Daniel et le maître d’apprentissage partie 1

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Frederic Gabriel


tabou


DANIEL ET LE MAITRE D’APPRENTISSAGE

partie 1

Il y a des gens qui pensent que vieillesse et sexualité ne sont pas compatibles. Il faut croire que nous sommes une exception, ma femme et moi. On a tous les deux 69 ans, peut-être que c’est un âge qui prédispose, en tout cas le sexe a encore une grande place dans notre existence. L’après-midi, après le repas, on fourre la vaisselle dans le lave-vaisselle, et on trouve toujours un bon prétexte pour faire l’amour. Nos corps ne sont plus ceux de nos vingt ans, loin de là, ils se sont alourdis, déformés, et la beauté et la fraicheur qui nous caractérisaient à cette époque ne sont plus là. Mais le désir et le plaisir sont, eux, toujours de la partie.

Je venais de finir de garnir le lave-vaisselle et de le mettre en marche. Elle s’est approchée et elle est venue chercher ma queue dans mon pantalon. Malgré mon âge, je n’avais aucun problème pour bander. Pas besoin de médicament, quel qu’il soit.

Elle a masturbé ma queue, me faisant durcir et allonger plus. Ceux qui crachaient sur les vieux auraient sans doute été surpris s’ils avaient connu Corinne. Elle avait dix fois plus d’expérience que des filles plus jeunes qu’elle et beaucoup plus d’imagination. J’avais toujours aimé qu’elle me masturbe. Elle avait à chaque fois quelque chose de sympa à faire, qui faisait monter le plaisir. Là, après avoir fait aller et venir sa main le long de ma queue, elle frottait mon gland avec son pouce, le faisant luire avec le liquide qui coulait de mon méat. Elle chauffait cette partie de mon corps ultra-sensible, et j’ai cru un instant que j’allais jouir. Elle a su, comme elle le savait toujours, s’arrêter à temps, et m’a dit :

–Viens sur le lit. J’ai envie que tu me fouilles bien avec ta queue.

C’était une proposition intéressante.

On est partis vers la chambre à coucher. Mais nos ébats pouvaient avoir lieu partout, on ne se limitait pas. Ce pouvait être le divan, ou debout contre un mur, entre autres.

Pour que le désir demeure entre nous, Corinne demeurait toujours coquette. Plus que coquette en fait, sexy. Elle ne se laissait pas aller. Aujourd’hui, par exemple, elle avait gainé ses jambes de bas stay-up, avec une jupe noire courte et moulante. Elle avait des escarpins avec des talons fins et longs qui la cambraient, et elle m’avait montré au milieu de la matinée qu’elle n’avait pas de slip. Elle utilisait souvent ce genre de teaser, qui dessinait clairement un rapprochement qui devait intervenir tôt ou tard.

Elle m’a poussé sur le lit. J’ai basculé sur le dos. Elle a dégrafé sa jupe, se retrouvant le bas du ventre à nu. Elle a glissé près de moi, venant se positionner au-dessus de ma queue. Elle a attrapé celle-ci, et l’a guidée vers l’ouverture de son sexe, que l’excitation ouvrait bien. Curieusement, même si la ménopause était passée par là, elle mouillait encore, et j’aimais la sentir couler sur moi. Elle s’est laissée descendre. Mon gland gonflé est rentré en contact avec sa chair délicate et humide. Elle est descendue petit à petit jusqu’à ce que ma queue soit entièrement en elle, et qu’elle soit posée sur moi. Sa chaleur m’a envahi. Ce qui était agréable avec le sexe, c’était que c’était toujours la première fois. Le plaisir renouvelé. Sentir un sexe de femme autour de soi. Pour elle, la caresse de la queue qui la fouillait, alors qu’elle se faisait aller et descendre dessus. Sa dureté, qui la frottait. Elle se pâmait, et commentait ce qui me plaisait toujours.

–Ta queue dans le ventre, comment s’en passer ? Elle me caresse bien à l’intérieur…

Elle se faisait bouger sur moi. Elle a interrompu son mouvement pour se pencher sur moi, échanger un baiser, avant de se redresser. Elle s’est soulevée, a fait sortir ma queue d’elle. Dans une même position, la fois précédente, elle avait calé ma queue contre son ventre, et ondulé jusqu’à ce que la semence jaillisse. Il y avait même eu des traits de sperme qui étaient montés sur son visage. Mais elle est partie sur un autre scénario. Elle a amené ma queue quelques centimètres en arrière, contre son anus.

Quand on s’était connus, j’avais été très surpris, un dimanche, on avait flirté longuement, ca avait été de plus en plus chaud. Elle s’était calée sur moi. Elle avait un jean et un slip, qu’elle avait ôtés, gardant son torse couvert. Elle avait pris ma queue dans sa bouche, longtemps, avant de venir se poser à califourchon sur moi. Je pensais qu’elle allait guider ma queue vers son sexe, à la place, elle avait appuyé mon gland contre sa muqueuse anale, comme maintenant en disant :

–S’il ne doit y avoir qu’une seule fois, alors je préfère que ce soit celle qui me donne le plus de plaisir.

Par chance il y avait eu d’autres fois, mais c’était toujours en se faisant sodomiser qu’elle prenait le plus de plaisir. Et le mien, de plaisir, était aussi très fort.

Elle s’est laissée descendre, avalant ma queue, plus serrée, mieux caressée entre ses fesses. Ce qui m’excitait terriblement, c’était autant de la sentir autour de moi, que de voir son sexe ouvert, tout gonflé, gland clitoridien érigé, qu’elle masturbait frénétiquement en même temps qu’elle bougeait sur moi. Le plaisir montait lentement et surtement jusqu’à l’orgasme et on jouissait bien et fort.
Je crachais ma semence contre ses parois rectacles, jet après jet, quand mon téléphone portable s’est mis à sonner. Il était posé sur la table de la salle à manger, et, de toute façon, il pouvait bien attendre qu’on ait eu notre plaisir.

C’est dix minutes après que j’ai examiné l’écran. Un appel manqué. Et un numéro que j’avais rattaché à un nom. Frank.

Neuf ans plus tôt, j’avais pris ma retraite de mon poste de chef d’atelier d’un grand garage à la capitale régionale T…Je pouvais dire que j’avais gravi tous les échelons, les uns après les autres. J’avais commencé comme simple mécanicien, après un CAP et un BEP, et puis, au fil du temps, j’avais progressé, toujours dans ce garage, qui d’abord au centre ville, était parti en périphérie pour avoir plus d’espace. Une partie importante de ma vie que je n’avais pas oubliée.

–René est mort dans la nuit.

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