DEPUCELAGE

Tom vient d’avoir vingt ans et dans sa vie de jeune mâle puceau tout va mal !

 

Il a besoin d’amour mais ne le trouve nulle part ! Il passe ses journées seul dans l’angoisse et l’attente. Sa chambre revêt des allures de blockhaus. Il n’y fait rien à part des parties de jeu à sa XBOX 360. Sa mère avec qui il vit menace de l’expulser, s’il ne trouve pas un job et comme pour lui travailler dans l’ouest sans qualification est impossible, il adopte l’image d’un bon fils en s’occupant des taches ménagères ou du jardin histoire d’améliorer son image familiale. De toute façon avec un seul RMI sans enfant à charge, il n’aurait pas droit aux HLM et se retrouverait à faire la manche dans les couloirs du métro où aller de foyer en foyer. La France est devenue le trou du cul des masses, ça demeure évident mais des masses qui jadis vivantes sont devenues mortes ou seuls règnent ; le mépris entre individus et l’agitation intellectuelle. Toutes et tous sont désormais prisonniers de leurs vies ternes artificielles comme l’évoque Henri Thomas dans son livre ; la nuit de Londres. De même,  le processus créatif étant rattaché au processus socio et pro, on vit dans un carcan d’artistes, travailleurs, patrons qui s’épient sans cesse et dont chacun croit détenir une part de vérité sur le sexe, les femmes, les denrées créatrices omettant le sexe sous sa forme pure, enfantine et imaginaire dont avait parfois recourt Tom non pas en draguant mais en écrivant bien que cela ne servait à rien puisqu’il ne trouvait aucun éditeur pour ses textes trop naïfs et vif pour Paris qui comme les françaises aiment le concret les femmes étant d’avantage intéressées par la longueur des bites et leur mouvement que leurs histoires et la manière dont-on s’en sert !

 

Mais un jour à force d’envoyer ses manuscrits, il eut un retour salvateur.

 

Cette nuit-là alors qu’il s’endormait comme d’habitude dans son lit déglingué d’adolescent, âgé ; une femme s’introduisit en douce dans sa chambre afin de le violer. Du reste cela devait être une professionnelle car il prenait soin de tout verrouiller avant de prendre ses cachets pour dormir et le fait qu’elle entre dans sa chambre sans faire de bruit dénotait qu’une équipe de professionnels avait dû intervenir pour que cela se réalise. Avant qu’elle ne le touche, il avait le sommeil tellement léger qu’il s’éveilla et sentit la porte grincer doucement lorsqu’elle entra dans sa chambre. Très vite l’angoisse d’une attaque tendit ses nerfs qu’il avait déjà à rompre et il crut sa dernière heure venue comme si un commando comparable à ceux des jeux vidéos qu’il jouait avant de s’endormir était venu pour le liquider. Il se dressa sur ses coudes tendit sa main vers la table de chevet afin d’allumer la lampe mais il sentit deux mains puissantes s’emparer de ses poignets et les plaquer contre l’oreiller et alors qu’il s’apprêtait à crier une langue s’introduisit dans sa bouche pour se mettre à lui lécher alors qu’il sentit une énorme paires de seins venir lui effleurer le torse. Aussitôt, il fut pétrifié d’angoisse devant un si gros cadeau offert, lui qui ne s’était alors contenté que de putes et de clubs libertins de seconde zone où l’on doit « tirer son coup ». Non, il ne rêvait pas ! Il y’avait bien une femme entrain de se frotter à lui durant cette nuit qui portait sur elle; un déguisement de pseudo hôtesse de l’air constitué d’une jupe et d’un soutien-gorge qui s’ouvrait par l’avant spécial débutants. Le tissu était un alliage particulier fait pour exciter ses sens et envies d’adolescent de même que le petit chapeau qu’elle portait sagement en haut du crâne excitait ses envies d’attouchements et de caresses. Son corps tout entier fût secoué de spasmes de convulsions et la femme resserra d’autant plus fort son étreinte sur lui pour l’empêcher de s’échapper car elle voulait le posséder pleinement et le forcer à faire l’amour et à jouir dans son ventre. Quand ses spasmes furent calmés, il y’eut un temps où il se laissa aller, l’esprit fiévreux et rêveur comme quand il avait huit ans au parc Disney. Il cessa de lutter et laissa à la femme le soin d’explorer son corps sans toucher le sien. Comme, il dormait nu hormis son caleçon où des taches rêches apparaissaient à travers le tissu cela alla rapidement. La femme posa sa main sur son ventre chaud et le fit glisser en direction des cuisses. Au passage, elle s’attardât le long de sa hampe tendue comme un arc qu’elle se mit à palper et notamment, le gland rouge et amoureusement gonflé d’où commençait par s’échapper quelques gouttes de sperme sous l’excitation générée. Puis, son autre main atterrie sur ses couilles qu’elle massa tendrement et lui fit écarter les cuisses. L’ado commençait lui-même à l’explorer. Ses mains se posèrent sur sa poitrine et lui ôtèrent les pressions du soutient gorge libérant deux globes à la grosseur et douceur qui lui paraissaient irréels dont-il se mit à lécher les pointes durcies tel un petit chiot affamé. Puis de nouveau sa bouche s’abattit sur son front, ses lèvres, son nez qu’elle explora avec amour et sensualité, le baisant littéralement ! Quand, il fut au summum de l’excitation, elle se recula et prit plus de champs. Elle lui demanda d’ôter son caleçon alors qu’elle-même avait ôté sa jupe et elle se tenait devant lui accroupie entre ses frêles jambes. Elle ne portait aucune culotte et il sentit la tendre ouverture et le souffle chaud de la fente humide cachée par l’obscurité qui l’appelait de désir en son sein. Alors souffle coupé, il tirait sur l’élastique du caleçon faisant émerger une pine aux dimensions raisonnables mais au velouté incomparable. Immédiatement, elle commença à le sucer en commençant par les couilles qu’elle massa tendrement. Elle eut un petit rire de satisfaction car comme il ne s’était pas branlé depuis trois jours ce qui est assez rare pour lui (c’est plutôt deux où trois branlettes par jour ordinairement !) elles étaient fermes, lourdes et pleines de sperme. Alors la femme attrapa la hampe et se mit à l’agiter de va-et-vient réguliers vers le haut afin d’amorcer la pompe. Le gland paraissait énorme et émettait de petits couinements lorsque la peau du prépuce vient frotter contre le gland et qui ne doit pas être si fréquent chez les hommes car en l’entendant les putes de la rue St Denis sans se moquer de lui tiraient des têtes bizarres. Enfin, la femme se mit à l’embrasser très tendrement alors que la main continuait la masturbation frénétique. Puis elle l’enfonça au creux de sa bouche pour le sucer de sa langue comme un insecte s’abreuvant d’un nectar de fleur. Il y’eut à cet instant ; une série de minis éjaculations et elle recueillit sur sa langue, le fruit de sa jouissance qui lui fit pousser un « Mhhhhh » positif. Puis elle fit coulisser sa bite entièrement dans sa bouche et se mit à la sucer fermement l’aspirant vers le haut de grands mouvements de langues et de lèvres qu’elle maintenait serrée le long de la pine et parfois effectuait un quart de tour en plus du mouvement longitudinal provoquant, un vif émoi avec perte de conscience momentané. Puis quand il sentit l’excitation l’envahir trop loin et qu’il risquait de se répandre avant d’avoir pu entrer en elle, il mit sa main sur ses épaules et la repoussa doucement. C’est alors qu’elle pivota sur ses talons et lui présenta son cul. Avant qu’elle vienne s’empaler sur lui, il posa sa main sur sa chatte alors que l’autre lui caressait, la croupe des hanches. Il trouva les lèvres brûlantes et chaudes de la vulve déjà serrées sous le désir d’être pénétrée. Puis, elle s’abaissa sur lui aspirant son sexe au creux du vagin. En réalisant l’offrande qu’il subissait car ils n’avaient tout deux placé aucune protection sur leurs sexes, il ouvrit la bouche et scruta le plafond de la salle puis poussa un « oooh » mélancolique car il jouit précocement laissant sa semence se répandre en une fontaine dans le vagin tapissant le fond de son antre de longues coulées blanches.

