Deux MILF en Lozère, chapitre 4

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frederic mancini


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DEUX MILF EN LOZÈRE, CHAPITRE QUATRE

A chaque fois c’était la même chose. Nous basculions d’un monde à l’autre et il nous fallait du temps pour retrouver nos repères. Puis petit à petit, nous retrouvions l’univers que nous avions laissé derrière nous un an plus tôt, et tout redémarrait.

Nous connaissions déjà pas mal de monde, et, quand ils savaient que nous étions là, les rumeurs se propagent très vite, ils venaient nous voir, autant dans le souvenir de ce qui s’était passé entre nous l’année précédente que dans l’espoir que les choses puissent reprendre et recommencer.

Ça a été comme ça que trois jours après notre arrivée,on a vu débarquer Max. On avait fait sa connaissance un an plus tôt, dans des circonstances particulières. On s’était rendues à un bal, Éliane et moi, ce genre de bal qui n’existe qu’en province où on vient en pensant qu’on va tomber sur un orchestre ringard avec un public ringard, mais on trouve quand même du plaisir, parce qu’une étrange communion se crée… On partait, il était deux heures du matin, et on l’a trouvé dans une situation très spéciale. Il était à genoux devant une fille très grande, une brune au visage chevalin qui avait soulevé sa robe et qui, jet après jet, lui pissait dessus. On avait d’abord eu un doute, parce qu’on avait vu la fille de dos, cul nu, string aux chevilles, et une partie du corps de Max, des vêtements semblait-il humides. Curieuses, nous nous étions approchées, pour le trouver, avec une expression extatique sur le visage, trempé des jets de pisse. Nous nous étions regardées, Éliane et moi, ravies de basculer sur quelque chose de nouveau. C’était vrai que l’ondinisme ne nous avait jamais tentées jusqu’à présent. On s’était troussées, on était l’une comme l’autre en robe, Éliane cul nu, moi j’avais un slip blanc, et on s’était joints à la fille pour l’arroser de pisse. Il se trouvait que l’une comme l’autre, on avait la vessie pleine des liquides bus dans la soirée. Ça avait été aussi spectaculaire qu’excitant. Frappés par trois jets concomitants, il avait été littéralement souillé par nos jets de pisse. Il avait sorti de son pantalon une queue de fortes dimensions, qu’il avait masturbée. Chacun à sa manière de jouir, lui c’était en se faisant pisser dessus. Totalement inondé, il avait craché dans les airs des jets d’une substance crémeuse. Je revoyais encore le gland, gros, tout rouge, avec cette fente au milieu dont sortait le sperme…

C’était Éliane, qui, une fois que tout avait été fini, qu’il s’était éloigné en compagnie de la fille, dont je ne savais quel était son statut, fille payée pour lui pisser dessus, partenaire d’un instant ou compagne, s’était approchée et lui avait glissé un bout de papier sur lequel elle avait hâtivement écrit son numéro :

Si tu es tenté par deux nouvelles partenaires…

Ça pouvait sembler une bouteille jetée à la mer. D’ailleurs quand il nous a recontactées, trois jours plus tard, on ne pensait plus trop à lui. Mais par contre beaucoup à cette expérience qui nous avait plu à l’une comme à l’autre. J’avais glissé à Éliane :

A l’occasion, j’aimerais bien qu’on fasse ça entre nous.

Je savais qu’Éliane serait partante. Elle était friande de nouvelles expériences. Elle m’a souri et a désigné le robinet.

Pourquoi attendre ? On va se gorger d’eau et ensuite on s’amusera.

A tour de rôle, nous avions été nous verser des verres d’eau glacée. C’était curieux, quelque chose qui tenait d’un rituel, une découverte en tout cas, car c’était la première fois que nous nous adonnions à des jeux de pipi.

Nous étions passées par différents stades. D’abord, rien, puis soudain la pression sur notre vessie, nous signalant que celle-ci était aux trois-quarts remplie. On voulait tenir aussi longtemps que possible. Nous avons ensuite glissé au-delà de la douleur, dans un stade où, même si nous étions conscientes que nos vessies étaient pleines à exploser, nous ne ressentions plus rien.

Prudentes, parce que nous ne voulions pas souiller le gîte, nous avions disposé des bâches un peu partout.

J’étais calée sur le divan, je parcourais le journal local quand Éliane s’est approchée de moi, roulant sa jupe à sa taille.

Là, je vais pas pouvoir tenir plus longtemps.

