J’ai posé mon récit et attrapé les cuissardes, en laissant glisser mon visage dessus, cherchant les odeurs qui s’y étaient déposées. Je sentais surtout celle du cuir, le reste volatilisé. Ça ne changeait rien. Imaginer que des sexes masculins et féminins avaient pu jouir contre, et cracher leurs liquides sur sa surface me troublait.
J’ai reposé la cuissarde. Ça me faisait tout drôle de penser que maintenant, elles étaient à moi. Étaient-elles supposées me métamorphoser comme elles avaient métamorphosé ma sœur ? Il faudrait sans doute que je les mette pour savoir.
La main toujours sur mes lèvres, j’ai repris ma lecture.
Les cuissardes ne me quittaient plus. Pas plus que les regards masculins et féminins sur moi. Et quand je pense regards…J’ai pris un nombre incalculable de mains au cul…Ce qui aurait été inimaginable avant…
Je me sentais comme un poisson dans l’eau, dans la relation qui m’avait rapproché d’Eleanor.
Il y avait énormément de garçons qui me tournaient autour. J’avais envie de queues et de jeux sexuels mais avec des personnes plus âgées.
Ça a été le hasard qui est venu à mon secours et m’a donné une voie à prendre, voie que j’ai empruntée.
J’habitais une petite ville de province, étendue, avec de multiples quartiers, chacun d’entre eux recelant son charme propre, son existence propre, ses particularités.
J’avais rendu visite à une copine, il était tard, elle était à l’autre bout de la ville, j’ai décidé de rentrer à pied, je n’avais pas le choix de toute façon, il n’y avait plus de bus.
Je savais que la ville possédait cinq parcs publics, chacun avec une histoire qui lui était propre. Histoire que je n’avais jamais creusée. Pas plus que je ne m’interrogeais sur ce qui se passait dans ces parcs.
Je remontais vers chez moi, et pour couper, j’ai décidé de traverser le parc, plutôt que d’avancer le long de la rue.
J’ai été…D’abord figée. Juste devant moi, il y avait une belle brune d’une quarantaine d’années, avec un manteau qu’elle avait écarté, révélant sa nudité intégrale. Elle avait un beau corps, seins lourds, ventre plat, et un mont de Venus proéminent, rasé, qui glissait vers l’ouverture de son sexe que travaillait de la langue une jolie blonde, plus jeune qu’elle, pour qui ce moment semblait source de tous les plaisirs et accomplissement. Je crois que je n’avais jamais vu quelqu’un mettre autant d’envie, d’application et d’énergie pour lécher quelqu’un.
Sur leur gauche, il y avait un couple, homme et femme. La fille était pliée en avant, appuyée contre un arbre, slip blanc et pantalon noir baissés, cambrée, ses parties intimes tendues vers un homme dont la verge en pleine érection s’apprêtait à rentrer en elle. Fascinée, j’ai vu le membre glisser entre ses lèvres (J’ai pensé un instant qu’il allait la sodomiser, une possibilité qui m’a tordu le ventre…) puis aller et venir dans son sexe.
D’où je me trouvais, j’avais une vue globale sur le parc, dans sa longueur. Éparpillés un peu partout des couples prenaient du plaisir ensemble, couples de tout âge et de tout sexe, en autant de tableaux excitants. De nouveaux arrivants venaient se caler, attendre un partenaire ou en rejoindre un. Il y avait bien une quarantaine de personnes déjà calées.
Ça a été comme une révélation. Je me suis dit que j’avais trouvé l’endroit rêvé pour moi. Ici tous les plaisirs étaient permis, mais aussi toutes les formes de plaisir.
Le lieu m’attirait comme un aimant. J’ai su que je n’allais pas partir immédiatement, mais bien rester là, pour voir comment les choses pouvaient se passer, et si je pouvais avoir du plaisir.