 

        Ils restèrent allongés sans bouger dix bonnes secondes, le temps de reprendre souffle puis la femme se retira remit ses sous-vêtements sur elle et quitta la chambre sans faire de bruit comme à son arrivée.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

        Le lendemain, il s’éveilla, l’esprit embrumé à la fois content d’avoir si bien baisé et si triste que cette femme s’en soit allée. Cela lui donna de l’ardeur pour s’occuper du jardin. Il alla chez Truffaut et acheta des azalées qu’il planterait dans son jardin. Ca sent si bon les fleurs ! Et comme lui ; c’est beau et ne sert à rien ! Tout en ratissant et préparant la terre, il vit une limousine débarquer devant sa porte, blanche, longue aux vitres fumées comme celles qui sillonnent, le centre ville de Paris et permettent aux stars de se déplacer. Un chauffeur en sortit avec son veston et son képi sur la tête. Il allât directement vers sa porte d’entrée et sonna. Dring ! Aussitôt, Tom vint à sa rencontre.

 

 

 

« Qui y’a t-il ? » Demanda-t-il un peu apeuré.

 

L’homme se présenta à lui.

 

« Je suis le chauffeur de la personnalité venue vous baiser. Elle vous attend à l’intérieur du véhicule. Elle souhaite personnellement vous faire part de sa satisfaction pour la soirée d’hier. »

 

« Ah ! » Pensa-t-il. Il comprenait mieux désormais ce qui avait rendue la chose si érotique, la nuit dernière. Lui qui n’avait jamais fait l’amour de sa vie se retrouvait à présent avec une personnalité du show bizness.

 

« Très bien ! En ce cas dites à cette mademoiselle de m’attendre, je vais enfiler un costume mieux approprié que ma tenue de jardinage, vu les circonstances. »

 

« J’arrive tout de suite !»

 

« D’accord on vous attend !», Dira le chauffeur en remontant à bord de la limousine de luxe.

 

 

 

Il se fit propre comme un sou neuf et mit sur lui, un string et un beau costume nuit fauve. Enfin, il sortit et le cœur battant la chamade,  marcha jusqu’à l’auto stationnée devant sa porte. Le chauffeur attendait de lui ouvrir la portière comme dans les téléfilms américains et il finit par prendre place à son bord. La personnalité se tenait face à lui sur la banquette opposée. Elle tenait entre ses mains une coupe de champagne à moitié vide qu’elle agitait de ronds circulaires qu’elle finit par poser à côté d’un cendrier débordant de clopes à demi fumées. Il y’avait aussi une poudre qui ressemblait à de la cocaïne. Son regard foncé se fixait sur un point fictif situé derrière lui.

 

 

 

« Euh bonjours, je suis celui avec qui vous avez fait l’amour hier soir », annonça-il d’emblé.

 

C’est alors qu’elle prit la parole.

 

« Je le sais mon biquet crois-tu que j’ai oublié ! Ca ne s’oublie pas aussi vite ses choses là ! Vint t’asseoir à mes côtés ». Dit-elle en tapotant le morceau de banquette libre.

 

 

 

Tom obéit immédiatement à son commandement. Alors qu’il s’installait, elle farfouillait dans le seau pour en ressortir la bouteille de champagne et une coupe qu’elle préleva d’un rangement spécial situé sous la banquette alors que l’auto se mettait en route.

