Les choses ne sont jamais ce qu’on pense qu’elles au premier abord. Je l’ai appris cette année là, lors d’une expérience très particulière, dont le souvenir m’a très longtemps poursuivi.

Jeune enseignant, j’avais passé quelques années dans le Nord, et enfin obtenu de redescendre dans le Sud. Je suis arrivé dans un immense établissement de deux mille élèves, où j’étais totalement perdu. Il m’a fallu quelques semaines pour prendre mes repères et si cela a été possible, ça a été grâce à Alice. Alice, c’était une collègue d’un certain âge, qui était là depuis plusieurs années et dont tout le monde, je l’ai su très vite, louait les qualités. J’ai rarement connu quelqu’un qui fasse à ce point l’unanimité. Il faut dire que c’était une personne qui était entièrement tournée vers les autres, qui rendait service bien plus qu’elle ne l’aurait du. Sans que je lui demande rien, elle m’a aidé, et m’a permis de me sentir plus à l’aise, ne serait-ce que dans l’application de programmes nouveaux que je ne connaissais pas.

On était souvent ensemble.

Certains collègues de mon âge ont commencé à ricaner et à me faire des remarques salaces. « Tu lui as tapé dans l’œil ! » « Alors, ça se passe bien entre Alice et toi ! » Je répondais sur le même ton… « C’est une formidable amante… » Si j’avais su que ce qui n’était qu’une boutade allait devenir réalité quelques semaines plus tard.

Ce que j’aurais du entendre, je l’ai entendu des semaines après…Alors que tout était déjà accompli. Qu’Alice aimait beaucoup les hommes et le sexe…Mais il n’y avait pas que cela, et ce qu’on ne m’a pas dit, je l’ai constaté en donnant de ma personne.

C’était une personne douce, affectueuse, quand on travaillait ensemble, qu’elle m’aidait à assimiler les programmes, il lui arrivait d’effleurer ma main, mon bras…Mais pour moi, c’était un geste purement affectif.

Cela faisait deux mois que j’étais dans l’établissement quand elle m’a invité chez elle. « Je te présenterai mon mari. » J’ai accepté en toute naïveté.

Je suis passé chez elle un samedi en début d’après-midi. Je lui avais amené un bouquet de fleurs et un livre…J’imaginais une après-midi tranquille, comme nos conversations au lycée.

Elle habitait une grande villa dans un nouveau quartier qui surplombait la cité. De là on voyait tout le bassin au fond duquel avait été construite la ville.

J’ai sonné à la porte. Elle est venue ouvrir.

J’ai été tétanisé. Saisi de surprise, tout autant que de désir.

On dit souvent que chaque personne a une personnalité avec plusieurs façettes. Je n’avais vu jusqu’à présent que l’une d’entre elles.

J’avais connu Dr Jekyll. J’avais devant moi Mrs Hyde.

C’était d’ailleurs plutôt ironique. Cela faisait plusieurs mois que je côtoyais Alice, et je ne l’avais jamais regardée comme une femme. Comme une mère, une amie, plutôt. Il fallait dire que dans la Alice que je côtoyais tous les jours au travail il n’y avait rien qui puisse provoquer le désir. Des pantalons informes, des chemises d’homme trop larges, des pulls sans structure… Elle ne se maquillait pas, n’avait jamais de bijou. Le seul élément qui aurait pu tant soit peu me perturber, ça aurait été sa longue chevelure naturellement blonde, épaisse, soyeuse et longue, mais dans ce contexte global, au final je n’étais pas troublé plus que ça, alors qu’une chevelure identique, coulant sur les épaules d’une fille plus sexy m’aurait perturbé.

Je n’avais jamais vu en Alice une femme que l’on peut désirer, et je ne l’imaginais nullement portée sur des jeux de séduction avec son mari, et encore moins sur le sexe. Je savais qu’elle avait deux enfants déjà grands…J’imaginais que pour elle, les rapports sexuels étaient essentiellement liés à la reproduction, et rien d’autre.

