DANS LA PEAU D’UNE ESCLAVE – 17
Bon… Il y a pas mal d’esclaves sous les tables. J’ai déjà repéré une petite blonde avec une grosse bouche que j’imagine déjà sur ma chatte. Je lui fais signe. Elle accourt et se met à genoux devant moi en déclarant :
— Je suis l’esclave Dinah, à votre service Maîtresse.
Ouch ! Tout le monde me regarde ! Je deviens toute rouge.
Kai me dit :
— Encore !
— Mais euh, c’est la Maîtresse qui…
Je me tourne vers Ariane.
Ils s’amusent tous de me voir aussi gênée. Bon, on m’a dit que je pouvais… donc, je le fais. « Mon » esclave me dit :
— J’ai vu votre spectacle avec mon Maître, je suis vraiment flattée qu’une grande et très jolie comédienne me choisisse. Que puis-je faire pour vous faire plaisir, Maîtresse ?
C’est une esclave qui fait de la lèche, au propre et au figuré.
Ariane intervient en lui répondant :
— File sous la table et lèche-la.
Elle ajoute :
— Jamais vu une fille qui a autant le feu au cul. Elle est insatiable.
M’en fous de ce qu’elle dit, parce que « mon » esclave a posé sa grosse bouche sur ma chatte et elles se font des baisers passionnés.
Juste à ce moment-là, le Prévôt s’invite à notre table. Il me demande :
Quel tempérament, tu as toujours été comme ça ?
Je bredouille :
— Pardon Maître, mais… ooohhh… il y a aaaaahhhhh….
Ariane répond à ma place :
— Elle se fait lécher par une esclave.
Le prévôt éclate de rire. Moi… je me pâme… En fait, bien que plutôt timide, je me rends compte que j’adore faire ça en public. Quand elle a fini de me nettoyer à l’étage en dessous, je lui dis :
— Reviens.
Je l’embrasse sur la bouche. J’aime mon goût et mon odeur sur ses lèvres. Nos voisins rient et m’applaudissent.
C’est amusant, le métier de comédienne.
*
On repart le lendemain, en marchant derrière la carriole tirée par les bœufs. J’avance facilement. Comme j’ai une courte tunique, je vois mes cuisses se tendre à chaque pas. Je sais que j’ai souhaité à Calypso de se retrouver chez Hadès, le dieu des enfers, mais je lui suis très reconnaissante d’être… jeune et belle. Je me visualise en marchant : une brune à peau mate, de grands yeux noirs et un petit nez. Je mesure 1 m 70, pèse environ 55 kg. J’ai de beaux seins en poire, une taille mince et des fesses à tomber. Et un tempérament de feu. Je pose une main sur mes fesses pour les sentir se gonfler à chaque pas. J’entends Kai dire derrière moi :
— Alors Léa, tu te caresses en marchant ?
— Non, Maîtresse… c’est juste…
— Juste parce que tu aimes tes fesses ! Mais tu as raison, elles sont belles.
Zélos ajoute :
— On va même les peindre sur la voiture.
— Mes fesses, Maître ?
— Oui, toi et tes fesses
Aaah ? Bon…
Le midi, on s’arrête près d’un groupe de paysans qui travaille dans un champ. Un animal aboie ou plutôt hurle. Ariane me dit :
— Tiens, voilà 4 pièces de cuivre, va chercher des pains, deux livres de lard ou de la viande séchée et du vin. Et enlève ta tunique, tu feras ce qu’ils veulent s’ils trouvent que ce n’est pas assez.
— Je dois y aller toute seule, Maîtresse ?
— Oui.
— Et si le loup m’attaque ?
Tu te mets à quatre pattes. Ça va sûrement te plaire !
D’accord, je suis belle, mais je suis aussi une fille, et pas de la trempe de Kai qui arrête la pointe d’une épée de sa main nue. Soi-disant. Alors, j’y vais mais en pleurant, car je n’ai pas du tout envie de me mettre à quatre pattes… Enfin, je dois d’abord y réfléchir. Après que j’ai fait quelques pas en reniflant, Kai enlève sa tunique et me rejoint, ouf ! Je lui dis :
— Merci Maîtresse, je ne connais rien ici et…
Elle me coupe :
Oui, on le sait Léa. T’es peureuse et pleurnicharde. On voulait voir ta tête.