 

 

 

« Où allons-nous ? » Demanda Tom d’une voix angoissée.

 

« C’est la surprise mon biquet !» Répondit-elle. « Mais tu le sauras bien assez tôt. En attendant tu es séquestré dans cette auto avec moi ».

 

        « Maintenant que les présentations sont faites, tu vas me sucer attention j’écarte !» Elle releva les pans de sa robe et comme Sharon Stone dans Basic Instinct lui montra sa chatte en l’absence de culotte. Celle-ci était taillée en V et formait, une belle toison brune autour des lèvres. Au début, il hésitait à la prendre en bouche puis son nez se glissa dans cet écrin tendre et doux comme de la glaise. Il aspira bruyamment son intérieur et se gorgea de son nectar intime. Enfin, il retira sa truffe afin d’y plonger cette fois sa langue pour la lécher.

 

 

 

« Mhhhhh, c’est bon continu mon biquet, c’est bien je vais venir dans ta bouche… » Déclarait-elle, les yeux rivés sur ses cheveux qu’elle caressait tendrement alors qu’il avait posé ses mains sur le blanc ivoirien de ses fesses qu’il palpait amoureusement. Parfois, son geste se suspendait et il en profitait de se désaltérer de quelques gorgées de champagne. La main de la star plongea dans le rangement pour en ressortir un immense gode. « Je te présente Hector mon compagnon de route favori. Grâce à lui mes voyages sont moins pénibles. Je t’en pris fait en bon usage ! Sert-en pour me sodomiser le con et la chatte ! »

 

        Tom prit soin de l’enduire de salive afin qu’il glisse bien puis tenant ses lèvres écartés, il l’introduisit dans son vagin. Elle eut aussitôt une série de contractions, le long du lourd pénis de caoutchouc qui ressemblait à s’y méprendre à un vrai sexe humain mais aux proportions démesurées ! Quand, il fut totalement en elle, elle agita ses fesses afin de le faire bouger en rythme dans son antre et Tom observait avec attention les couilles de caoutchouc battre la mesure contre le bas du vagin. Il posa un doigt sur le clitoris et s’amusa à le faire rouler en rythme alors qu’elle-même avait ôté le haut de sa robe et se caressait les seins tout en poussant de vrais cris d’orgasme. Puis, elle lui demanda d’arrêter là et de s’allonger sur le sol de l’auto puis de se masturber à son tour. Alors, il obéit et s’allongea à poil attentif à l’environnement autour de lui. Il l’observait s’avancer vers lui après avoir décrit une série de ronds. A présent, elle avait ôté sa robe et ses sous-vêtements et paradait nue au centre de l’auto. Elle n’avait conservé sur elle rien que ses boucles d’oreilles et ses talons aiguilles dont-elle se servait pour lui marcher dessus. Armée d’une cravache, elle lui donnait des ordres auxquels, il était obligé d’obéir comme par exemple de boire dans sa coupe après y avoir pissé dedans où se me mettre à quatre pattes après avoir enfilé une paire de menottes… Avec l’existence qu’il avait ces temps-ci, ses pratiques humiliantes et bourgeoises, le firent pleurer. Aussitôt, elle arrêta de le fouetter et caressa ses cheveux.

 

 

 

« Allons, mon biquet n’ai crainte! Je ne veux pas te faire de mal. Je ne veux que te faire du bien ! Tu as raison c’est de la connerie ses trucs SM, viens te rasseoir. On va regarder la télé et reboire du champagne. »

 

 

 

        Finalement, il se rassit à ses côtés. Et après avoir baissé une vitre, il observa l’extérieur et s’aperçut qu’ils roulaient sur l’autoroute. Il n’y’avait que des champs à perte de vue et des hangars où ranger le foin. C’est triste et déprimant comme Paris la campagne française !

 

 

 

« Si tu as faim, y’a à manger au frigo ».

 

 

 

Il obtempéra et ouvrit le frigo auquel les étagères étaient pleines à craquer de nourriture. Il se confectionna un sandwich poulet crudité qu’il engloutissait avec frénésie de la même manière dont-il faisait l’amour.

 

 

 

« Mange mon biquet ; c’est moi qui régale ! »

 

 

 

Il s’empiffrait des divers condiments dont était garni le frigo insistant sur les crèmes glacées. Au même moment, l’auto décéléra à l’approche d’une aire autoroutière. Elle se gara sous le portique des pompes à essences, le temps que le chauffeur fasse le plein de gasoil. La star sortit une carte de crédit de son sac au crédit illimité qu’elle lui tendit avec le code inscrit dessus.

 

 

 

« Tiens, vas t’acheter des bonbons et des sodas !»

 

Il prit le morceau de plastique et ressortit de l’auto tout comme elle qui elle qui souhaitait se rendre au parking des camionneurs.

 

« Je fais un tour par là-bas et je reviens mon biquet. »

 

 

 

Tom était guilleret. Cela lui rappelait lorsqu’il était môme et qu’il partait dans le Sud à bord du véhicule familial. Il avait toujours un faible pour les stations service à cause de leur aspect superficiel qui lui rappelait les séries américaines. Et, puis surtout à l’époque; les produits avaient des prix divisés par deux ou trois comparé à maintenant alors il ne se privait pas.

 

Tom acheta des sacs de bonbons haribos, des carambars, un litre de coca quant aux préservatifs; il devait y’en avoir suffisamment à bord de l’auto pour qu’il fasse l’impasse.

 

« Et bien !» Lui dira l’hôtesse d’accueil une anorexique qui semblait flotter dans son uniforme sur lequel figurait le logo de l’enseigne et son prénom accroché au chemisier par un pin’s, sans se douter qu’il ne s’agissait pas de son propre moyen de paiement en bipant chacun des articles devant le lecteur à code barre.