Et le corps, mais aussi et surtout la vêture de la femme qui se trouvait face à moi me disaient le contraire.

Elle était tout en gris. Une robe grise, qui la collait étroitement, s’arrêtant juste en haut de ses cuisses, et qui soulignait de manière étroite les pleins et les creux d’un corps que je découvrais. J’avais remarqué une piscine derrière la maison, elle devait souvent y nager, parce qu’elle n’avait pas un poil de graisse. Epaules larges, poitrine étonnamment pleine, et ferme, qui tendait le tissu, et n’était soutenue par nul soutien-gorge, Ventre plat auquel le tissu collait, hanches marquées. Quand elle s’est retournée, j’ai admiré sa croupe pleine, bien charnue, mais aussi magnifiquement cambrée. Elle avait vraiment tout pour elle.

Elle était apparemment tout en gris. Des bottes qui arrivaient juste en dessous du genou, des bas gris aussi, l’élastique les serrant au haut de ses cuisses visibles, tant la robe était courte. Elle avait des cuisses pleines, bien dessinées.

Elle qui d’habitude dégageait l’odeur d’une eau de toilette quasiment neutre sentait ce soir-là un parfum capiteux, qui, avec le reste, a contribué à me faire tourner la tête. Elle s’était habilement maquillée, et cela rehaussait ses traits, de couleur et de lumière.  J’ai énormément apprécié sa coiffure, elle avait empilé ses cheveux dans une coiffure sophistiquée à plusieurs étages, tenue par des chignons successifs.

Elle a du bien rire en son for intérieur, même si elle n’en a rien montré. Je me suis senti ridicule, en réalisant que je devais la regarder avec une expression ridicule. Ce dont je me suis aussi rendu compte c’est que j’avais une érection massive, et que celle-ci devait être vraiment visible.

— Je suis très heureuse que tu me rendes visite. Je ne laisse pas grand monde venir à la maison, et je n’invite que les gens que j’apprécie.

Sans doute pour mieux me faire comprendre à quel point elle m’appréciait, elle s’est approchée de moi et elle m’a enlacé  dans ce qui  se voulait une simple étreinte mais n’a rien fait pour apaiser mon désir. J’ai même cru que j’allais me jouir dessus. La chaleur de son corps m’a envahi, et j’ai senti ses formes, pleines et généreuses.

L’espace d’un instant, quand elle s’est reculée, sa main a effleuré mon sexe. Un geste suffisamment bref pour que l’on puisse penser à un accident, mais j’ai rapidement été convaincu, et la suite m’a donné raison, que tout en elle était jeu de séduction.

Elle m’a conduit dans un grand living, spacieux et lumineux. Il y avait, au centre, près d’un âtre sans feu deux canapés. Je me suis laissé tomber sur l’un. Elle ne s’est pas installée en face mais tout près de moi sur le même canapé, à quelques centimètres de moi. Alors qu’elle se posai,t sa robe, déjà haute, s’est retroussée encore plus, laissant voir un slip, gris lui aussi. Il ne devait pas y avoir la bonne taille quand elle l’avait acheté, parce qu’il était apparemment ridiculement petit, ou alors c’était fait exprès pour faire saillir un mont de Venus qui même à l’état naturel devait être proéminent, et marquer la fente qui coupait son sexe en deux.

On s’est mis à discuter, de tout et de rien. J’avais la queue douloureuse de désir, et elle était si près de moi que je ne risquais pas de débander.

C’est venu tout seul, au bout d’un moment. Pourquoi ? Je ne sais pas.

