DANS LA PEAU D’UNE ESCLAVE
Chapitre 5 – Calypso met son beau-père en cage
Je traite mon beau-père durement depuis qu’il m’a légué tous ses biens et ses titres, mais ce n’est pas raison.
Faire l’amour avec lui, m’a plu. Enfin, la transgression m’a plu. Faire quelque chose d’interdit… mais, une fois m’a suffi. Or, il est devenu collant ! Toujours à tourner autour de moi comme un chien reniflant une chienne en chasse. Si lui est un chien, moi, je ne serai jamais la chienne de personne.
J’ai nommé deux Sœurs du Temple d’Athéna comme administratrices des affaires qu’il m’a léguées. Quant à lui, je l’ai transféré au département publicité. Il est bon pour trouver des petites formules idiotes qui incitent les gens à acheter des produits dont ils n’ont pas besoin. D’accord, il passe d’administrateur directeur général à employé… mais, je lui ai bien expliqué que si ça ne lui plaît pas, il se retrouverait dans l’équipe de nettoyage.
C’est à ce moment qu’il a appris que j’avais récupéré la fortune qu’il avait envoyée à l’étranger. Après tout, il m’a légué tous ses biens, même ceux dissimulés. Il n’a pas aimé ça, étant donné qu’il se retrouvait pieds et poings liés à ma botte. C’est une image… Quoique, non, c’est la vérité.
Comme s’il était toujours le patron, il a continué à choisir parmi les employées celles qu’il voulait baiser.
Je disais pieds et poings lié ? J’ai fait mieux. Ce matin, je le fais appeler pour qu’il me rejoigne dans mon bureau.
Il était occupé de conter fleurette ou plutôt à baiser une nouvelle employée.
J’ai droit à une scène,
— Dis donc Calypso, déjà que tu m’as mis dans un secteur merdique, mais en plus tu crois que je vais accourir quand tu siffles ? N’oublie pas que c’est grâce à moi que tu…
Je dis aux gardes que j’avais fait venir :
— Attrapez ce clown, enlevez son pantalon et tenez le bien.
Alors là, il a poussé des beaux cris d’indignation, beau-papa.
Je prends son sexe en main. Il sent la chatte, donc il était bien occupé à baiser dans un coin au lieu de travailler. Je lui mets une petite cage, qu’on met sur le sexe des esclaves mâles quand on veut les empêcher de se reproduire avec n’importe qui. Je ferme la cage à l’aide d’un petit cadenas et je mets la clef à une chaîne que j’ai autour du cou.
La cage se compose d’un anneau de métal qui enserre les couilles et de tiges de métal qui enferme le pénis… Une cage à bite, quoi !
Il n’en croyait pas ses yeux !
Il a bêlé :
— Mais… mais…
— Mais… mais… fini de baiser. Tu vas travailler et si, je suis contente de ce que tu fais, j’ouvrirai ta cage.
Là il a gueulé encore plus fort,
— Tu n’as pas le droit ! J’avertirai le Prévôt et…
Et… il s’est mis à pleurer…
C’est pas vraiment un guerrier, mon beau-père, c’est plutôt une chiffe molle ! J’allais le dresser, comme il a laissé cette salope de Fenza me dresser, enfin, essayer de le faire.
C’est depuis ce moment-là que j’ai décidé de me venger. C’est en voyant la bosse dans son pantalon quand il me regardait me faire fouetter par une des servantes de Fenza. Sous le fouet, je serrais les dents, tandis qu’il s’excitait à me voir souffrir. Oui, le fouet, ça fait franchement mal, mais je ne pleurais pas, moi ! A mon tour de mouiller en le… taquinant,
— Tu sais que ça m’excite de te voir avec ta bite en cage ?
— Calypso… bou… hou… c’est juste une blague ?
— Non, pas du tout. Tu vas arriver au bureau tous les jours à l’heure. Si tu es poli et que tu travailler bien… Je déciderai d’ouvrir ta cage… ou pas. Ah oui, encore une chose, si tu bandes, ça risque de piquer un peu. Je vais te montrer.
J’enlève ma culotte et la mets contre son nez. Je sais que ça lui plaît. Régulièrement, j’envoie une esclave récupérer mes culottes dans sa chambre, parfois sous son oreiller.