On s’approche des paysans et le loup nous fonce dessus. Je pousse un petit cri et je me cache derrière Kai. Bon, je dépasse de partout. Elle marche droit sur le loup qui doit peser plus lourd qu’elle. Je sens son corps se raidir, mais au dernier moment, un des paysans appelle « KIKI ! » et le loup s’arrête en grommelant, puis retourne chez son Maître. Un monstre de 60 kg qui s’appelle Kiki ! On approche des paysans. Il y a deux hommes d’une bonne quarantaine et deux jeunes. Un des plus âgés dit à Kai :
— T’as des couilles, petite. Qu’est-ce que tu aurais fait s’il t’avait sauté dessus ?
Kai a un petit rire et répond :
— Je lui aurais tranché la jugulaire avec les dents.
Le pire, c’est que je la crois !
Ils rient tous en entendant ça. L’homme lui demande :
— Qu’est-ce que tu veux ?
— Deux pains, deux livres de lard et quatre bouteilles de vin gris… et du sucré, si vous avez. On est des comédiens ambulants, je peux vous donner quatre pièces de cuivre et ça.
« Ça », c’est moi ! Kai me prend par la main et me fait tourner sur moi-même.
Il y a des sifflements des commentaires flatteurs, genre « putain, quel cul de pouliche ! ». Je ne sais pas si c’est vraiment flatteur ! Sans doute que oui, pour ces hommes-là.
Le plus âgé demande :
— Vous sucez toutes les deux ?
— Oui et elle (moi) vous pouvez l’enculer, si vous aimez ses grosses fesses.
Mais pourquoi ? La seule fois où ça m’est arrivé, j’ai griffé les mains de ma mère.
Le gars regarde les autres, puis nous dit :
— Vous nous sucez tous les quatre, mais toi tu ne vas pas me trancher la jugulaire de la bite ?
Oh, un paysan qui a de l’humour ! Enfin, de l’humour « lambda ».
Kai rigole en lui répondant :
— J’ai une langue de velours.
— D’accord, ensuite on peut enculer la grande ?
C’est pas moi qui suis grande, c’est Kai qui est toute petite. Et puis, pourquoi m’enculer, c’est ma chatte qui…
Je regarde Kai, implorante…
Elle soupire et me demande :
— Tu as envie de te faire fouetter avant ?
— Non Maîtresse.
Si c’est pour se faire enculer, j’ai plus envie d’être comédienne ! J’ai envie d’être une femme libre de retourner dans le monde Alpha, récupérer ma fortune et me faire baiser par les voies naturelles.
Le paysan s’adresse à un des jeunes :
— Va chercher deux pains, deux livres de lards et quatre bouteilles de vin gris.
Il part en courant. Méchamment envie de baiser, lui.
Le plus âgé nous explique que c’est sa ferme, qu’il travaille avec son frère et ses deux fils. Il ajoute :
— C’est rare de voir d’aussi belles filles que vous dans la région. Vous allez jouer à la ville ?
— Exactement, à Sainte Héloïse, mais on s’arrête chez Lucianus, le peintre.
Le jeune revient en courant avec les provisions dans un sac de jute.
Kai y jette un coup d’œil et dit :
— Parfait ! Messieurs, sortez vos engins. Qui veut quoi ?
Le patron lui dit :
— Commence par sucer les jeunes. Moi, j’ai envie d’enculer ta copine.
C’est pas ma copine, c’est une sale ninja. Le paysan enlève ses hardes. Il est gros, poilu et suant. J’arrête ma description ici, parce qu’on pourrait me taxer de racisme envers le monde Lambda, mais il ne faut pas oublier qu’ils sont revenus au Moyen Âge, époque où les soins d’hygiène étaient inconnus. Hélas pour moi, j’y suis et pas du bon côté.
Kai est déjà à genoux entre les cuisses d’un des jeunes et le suce. Et, à voir la tête extasiée du gars, je veux bien croire que cette garce a une langue de velours !
Le paysan m’ordonne :
— Couche-toi sur ce paquet de paille !
Je le fais, mais…
— Aaaiie ! Ça pique !
