Depuis 2 semaines nous prenions la route dans l’espoir de faire la rencontre d’un(e) autostoppeur(euse). Un ancien amant de ma femme nous avait renseigné quelques endroits où, avait-il dit, il y en avait régulièrement.
Nous commencions à le mettre en doute mais avions décidé de tenter le coup une dernière fois.
CE FUT LA BONNE !
Il était aux environs de 22h45 lorsque nous l’avons aperçu. Il était seul, semblant attendre le bus dans cet endroit presque désert.
Je me suis arrêté à sa hauteur et, sa vitre descendue, ma copine lui a demandé où il allait et s’il désirait que nous le chargions. Il devait avoir la petite soixantaine, pas grand et un peu rond (ce qui correspond exactement au goût de ma petite salope).
Tandis qu’il prenait place à l’arrière ma copine défit les deux derniers boutons de son chemisier qui s’ouvrit totalement. Dessous elle ne portait rien, mais d’où il était l’homme ne pouvait rien voir.
Une conversation s’engagea et, comme on le fait chaque fois, ma petite pute faisait semblant de ne pas bien comprendre ce que l’homme disait.
Nous avons roulé quelques instants de cette façon puis ma main droite s’en est allée caresser les jolis globes offerts.
Le passager arrière ne pouvait ignorer mes gestes, d’autant que ma salope poussait de petits gémissements.
Il ne disait plus rien, semblant gêné.
Alors, de façon innocente, je lui ai demandé s’il trouvait ma copine jolie et ce qu’il pensait de ses seins.
Il détacha sa ceinture et se rapprocha. Là il me dit qu’elle était magnifique et que sa petite poitrine paraissait vraiment ferme en ajoutant que beaucoup de filles de son âge n’avait déjà plus cette chance.
Alors je lui ai proposé de palper, caresser, afin de lui prouver que c’est du 100% naturel.
Petit moment d’hésitation puis il se décida et passa ses deux mains au-dessus des épaules de Joëlle, il pétrissait, malaxait, pinçait les tétons et les étirait.
Comme d’habitude j’ai roulé pendant une petite dizaine de minutes pendant qu’il s’amusait de cette manière, pour nous ce sont des préliminaires que nous adorons fortement.
Ensuite je me suis arrêté sur le bas-côté en lui disant que Joëlle allait le rejoindre à l’arrière de la voiture. Pendant qu’elle s’y rendait j’ai demandé à l’homme s’il était d’accord que je me rende sur l’autoroute et que j’allume le plafonnier arrière pendant qu’ils s’amuseraient ensemble, tout en l’assurant que je le conduirai où il souhaite par après.
Ma copine près de lui, j’ai redémarré et ai pris la direction de l’autoroute qui se situait à moins de 5 minutes.
Je n’y étais pas encore qu’elle était déjà nue et en train de le sucer !
Vous vous demandez peut-être pourquoi nous prenons l’autoroute dans ces situations là, tout simplement pour titiller les chauffeurs de poids lourds à côté desquels je roule pour qu’ils « profitent » de la vue.
Mon rétroviseur bien placé me permettait de tout (ou presque) voir de ce qui se passait à l’arrière. Ma petite putain était en furie, empalée sur notre passager elle se démenait comme une tigresse. Je devinais leurs langues se mélanger et de petites gouttes se répandaient dans mon boxer.
Elle se dégagea de l’homme et lui demanda d’ouvrir sa vitre. Cela fait elle s’allongea sur le siège, l’avant de ses jambes pendant à l’extérieur (on sait, c’est dangereux). L’homme, en se contorsionnant, arriva à la pénétrer et entreprit une cavalcade déchainée.
À cet instant je dépassai un camion et roulai à la même allure que lui alors que l’arrière de ma voiture était à la hauteur de sa cabine. Le routier apprécia le spectacle et le fit savoir en donnant de grands coups de klaxon.
Je ne pus rester longtemps, la circulation était intense malgré l’heure tardive.
J’ai encore roulé quelques minutes pendant lesquelles ma salope criait et gémissait à tout rompre. Elle était à genoux sur le siège et le gars la sodomisait d’un bel entrain.
Sentant que la fin devait être proche, j’ai accéléré afin de vite me rendre sur une aire d’autoroute car je voulais avoir ma part.
ET JE L’AI EUE !