Je crois qu’il aime mon odeur. J’en suis même sûre quand il se met à geindre. Sa bite dans la cage a pris du volume et la chair dépasse entre les barreaux. Ouch ! Ça ne doit pas être agréable.
Ça y est-il tombe à genoux devant moi en disant :
— Je t’en supplie Calypso enlève moi ça.
— Non ! Travaille, fais du sport.
Il recommence à gémir !
Putain ! Je suis gâtée, question beau-père ! Je lui cracherais bien à la figure, mais je suis sûre qu’il adorerait ça.
Je trouve scandaleux qu’il ait profité de son titre de directeur général, pour tirer toutes les femmes qui passaient à sa portée ! Non, je rigole, je trouve ça tout à fait normal et j’adore abuser de mon personnel. J’aime les voir, hommes et femmes, entrer en tremblant dans mon bureau et ceux qui me plaisent je les envoie sous mon bureaux !
C’est pour continuer à le taquiner que j’ai envoyé à toutes les femmes, la vidéo où on me voit enfermer le sexe de mon beau-père dans une cage à bite. J’ai ajouté quelques images où je dis : « L’ancien directeur général ne vous coursera plus dans les couloirs. Ne soyez pas trop câline avec lui, parce que bander lui fait très mal… À moins que vous n’ayez envie de vous amuser ! »
Il semble qu’elles aient envie de s’amuser, parce que c’est à qui va lui montrer ses seins, ses fesses ou le caresser en passant. On l’entend gémir dans les couloirs. D’autant plus que j’ai chargé les esclaves qui font le service d’ajouter de la poudre aphrodisiaque à sa nourriture. Oui, je suis farce !
Le soir mon beau-père vient me trouver dans ma chambre tandis que je me change pour sortir. Aïe ! Mauvaise idée ! Je me mets nue et lui se met à gémir.
Entre deux gémissements, il me supplie, mais bien,
— Pitié Calypso, je souffre atrocement, délivre moi.
Souffrir parce qu’on a la bite un peu serrée entre des barreaux ! Je lui dis :
— Montre.
Il ouvre son pantalon.
Ah ouais, c’est plus qu’un peu serré. Son membre est tout rouge et essaye vainement de s’échapper par les fentes entre les barreaux.
Je lui dis :
— Fais-moi jouir et je te l’enlève 5 minutes.
— Oh non ! Je vais bander encore plus, ça me fera trop mal.
— Alors du balai !
— Nooon ! Je le fais…
Je m’installe sur le lit, les jambes écartées, la moule aussi ouverte qu’une fleur du désert espérant se faire boulotter le pollen par un colibri égaré.
Il faut que je pense à Fenza me faisant fouetter, un truc qui me fait râler.
Il me lèche en gémissant de douleur ! Ça m’excite. Il faut que je me retienne ! Quel est le carré de 267, c’est, c’est… Ooooohhh ! Ne jouis pas, connasse ! Ooooohhh ! Ça y est, je plaque son visage contre ma chatte et il gémit dans mon vagin !
Mmmmhh… le méga pied… je ferme les yeux… et j’entends :
— À moi Calypso pitié, enlève la cage.
Ah putain ! Quel égoïste… !
Bon…
J’enlève sa cage. Quelle horreur son sexe est rouge et bleu, tout déformé par les barreaux. Ça doit être très douloureux… Ça y est, je m’excite, de nouveau !
Je lui dis :
— Baise-moi.
C’est généreux de ma part parce que je suis trempée et plus ouverte que…. Mais non, pas la fleur du désert, plutôt, la bouche d’une truite s’apprêtant à gober une mouche de mai.
Il entre en moi en gémissant,
— Aïïe ! Ouille ! Ça fait mal !
A moi, ça ne fait pas mal du tout, au contraire.
Malgré sa bite meurtrie, il lui suffit de quelques allers retours et il m’inonde, bien ! Il devait y avoir une de ces pressions dans ces couilles.
Au lieu de me remercier d’avoir ouvert sa cage et de lui avoir proposé ma chatte trempée, il bougonne,
— Plus jamais la cage.
Ce n’est ni très aimable, ni très poli. Bon s’il veut jouer au dur, il risque de la payer. Je lui dis :
— Je vais te remettre la cage. Si tu ne te laisse pas faire bien gentiment, j’appelle deux gardes, pour qu’il te mette de la glace sur la bite et te la colle dans une cage plus petite.
