des cuissardes pas comme les autres partie 6

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Frederic Gabriel


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On s’était calées dans une position qui nous convenait toutes les deux, moi en dessous, elle au-dessus. Ça avait été instinctif, mais c’était une position qui nous satisfaisait l’un comme l’autre pour atteindre nos objectifs. Le sien, c’était d’avoir accès à mon sexe et à mes cuissardes. Moi je voulais juste qu’elle m’offre sa vulve, que je puisse la caresser et m’en repaître. Ça a pris toutefois un tour nouveau quand j’ai eu sa croupe devant moi. Je savais que les gars aimaient les popotins bien pleins, je devais avoir quelque chose de masculin pour aimer depuis toujours les fesses charnues. La sienne était bien pleine, en décalage avec le reste de son corps. Et la manière dont elle était positionnée, ses genoux posés de part et d’autre de ma taille l’ouvrait, de telle sorte qu’elle m’offrait l’intégralité de son sillon, cette chair que je pensais délicate et sensible, mais aussi les plissements de sa muqueuse anale, profondément gravés dans sa chair. La fille que j’avais été avant, avant de porter les cuissardes, aurait simplement eu envie de caresser et de fouiller cette vulve que sa position ouvrait aussi, prolongeant la dilatation naturelle due à l’excitation. Les bords de son sexe étaient couverts d’une mouille épaisse, qui pendait en filaments, alors que ce qui sortait d’elle et coulait au centre, le long d’une muqueuse rose bien visible, était beaucoup plus fluide, variant selon les moments. Elle a poussé un gémissement quand j’ai planté un doigt dans son sexe, et que je me suis mis à le faire bouger, et un deuxième, sans doute plus fort, quand ma langue est venue sur sa muqueuse anale pour un premier coup de langue. Je pensais qu’elle aurait un goût sans que cela me répugne d’ailleurs, la nouvelle fille que j’étais était prête à aller très loin, mais elle avait dû se laver avant. Il y avait par contre la sensation nouvelle des plissements de son anus, que j’ai explorée en tournant sur cette zone, découvrant cette caresse nouvelle qui suivait les déchirures creusées dans sa chair. Une chose était sûre, je n’imaginais pas que cela lui procurerait autant de plaisir. Je l’ai sentie se tendre, elle a poussé un long gémissement. Curieuse, désireuse de pousser son plaisir plus loin, j’ai travaillé ses chairs longtemps, et je l’ai vraiment sentie vibrer. Ma langue sur sa muqueuse anale qui s’est petit à petit ouverte sur ses intérieurs, ses chairs les plus délicates offertes, pendant que deux de mes doigts, un premier avait été rejoint par un deuxième, allaient et venaient dans son sexe, et qu’elle arrosait littéralement, un peu comme si elle avait fait pipi, mes doigts, ma main, mon poignet, et mon T-shirt. J’avais heureusement des vêtements de rechange dans mon casier.

Quant à elle, elle fouillait mon sexe de sa langue, avec une ardeur qui disait clairement son envie. C’était la première fois qu’une fille me léchait, j’étais convaincue qu’elle était habile, à force d’expérience, en tout cas elle me procurait un plaisir qu’elle prolongeait en massant mes cuissardes. Même si j’étais parfaitement conscient qu’en faisant ainsi elle cherchait à se procurer, elle, du plaisir. Les cuissardes étaient belles et fascinantes. Aurait-elle, même si je savais que je lui plaisais bien, poussé à bout son envie si elle n’avait pas été fascinée par mes cuissardes comme un papillon par une flamme ?

C’était un moment de plaisir, un moment qui se prolongeait, comme je n’en avais pas toujours conçu. Je savais déjà, et c’est bien ce qui s’est produit, que ce moment était tellement fort qu’on aurait envie d’en retrouver les conditions, même si chaque moment de sexe est différent.

On a joui, plusieurs fois. Pourtant, je n’imaginais pas que ça finirait comme ça a fini, quelque chose de majeur qui a influé sur toute ma sexualité à venir. Elle avait envie d’autre chose. Je suis convaincue, sans preuves, que ce n’était pas une idée de dernière minute, mais bien ce qu’elle voulait depuis le début. Si elle, elle a abondamment joui, enchaînant orgasme sur orgasme, son corps s’agitant en tous sens, tressautant, moi j’ai joui pour la première fois sans me toucher, ni sans qu’on me touche. Ses caresses incessantes sur le cuir me provoquaient autant sinon plus de plaisir que sa langue fouillant mon sexe. C’était sans doute le mélange des deux, voir les cuissardes caressées par ses mains, mais aussi le fait qu’à partir des cuissardes se propageaient des ondes jusqu’à mon ventre.

On est entrés dans une nouvelle phase quand, deux minutes plus tard, elle a fait ce dont elle avait envie depuis un moment sans doute. Elle a glissé jusqu’à une de mes jambes, et après s’être redressée, elle s’est laissé descendre sur la botte, au niveau de ma cuisse, là où il y avait le plus de surface. Ses lèvres, sorties de son sexe, étaient hyper-gonflées et ça m’a vraiment troublée de les voir s’écraser sur le cuir. En même temps, j’ai eu immédiatement les sensations, la chaleur de son sexe et l’humidité, au-delà du cuir, et rehaussant celui-ci.

Elle s’est mise à se frotter contre, un mouvement de va-et-vient, d’avant en arrière, qui la caressait, qui caressait le cuir, ma chair, et montait vers mon ventre. Ça devait être bon, parce qu’il y avait sur son visage une expression de béatitude qui n’y était pas l’instant d’avant, même si elle éprouvait du plaisir, d’évidence. Ce qui m’a énormément troublée, ça a été de voir ses jus couler, sortir de l’endroit où son sexe appuyait sur le cuir, pour se répandre, sur une zone de plus en plus large, en faisant une immense flaque de mouille, dont l’odeur me montait aux narines…

Elle s’est mise à jouir, jouir très fort, et moi aussi je me suis mise à jouir. On a tressauté à force d’orgasmes, jusqu’à s’effondrer, épuisées, son sexe encore collé aux bottes.

Dans les semaines qui ont suivi, elle et moi nous nous sommes revues quasiment tous les jours. Dès, en tout cas, qu’il y avait une opportunité, un moment de trou, on se retrouvait dans le local, isolées, avec pour seule envie des rapports sexuels, mais des rapports sexuels intenses, crus, sans tabous…C’était un peu une découverte pour nous, que d’avoir une partenaire avec laquelle ça collait aussi bien, et on pouvait envisager un sexe aussi hard. Et sans aucun doute, les cuissardes étaient essentielles. Parce qu’elles m’avaient métamorphosée, faisant de moi une obsédée sexuelle, qui n’avait plus vraiment de limite, et dont la jouissance passait en partie par les cuissardes, tandis qu’elle avait elle absolument besoin de passer par les cuissardes pour jouir comme elle le souhaitait.

Ce qui a changé tout entre nous, pourtant, ça a été quand, quelques jours plus tard, elle est revenue de week-end avec un changement capital.

 

 

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