 

«Vous ne faites pas les choses à moitié vous au moins ! »

 

« C’est que dit-il, visiblement troublé par la différence de corpulence existant entre eux deux. Il m’ait arrivé une chose incroyable ; je viens de rencontrer une femme terriblement riche qui m’a prêté de façon temporaire sa CB. »

 

        C’est alors qu’il ouvrit une bouteille de soda et se rafraîchit le gosier de liquide sucré et pétillant. Rota.

 

        « Vous en voulez ? »

 

        « Non, c’est mal poli que vous êtes et je dirai même plus : grossier ! »

 

C’est alors qu’elle indiqua la caméra à l’angle du comptoir ; « Mon patron me surveille vous savez ! Soi disant pour ma sécurité. »

 

        « Ah bon et vous terminez bientôt ? »

 

        « Dans cinq minutes, j’ai droit à ma pause de deux minutes par heure travaillée soit vingt minutes pour une journée (en réalité on tolère jusqu’à trente pas d’avantage). J’irai fumer ma cigarette derrière. Normalement, je n’ai même pas le droit de fumer sur les parkings mais comme ils n’osent pas me virer. Vous pouvez me rejoindre si vous voulez. »

 

        « D’accord, je veux bien. A tout à l’heure ! »

 

 

 

        Il revient à l’auto en même temps que la star. Des traînées blanches maculaient son chemisier. Visiblement elle était passée aux mains de plusieurs camionneurs et s’était faite plaisir en même temps qu’eux.

 

        « Ouh !… Ma petite chatte est toute trempée déclara t’elle ! »

 

        Puis se collant à Tom : « Embrasse-moi ! »

 

        Il rejeta la tête vers l’arrière pour signifier qu’il n’approuvait pas tant la manifestation de la joie en lieu publique pourtant si cher aux français, lui déplaisait. « Tu es trop exacerbée, tu sais ? »

 

        _C’est bizarre certains me disent le contraire !

 

        _Des producteurs de X, je paris !

 

        _Oui !

 

        _Tu sais je viens de rencontrer une femme, il y’à un instant à l’intérieur de la boutique…

 

        _Et ?

 

        _Elle à l’air mal dans sa peau. Elle est bigrement maigre. Elle prend sa pause actuellement. Allons la voir.

 

        _D’accord !

 

 

 

        Ils prirent la direction de l’arrière boutique. Ils y retrouvaient la vendeuse afférée à fumer une Marlboro light. Quand elle les vit arriver son regard s’alluma d’une lueur féline. Elle héla la star.

 

 

 

        _Et, je vous connais !

 

        _Oui, j’ai fait un peu de télé.

 

        _Moi, c’est Louise et ça fait bientôt trois ans que je taf dans cette boutique de merde. Je jetterai bien mon tablier car je n’ai aucune attache ici mais pour retrouver un taf c’est la galère !

 

        _J’ai des contacts dira-t-elle, je peux vous aidez !

 

        _C’est vrai vous le feriez !

 

        _Oui ! Je peux vous trouver un bon taf en ville si vous voulez !

 

        _Alors dira la femme jetant son clope à terre; je suis partante.

 

 

 

C’est alors qu’un brusque élan fit s’approcher son visage de la star qu’elle se mit à embrasser à pleines lèvres. Goulûment ! Quant à Tom, il observait cette scène d’un œil pétillant de malice. C’est alors que la femme prit chacun d’eux par la main pour les entraîner à l’intérieur du magasin. Elle les conduisit jusqu’au comptoir sous le regard ahuris des clients qui devinrent gros comme des melons quand ils la virent se déshabiller en plein milieu du magasin. Elle était encore plus maigre que ce que Tom avait tout d’abord pensé. Pire qu’un clou ! On distinguait à travers la peau diaphane ; les os saillir comme des fosses sous l’herbe d’un cimetière. C’est alors qu’elle se plaça ; les jambes écartées au centre du bureau et intima l’ordre de la prendre à plusieurs.

 

 

 

« Mais la caméra ? » Dira Tom.

 

        « La gendarmerie la plus proche n’est qu’à vingt kilomètres ; le temps qu’ils arrivent nous auront déjà levé l’ancre ! »

 

        Il interrogea la star du regard afin d’avoir son assertion.

 

        « Non, elle n’ait pas dans son état normal, trop risqué et puis les flics faut s’en méfier par les temps actuels ; ils déboulent vite !»

 

        « BAISEZ-MOI, BAISEZ-MOI !… » Continuait à rugir la femme en se caressant la chatte alors que de la bave coulait à la commissure des lèvres et qu’au même moment une voiture de POLICE arriva sirènes hurlantes le long de bretelle d’accès à l’aire de repos, confirmant ses dires.

 

        « Mince, ils vont nous choper !»

 

 

 

        Elle héla le chauffeur de la limousine ; « Hector partons vite ! »

 

 

 

        Grâce à sa dextérité, ils parvinrent à échapper aux représentants de l’ordre. Quand, ils furent sur de n’être plus suivi, Louise se laissa aller aux confidences. Elle avoua sa situation délicate et aussi un fait qu’elle leur dissimulait jusqu’à présent.

 

 

 

« Je suis pucelle !»

 

 

 

Ils refusèrent d’y croire.

 

 

 

        Puis, Tom lui déclara : « Moi, je ne le suis plus depuis hier soir grâce à cette femme ! » Laquelle farfouillait désormais dans un des placards pour en ressortir un gode assez petit et étroit.

