Daniel et le maître d’apprentissage partie 4

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Frederic Gabriel


tabou


DANIEL ET LE MAITRE D’APPRENTISSAGE

partie 4

Elle était sur la terrasse, occupée à téléphoner. A l’époque, il n’y avait pas de portable, mais des téléphones sans fil oui. Elle était debout, et elle m’a fait un signe.

J’ai avancé vers elle. Si j’avais jamais pu douter, elle était magnifique, et désirable. Elle avait une chemise sur le dos, avec une jupe en simili cuir, courte, et une paire de cuissardes en daim rouges qui montaient à l’assaut de ses jambes, lacées derrière. J’avais rarement ressenti un désir aussi fort pour une femme, et en même temps, je me sentais extrêmement chanceux qu’elle puisse s’intéresser à moi.

Elle a retroussé d’une main, l’autre tenant le téléphone, sa jupe, pour me faire voir qu’elle n’avait pas de slip dessous. Sa toison blonde, sa fente dont émergeaient deux bouts de lèvre. Elle a tourné sur elle-même, me présentant son cul plein que j’avais aperçu pour la première fois en transparence, quelques jours plus tôt.

Elle parlait avec quelqu’un, mais elle m’a fait signe d’approcher. Elle a retroussé définitivement sa jupe. J’ai glissé sur une chaise près d’elle, prenant ses fesses à pleines mains et approchant ma bouche de sa toison, que j’ai parcourue. Elle a fermé les yeux, se retenant pour ne pas gémir. Elle a laissé son interlocutrice parler, qui avait apparemment beaucoup à dire. J’ai été intrigué de me rendre compte, en approchant mon visage de son sexe, qu’il en sortait un court bout de ficelle, ainsi qu’un rond de plastique. Je me suis demandé ce que ça faisait là. Son sexe était encore sec quand j’ai donné un premier coup de langue dessus. Au deuxième, il y a eu un jet de liquide intime qui est sorti, coulant directement dans ma bouche. Elle s’est cambrée, écartant le téléphone d’elle parce qu’elle n’avait pu retenir un petit gémissement. Je me suis mis à parcourir sa fente de ma langue, La sentant s’ouvrir sous ma caresse, ses lèvres pousser contre moi parce qu’elles gonflaient, et ses jus couler maintenant, abondants, dans ma bouche. Elle a balbutié :

–A bientôt !

Et elle s’est donnée toute entière à ma caresse buccale. Son clitoris, encore masqué par des peaux, est sorti de sa prison de chair, court mais épais…Je suis venu dessus de la langue, avec la joie de le voir et de le sentir gonfler, et de la sentir se cambrer, et se donner toute entière à ma caresse buccale, gémissant sans frein.

Quand j’ai relâché la pression, elle m’a dit :

–C’est exactement les caresses qu’il me faut. Toi et moi, on est faits pour s’entendre.

Je me suis redressé parce que j’avais envie de prendre sa bouche. On s’est embrassés longuement, sa langue venant chercher la mienne pour la frotter. On n’arrivait pas à les décoller, mais quand ça a été le cas, je lui ai dit :

–C’est quoi qui dépasse de ta chatte ?

Elle m’a répondu :

–Je suis une obsédée sexuelle, à la recherche constante du plaisir, mais comme je n’ai plus vraiment de partenaire, je me débrouille pour me donner du plaisir toute seule. J’ai toute une gamme de jouets. Si tu veux en savoir plus, ce que tu vas faire, c’est passer ton doigt dans l’anneau, et tirer très lentement. Tu comprendras.

Je suis redescendu d’un étage plus bas, et j’ai passé le doigt dans l’anneau. Suivant ses injonctions, j’ai tiré très lentement. Elle s’est mise à gémir, et une grosse boule de plastique est apparue, nappée de ses sécrétions intimes…J’ai continué à tirer, en prenant mon temps. Les boules sont sorties d’elle, et chacune, il y en avait six en tout, était plus petite que l’autre. Aussi, les jus qui s’y accrochaient étaient de plus en plus épais et blancs. Je n’ai pas senti si elle jouissait. Pris d’une envie soudaine, je les ai remis en place, un par un, les rentrant en elle. Si elle n’avait pas joui quand je les avais retirés, elle a eu indéniablement un orgasme quand je les ai refourrés en elle, poussant un long gémissement qui s’est achevé par un cri et un jaillissement de liquide sur mes mains et le long de ses cuisses, un liquide blanc épais qui ressemblait à du sperme tout en restant différent.

Une fois qu’elle a eu retrouvé ses esprits, elle m’a dit :

–Et ce n’est pas tout.

Elle s’est retournée. Sa croupe à quelques milimètres de mon visage, elle m’a suggéré :

–Ouvre mes fesses, et tu vas voir quelque chose de sympa…

J’ai obei, placant les paumes de mes mains sur sa chair douce, et je l’ai ouverte. Effectivement, au milieu de sa raie, il y avait quelque chose de surprenant, une rondelle métallique bleu nuit qui faisait saillie, enfoncée d’évidence dans sa muqueuse anale.

A l’époque, on n’avait sans doute pas la culture actuelle, banalisée par le porno. De la sorte, j’ignorait totalement ce qu’était un anal plug. Elle par contre, elle le savait bien.

–J’ai des sensations très fortes par le cul, plus même que par la chatte. J’aime bien me mettre quelque chose dedans, ca me caresse comme ces boules dans mon ventre. Les deux ensemble, c’est très bon. Et puis si une queue se présente, la tienne peut-être, je suis prête à la recevoir. Enlève-là, voyons comment ça se présente…

Un rien intimidé, j’ai posé mes doigts sur la rondelle métallique. Il y avait une aspérité qui permettait de l’attraper, révélant l’objet dans sa forme de poire, qui s’affinait sur la longueur. Souillé d’avoir été en elle.