Ça y est, il pleure de nouveau !
— Bouh… hou…Combien de temps Calypso ?
— Si tu es sage, tu ne vas pas la garder longtemps.
Il embrasse ma main ! Pôv’ beau-papa, je ne suis pas prête à lui enlever, c’est trop fun !
***
Ce matin, je descends et j’ouvre la porte du jardin pour que Louna ma petite chienne aille faire ses besoins.
Le professeur qui a transformé Fenza, ma salope de belle-mère en Dina, me l’a reprise pour deux jours. « Une petite transformation, qui va t’amuser » m’a-t-il dit.
Il me l’a rapportée hier. Elle a toujours ses belles oreilles et sa queue en panache, mais ce n’est plus une fille du tout, c’est une chienne, une vraie. Avec des longs poils soyeux, un museau pointu et des grands yeux noirs. Marrant !
Elle a dormi à côté de mon lit.
Ce matin, elle gémissait devant la porte pour sortir.
Je lui ai montré sa laisse. Elle sait bien que ça veut dire « arrête de gémir ou tu vas prendre quelques bons coups de laisse sur l’arrière train ! » C’est vrai quoi, merde, elle doit apprendre à se retenir.
La preuve ? Ce n’est qu’une demi-heure plus tard que je descends déjeuner. Elle n’a pas l’air très à l’aise, mais les chiennes et les beaux-pères, faut les dresser !!
J’ouvre la porte du jardin à Louna. Elle coure jusqu’au milieu de la pelouse et s’accroupit pour faire ses besoins.
Une esclave m’apporte des pâtisseries et du café.
Louna revient au bout d’un moment en courant, l’esclave de service lui ouvre et elle se couche par terre à côté de moi. En général elle pose son museau sur mon pied, ce qui veut dire, « J’ai faim Maîtresse », mais aujourd’hui, elle lèche ma cheville. Je m’apprête à lui donner un coup de laisse, car elle ne peut pas lécher, enfin, sauf si je lui ordonne le soir sous les couvertures.
Elle dit tout bas :
— Je dois parler Maîtresse.
Elle ne peut pas parler. Il faut qu’elle se fasse comprendre par attitudes, gémissements ou même aboiements. Si elle veut me parler, c’est que c’est important.
Je lui fais signe et elle saute sur mes genoux. Je la caresse et elle met sa tête près de mon cou. Là elle murmure :
— Votre beau-père et l’esclave Zanef, complotent, Maîtresse.
Elle a dû surprendre une conversation en coursant un mulot dans les buissons. Qui fait attention à un chien ?
— Bien… Tu auras un bel os à moelle et un nouveau jouet.
Elle remue la queue les yeux brillants.
Je ne suis pas surprise du tout que mon beau-père et Fenza, son ex-femme, complotent. Ils vont essayer de me faire arrêter pour avoir trafiqué des puces identitaires, ce qui peut me valoir 10 ans sur une planète bagne. D’autres sources m’ont signalé la même chose.
Je ferais la même chose à leur place, mais moi, je le ferais bien.
Il faut dire que j’ai été un peu dure avec mon beau-père, je lui pardonne difficilement d’avoir laissé ma belle-mère, actuellement l’esclave Zanef, me faire fouetter par des esclaves.
Je m’attendais à ce que ces deux andouilles s’associent et je vais leur faire passer le goût de comploter contre moi.
J’ai vu pas mal discuté avec beaucoup le Professeur Mariano qui a transformé Fenza en une esclave bimbo et qui m’a donné Louna, ma petite chienne. Ses travaux sur les transformations ont pris une dimension extraordinaire.
« Tout est possible ! » m’a-t-il dit en me caressant les fesses.
La transformation de Fenza en Zanef a beaucoup amusé les frères et sœurs du Temple d’Athéna et ils ont débloqués des fonds énormes pour les travaux du professeur.
Je crois que je vais lui envoyer deux nouveaux cobayes.
A suivre.
Les tomes 1, 2, 3, 4 et 5 de Mia sans dessous sont ici :
http://www.lamusardine.com/P31501-mia-sans-dessous-4-morgan-bruce-michael-mia.html
Mes livres non illustrés, ici :
https://www.amazon.fr/Mia-Michael/e/B01MRVYT44/ref=ntt_dp_epwbk_0 …