 

 

 

        « Il faut percer ton hymen puis nous t’emmèneront au club partouzer ; ce sera ton baptême du feu ! »

 

        La femme s’allongea sur le sol de la limousine et entrouvrit ses cuisses. La star s’avança puis interrompit son geste. « Non, se serait mieux une vraie bite. Tom ; dépucèle-là ! »

 

 

 

        Elle lui tendit un préservatif puis le suça. Quand, il fut suffisamment raide, il enfila la capote puis après avoir lécher sa caverne, il la pénétra en missionnaire alors que la star caressait son clitoris. Cela lui faisait bizarre de faire l’amour à un squelette mais il s’y fit et positionna ses coudes sur le plancher pour la préserver de son poids. Il avait l’impression en lui faisant l’amour de tourner dans « Gangbus ».

 

Plus tard, il vit qu’elle n’avait pas menti car en ressortant sa queue. Le préservatif était rougit de sang. Après l’avoir jeté, il conversa avec la star pour décider où aller. Il faut mieux aller vers l’Ouest ; les clubs y sont plus doux. Tom échangea quelques mots à voix basse puis la star décrocha l’interphone pour avertir le chauffeur de leur nouvelle destination. L’auto repartie en sens inverse. Au passage, ils profitèrent pour discuter  de son premier coup. Avait-il été à la hauteur ? Il semblerait que oui !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

        L’auto se stationna devant le club. Alors qu’ils en sortirent, le chauffeur se chargeait de la garer tout seul. Il irait faire quelques emplettes dans le centre de Nantes puis passerait les reprendre vers six heures à l’issue de leur soirée libertine.

 

        Ils remontèrent la rue menant au club. C’était l’été et il régnait une ambiance légère et festive, le long des rues. Le soleil chauffait les pavés et des rires provenaient des fenêtres des immeubles voisins d’où ils observaient parfois se profiler ; une silhouette humaine tenant un verre d’alcool ou une cigarette à la main. La star connaissait les lieux et leur ouvrit le chemin. Elle arpentait, le trottoir la tête haute, le regard pétillant d’excitation telle une chatte aguerrie après la chasse retournant dans son panier une sourie entre les dents. Ils trouvèrent, la grille d’entrée de l’établissement qui était ouverte et pénétrèrent sous le porche. La star, appuya sur la sonnette de l’interphone et une femme vint leur ouvrir. Comme elles se connaissaient déjà, elles s’embrassèrent longuement sur la bouche pour se dire bonjour. Enfin, ils pénétrèrent dans une deuxième pièce qui s’avérait être ; l’espace central avec son bar et sa partie disco. Comme c’était la première fois qu’ils y mettaient, les pieds, la femme leur fit faire la visite intégrale. En plus du bar et de la balnéo du rez-de-chaussée, il y’avait des espaces gang-bang aménagés à l’étage. Ils y montèrent par l’intermédiaire de l’escalier. Les lieux étaient sombres et les couleurs des murs étaient foncées. Sur certains d’eux ; des représentations picturales schématisaient des partouzes. Ils pénétrèrent dans un salon au centre duquel ; il y’avait un grand divan circulaire. Ils y prirent place. La femme se positionna, jambes écartées en son centre et la star entreprit de la caresser après avoir posé des préservatifs à côté d’elle. Quant à Tom, il se contentait d’observer verre à la main. Très vite les sexes en rut firent leur apparition. Gravitant autour de la femme ; ils s’en approchèrent peu à peu et caressèrent la surface de sa peau blanche comme un nacre. Puis après avoir déroulé des protections; les hommes s’introduisirent en elle. Alors que la jouissance s’emparait de son corps tel une houle ; la star prit ses seins pour les masser entre ses mains et intima à Tom l’ordre de les lécher. Ce qu’il fit. Les autres hommes quant à eux déchargeaient dans des rugissements d’extase.

 

 

 

Ils étaient au summum de la convivialité…

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

        « Rentrons biquet ! »

 

 

 

        Tom avait bien partouzé et il se trouvait d’un un état proche de l’ébriété quand la remarque de cette femme le surprit. Elle se baladait nue entre les grappes de convives dont certains d’eux avaient participé au gang-bang. Du sperme ruisselait le long de ses cuisses. Elle avait le regard vibratile comme cela se produit chez certaines femmes après qu’elles aient fait l’amour à de nombreux hommes. Il obtempéra et il remonta avec cette femme se rhabiller au vestiaire. Juste avant de repartir la demoiselle s’était immergée dans les eaux du jacuzzi se détendre en se caressant le minou. Elle avait même refusée une pipe à un homme qui insistait et de bouche en bouche cela se répéta au reste du club jusqu’à la patronne qui l’avait viré car ici ce sont les femmes qui décident !

 

 

 

« Au fait au point où nous en sommes nous pouvons nous donner nos prénoms ; moi c’est Léa ! »

 

« Enchanté moi c’est Tom mais tu as du lire mon prénom sur ma boite aux lettres dans laquelle terminent mes manuscrits. »

 

« En effet, ravie de faire ta connaissance ! »

 

 

 

        Quand, ils furent prêt après avoir jeté leurs serviettes humides dans la panière destinée à cet usage qui se trouvait à l’angle du vestiaire, ils redescendirent boire un dernier verre avant de repartir. Leur limousine les attendait comme prévu à proximité de la sortie du club et une fois chargé, ils se mirent en route. C’est alors que Léa lui expliqua la situation plus en détail.

 

 

 

« Comme tu le sais, je suis une importante personnalité et j’ai besoin de recruter des employés. Pas pour ma société basée à Paris en elle-même mais il se trouve que je suis originaire d’un petit village et je souhaite mettre mon argent à contribution pour rénover l’église, les écoles, crèches et un vieux manoir qui sera ma future demeure. Je souhaite également construire une maison de passes. J’ai lu ton CV sur Internet et j’ai vu que tu as un peu travaillé dans le bâtiment aussi tu m’intéresses. Tu as quel âge ?

 

 

 

        _Vingt-cinq !

 

        _Parfait ainsi nous pourrons bénéficier d’un contrat aidé.

