Les dernières images de l’accident que je garde en mémoire sont celles de nos corps, à Steve et à moi, valdinguant dans la cage d’acier avant d’être éjectés à dix mètres de là, sur le tarmac de la route. Nous n’étions pas vernis, c’est sûr !
Pourtant, tout avait bien commencé. Nous avions convenu d’un après-midi entre mecs pour fêter la demande en mariage que je venais de présenter à Jessica. Ma belle, ravie, avait accepté. Il faut dire que je lui avais fait le grand jeu : soirée champagne, Lido de Paris et, comme il se doit, bague de fiançailles. Steve n’est pas son père, mais c’est tout comme ; il est avec la mère de Jess depuis belle lurette. Il est en quelque sorte notre beau-père à tous les deux. À 38 ans, il joue aussi pour moi le rôle de grand frère ; j’en ai 23 et on s’entend vraiment très bien.
Ma fiancée est magnifique, aussi blonde aux yeux bleus que Cathy, sa mère, est brune aux mirettes marron. Le week-end, Jess et moi nous sillonnons à moto les routes du département, avides de liberté et amoureux comme au début.
— Ce fameux jour de l’accident, Steve m’avait lancé :
— Viens, on passe d’abord chez Enzo Motos. Il vient de recevoir la dernière Kawa. Ensuite, on ira s’en jeter un.
C’était sans compter une camionnette folle, venue de nulle part nous percuter et changer nos vies. Depuis, nous gisons, Steve et moi, sur un lit d’hôpital. Bras cassés et plâtrés. Têtes enturbannées, les yeux au beurre noir, la mine déconfite et le moral dans les chaussettes. De vraies gueules cassées qui n’arrivent même plus à articuler et que l’on nourrit à la paille. Et ne parlons pas des centaines et des centaines de petits cailloux incrustés dans nos corps qu’une infirmière viendra patiemment extraire un à un.
Au moins, sommes-nous tous les deux installés dans la même chambre, je dirai en famille. Jess et sa mère n’ont donc pas à aller bien loin pour nous voir. Chacune le sien, moi à gauche de l’entrée, Steve à droite.
Comme à des prisonniers, la mère et la fille nous apportent des fruits (que nous ne pouvons pas consommer), des revues (que nous ne pouvons pas tenir) et surtout des nouvelles de nos amis (ce qui nous énerve un peu !) ; c’est qu’il n’y a pas grand-chose à faire voyez-vous. Elles s’installent sur nos lits et nous disent combien nous leur manquons.
— C’est vraiment pas de chance.
— Mmmh !
— Ça va ? Tu n’as pas trop mal ?
— Chi, mmmh !
— Mon pauvre. Tu sais, je rêve sans cesse de toi. Tu me manques grav’.
Puis, tournant la tête à gauche et à droite pour voir si elle peut parler :
— Depuis ta demande en mariage, je fais plein de rêves… de rêves… Tu sais ?
— Mh ?
— Oui : érotiques. C’est chaud. J’ai trop envie de toi.
Afin d’accompagner ses paroles, sa main passe sous le drap et saisit ma bite qui enfle de plaisir dans sa main.
— Mmmh !
— Je vois que t’aimes ça. J’peux pas trop ; y’a maman et Steve tout à côté.
— Pfff !
— Écoute, ça te dirait que je vienne cette nuit te retrouver ? L’infirmière est une amie de maman ; elle ne dira rien.
Vaillamment, je lève le pouce pour lui montrer que j’apprécie sa proposition. Jess en est tout heureuse. « Super ! À cette nuit. Mais chut ! Pas un mot ! Je t’aime. By ! »
Re-pouce en l’air pour lui confirmer mon impatience ; j’observe ma fiancée partir et je me dis que j’ai vraiment du bol d’être aimé, surtout aujourd’hui, avec si peu à offrir.