J’étais à peine descendu de la voiture quand l’homme a poussé un grand soupir de satisfaction. Je l’ai laissé bien se vider puis lui ai demandé de me céder la place. Et oui, j’aime pénétrer ma salope quand elle est pleine du foutre d’un autre.
Excité comme je l’étais il ne m’a pas fallu longtemps pour éjaculer.
Comme toujours, j’ai approché ma bouche de son orifice anal et ai avalé tout le contenu baveux qui en sortait, le mien et celui de son partenaire d’un soir.
Nous avons ensuite reconduit l’homme puis sommes rentrés chez nous où nous avons remis le couvert.
Ah, qu’on aime ces sorties !
CETTE HISTOIRE VOUS A PLU ? N’OUBLIEZ PAS DE LA COMMENTER ET DE LA PARTAGER !
Vous êtes auteur ? Voici quelques conseils pour écrire les vôtres : https://blog.meshistoiresporno.com/2020/08/23/meshistoiresporno-mode-demploi-et-nouvelle-formule/
Bonjour, j’ai eu le bonheur de réaliser quasiment le même scénario avec ma femme et une jeune femme qui venait d’avoir un petit accident de la circulation. Un chauffard avait failli la renverser en souhaitant traverser à un passage protégé.
Ma femme une jolie brune de 35 ans aimait sortir sans culotte mais avec des bas et des porte-jarretelles. Sans savoir que nous allions rencontrer quelqu’un elle, comme à l’habitude relevé sa jupe droite et se caressait délicatement.
Soudain une jeune femme nous fit signe de stopper. Elle se rapprocha de la vitre passager et Josy baissa la vitre. La jeune femme ne manqua pas de voir ce qu’il se passait et fit un sourire.
Elle nous demanda de la ramener chez elle.
Josy lui demanda de monter à l’arrière ce qu’elle fit avec plaisir. Elle s’appelait Arlette mais on l’appelait Lolette. Une jeune femme dans nos ages et assez ronde, de père malgache de grande famille.
Nous prîmes la route tout en discutant de chose et d’autre. Josy me regarda et me fit comprendre que nous qu’elle allait l’entreprendre. Elle déboutonna son cardigan et laissa apparaître ses seins magnifiques mais pas totalement.
Je réglais le rétroviseur intérieur afin de voir celle qui nous accompagnait.
Elle portait un chemisier assez serré qui laissait deviner une absence de soutien-gorge et masquait des formes généreuses et des tétons particulièrement tendus.
Je lui fis un sourire pendant que ma femme prenait son joujou miniature dans son sac.
Lolette mit son index en travers des lèvres me faisant signe de ne rien dire.
A partir de ce moment mon attention au volant rencontra beaucoup de difficultés.
Dans le rétro je vis Lolette remonter sa jupe, se contortionner pour ôter sa culotte, déboutoller 2 boutons de son corsage et attendre ma réaction.
Pendant ce temps là Josy avait approché le joujou d ses grandes lèvres quand elle rejeta sa t^te en arrière et allongea totalement ses jambes à l’avant de la DS 23 qui autorise beaucoup de places.
Les joues de Josy s’empourpraient délicatement quand je tendis la main droite vers ses seins que j’effleurais légèrement. Josy commença à se cabrer ce qui fit bouger le dossier de son siège.
Lolette se rapprocha du passage entre les 2 sièges avant et découvrit Josy en train de commencer à jouir.
On entendait la vibration du joujou qui allait et venait dans le vagin de Josy, son souffle un peu saccadé et ses grands yeux marron sombre.
Lolette donnait des signes d’impatience et se caressa également.
Tout à coup Lolette se redressa et se plaça entre les deux sièges avant et plaça ses deux mais sur les seins de Josy. Je ne voyais plus que 2 corps enlacés et parcourus de plaintes de gorge.
De mon coté, je bandais depuis un bon moment et l’éjaculation ne devait pas être loin.
Nous nous sommes rapprochés de son domicile et avons passé la soirée ensemble pour un fabuleux triolisme.
Nous avons noué une relation durable à Nogent sur Marne sur laquelle je reviendrai plus tard
N’hésitez pas à développer cette histoire et à la poster sur le site ! ^^
Novice dans la lecture coquine, cette histoire m’a beaucoup excitée…
je suis fan de candaulisme.
je me suis régalé.
Bravo