Kai enlève la bite de sa bouche pour me lancer :
— Encore une plainte ou un cri et tu vas le regretter.
Le garçon cherche sa bouche, la trouve et évidemment, elle se tait. Ouf !
Je me couche sur la motte de paille. Ça pique toujours !
Le gars m’écarte les fesses et cherche la porte de derrière. Je dois me détendre, sinon il va me déchirer.
Je me fais toute molle et serre les dents. Ça y est ! Il est au bon endroit, le gland contre mon anus. Il pousse un grognement et commence à me pénétrer. Ouch ! Je ne crie pas pourtant au moment où le gland force l’anneau, alors que je vois des étoiles. Je sens son gros ventre contre mes fesses, sa bite est complètement dans mon cul.
Il y va de son commentaire :
— T’es bien étroite, toi !
Son gros membre va et vient dans mon colon tandis que la paille me meurtrit les seins et le ventre. Ça fait mal des deux côtés… au début. Et puis, j’imagine ce gros gland distendre mon anus et ma chatte commence à soupirer, puis à gémir puis à pousser des petits cris de plaisir. L’homme se retire presque complètement, réduisant de nouveau mon anus à une mince bague étirée. L’homme me donne une claque sur les fesses en disant :
— Tu aimes ça, hein ?
— Oui Maître.
— Attends, je vais faire la fête à ton cul, moi.
Je lui dirais bien : « Changez rien, il se la fait tout seul ».
Il baise plus vite et plus brutalement.
Ouch ! C’est bon ! Je serre les fesses pour le sentir encore mieux m’écarteler. Bientôt, je me mets à couiner et ensuite « Oh, quelle surprise ! » je jouis.
Lui continue. Il se couche même sur moi. Là, je crie, car cette-fois-ci, la paille me pique les seins. Il continue à me baiser un bon moment et de nouveau la douleur se transforme en plaisir. Je sens son membre grossir en moi, il devient énorme et jouit en grognant. Moi aussi, bien sûr, en imaginant son sperme m’inondant les intestins et remontant dans tout mon corps. J’ai acquis une imagination débordante dès qu’il s’agit de trucs de cul ! Toutes les femmes sont aussi vicieuses ou ce n’est que moi ? Le restant de la famille nous regarde, surpris et amusé.
Dès que mon enculeur s’est retiré, un jeune prend sa place. Mon anus l’accueille à bras ouverts, genre « welcome stranger ».
Du coin de l’œil, je vois Kai lécher le sexe de l’autre homme plus âgé. Le jeune est trop excité, il jouit presque tout de suite. Sans moi, ouf !
Voilà, ils sont contents, nous aussi. Je n’ai rien dû mettre en bouche et je suis « ouverte » par-derrière, ce qui m’ouvre des perspectives intéressante, genre double pénétration.
On s’embrasse et oui, oui, on reviendra. Kai et moi, on repart avec les provisions. Je lui demande :
— Je peux aller un instant derrière un arbre, Maîtresse ?
— Oui, vas-y.
Je vais ensemencer la terre avec du sperme de paysan.
Après être revenue près d’elle, je lui dis :
— Moi, c’était bien, Maîtresse ?
— T’as toujours besoin de compliments, toi !
— C’est que… j’ai toujours peur de mal faire.
On rejoint la carriole. On s’installe et on mange. J’ai faim. Des choses aussi simples que du pain sec et du lard fumé me semblent délicieuses. Il y a même des rayons de miel et du vin gris, j’adore.
La douleur dans mon cul s’est atténuée. Il ne reste plus qu’une vague impression agréable. On m’a enculée ! Il y a un mois, ça m’aurait semblé la pire des dégradations, tandis que tout à l’heure, j’ai joui deux fois avec une bite dans le cul. Rien que ces mots, ça m’excite !
L’après-midi, on repart. Ariane et Zélos marchent aussi. Il n’y a des places que devant pour conduire les bœufs et ce sont les plus âgés, Hastia et Moros, qui y sont.
En marchant, on parle. Enfin, surtout les quatre autres, car moi, j’ai toujours peur de dire une bêtise. Je regarde les plantes et les animaux, j’apprécie la caresse du vent sur mes cuisses et dans mon cou. Je respire profondément quand on passe à côté d’un buisson de jasmin.
A suivre.
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