De mon headphone, j’entendis sa voix feutrée s’inquiéter de savoir où j’étais, juste au moment où je garais ma Dodge couleur bordeaux.
« Juste au pied de ton immeuble, fifille », répondis-je en franchissant la guérite menant à l’escalier excentré côté gauche de ce parking en rez-de-chaussée, l’un très rare à exister dans un immeuble du quartier Palmeraie.
Je finissais à peine la dernière marche de l’escalier que je vis sa fine silhouette dans la pénombre, campée sur ses jolies jambes dans une posture cambrée de mannequin à jupette.
Elle ne me laissa aucun instant de répit, me tirant vers le mini-balcon de ce petit studio du premier étage à l’abri de tout regard indiscret, me susurrant à l’oreille, la langue presque dans mon lobe, « J’ai envie que tu me défonces, là et maintenant, de la plus belle de tes manières, en enfonçant en moi ton ogive chaude jusqu’à sentir mon petit bourgeon dressé frotter tes duvets pubiens ».
J’étais en extase. Quelle invite et quel culot, cette pépite ! Là, à son petit balcon. J’avais déjà visualisé la scène et sans m’en rendre compte, je la jouais. La plaquant dos au mur, debout, je relève sa jupette et sa jambe droite la faisant enserrer mes fesses libérées de mon jean descendu par elle machinalement, je laisse ma queue chaude, durcie au contact de ses mains glacées, flirter avec l’entrée de sa petite fente toute mouillée pour s’y maintenir enfoncée, d’abord, pour mieux la défoncer, pour mieux faire son souhait. Interdit de gémir. On est au balcon.
En elle, je vais, je viens, m’enfonçant de manières diverses dans son petit con. Mon dard chaud, lentement et en rectiligne, glisse en son entrejambe, frottant tantôt latéralement ses parois vaginales effleurant avant ses petites levrettes.
En douceur, je fais tourner ma queue tout au fond d’elle, la défonçant comme exigé, Quel plaisir que de faire jouir étant interdit de manifester le moindre plaisir.
« Hummmmm, je n’en plus. Je vais gémir, je m’en fous de tout », criait-elle en silence. « J’ai trop rêvé de cet instant, de jour comme de nuit. Baise-moi. Baise-moi. Défonce-moi ».
La satisfaisant, je senti le petit bourgeon de son clito durcir et plus mes doux duvets le caressait, mieux elle jouissait, toujours muette.
En elle, n’en pouvant plus, je la porte à l’intérieur du beau petit studio, l’envie de l’entendre manifester son plaisir étant trop forte désormais.
Tendrement, je pose ses douces fesses sur le pouf. Ce beau pouf marocain, dès le premier jour, j’avais fait attention à cet outil érotique ignoré de beaucoup.
De son majeur, elle caresse sa petite fente toute mouillée d’excitation. Bourrée de talents sexuels, de ses deux mains, elle ramène ses belles cuisses cacao contre sa poitrine ferme de jeune vierge, se pliant en deux, les genoux presqu’au menton, offrant comme une papaye fendue sa chatte aux pénétrations douces et lentes de ma bite.
Au bout de l’explosion, je retire mon engin, le tenant comme une cravache, la frottant d’abord contre ses lèvres, leurs donnant de petits coups de baguettes.
Je ne tiens plus et elle non plus.
La petite vicieuse, me sentant au bout de l’explosion éjaculatoire, profite pour introduire ses petits doigts entre nos corps, se met à triturer mes testicules avant de feuilleter son clitoris bien dressé. Un frisson vulcanien traverse tout mon corps quand je jouis profondément et intensément en elle.
Elle s’essouffle à gémir quand je me mets à labourer langoureusement de ma langue sa fontaine mouillée, dévorant chaque centimètres de son kiki, suçant et aspirant son clitoris, introduisant ma langue chaude en sa fente rosée mouiller avant de lécher en pinceau sa belle fleur de lotus.
Elle frissonne à nouveau, tout le corps couvert de chair de poule. Je crois à l’effet de mes coups de langues. Mais, elle vient de surprendre la voisine qui nous épiait à travers le rideau de la fenêtre ouverte comme sa chatte. Quel plaisir !…