Cathy, elle, est toujours aux côtés de Steve. Ils papotent tranquillement. De temps à autre, ils m’observent à la va-vite ce qui me laisse un sentiment étrange d’être de trop. Qu’importe, je pense à ma nana et je me dis : « Putain, quel cul ! Une suceuse de première. » Je sais que ça n’a rien d’original, mais comme garçon je ne vole pas très haut, je suis assez basique. Que voulez-vous ? J’ambitionne simplement de fonder une petite famille et d’être heureux. Mes plaisirs sont les ballades à moto, le foot à la télé et mes parties de jambes en l’air avec Jess ! Il faut avouer que ma fiancée a de qui tenir. Je regarde ma belle-mère tenir amoureusement la main de son homme. Lui aussi a de la chance. Cette femme est magnifique, svelte, certes, et dotée d’une paire de nichons à rendre jalouse toute femme normalement constituée. Ça doit être un super bon coup. Je prends soudain conscience de mes pensées et me dis que je ferais mieux de changer de sujet. Mais l’ennui sans cesse me pousse à revenir sur le couple. La main gauche de Cathy file sous le drap blanc d’hôpital et j’imagine très bien à quoi elle se consacre soudain. Je rougis et dévie le regard sur la reproduction d’une peinture à bas prix, une sorte de pot de fleurs garni de trois marguerites. Je fais bien sans doute. Cathy, me croyant assoupi, passe la tête sous le drap et s’en va pomper la queue de son compagnon. Je n’en reviens toujours pas : Madame Ickx en train de… de… non, je n’en reviens toujours pas. Je sais, il faut être jeune, et je le suis, mais enfin c’est extrêmement embarrassant. En plus, je bande et j’espère que ma bite gonflée ne se verra pas trop sous la mince literie. Cathy cesse enfin sa fellation, de peur sans doute d’aller trop loin et laisse le pauvre Steve sur sa faim. Elle se lève, lui donne deux petites tapes au niveau de son entre-jambes, lui dit : « On voit ça tout à l’heure ! » et quitte la chambre. Bien entendu, à son passage j’ai fermé les yeux ; je n’aurais pas voulu l’embarrasser du genre : « Ha ! J’ai tout vu, t’es une sacrée salope, t’as pas l’air, mais t’es une vraie chaudasse ! » Nous parlons de ma belle-mère quand même. Ouf ! L’honneur est, en quelque sorte, sauf. Après cette péripétie, je peux reprendre ma réflexion sur Jess, ma chérie, et l’immense joie d’avoir pu capter son amour. Sauf que la vision de la tête de Cathy, allant et venant sur la queue de mon beau-père me hante. Je la vois encore, le samedi soir lorsque je viens chercher sa fille pour aller au ciné, me proposer de m’asseoir et de prendre un Coca. Qui croirait ?
— Mmmh ! Mmmh ! me lance, désespéré, Steve.
J’imagine très bien sa frustration de n’avoir pas joui dans la bouche de sa femme. J’imagine aussi et surtout sa peur que je les aie surpris. Je réponds :
— Mmmh ! Et je lève un index vers le ciel ; ce qui ne veut strictement rien dire, mais me donne l’avantage d’avoir un semblant de contenance. Pas terrible comme langage corporel.
Finalement, nous laissons tomber le sujet et la journée peut continuer, morne et ennuyeuse.
Par bonheur, le médecin ayant réclamé de nouveaux examens, deux infirmières viennent nous chercher pour nous conduire à la radio. Ça nous fait une distraction. Nos lits encombrent les couloirs, nous prenons l’ascenseur, rencontrons des inconnus qui nous dévisagent et rigolent bien de notre posture. C’est affreux, je tiens uniquement à l’idée de Jess qui m’a promis de venir me retrouver la nuit dans notre chambre. La seule partie de mon corps en libre accès reste ma bite, ma troisième jambe. Quelle angoisse, pourvu qu’elle vienne !
Les tests terminés, on nous range dans notre chambre à la va-vite, comme d’habitude. Hélas, les infirmières ont interverti nos places et j’ai peur de perdre ma montre désormais sur la table de nuit de Steve. Qu’importe ! Qu’est-ce que cela peut-il bien faire ?
Notre déprime diminuera un peu en soirée. Regarder la télé nous aide à faire passer le temps. Seule ombre au tableau, Steve a uriné dans son lit obligeant une aide-soignante à venir le laver et remplacer ses draps. La pauvre femme, excédée, nous laisse le paravent et je n’ai même plus le plaisir de voir mon compagnon de chambre. Quelle galère, décidément. Dépité, je m’endors.
Enfin vient la nuit. À l’hôpital, même si la lumière de la chambre est éteinte, il y a toujours bien assez de clarté pour y distinguer quelque chose. Certes, avec peine. Assez en tout cas pour voir la porte s’ouvrir et une forme s’approcher. Mon cœur bat à tout rompre. Jessica, enfin, venant me retrouver. Je rêvais d’elle et la voici soudain, amoureuse et chaude, prête à expérimenter son fantasme. J’ai la queue en érection et, bien que quasi noyé dans le plâtre, je m’apprête à une partie de baise amusante. « Viens petite ! Viens voir ton homme ! » Mais hélas, au lieu de se diriger vers moi, elle prend à gauche là où j’étais avant les examens radiologiques et où maintenant Steve dort… ou pas…
J’essaie bien de l’appeler : « Mmmh ! Mmmh ! Mais rien n’y fait ; elle s’engouffre d’emblée vers le lit de son beau-père.
Je m’agite, je voudrais renverser la table, crier, hurler ma peur, mais c’est sans effet. J’imagine qu’elle va bientôt se rendre compte de son erreur ; j’attends, mais il me faut me rendre à l’évidence : Jess n’y voit rien. Je l’entends dire :
— Mh ! Je vais te donner du plaisir mon petit coco. Mh, tu as une grosse bite ce soir et elle goute le propre, petit cochon. Tu t’es fait laver le pieu par une blouse blanche ? T’as aimé ça ? Pense que je suis une petite infirmière un peu pute qui lave les triques de ses malades avec sa langue.
— Mmmh !
Steve, réveillé sans doute, doit s’étonner. Tout comme moi, il doit saisir la méprise de Jessica et en être catastrophé. Mais pourquoi bande-t-il alors ?
— Putain, t’en as une grosse. J‘te fais de l’effet, je sens bien.