Je me suis calée sur un banc, et j’ai observé. Des scènes très diverses… Ça m’a donné envie de me caresser, et dans ce contexte, ça n’avait rien de répréhensible. Je me suis mise à l’aise. J’avais une jupe courte, avec une simple culotte blanche dessous, que j’ai descendue pour me donner plus d’aise, l’amenant au niveau de mes genoux, par-dessus les cuissardes, le tissu étiré à ce niveau. J’ai trouvé mon sexe chaud, humide et ouvert. Ma main gauche est venue caresser mon sexe, effleurant d’abord mes lèvres, puis mon gland clitoridien qui s’est décalotté tout seul, puis j’ai fait aller et venir un doigt, puis deux dans mon sexe. J’étais bien mouillée, et ça a fait des bruits visqueux qui m’ont excitée encore plus.
Je ne l’ai pas vu venir. Il est arrivé sur ma gauche. Il était rentré par l’un des multiples portillons d’accès au parc, peut-être celui que j’avais pris pour y rentrer moi. Son regard disait clairement son désir, un désir en partie lié aux cuissardes, ça je le savais bien. Il m’en a administré la preuve dans les secondes qui ont suivi, basculant à genoux pour venir caresser avec avidité les cuissardes, pendant que je continuais à me masturber….Chaque fois que quelqu’un les touchait il y avait ces ondes qui montaient dans mon ventre, dans mon corps…J’ai inondé mes aines et mes cuisses pendant que, avec un fétichisme plus marqué que ce que j’avais pu voir de par le passé, il allait et venait sur le cuir, finissant par rajouter sa langue, quelque chose de nouveau que j’ai trouvé troublant…En même temps, de sa main libre, il est venu mettre sa queue à nu. Ça m’a fait frémir…Il avait une queue bien charnue, très longue et très épaisse, dont j’ai immédiatement eu envie de profiter.
Il a fini par se redresser, je l’ai attiré à moi, et ma bouche et venue caresser sa chair dilatée. J’ai béni le ciel d’être passée par ce parc. J’avais, déjà, la certitude, ancrée en moi que je reviendrais. Comment se priver une telle source de plaisir ?
J’ai promené ma bouche le long de sa queue, descendant jusqu’à ses couilles charnues, remontant jusqu’au gland avec ce méat qui suintait, lapant le jus qui coulait de lui. En même temps, je continuais de me fouiller le sexe de deux doigts, avec l’impression d’être béante. J’ai fini par avaler sa queue, faisant aller et venir ma bouche dessus. Il a gémi de plaisir.
Un autre type est venu se caler dans mon angle de vision, puis encore un autre. Les cuissardes ça attire, et il était vrai, pour ce que j’avais pu en voir, que j’étais la seule fille qui en portait. Pour les autres, qui s’étaient pourtant chaussées sexy, c’était plutôt escarpins, bottines, bottes même. Mais aucune n’avait de cuissardes, et sans doute aussi que les miennes étaient particulières. Elles avaient quelque chose de magique, et ça j’en ai toujours été convaincue, et je le suis encore.
Les deux gars à l’arrière-plan exhibaient leurs queues, gonflées de désir, les masturbant et les faisant encore gonfler sous mes yeux émerveillés.
J’avais envie d’une queue dans le ventre, et des préservatifs sur moi, ce n’était pas un problème, mais j’ai senti que le gars allait jouir. Des queues j’allais en voir d’autres dans les moments qui venaient. J’ai levé la jambe, et j’ai frotté son gland dilaté contre le cuir. Sans doute que rien ne me procurait autant de plaisir, une forme de fétichisme, que de voir une queue bien dilatée cracher jet de sperme sur jet de sperme sur le cuir, voir celui-ci souillé, couvert des traits blancs d’une semence bien crémeuse que j’étalais ensuite sur les cuissardes.
Le gars n’en finissait pas de se vider sur les cuissardes, et je savais bien qu’il y prenait un infini plaisir. Sans doute que si je lui avais proposé de jouir dans ma bouche, dans ma chatte ou sur les cuissardes, il n’aurait pas forcément favorisé les deux premières options.
Mes doigts toujours dans le sexe, j’ai senti que j’allais jouir. Je me suis tendue, lâchant un cri malgré moi, et des jets de liquide qui sont partis contre ma chair et sur le banc.
Mais ça n’était que le début. J’avais encore envie, tellement envie.