Je ne sais pas non plus qui s’est penché le premier vers l’autre, je ne me souviens plus. Nos lèvres se sont accrochées, et ce baiser a été divin. On a pris les lèvres de l’autre sous différents angles avant que nos langues se rejoignent et s’accrochent. On est resté comme ça longtemps avant d’aller plus loin. On avait tendance à agir en symétrie, et, en même temps que je portais mes doigts à son pubis, elle venait caresser mon sexe à travers le tissu de mon pantalon. J’ai senti le volume de son pubis, très renflé, la fente au milieu, dilatée, mais la sensation dominante ça a été celle de son humidité. Sans surprise d’ailleurs, parce que j’avais vu le tissu, d’abord intact, se marquer de taches sombres, de plus en plus larges. Si j’étais excité, elle aussi, indéniablement.

La nature suit son cours. C’est comme cela que je l’ai caressée à travers le tissu du slip, m’imprégnant du relief de son sexe, tandis qu’elle me caressait à travers le tissu de mon pantalon. Elle me souriait,  comme elle me souriait toujours quand on discutait au lycée, mais l’évolution de la situation m’a fait sourire. Si nos collègues nous avaient vu ainsi…

Elle a agi la première, mettant ma queue à nu d’un mouvement de main habile. Mon sexe a jailli à l’air libre. Je l’avais rarement vu aussi dilaté. Sans doute le fait que je n’ai pas eu de petite copine depuis plusieurs mois jouait-il, mais d’évidence aussi le désir qu’elle m’inspirait. Elle a regardé mon sexe avec appétit, et l’a pris entre ses doigts pour le masturber.

C’est à ce moment-là qu’une pensée a commencé à me titiller. Je trouvais la situation…Etrange…Ce n’était pas tant  qu’on puisse devenir amants…Ca arrive très souvent…Non, c’était de me retrouver ainsi dans cette maison de rêve. C’était totalement irréel. Et puis j’avais une sensation…Particulière…Le sentiment d’une présence autour de moi, même si je ne voyais rien. Et surtout je me demandais où était son mari, qu’elle devait me présenter. Qu’allait-il se passer s’il nous trouvait dans une position incongrue.

Ca ne refroidissait pas mes ardeurs, pourtant, bien au contraire. Elle m’a laissé faire quand j’ai voulu enlever son slip, me facilitant la tâche en soulevant ses hanches.

Nu, son sexe tenait les promesses qu’il donnait enveloppé. Elle avait un mont de Vénus proéminent, avec des lèvres étonnamment longues et épaisses qui sortaient d’elle, et un gros clitoris lui aussi gonflé. Je l’ai caressée du bout des doigts. Le liquide qui suintait d’elle rendait ses chairs luisantes. Sous l’effet de ma caresse, ses lèvres et son clito se sont encore plus dilatés et le liquide est sorti d’elle de manière plus abondante. Je me suis penché sur elle, et je l’ai parcourue de ma langue. Sa saveur acre m’a envahi. Je sentais ses chairs palpiter et se gonfler.

Elle m’a laissé faire avant de me dire :

— J’ai envie de plus, mais je ne veux pas d’une queue nue en moi. Je vais chercher ce qu’il faut.

Elle s’est extirpée du canapé d’un mouvement de hanches. Mon regard a glissé sur sa croupe haute et dure, puis sur le côté. La salle à manger était ouverte d’un côté et de l’autre sur deux couloirs. C’est dans celui qui s’amorçait sur la gauche que j’ai aperçu une silhouette. Il y avait quelqu’un là qui nous observait.

Elle a attrapé une boite close sur une table basse, et elle est revenue vers moi. Elle était vraiment splendide, chaloupant avec une élégance toute féminine. Il pouvait y avoir cinquante personnes occupées de nous regarder je m’en moquais. Je la voulais.

Restant debout, elle s’est penchée sur moi. Elle souriait, mais son sourire n’avait plus rien à voir avec celui qu’elle arborait au lycée. Il y avait dans ce sourire le triomphe d’une femme qui aime le sexe, et qui se trouve dans une situation où elle peut profiter de son hobby favori.

