, et elle a lâché plusieurs jets de pipi, chauds, dessus, avant de se contorsionner sur moi, et de m’arroser,en se déplaçant sur moi. Prudent, j’avais amené des vêtements de rechange avec moi. Elle m’a trempé, avant de me dire:
—Rends-moi la pareille.
Ce rends-moi la pareille, ça aura été les premiers mots qu’elle a prononcé dans une relation sans parole, mais qui s’en passait sans mal. Je me suis dégagé. Elle était restée à quatre pattes. Une position qui était l’apex de l’attirance et du trouble pour un homme. Sa croupe charnue, au galbe parfait, était tendue vers moi, ouverte sur l’anus niché dans ses chairs les plus intimes, et sur la grosse boursouflure de son sexe entre ses cuisses, dont je me demandais si la dilatation tenait à ce qu’elle venait de faire pipi, à l’excitation, ou aux deux.
Le principal problème qui se posait à moi, et que j’ai appris dans les jours qui ont suivi à résoudre, c’était sans doute de contrôler mon excitation, et de ne pas être trop dur, pour pouvoir l’arroser…Il a fallu que j’attende un peu avant que mes premiers jets ne viennent couler sur ses chairs. Elle a eu un gémissement de plaisir, me laissant l’arroser des liquides qui sortaient de moi.
Quand j’ai été quasi totalement sec, elle m’a dit:
—Regarde dans la poche arrière de mon short. Il y a quelque chose…J’ai envie que tu me pénètres, maintenant.
Le quelque chose en question, c’était un préservatif enveloppé d’aluminium. Je me suis gainé du latex, et je suis venu sur elle. On était surexcités l’un comme l’autre. J’ai du me calmer un peu, me retenir pour ne pas jouir. Elle était par contre au bord de la jouissance dès que je suis venu en elle, et elle ne s’est pas retenue, laissant exploser son plaisir qui s’est fragmenté en plusieurs orgasmes…Il y a eu un moment où je n’ai plus rien contrôlé et j’ai eu un orgasme interminable, alors que je me vidais en elle, crachant trait de sperme sur trait de sperme…
Le lendemain ça c’est joué différemment, mais le jour suivant aussi…Chaque jour c’était un scénario différent, terreau sur lequel croissait le rapprochement qui s’esquissait entre nous. Elle est arrivée, et, après avoir mis son ventre, à nu, elle est venue se ficher sur moi, non sans m’avoir avant gainé d’une capote. je me suis demandé si elle avait renoncé à ses jeux humides. J’ai eu la réponse quelques secondes plus tard, quand elle s’est immobilisée, mon sexe fiché en elle, et qu’elle a commencé à me faire pipi dessus. je voyais son urètre, juste au dessus de ma queue, et j’ai vu en sortir des traits de pisse qui sont venus m’arroser. Elle a alterné, faisant aller et venir ma queue en elle, et me trempant. J’ai fini par jouir, troublé une fois de plus par ces pratiques nouvelles pour moi. Elle a continué de se vider sur moi. J’ai compris qu’elle attendait que je lui rende la pareille. Je me suis dégagé, et alors qu’elle restait accroupie, je l’ai arrosée copieusement. Elle s’est pâmée sous mon jet, pincent son clitoris pour se faire jouir.
Au fil des jours, s’est esquissé un rapprochement entre nous. On sentait bien qu’on était sur la même longueur d’ondes. Elle m’a parlé d’elle, et expliqué cette genèse que je n’avais pas forcément bien comprise. Elle était adolescente quand une de ses copines, avec qui elle était en intimité profonde l’avait initiée aux plaisirs troubles auxquels elle s’adonnait depuis. Elle pissaient l’une devant l’autre avec une totale impudeur, et son amie semblait troublée quand elle la regardait. La copine avait fini par lui demander un jour, juste après qu’en pleine nature, elle se soit accroupie et qu’elle ait abondamment fait pipi devant elle si Séléna accepterait de lui pisser dessus. Séléna, troublée par la situation s’était approchée d’elle. Elle avait une robe qu’elle avait soulevé, une culotte qu’elle avait descendue, et elle commencé à pisser sur sa copine, d’abord maladroitement, puis avec plus d’habileté, trempant abondamment ses vêtements…La copine encore accroupie, les jambes écartées, le slip dans l’aine, s’était caressée. Séléna, elle par contre, n’avait rien fait, mais elle s’était vite rendue compte qu’elle progressait vers un orgasme, et ça avait été effectivement le cas. Les deux copines avaient passé, le temps qu’avait duré leur relation, de bons moments à s’adonner à des jeux de pipi.