 

 

 

        Puis l’entretient démarrât.

 

 

 

        Son employeur posa à Tom une série de questions diverses et variées. Il répondit du mieux qu’il pût, du moins, le crût-il. Léa se servait d’une feuille de papier afin d’inscrire des informations à son sujet. Tout en prenant des notes elle levait par moment des regards inquisiteurs vers lui en le fixant de face dans les yeux comme cela se fait dans l’Ouest. Elle lui posa tout une série de questions pièges afin de savoir s’il était à la hauteur et observa avec attention ses tics nerveux et la position des mains.

 

 

 

« Bon ! Déclarât-elle finalement, je vais t’employer en contrat saisonnier. Tu seras rémunéré au SMIC en qualité d’agent d’entretient. Tu auras le gîte et le couvert d’offert ce qui est vue l’époque un avantage indéniable. Ça c’est l’officiel car tu devras aussi réaliser certaines taches officieuses comme prêter main forte lors des partouzes privées que j’organise à raison d’une fois par mois dans ma demeure puis dans le château dès que sa construction sera achevée. Si tu ne le fais pas et que tu n’as pas de justificatif médical, tu te doutes bien que je n’hésiterais pas à rompre ton contrat.

 

 

 

Cela va de soit !

 

 

 

        Trinquons à notre futur partenariat !

 

 

 

        Ils reburent un peu de champagne pour fêter dignement l’occasion. Dégrisés, ils observèrent, les bâtiments de la ville qui disparaissaient au fur et à mesure qu’ils se dirigèrent vers la périphérie de la ville. Le paysage s’enlaidit subitement pour céder la place à des constructions industrielles si prolifiques en France constituées de grands hangars et entrepôts métalliques dans lesquels souvent on travaille en trois-huit après avoir franchi un portique de sécurité séparant l’entreprise du parking accueillant des autos françaises aux lignes agressives et sensuelles faisant penser aux femmes. En arrivant à proximité de l’aéroport l’auto ralentie subitement car étant une femme d’affaire Léa se déplaçait le plus souvent en jet-privé. Tom pour sa part n’aimait guère l’avion depuis qu’il avait travaillé à riveter durant un mois des tôles d’alu de quatre millimètres d’épaisseur constituant la carlingue des Airbus avant d’être licencié travaillant aussi bien que Céline durant son passage en usine quand il était en Amérique. Quand, il était du matin, il embauchait à cinq heures et quart (d’ailleurs il ne comprenait guère ce ; et quart) puis il passait les huit heures suivantes debout avec le Tee-shirt de la société à visser des pièces d’A380. Il avait au préalable suivit la formation de monteur ajusteur-aéronautique qui durait cinq mois et demi suivant l’avis d’un conseillé POLE EMPLOI puis finalement avait été licencié comme il avait par habitude avec tout les tafs qu’il réalisait chez ces connards français. N’en pouvant plus, il avait déclaré au contrôleur qui avait relevé une erreur sur sa pièce ; « J’aimerais ébavurer ta chatte !» Le soir même il avait reçu un coup de fil de la par de Stéph de Manpower lui notifiant son licenciement. Presque aussitôt il avait reçu un second appel de son conseillé angoissé qui lui avait demandé pourquoi cela s’était produit et que décidemment on pouvait lui faire confiance en rien. A présent on ne lui proposerait plus aucune action de formation pro et le RMI à vie semblait le plus probable, le concernant hormis quelque missions d’Intérim comme décharger des camions à Noël (avec toujours la voix acidulée et dynamique au téléphone des grosses cochonnes).

 

 

 

        Mais, il était tout de même content de quitter cette Loire-Atlantique de merde à l’économie et rapports humains effondrés comme en Bretagne région de nazis polis où seule la violence et la tension prédominent dans les rapports humains comme dans les médias de la TNT. Cela était dût entre autre au déficit démographique et au culte du matérialisme des donneurs d’ordre qui se croient tout permis et du travail zéro défaut qu’ils prônent en permanence puisqu’il n’y a plus que cela désormais qui régit les troupeaux travailleurs ; l’ordre et la discipline car hélas la France ce n’est pas la Corée du Nord dans la spiritualité même si le résultat est le même (en plus angoissé) alors que les productions artistiques de Paris continuent à remplir nos caddies.

 

       

 