Je me suis rendu compte qu’elle avait de l’expérience à la manière dont elle a déchiré l’enveloppe du préservatif, extrait celui-ci, tout gluant, de l’emballage, puis a fait quelque chose qu’aucune de mes copines n’avait fait dans le passé. J’avais déjà vu ça dans des films pornos, et je n’imaginais pas qu’Alice puisse reproduire ce comportement. S’inspirait-elle de pornos pour ses activités sexuelles ? Je me disais, depuis que je la connaissais mieux, que tout était possible.

Elle s’est collé la capote contre les dents, et elle s’est accroupie devant moi. Elle s’est penchée sur ma queue, et avec une habileté et une rapidité qui ont fait que j’ai ensuite repassé au ralenti les images que j’avais dans la tête pour revoir tout, comprendre, mais aussi en tirer de l’excitation, elle a collé la capote sur mon gland dilaté, puis, elle appuyé ses dents sur les bords et elle a fait descendre le plastique, en un seul mouvement, lent mais solide, le long de mon sexe, jusqu’à ce que le bord de la capote, déroulée, touche quasiment la base de ma queue. Elle a examiné son œuvre, a eu un petit rire satisfait, puis s’est redressée. Debout devant moi, elle a passé ses mains dans son dos, a tiré sur la fermeture éclair qui maintenait sa robe, puis, croisant ses mains et les posant sur ses épaules, elle a descendu sa robe, exauçant mon souhait…J’avais envie de voir sa poitrine. Ses seins étaient lourds et fermes, et ils ne devaient apparemment rien à la chirurgie. Je me suis maudit intérieurement de n’avoir pas su deviner tout ce que cachaient ses tenues d’enseignante. D’être passé à côté de ça…Je m’étais fait la réflexion, quelques années plus tôt, avec une de mes amies qui, de son propre aveu, s’habillait toujours avec des tenues peu valorisantes, mais qui m’avait montré, quand elle s’était dénudée devant moi pour la première fois, que c’était peut-être plus agréable de découvrir des charmes cachés mais bien réels, que de voir une fille déjà à moitié dénudée dans la vie de tous les jours, et de ne pas avoir grand-chose de plus à révéler en la déshabillant. Alice était dans ce cas…

Il ne lui restait plus que ses bottes et ses bas. Elle s’est laissée tomber sur le canapé et s’est calée à quatre pattes. Ainsi, elle était irrésistible. Elle l’a été encore plus quand elle a tourné la tête vers moi, et que son expression a suffi pour qu’elle me dise, sans une parole ‘Viens sur moi et prends moi comme tu veux…’ Comment résister… J’en avais trop envie. J’ai posé mes mains sur ses hanches, brûlantes, et je me suis approché. J’ai aimé ce geste qu’elle a eu, d’attraper ma queue pour la guider vers ses lèvres. J’ai donné un coup de reins, mais j’ai dérapé, et elle a récupéré mon membre contre son aine pour venir le loger à l’entrée de son vagin. Cette fois c’est rentré tout seul. J’ai glissé en elle jusqu’à être dedans tout entier, et que mon gland tape contre son utérus. Elle a gémi pendant ce mouvement. Je suis resté immobile, m’enivrant de cette sensation extraordinaire de la sentir autour de moi, plus que chaude, brulante.

J’y suis d’abord allé très lentement, et on s’est enivrés l’un comme l’autre des sensations. Je ne me souvenais pas que ça ait été aussi bon d’être dans le ventre d’une femme. Elle gémissait sans honte, et ça démultipliait mon excitation. Je m’efforçais de me maitriser, pour ne pas jouir trop vite. Elle était tellement excitée que je sentais le ruissellement de ses sécrétions vaginales autour de ma queue.