Séléna s’était vite rendue compte, par la suite, que les hommes étaient fascinés de voir une fille se vider la vessie, et tous prêts à se livrer à quelques jeux. Elle avait donc pu en profiter.
Elle était, de plus, exhibitionniste, et aimait se montrer, pas forcément entrain de faire pipi d’ailleurs.
Elle faisait beaucoup de sport. Elle aimait se dépenser. Avec actuellement un goût prononcé pour le vélo. Quand elle avait fini au travail, elle mangeait un bout, et elle partait sur ces petites routes…
Et donc, cet après-midi-là, le premier après-midi, elle ne m’avait pas aperçu, simplement elle avait eu envie de faire pipi. Elle aurait pu aller se cacher derrière les arbres, mais elle aimait l’idée qu’une voiture puisse passer, que le conducteur l’aperçoive, accroupie, le sexe ouvert, lâchant des jets de pisse, et qu’il ou elle soit troublé.
C’était à la quasi fin de sa miction qu’elle avait pris conscience qu’il y avait quelqu’un derrière les buissons, ce qui l’avait à la fois troublée et excitée.
Elle suivait le même parcours tous les jours, une boucle d’une trentaine de kilomètres. Le lendemain, elle s’était posée et m’avait aperçu à nouveau. Elle avait rejoué la même scène, mais, excitée par la situation, elle n’avait pu s’empêcher de se caresser.
Et ensuite, elle s’était enhardie. Pensant que quelque chose s’enclencherait. Ce qui avait été le cas.
On se voyait tous les après-midi. Il s’était noué un lien entre nous. Un rapprochement peut avoir bien des supports. Nos jeux érotiques en étaient un.
C’est elle qui a fini par me dire:
—J’habite L…
—Je suis à dix kilomètres.
—Ca te dirait qu’on se voie dans d’autres conditions?
Elle m’a donné son adresse, et m’a dit:
—Si tu passes ce soir, je peux te faire à manger, et on aura la soirée pour nous.
Il y a toujours pas mal de hasard dans une relation. Combien va-t-elle durer? Est-ce que ça serait une semaine, un mois, dix ans? J’avais le sentiment qu’on s’entendait plutôt bien, et que cette entente ne reposait pas que sur des jeux humides.
Je suis arrivé devant chez elle sur le coup de dix-neuf heures, comme convenu. Elle habitait une petite maison toute simple de deux étages, avec un patio tout fleuri. Je me suis glissé dans le patio. Elle m’avait sans doute aperçu, car elle est sortie de chez elle, souriante. C’était une autre Séléna que je découvrais, ce n’était plus la cycliste en short et maillot, même si ça lui allait très bien, mais une femme en robe de sortie, maquillée, et de magnifiques cheveux blonds coulant sur ses épaules. La robe qu’elle portait, une robe fourreau couleur marron glacé collait à ses formes, et soulignait la grâce d’un corps parfaitement dessiné. Elle était fendue sur le côté pour lui permettre de se déplacer.
J’ai sorti ma queue, maîtrisant mon érection, et je l’ai orientée vers son ventre. Le premier jet d’urine, qui avait du mal à sortir, a jailli, la frappant et humidifiant le tissu, jusqu’à le rendre transparent. Elle a ri. J’ai pris ça pour un encouragement et j’ai continué de l’arroser, avec des mouvements transversaux, tournant autour d’elle, trempant le tissu de la robe qui devenait transparent, dévoilant sa chair, ses formes parfaites, à force de faire du vélo.
J’avais fait des réserves avant de venir. Deux bouteilles d’eau minérales. C’était d’ailleurs bien que je me soulage, parce que je ne tenais plus depuis plusieurs minutes déjà.
Pendant que je continuais de me soulager, elle a soulevé l’ourlet de sa robe, dévoilant son sexe nu, son pubis couvert d’une toison et son sexe ouvert d’excitation, et elle s’est caressée, jouissant debout.
Quand plus rien n’est sorti de moi, elle a fait un sourire radieux.
—Une bonne manière de baptiser une relation qui commence. Tu m’attends, je vais prendre une douche et me changer et je te rejoins. Mais tu ne perds rien pour attendre crois-moi.
Je l’ai regardée s’éclipser, pensant que décidément, les rapprochements entre hommes et femmes pouvaient se faire dans des conditions très particulières.

 

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