Avant d’embarquer, ils firent le tour des boutiques que contenait l’aéroport. « Il faut te racheter des habits et te vêtir avec raffinement dira Léa ; tu as l’air d’un clodo ainsi ! » Il lui fît signe qu’il comprenait et ils se rendirent dans une boutique lui faire tailler un magnifique costume satiné. Ils se rendirent aussi chez un coiffeur/esthéticien et Léa lui demanda à ce qu’on lui taille les sourcils. Enfin, ils embarquèrent dans leur Falcon privé qui ressemblait à celui qu’utilisent les rappeurs dans leurs clips dit musicaux diffusés sur canal dix-sept. Penser qu’il en avait assemblé quelques tôles au SMIC, le laissa rêveur car au moins s’ils s’écrasaient ; il saurait pourquoi ! Enfin, il pourrait aussi jouir du fruit de son travail et utiliser le produit final plutôt que de s’occuper de l’assemblage par petits morceaux sans se soucier des autres équipes travaillant à ses côtés sauf lorsqu’un problème survenait bien entendu. Ils pénétrèrent dans la carlingue de l’appareil climatisé et s’installèrent dans le petit salon où par ailleurs une hôtesse soucieuse de bien faire son travail vint les servir après qu’ils aient embarqué ; du champagne et des gâteaux apéros. Elle n’allait jamais vers le cockpit déranger le commandant qui avait besoin de toute sa concentration pour manœuvrer l’engin et d’ailleurs la porte était fermée à clef. Sauf s’ils la réclamaient elle ne venait pas les voir et restait dans son coin attitré à lire des revues. Son fantasme des hôtesses de l’air en avait pris un coup et il était trop déprimé pour tenter de la draguer alors il se contentât tristement d’observer son verre de champagne et ses nouveaux vêtements le rendant « so sexy » ! Mais quelque chose d’improbable se produisit soudain. A peu près au milieu du vol, elle repassa les voir afin de leur proposer non pas du Duty-free où des rafraîchissements mais des sex-toys de formes et de couleurs variées. C’était un nouveau marchandage qui se développait au sein des compagnies aériennes apprendrait-il alors. Elle avait aussi ouvert le haut de son chemisier et enfilée un collier de perle autour du cou. Elle portait entre les mains un petit plateau argenté sur lequel était disposé, les différents articles afin d’accroître leur sexualité en berne. Il y’avait des olisbos de forme conique destinés à être enfoncés dans l’anus d’autres fait pour faire vibrer le clitoris. Ah ! Quelle prouesse technologique y’avait-il rassemblé ici ! Tom s’empara de certains d’eux afin de les évaluer. Cela donnait envie d’en essayer certains. Poliment, il en demanda l’autorisation à l’hôtesse. Elle leur répondit avec beaucoup de délicatesse : « Mais bien entendu, voyons ! Ils sont faits pour cela ! » Leurs sièges étaient inclinables et en cuir ce qui leur facilita grandement la tache. Léa fut la première à abaisser son dossier et à écarter ses cuisses. Comme elle ne portait nulle culotte et que les pans furent relevés ils discernèrent bientôt à l’extrémité de ses longues jambes belles et fuselées, le triangle sombre du pubis et l’ouverture ourlée de la chatte. Les mains de l’hôtesse recouvertes par des gants de fin chevreau attrapèrent un gode petit adapté pour une pénétration classique mais Tom la rappela à l’ordre.

 

« N’ayez crainte ! C’est une professionnelle !  Choisissez un calibre plus fort et pour une pénétration anale ! »

 

L’hôtesse reposa le gode qu’elle avait entre les mains et en prit un plus gros de forme conique. Ces mains entrèrent en action afin de caresser le sexe de Léa qui était déjà humide de désir. Enfin, l’hôtesse demanda si elle souhaitait un lubrifiant avant d’insérer l’objet dans le con de celle-ci.

 

« Surtout pas ! Utilisez votre salive cela sera plus réaliste ainsi ! » Répondit-elle.

 

 

 

L’hôtesse approcha sa bouche du gode pour le lécher puis cracha entre ses doigts et les approcha du cul de Léa qui gémit quand l’hôtesse lui enfonça les deux premières phalanges.

 

« Oh, oui ! » Gémit-elle tendrement. Quand elle fût prête l’hôtesse lui enfonça le gode avec doigté d’une femme habituée au bricolage et habile de ses mains à force de sans cesse ranger les plateaux repas durant les vols. Le gode se calla confortablement dans son cul alors qu’elle faisait usage de ses doigts afin de se caresser le minou.

 

« Mettez-en moi un deuxième ! »

 

L’hôtesse qui sentait bon l’eau de toilette approcha alors le présentoir de ses yeux afin de lui montrer le reste des godes. Elle en choisit un réaliste très gros qui vibrait et l’hôtesse lui enfonça avec la même dextérité dont-elle sût faire preuve avec le plug anal. Des orgasmes ravageurs déferlèrent comme une houle sur son corps. Elle lui demanda à ce que l’hôtesse l’embrasse mais celle-ci lui apprit que cela était interdit. Alors ce fut Tom qui s’en chargea. Il plaqua sa bouche contre la sienne et l’embrassa très sensuellement en enfonçant sa langue au fond de sa bouche alors que Léa se tortillait sur son siège en poussant une série de « Oh !» et de « Ah !» qui en disaient long sur sa jouissance. Puis l’hôtesse se dirigea vers Tom et lui demanda s’il désirait être stimulé analement. Il répondit par l’affirmative. Mais avant de lui mettre un stimulateur l’hôtesse se chargea de lui tâter la prostate pour vérifier son état. Elle enfila un gant de latex qu’elle enfonça ensuite au tréfonds du cul et la jouissance fût telle que son anus se contracta violemment le long de cet intrus intempestif et il sentait très clairement qu’il n’aurait besoin d’aucun stimulateur.

 

« Léa ta bouche vite je vais jouir ! » Déclara t-il subitement mais Léa ne réagit pas car entièrement vouée à sa jouissance et c’est alors qu’il discerna la flûte de champagne qui trainait sur l’accoudoir. Il n’eut d’autre choix que de s’en emparer et après l’avoir légèrement incliné ; il parvient à tout éjaculer sans en mettre à côté. L’hôtesse le félicita alors que par politesse, il avala le reste du champagne mélangé au sperme.

 

 

 

Evidemment ils lui achetèrent les différents accessoires proposés (qu’en pouvait-il en être autrement ?) et Léa sortit son chéquier afin de régler l’achat. Elle les garderait enfoncé dans son cul et sa chatte ce qui par ailleurs ne posait pas de soucis puisqu’il n’y’avait aucun contrôle à la sortie de l’aéroport. Comme Léa était très connue, ils nouèrent des liens d’amitié réciproques avec l’hôtesse. Alors que l’avion atterrissait elle lui demanda son numéro de tel perso et Léa lui donna.

 

« Mon escale à Tour dure plus longtemps que la moyenne », leur dira l’hôtesse.

 

« Trois jours c’est énorme et inhabituel car je change de vols. J’abandonne les privés pour voyager à bord de long courrier. Je voyagerais à bord d’airbus X-Web réalisant le trajet Paris-Bangkok. Puis je suis célibataire et je souhaiterais découvrir la spécialité locale ; le SM! »

 

 

 

        Nous la félicitâmes pour ce choix judicieux.