Cela devait faire pas mal de temps qu’elle l’avait en elle, parce qu’effectivement son anus était bien ouvert. On pouvait voir à l’intérieur d’elle. Vision troublante, moins en elle-même, que parce qu’elle faisait monter en moi une image terriblement excitante, celle d’une queue bien dure qui rentrait en elle, y bougeait, et lui procurait du plaisir tout en en prenant. Je n’avais encore jamais sodomisé une fille, et il me semblait que cette possibilité, qui ne m’avait pourtant jamais trop travaillé, était à portée de main.

Je pensais bien qu’avec elle, tout était possible.

Comme si elle lisait dans mes pensées, elle s’est reculée pour se plaquer contre moi. Ses fesses nues sont venues frotter contre mon bas-ventre.

–Bon je vois que tu es bien dur. On va avoir un bon moment de plaisir.

Elle a soupiré.

–En espérant qu’on en ait plein d’autres. Viens, c’est pas la peine d’attendre.

On est partis sur le côté de la maison. Il y avait du mobilier de jardin. Sur une grande table, elle avait posé son sac à main.

–Je viens de rentrer. Même si je n’ai pas réellement d’emploi, j’oeuvre pour une dizaine d’associations. J’étais parti pour récupérer des tables et des chaises pour une école loin d’ici, en Afrique. En rentrant, je me suis arrêtée à la pharmacie. J’ai pris des préservatifs. J’ai très peur de choper une sale maladie, alors, pardon, mais tu mettras une capote.

–Et avec ton mari ? Tu sais pourtant bien qu’il baise d’autres femmes.

–Ca fait belle lurette qu’on n’a plus de rapports. Et quand il me présente sa queue dure, je le branle. Il adore se faire masturber. C’est ce que lui font les putes qu’il voit tous les vendredis soirs, plus celles à qui il rend visite à l’occasion.

–Tu es bien renseignée.

–Quand j’ai vu qu’il n’avait plus envie de me baiser, j’ai engagé un détective privé. Je crois que j’ai tout ce qu’il faut pour plaire à un homme, non ?

–Indéniablement.

–J’ai découvert qu’il cherchait le plaisir ailleurs. Grand bien lui fasse. Je fais comme lui. Je ne sais pas s’il en est conscient. Et je m’en fous.

Elle a déchiré l’emballage du préservatif, faisant surgir la rondelle de plastique. Elle était colorée en jaune, et elle sentait le citron. Elle l’a plaquée contre ses dents, à ma surprise, et elle s’est penchée sur moi pour venir envelopper ma queue, une fois sortie de mon pantalon, glissant le long de celle-ci. Quand elle s’est dégagée, ma verge était enveloppée de latex.

–Tu as vu, je me débrouille bien. Je suis une vraie catin. Je connais des tonnes de recettes. Tu ne seras pas déçue avec moi.

Il y avait un profond bonheur sur son visage. Le bonheur d’avoir un amant, du plaisir. J’imaginais bien qu’en contrepartie, dans son existence, il y avait aussi la solitude et la tristesse.

Elle a basculé sur le transat, s’offrant, son visage tourné vers moi me le disait bien, mais aussi ses parties intimes offertes, de son cul rebondi que sa position offrait sur son anus qui était resté ouvert à sa chatte dilatée d’excitation dont dépassaient les boules de geisha nouvelle génération que j’avais refourrées en elle.

–Devant c’est déjà pris…Viens derrière…Tu me feras très plaisir.

Les années ont passé, mais je me souviens, c’est mon jardin secret, même si je suis très heureux avec Corinne, de chaque moment, chaque seconde. Ses expressions, son corps, le plaisir que j’ai eu et qu’elle a eu. Des moments qui n’ont jamais trouvé d’équivalent et dont j’aime me remémorer dans des moments de pause, de calme, de solitude. Il n’y a pas eu de moment neutre ou fade, mais au contraire, toujours quelque chose d’intense, de fort, même dans des moments qui auraient pu sembler simples. D’autres étaient plus élaborés parce qu’elle avait beaucoup d’imagination et d’envie.

J’ai approché ma queue de l’ouverture qui avait été dessinée dans ses chairs ouvertes par l’anal plug. Elle a tendu la main en arrière, venant caresser ma queue, comme pour m’encourager. J’avais tellement envie de toute façon que c’est venu tout naturellement. J’ai glissé en elle, ma queue plantée quasi totalement, laissant la sensation nouvelle d’être dans le conduit rectal d’une femme s’emparer de moi.

–Caresse-moi bien maintenant.

Je me suis mis à bouger en elle, enivré par ce plaisir si intense. Elle éprouvait ce qu’elle ne connaissait plus avec son époux, je ne savais pas si je devais m’en réjouir ou m’en désoler.

A force de la fouiller, j’éprouvais le sentiment enivrant de pénétrer plus loin, plus haut en elle, d’être dans ses chairs d’une manière plus absolue. Au bout d’un moment, elle a amené sa main entre ses cuisses, et elle s’est mise à se frotter, j’ai compris qu’elle caressait son gland clitoridien pour se procurer du plaisir.

C’est sans aucun doute quand elle a été proche de jouir qu’elle a attrapé le cercle de plastique qui sortait de son sexe et qu’elle l’a tiré vivement. Elle s’est cambrée, a retenu un hurlement qui est pourtant partiellement sorti. Entrainé par ce mouvement, et à bout, j’ai explosé, ma semence jaillissant dans le préservatif, et venant taper contre les parois de son rectum.

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