C’était la première fois que j’entrevoyais son sexe, tendu vers moi, sous cet angle. Ouvert, avec l’urètre saillant, poussé vers moi , trou dans sa chair, dont a jailli le premier jet de pipi, qui est venu cingler mon corps. Un liquide chaud. Éliane a fait une pause, comme si elle reconsidérait ses capacités à continuer, puis elle a balancé de nouveaux traits d’urine. Au fur et à mesure, elle semblait mieux maîtriser sa miction. Elle balançait un trait, attendait, mélangeait des jaillissements courts et secs, et d’autres plus intenses. Je n’avais pas de regrets. L’expérience me procurait un plaisir intense, autant parce que je trouvait ça excitant d’être arrosée d’urine, souillée petit à petit, corps et vêtements trempés, que parce que j’appréciais que ce soit elle qui fasse ça. J’avais glissé la main sous mon pantalon de survêtement, dans ma culotte, pour me masturber pendant qu’elle m’arrosait.

Son sexe était mouillé de des gouttelettes qui avaient éclaboussé sa chair alors qu’elle se vidait, et qui étaient sorties après les derniers jets. J’ai descendu le pantalon, ma culotte, et j’ai inversé le mouvement,du bas vers le haut, me libérant moi aussi, la vessie pleine à craquer.

C’était à ce moment que Max était arrivé. Éliane avait été lui ouvrir. En voyant ses vêtements trempés, il avait quasi immédiatement compris la situation. Éliane l’avait guidé jusqu’au living ; Il m’ avait vue moi aussi trempée. Éliane était revenue se caler face à moi, et j’ai continué à l’arroser d’urine. Max a sorti sa queue. Il bandait aux trois quarts, et il a fallu attendre qu’il se dégonfle un peu pour que les premiers jets de pisse nous atteignent l’une comme l’autre. Quand ma vessie a été vide, et la sienne aussi, Éliane et moi nous étions inondées.

La suite a été plus classique. Nous nous sommes penchées sur sa queue, qui, sa vessie vide, ne pouvait que s’épanouir, avant que nous ne nous mettions à genoux sur le canapé, tendant nos culs vers lui, et qu’il ne vienne alternativement dans nos deux vulves. Intelligemment, lorsqu’il a joui, il a sorti sa queue de nous, et il nous a arrosées alternativement, crachant son sperme sur nos croupes.

Ça a été la première de ces séances avec Max, durant lesquelles nous nous sommes adonnés à des jeux de pipi sans limites, nous arrosant mutuellement, changeant de position, de situation, avec un plaisir sans cesse renouvelé.

Et Max était là, devant nous. Éliane a été ressortir les bâches que nous avions achetées l’été dernier. Les locataires venus après nous n’y avaient pas touché. Pour renouer avec le passé, il a sorti une queue aux trois quarts dilatée, et il s’est mis à nous arroser. Nous n’avions rien prévu, nos vessies trop peu remplies, nous n’avions rien à lui donner en retour dans l’immédiat. Nous avons été boire plusieurs verres d’eau dans la cuisine, de l’eau glacée, ça irait plus vite, dans un même verre que nous nous passions après l’avoir rempli à la carafe du frigo. Il y avait dans le regard d’Éliane une lueur qu’on pouvait sans doute également lire dans mes yeux. Nous retrouvions avec plaisir Max, et nous envisagions avec plaisir de prolonger ces moments que nous avions partagé avec lui un an plus tôt. Rentrées chez nous, Éliane et moi, nous ne nous étions pas adonnées à l’ondinisme. Ça ne nous avait même pas traversé l’esprit, pas même une seconde. Ça n’aurait même pas eu de sens dans un contexte différent. Ce qui se passait en Lozère restait en Lozère.

On a partagé une cigarette en attendant que l’eau fasse son effet. Avec six verres d’eau, je me sentais pleine comme une outre. Il avait laissé sa queue hors de son pantalon. Elle était roide de désir, et, toutes proches de lui, Éliane et moi nous la masturbions doucement, nos doigts se mélangeant sur sa chair. Il avait une belle queue, et ce qu’il en faisait, qu’elle laisse couler de l’urine ou cracher du sperme, nous excitait.

L’envie de faire pipi est vite arrivée, forte et intense. Ma main sur ma vessie a été comme un signe. Max s’est laissé glisser sur le sol, et Éliane l’a imité. Je me suis accroupie, ma robe roulée à ma taille.

Au début, c’était toujours pareil. Une envie irrésistible mais l’incapacité de se vider. Comme j’avais appris à le faire l’année précédente, j’ai fait tourner ma main sur mon ventre, dans un mouvement circulaire. Mes chairs se sont détendues, et l’urine a commencé à sortir. Le premier trait, non maîtrisé, a frappé la robe d’Éliane, qui a poussé un petit rire. Troussée, elle caressait son sexe dilaté d’excitation.

