Diane restait très attachée à ses parents à qui elle rendait régulièrement visite dans le château familial.
Peut-être était-ce, à y bien penser, pour profiter d’un être cher qui lui avait été offert lors de son retour de France, le magnifique Django, un fougueux étalon noir qu’elle seule pouvait monter. Elle aimait plus que tout passer du temps à le chevaucher lors de longues promenades dans la campagne et les bois environnants. À l’écurie elle avait pris l’habitude de soigner son cheval en lui passant de la graisse à traire sur les testicules qu’elles trouvaient si saillantes et gonflées qu’elle avait peur qu’elles ne finissent par se craqueler et handicaper la pauvre bête. L’animal appréciait fortement le traitement et le faisait savoir en dépliant quatre-vingts centimètres menaçant de s’abîmer sur le sol. Diane prenait alors grand soin d’enduire de graisse le membre qui saillait sous le ventre de son étalon.
Un jour, manquant d’onguent, elle avait passé sa langue sur cette lance dure et douce, puis en avait emprisonnée le bout dans sa bouche pour mieux la lustrer de ses mains. Le plaisir qu’elle prit lorsque la noble bête lui avait déversé un bon litre et demi de liquide chaud et onctueux dans son palais, inondant sa gorge et remplissant son estomac, fut tel qu’elle eut l’impression de se liquéfier laissant jaillir, dans une allégorie ruisselante qui avait inondé jusqu’aux fines chaussettes dans ses bottines, une rigole qui aurait pu abreuver dix farfadets obscènes. De ce jour on disait de l’étalon, probablement à raison, qu’il avait le regard lubrique.
Diane absente, ce qui était majoritairement le cas, Django hennissait dès qu’il apercevait Madame la mère de Diane et montrait tout l’émoi que la jolie femme mûre lui faisait. Un jour que sa maîtresse n’était pas là, le cheval s’était approché de Madame de Tournedos mère, occupée à ramasser quelques fleurs printanières dans une position qui ne laissa pas de marbre – mais bien du plus bel ébène – la noble monture. Au moyen de sa branche terminée par une tête à la belle couleur bois de rose, il avait relevé, sur ses hanches, la robe de la maîtresse des lieux. Croyant à une approche du jardinier dont elle était familière et étant assez assidu à la chose, se sachant seule à ce moment ou probablement observée par son mari, elle s’était appuyée, les deux mains sur la rambarde de la clôture et elle s’apprêtait à s’offrir, la croupe tendue vers le membre turgescent de son amant, lorsque le cheval, de plaisir se mit à hennir. Manquant de défaillir à l’idée de ce qui lui arrivait, elle ne put se retourner l’animal ayant commencé à trouver refuge dans sa motte toute moite. Puis Madame de Tournedos, la bien nommée, soudainement prise d’un désir jusque-là inconnu d’elle, se mit à onduler afin que la poutre qui la saisissait pu s’enfoncer au plus profond de ce que son anatomie permettait, ce qui représentait tout de même une bonne quarantaine de centimètres a réceptionner dans le tiroir à saucisson, et lorsqu’un torrent chaud s’était répandu dans son ventre, elle aussi s’était mise, par un curieux effet de mimétisme, à hennir de conserve avec le bel étalon noir. A la fenêtre de son bureau surplombant le parc, surexcité par la scène de sa femme ainsi embrochée, le mari de Madame de Tournedos avait fait quérir une jeune bonne nouvellement entrée au service des châtelains. Il lui avait bandé les yeux par respect pour sa chère épouse, l’avait entreprise selon la même position que cette dernière et finissait de la trousser à l’ancienne, c’est à dire qu’il déversait son flux plein de vies au fond du ventre de la jeune femme qui se voyait déjà en haut de l’affiche à monnayer le bâtard qu’elle mettrait au monde neuf mois plus tard.

 

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  1. Paillé le à
    Paillé

    Une histoire forte bien écrite qui laisse rêveuse !

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