Il y a eu un tournant, je bougeais en elle, le regard dans la vague, et puis soudain, je l’ai aperçu. Il était sorti du couloir, et se tenait un peu en avant, à moitié dans l’ombre, à moitié dans l’obscurité. Pensait-il ne pas être vu, ou bien s’en fichait-il ? Il avait à peu près le même âge qu’Alice, grand, bien baraqué, il faisait apparemment du body-building. Il avait son sexe à la main, et il se masturbait, apparemment excité par le spectacle qu’on lui offrait, et je l’aurais été tout autant. Sa main allait et venait frénétiquement sur un membre aussi long que dilaté.

Elle ne pouvait ne pas le voir. S’était-il  avancé justement pour cela, pour qu’elle puisse l’apercevoir, était-il partie intégrale de sa jouissance ? J’ai pensé que oui, et que ce n’était pas uniquement mon sexe qui bougeait en elle de manière de plus en plus frénétique qui a déclenché sa jouissance car, quelques secondes après qu’il soit apparu, j’ai senti monter en elle son premier orgasme. Elle s’est tendue et tout son corps a amorcé une série d’orgasmes qui l’ont faite se tordre, crier…J’ai moi aussi totalement perdu pied. Je me souviens juste que la jouissance m’a emporté, finalement, qu’elle a explosé en moi et que j’avais rarement joui aussi fort, et aussi que l’image qui m’est restée ça a été celle de son mari jouissant, son sperme partant par traits dans les airs.

J’avais déjà eu pas mal de fiancées, mais elle m’a donné ce jour-là, pour la première fois à comprendre à quel point ça pouvait être bon quand un homme et une femme étaient  vraiment en harmonie et jouissaient ensemble, et non pas l’un et l’autre. Quand les chairs se fondaient pour ne plus faire qu’une entité.

A vrai dire, on avait été plus que deux.

J’ai baissé les yeux un instant, quand je les ai redressés, il avait disparu.

Je me suis rendu compte, je ne devais peut-être pas me sentir très fier de cela, que j’avais aimé ce moment, autant pour ce que j’avais vécu avec elle que pour cette apparition d’un fantôme qui  s’était mêlé à notre jouissance.

Notre envie de sexe et de l’autre n’était pas apaisée, loin de là. Ma queue, bien que j’aie joui, n’avait pas débandé. Elle m’a pris dans sa bouche pour une longue fellation, avant de  me faire venir de nouveau en elle, dans une position différente.

On s’est lavés et rhabillés en fin d’après-midi. Je n’avais plus aperçu son mari. Etait-il quelque part à nous regarder ou bien était-il parti ailleurs, sa jouissance assouvie ? J’ai plutôt penché pour la deuxième solution, car, alors qu’on partageait un gouter, il est arrivé, les bras chargés de commissions.

Elle me l’a présenté. J’ai trouvé drôle de faire comme si absolument rien ne s’était passé, et que je le rencontrais pour la première fois. On a passé la soirée à discuter, avant de diner, et je les ai quittés sur le coup de minuit.

Sur le pas de la porte, elle a attrapé ma main et l’a plaquée contre son sexe. J’ai eu la sensation de son mont de Vénus, de ses lèvres sorties d’elle, et j’ai de nouveau été plein de désir.

-Vendredi après-midi prochain, je ne travaille pas, toi non plus me semble-t-il, tu peux passer vers une heure, si tu as envie.

J’avais envie, en tout cas mon sexe, de nouveau dur comme de la pierre malgré cet après-midi torride avait lui très envie.

Le lundi, on s’est retrouvés au lycée dans la salle des profs. Elle était fidèle à elle-même, sans maquillage, pantalon informe, large pull. Elle a chastement posé un baiser mou sur ma joue.

— Il faut qu’on travaille sur le devoir commun.

Je me suis même un instant demandé si ce qui s’était passé le samedi avait réellement eu lieu.

Mrs Hyde avait disparu. Il ne restait que le Docteur Jekyll.

Il me tardait d’être au vendredi pour la retrouver.

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  1. richard 3 le à
    richard 3

    Une belle écriture …
    Vivement vendredi prochain !
    ???

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