J’ai repris le contrôle de ma vessie. J’étais rouillée, mais les réflexes reviennent vite. Glissant légèrement de l’un à l’autre, je les ai arrosés, trempant leurs vêtements et arrosant leurs visages. L’un comme l’autre, comme moi d’ailleurs lorsque la situation était inversée, ils ouvraient la bouche pour que je les gorge d’urine, et la laissaient couler dans leur gosier sans la recracher. J’avais appris moi aussi à apprivoiser cette fonction naturelle de mon corps, et à lui donner une autre dimension, à aimer l’odeur du pipi, son goût, identique et cependant variable, à lui donner une dimension érotique que j’avais ignorée jusqu’alors.

Je me suis laissée tomber au sol… Éliane, la première, s’est redressée et elle est venue se placer au-dessus de moi. J’ai frotté mon clitoris, qui ne serait jamais aussi gros que le sien, mais qui était, comme le sien, en pleine érection. Des moments très forts. Quand le temps aurait tout dissous, il me resterait cela comme souvenirs pour me tenir au chaud en attendant la mort.

Ses chairs étaient sorties, poussées en avant, son urètre ouvert. J’ai vu le jet d’urine sortir, bref, qui frappé mes chairs, et trempé ma robe. Éliane m’a soigneusement inondée, pendant que Max, proche d’elle, lui urinait dessus, d’un jet continu, de haut en bas. J’ai fini par ouvrir la bouche, sans doute était-ce là que je voulais en venir, sans oser me l’avouer, tellement c’était perçu comme sale. Elle s’est accroupie, toute proche de moi, je pouvais voir ses chairs intimes avec netteté. Je les connaissais par cœur, mais je ne me lassais de rien de ce qui constituait Éliane, sa silhouette, son cul rond et dur qui tendait ses vêtements, sa chatte gonflée et complexe, ses hanches bien marquées, ses seins lourds, et cet urètre qui lâchait des traits d’urine acre dans ma bouche, que je buvais avec avidité, sale que j’étais.

Nous avons basculé sur un autre schéma, vivant avec intensité ce moment fort. Nous nous sommes calées sur le divan, que nous avions aussi bâché, et, nous tenant par la main, nous avons ouvert nos bouches. Allant de l’une à l’autre, il a fait couler sa pisse dans nos gosiers…Il parvenait à maintenir un juste équilibre, en érection, mais suffisamment souple pour pouvoir laisser sortir l’urine hors de lui. On se regardait du coin de l’œil, Éliane et moi, ravies d’avoir retrouvé Max.

On a fini par se positionner pour un moment plus classique. C’était du moins ce qu’on pensait au début. Même si la position en elle-même n’avait rien de classique. Ça nous renvoyait directement à l’année précédente, quand nous l’avions adoptée. Éliane a glissé à quatre pattes, et je suis venue m’installer sur elle. Je trouvais cette position extraordinairement obscène, dans sa manière d’offrir nos parties les plus intimes. Il y avait à chaque fois, je l’avais observé du coin de l’œil, une lueur de folie dans le regard de Max, quand il regardait nos croupes ouvertes, les plissements de nos anus, nos chattes gorgées de sang, dilatées, et qu’il ne savait trop où donner de la tête. Il aurait fallu qu’il ait plusieurs queues. N’en ayant qu’une, il ne lui restait comme solution que d’aller d’un orifice à l’autre, d’un corps à l’autre.

Si j’aimais cette position aussi, c’était parce que, l’une sur l’autre, mais nous inversions, nous nous pissions dessus, et cela rajoutait à notre plaisir d’être fouillées par sa queue bien dure.

J’étais au dessus, et il a glissé dans mon sexe, me remplissant, allant et venant en moi, me faisant gémir, à présent dans une érection qui l’élonguait et le durcissait bien. J’ai failli crier « Oh non ! » quand il est sorti de moi, après être resté trop brièvement, mais il fallait bien qu’Éliane ait sa part. Il l’a pénétrée et il s’est calé dans un rythme régulier, allant d’elle à moi, et de moi à elle, dans nos vulves, béantes, et nos anus, plus resserrés. Ce rythme, il l’a cassé au moment où il s’est immobilisé dans mon conduit anal, après y être allé et venu. J’ai été surprise quand j’ai senti le liquide chaud couler en moi. C’était une sensation excitante tout autant qu’inédite, qui m’a déclenché un orgasme, alors même que je frottais mon clitoris. Il s’est vidé longtemps, et le liquide chaud a rempli mon ventre, le distendant. Éliane observait du coin de l’œil, se masturbant elle aussi, et elle a bien compris ce qui se passait. Elle a souri, heureuse en pensant que la même chose allait lui arriver, et que nous avions débouché sur quelque chose de nouveau, ce que nous recherchions elle et moi. Nous voulions toujours plus, et toujours plus de nouveauté.