Les deux gars sont venus le remplacer. J’ai sorti ma boîte de préservatifs, indispensable pour ma nouvelle vie, du petit réticule accroché à mon épaule. Le temps de déchirer les emballages, et leurs queues étaient gainées de latex.
J’avais envie d’un sexe dans le ventre. Et ma position n’était pas forcément la plus propice. Je me suis redressée, et je me suis mise à quatre pattes, retroussant ma jupe. C’était une position que j’avais découverte il y avait peu, et qui me plaisait énormément, parce que j’avais le sentiment, quand une queue me fouillait, qu’elle s’enfonçait de plus en plus profondément dans mes chairs. Un plaisir parmi d’autres, mais un plaisir fort.
Je savais aussi que cette position leur plairait. Une fille à quatre pattes, ça plaît toujours à un homme. Et encore plus quand elle a des cuissardes.
Ils se sont bien répartis. Il y en a un qui est venu derrière moi et qui s’est mis à rentrer en moi, très lentement, en faisant des pauses. J’avais à la fois envie de lui crier de rentrer plus profond, et au contraire d’aller encore plus lentement…Je me frottais le gland clitoridien pour contempler ce plaisir, et je ruisselais sur moi. Le deuxième est venu me proposer sa queue dilatée en me la fourrant sous le nez. Je l’ai prise dans ma bouche, faisant aller et venir celle-ci dessus. Dans mon ventre, la queue m’a enfin remplie totalement. C’était vraiment très bon comme ça. J’avais imaginé qu’ils me prendraient successivement, et pas qu’ils viendraient à deux sur moi. Ça me plaisait énormément. J’avais envie de sexe, irrésistiblement, et encore beaucoup à découvrir. Mais ça, c’était tout sauf un problème. Surtout depuis que je connaissais ce parc.
Le gars derrière moi savait s’y prendre. Il m’a fouillée lentement, puis rapidement, me donnant un plaisir unique, pendant que ma bouche remplie de la queue jouait avec elle, sur un rythme différent, mais au final tout se rejoignait. Je faisais aller et venir ma bouche sur sa queue, pour finir par m’immobiliser, et là je le travaillais de la langue. La fille que j’avais été, il y avait un mois de cela, avant de passer les cuissardes n’aurait jamais fait ça, et si elle avait pénétré dans le parc, elle se serait sans doute aussitôt enfuie. Elle ne se serait certainement pas positionnée sur un banc en laissant des partenaires venir à elle.
Comme je le souhaitais, mais c’était inévitable, ils ont inversé leur position. Un autre sexe dans le ventre, avec une autre approche, plus vive, et une autre queue dans la bouche, plus épaisse et moins longue, avec laquelle j’ai joui…J’ai fini par me dégager, d’un mouvement de ventre, et j’ai basculé sur le dos, en levant les jambes. C’était au cas où ils n’auraient pas compris, mais ils avaient certainement envie de finir comme ça…L’un après l’autre, ils ont frotté leurs queues dilatées contre le cuir, le maculant…J’ai massé les bottes pour faire rentrer le sperme dans la matière…
Ils m’ont regardé faire avant de s’éloigner.
La fille blonde en avait fini avec sa partenaire brune. Je l’attirais apparemment aussi…Ou les cuissardes. Je me suis rassise sur le banc, et je l’ai attrapée par la main.
–Viens, je sais ce qu’il te faut, je lui ai dit.
Si elle avait donné du plaisir à sa partenaire, elle n’avait apparemment rien eu, ni exigé en retour. Elle avait gardé son caleçon, un caleçon très collant qui mettait en valeur ses formes charnues. Je n’avais jamais vu, je crois une aussi large tâche de mouille que celle qui, partant de son sexe, auquel le tissu collait, s’enfonçant dans sa fente, montait très haut et s’étalait dans ses aines jusqu’à descendre le long de ses cuisses. Il était vrai aussi qu’elle l’avait gardé pendant qu’elle caressait sa partenaire, alors que normalement, on enlevait très vite ses vêtements.