 

 

 

        « Durant mon escale je loue une chambre à l’hôtel de la gare. Normalement, je dors près des aéroports mais la je voudrais profiter de ces trois jours pour découvrir la région ligérienne alors vous comprenez que si en plus j’ai un couple avec moi ; ça m’aiderai grandement. »

 

 

 

        Nous comprenions, effectivement. Nous en parlâmes entre nous. Evidement ce changement de dernière minute n’était peu autorisable pour une personne telle que Léa où chaque déplacement est méticuleusement programmé d’avance mais le phénomène était suffisamment rare et la demoiselle si belle qu’elle fit une exception.

 

 

 

« Je vais prévenir mes différents contacts qu’exceptionnellement mes rendez-vous sont reportés. »

 

 

 

Le temps qu’elle passe ses coups de fil, Tom s’exila à l’arrière de l’appareil et commença à embrasser l’hôtesse. Aussitôt, elle l’entraîna dans le recoin qui forme un angle entre la porte de sortie et le local technique où elle range les chariots. L’hôtesse se plaça ; dos contre le panneau de métal contingent au sas de sortie d’urgence et aussitôt par commodité car leurs gestes seraient limités par l’exiguïté des lieux, elle fit glisser sa culotte à terre. Enfin, elle s’accroupit et entreprit de le sucer après avoir déroulé un préservatif sur sa queue amoureusement tendue ce qui est logique vu la nature du lieu et qu’elle ne voulait surtout pas tacher son chemisier de son jus. Tom la vit s’emparer de la rondelle de latex puis après avoir chassé l’air du réservoir ; elle le plaça sur son sexe à l’aide de ses doigts très sereinement. Le fait de savoir que sa queue était prisonnière de cet étui protecteur tout comme son corps à bord de la carlingue de l’appareil le fit bander comme un petit diable et bientôt il allait avec elle ; accomplir une partie de jambes en l’air !

 

        L’hôtesse se positionna à califourchon entre ses cuisses. Après avoir refermé sa main sur sa queue; elle l’agitât de petits mouvements réguliers tout en le fixant dans la prunelle des yeux. Puis elle le suça. Comme l’endroit était trop étroit, elle ne la mit pas entièrement dans sa bouche et se contenta d’absorber le gland tout en continuant de le branler. Enfin, elle se tourna et Tom la prit par derrière car un tuyau au sol, lui permit d’être à la bonne hauteur et très vite atteignit la jouissance pour la seconde fois. En se rependant à l’intérieur du préservatif de gros jets chaud à vingt milles pieds d’altitude, il aperçut soudain le visage de Léa à travers le rideau qu’ils avaient rabattu afin de se protéger de la vue d’autrui. Elle l’observait jouir à l’intérieur de l’hôtesse et cela la faisait jouir cérébral d’autant plus qu’elle avait les sex-toys enfoncés en elle.

 

Quand Tom eut totalement éjaculé l’hôtesse l’embrassa très sensuellement sur la bouche alors que sa main soupesait le liquide blanc présent dans la capote qu’elle ôta puis alors qu’ils crûrent qu’elle ferait un nœud avec pour ensuite la jeter dans une poubelle c’est alors qu’elle la porta à sa bouche puis à la manière d’un berlingot après avoir pincé l’extrémité où se trouvait le sperme ; elle le fît circuler vers sa bouche et l’avalât d’un trait.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

        Ils utilisèrent les trois jours afin de visiter les lieux les plus nobles de la région ; tels que Chambord et la citée médiévale de Vendôme. Ils firent le tour des sex-shops présents en nombre dans la région afin de se réapprovisionner en articles érotiques parmi lesquels bien entendu ; des accessoires SM. Ils lui achetèrent une combinaison de cuir et un système afin d’attacher les pieds et les mains. Une soirée SM serait organisée au sous-sol d’un sex-shop où bien sur ils furent conviés avec deux femmes à utiliser. Mais il ne pouvait y avoir qu’une seule soumise par groupe d’invités et donc ce fût logiquement l’hôtesse qui ce prêta au jeu. Le soir juste avant la soirée ; ils se rendirent dîner dans un restaurant de Tour puis passèrent à l’hôtel afin de préparer l’hôtesse pour son baptême du feu. Ils la lavèrent, la parfumèrent avec soin puis lui enfilèrent une tenue de cuir et lui fixèrent un anneau autour du cou. Ils ne mirent aucun linge entre la peau et le cuir. Enfin, Léa lui attachât une laisse en métal à l’anneau et lui glissa dans le creux de l’oreille ; « Soit forte et nous t’aimerons! » avant de fixer le masque de cuir sur son visage.

 

 

 

Quand elle fût prête, ils la descendirent jusqu’au perron où un taxi les attendait. En voyant son look bestial, le chauffeur eut un petit rire gras. Ils furent déposés en temps et en heure au lieu du rendez-vous. L’entrée du sex-shop était fermée et ils entrèrent au moyen d’une porte dérobée sur le côté. Ce fût le tenant lui-même qui les introduisit avec sa barbe grise et ses habits noirs et amples. A l’intérieur du magasin, il y’avait dressé ; un buffet froid  à côté des étals où se trouvaient remisés les différents articles érotiques. Des gens présent tout autour tenaient conversation entre eux. Ils prirent ensuite la direction du sous-sol auquel l’accès se réalisait par un escalier carrelé. C’était-là où se réalisaient les expériences SM mais soft. Ils l’attachèrent à une croix dont les attaches étaient démontables si le jeu dérapait. Ils lui ôtaient sa combinaison puis lui foutaient les cuisses et les fesses et Tom lui offrit un cunnilingus.

 

 

 

        Bref de quoi la distraire avant son Airbus X-Web !

 

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