Il s’est dégagé de moi, me laissant pleine de son urine et s’est planté dans l’anus d’Éliane A sa posture identique, mais aussi au contentement qui éclairait le visage de ma partenaire, j’ai compris qu’elle avait droit au même traitement, inondée par une vessie inépuisable. Il s’est retiré d’elle. L’expérience lui avait plu à lui aussi, il était plus dilaté que jamais. Il a contourné le divan, et est venu frotter sa queue face à nos deux faces, nos bouches ouvertes. Le sperme est sorti, copieux, qu’il a partagé entre Éliane et moi, souillant nos visages et trempant nos gorges d’une saveur amère.

Comme à son habitude, il s’est éclipsé sans demander son reste. On savait qu’il revenait, mais on ne savait pas quand. Il avait l’habitude d’apparaître et de disparaître comme par magie. La seule certitude qu’on avait, c’était qu’il apparaissait aux moments les plus incongrus, à l’heure du repas par exemple. Mais nous nous y étions habituées.

Éliane et moi nous nous sommes tournées l’une vers l’autre, et nous avons lapé mutuellement la semence qui s’était déposée sur le visage de l’autre. Nous commencions à sentir le poids de l’urine dans nos ventres, marque de sa présence dont il nous avait copieusement remplies, mais nous voulions garder cette trace en nous le plus longtemps possible, jusqu’au moment où il nous faudrait tout lâcher. Nous avons récupéré les bâches, en les tenant droites pour ne pas laisser échapper leur contenu, nous les avons transportées à l’extérieur, rincées. A chaque seconde, à chaque pas, nous sentions le poids du liquide de manière plus pressante, plus pesante, et pourtant nous n’avions pas envie de nous en libérer. C’était une sorte de défi, mais aussi une source d’excitation qui gardait nos sexes ouverts et nos clitoris dilatés. Nous sommes montées nous changer, laissant nos vêtements trempés dans la machine à laver et nous sommes passées sous la douche ensemble. Nous nous étions habituées, maintenant, à ce poids en nous, même s’il maintenait une tension qui, nous en étions bien conscientes, irait jusqu’au moment où elle serait réellement intenable. Malgré tout, nous sommes ressorties de sous la douche, et nous nous sommes habillées avec des vêtements propres et secs.

On va se balader ?

Maintenant, elle a dit simplement, retroussant sa robe et partant vers les toilettes…

Je l’ai suivie, bien sûr, pour partager ce moment intime. Elle s’est calée sur le siège, se donnant à mon regard. Son sexe était gonflé, et son clitoris saillant disait son excitation. Son anus s’est ouvert, laissant passer un premier jet, liquide jaune teinté de sombre. Dans un réflexe, je suis venue masturber son clitoris, pendant qu’elle se vidait, jet après jet, du liquide dont Max l’avait remplie. Elle a joui, autant de se libérer que parce que je la caressais. Crachant des jets d’un liquide blanc…Elle a souri de contentement.

C’était bon…

Nous sommes parties sur les chemins avoisinants. Il y avait toujours quelque chose à découvrir. On faisait comme si c’était une balade normale, mais toutes les deux nous pensions, de manière obsessionnelle, au fait que j’avais encore le ventre plein. Ça m’excitait terriblement. Je me sentais terriblement gonflée. Ce n’était pas une situation spécialement confortable, mais je n’avais pas immédiatement envie de revenir à la normale.

On a marché jusqu’à une clairière. Il faisait lourd, on avait bu de l’eau, et une seconde source de tension me tendait, celle de ma vessie qui réclamait délivrance. Deux poids dans mon corps, c’était trop, et je me suis accroupie, sous le regard émerveillé d’Éliane, ôtant mon legging et ma culotte, en gardant juste mes chaussures de marche. L’urine a commencé à sortir de mon urètre, mais la miction s’est bloquée quand mon anus a laissé passer le contenu de mes entrailles, l’urine, si longtemps retenue, de Max. Je me suis vidée longuement, Éliane contribuant en caressant mon clitoris en même temps que le sien, nous faisant jouir.

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