Je l’ai attrapée et attirée vers moi. Elle a compris où je voulais en venir, sans aucun doute parce qu’elle avait envie, comme tous mes partenaires, et elle est venue se poser sur ma cuisse, de telle sorte que son sexe dégoulinant repose contre le cuir des cuissardes. Le cuir était décidément conducteur, et je l’ai sentie, à travers le caleçon, le poids de son sexe, le relief de ses lèvres, et cette sensation d’humidité… Ça m’a mise dans tous mes états. La tenant par ses fesses bien pleines, je l’ai faite bouger sur moi, dans un rythme régulier. Elle secrétait tellement, et le caleçon était tellement saturé qu’elle a bien vite mouillé, puis trempé le cuir. Une tâche sombre qui s’est d’abord centrée sur un point puis largement élargie. C’était le genre de détail qui poussait mon excitation vers le maximum, tout comme le fait de sentir, parce que le cuir était porteur, son sexe contre moi, avec son relief.
Elle avait en tout cas l’esprit d’initiative, parce qu’en même temps qu’elle se caressait, elle a amené sa main sur mon sexe, venant appuyer sur mon gland clitoridien et le frotter en même temps que nos bouches se rapprochaient pour un baiser profond, langue contre langue.
Ca a été quelque chose de lent, de contenu, jusqu’au moment où elle s’est mise à jouir. Elle a été agitée par des spasmes violents. Les jets de sécrétion qu’elle a lâchés, de véritables éjaculations, qui ont trempé le cuir, et au-delà mes chairs…Combiné à ce frottement continu sur mon gland clitoridien, la voir jouir a précipité mon orgasme.
Il y a encore eu un autre homme, et une autre fille, à chaque fois une pratique différente, avant que le parc ne se vide. Il était tard, mais les lampadaires qui entouraient le parc maintenaient une lumière artificielle qui donnait une sorte de vie aux lieux. J’étais la dernière, cuissardes humides d’avoir été arrosées de sperme et de sécrétions vaginales. Je suis restée dans une sorte de transe, à les masser, pour faire pénétrer ce qui me semblait un véritable élixir de vie, capable non seulement de les préserver, les rendre plus belles, mais aussi de garder leur magie.
Je suis revenue très souvent au parc. Pas tous les soirs, mais si j’avais pu alors ça aurait été tous les soirs. Des partenaires, garçons et filles, des moments de sexe jamais pareils, mais toujours d’une grande intensité, avec un passage obligé par les cuissardes. J’ai même développé cette particularité de caresser des queues et des chattes avec mes cuissardes, en jouant habilement de mes jambes. Ce n’était pas seulement un produit d’appel. D’autres rêvaient d’un rapport plus classique, mais venaient chercher mes bottes pour le plaisir final. Ou alors je les guidais dans ce sens. Dans les moments ensemble, il y avait des partenaires qui ne venaient qu’une fois mais j’ai eu aussi des partenaires réguliers. Certains d’entre eux m’ont donné de l’argent. Une manière de me dire merci.
Voilà. Une partie de mes aventures. Je pourrais écrire encore des pages et des pages, tellement tout ce qui m’est arrivé est riche.
Tu te demanderas sans doute pourquoi je te fais cadeau de ces cuissardes, puisqu’elles sont si importantes pour moi…En fait, il est arrivé un jour où je me suis rendu compte que la métamorphose était complète. J’étais devenue une autre femme. J’avais pourtant toujours autant envie de porter des cuissardes, je trouvais cet élément ultra-féminin, attirant, et troublant en diable, mais j’avais l’assurance, la capacité de séduction et l’expérience. Comme tu as dû le remarquer je porte toujours des cuissardes, de types, de manière et de couleurs différentes. Et bien sûr celles-là. Je te les offre, et je pense que c’est un beau cadeau. Je reste persuadée, qu’au-delà d’un processus d’auto-conviction, elles sont RÉELLEMENT magiques, donc uniques et spéciales et qu’elles te transformeront comme elles m’ont transformé.
Il n’y avait qu’un moyen de le savoir.
Je les ai sorties de leur carton et j’ai entrepris d’en gainer mes jambes.
Avec la conviction absolue qu’une nouvelle aventure commençait, comme ça avait été le cas pour ma sœur.