— Mmmh ! Mmmh !
— Chut ! Faut pas réveiller mon beau-père qui dort dans le lit à côté. Attends, je la veux en gorge profonde, j’ai trop besoin de l’avaler.
Puis, plus rien que des flocs, flocs, flocs révélateurs.
Dans mon souvenir cauchemardesque, des larmes me montent aux yeux ; je suis désespéré. Paralysé, je n’ai d’autre choix que d’accepter et me contrôler afin de ne pas mourir d’une attaque.
— Attends, je te monte.
C’est explicite. En deux secondes, Jess escalade la bite de Steve et se met à coulisser sur l’engin. De ma place, je vois d’ailleurs sa tête passer au-dessus du claustra et sautiller joyeusement. La méprise est totale. Jess se démène et se donne avec une énergie folle. Je préférerais être sourd que de l’entendre jouir comme une chienne.
— Encore mon chéri ! Encore ! Tu me rends folle, tu me fais jouir comme une traînée. Je ne sais pas ce que tu as mangé aujourd’hui, mais tu me la mets profond.
Et moi, je meurs de honte. Ce qui est étrange c’est que la scène m’excite aussi. Ma verge est droite comme un oléoduc, je sens la sève monter en mayonnaise ; ça me rend dingue.
Comment est-il possible de kiffer voir sa copine jouir sur un autre que soi ? J’en frémis. Je voudrais me branler, mais les plâtres me l’interdisent. Putain d’accident. Je pense à Steve qui lui aussi est paralysé, le salaud ; il la saute pourtant bien ma nana. Je me dis : « Il sera sans doute gêné plus tard de la situation. Peut-être n’osera-t-il plus jamais me regarder en face. L’horreur ! »
Jessica semble enfin rassasiée de tous ses orgasmes. Je me doute qu’elle replace la queue de Steve sous le drap et lui envoie un baiser du plat de la main. Bientôt, la porte s’ouvre pour laisser son ombre disparaître dans l’entrebâillement. Quelle nuit !
Ma tête va sans doute exploser tant mes pensées sont contradictoires. Je tiens à me calmer quand, tout à coup, la porte de la chambre s’ouvre à nouveau. J’imagine que Jess a dû oublier quelque chose ou qu’elle a été prise d’un doute et, qu’effrayée, elle veut se rendre compte d’une éventuelle erreur. Mais non, à présent, c’est la voix féminine de Cathy, ma belle-mère qui me souffle à l’oreille :
— J’ai failli m’écrouler. J’ai vu passer Jess dans le couloir et je n’ai eu que le temps de me cacher. Heureusement, elle ne m’a pas repérée. Elle est certainement venue baiser son copain. Hihihi ! On est les mêmes finalement. De vraies petites putes en manque d’une grosse queue bien raide. Ouh ! Mais, c’est un petit oiseau aujourd’hui que je tiens dans la main. Attends, je vais le faire grandir.
— Mmmh !
— Oui, je sais, tu aimes ça ! Tout à l’heure, j’ai rêvé que tu me prenais en double avec le voisin, comme la dernière fois. Tu te rappelles ? Qu’est-ce que j’ai aimé ça !
— Mmmh !
— Dis donc, t’as la peau de bite toute douce. Tu sens le bout de ma langue sur ton gland ?
Évidemment ! J’aime ça ! D’autant plus que c’est nettement mieux qu’avec Jessica.
Fine stratège, elle commence timidement, puis s’ingénie à me pomper le zob avec l’assurance de ses 38 ans. Un brin coupable, je pense à Steve ; mais si peu… Très vite, j’en oublie jusqu’à l’existence. Après tout, il a bien baisé ma fiancée ; et ça n’a pas eu l’air de le gêner… Œil pour œil…
— Tu ne me vois pas, mais je me caresse les nichons. Tiens, je vais te faire une cravate de notaire.
Une cravate ? Je n’en ai jamais porté moi, de cravate ; mais sur le coup, quel plaisir de sentir mon andouillette balloter entre ses nichons. À chaque montée, Cathy en profite pour accompagner le mouvement d’un coup de langue magique sur mon gland. Elle a également le don de me presser les couilles entre ses globes charnus. Un savoir-faire dû au nombre des années.
— J’vais te monter cochon, ne jouis pas trop vite.
— Mmmh, fis-je pitoyable.
Et la voici maintenant qui va et vient sur mon mât. Contrairement à sa fille, son vagin est ample, de vraies lèvres de pleine chair, un océan de plaisir ; ma maîtresse coule comme le Titanic et c’est bon.
Je faillis jouir à plusieurs reprises, mais elle a le don d’arrêter sa course afin de me laisser reprendre mon souffle. Ensuite, elle alterne les mouvements de haut en bas et d’avant en arrière. Cette femme est une mangeuse d’hommes.
— Tu me rends folle. Tu me parais plus souple que d’habitude, c’est comme un renouveau. J’adore ! Vivement que tu puisses me la mettre par-derrière. J’ai une idée. Je vais venir sur toi en te tournant le dos. Tu vas m’enculer ; j’ai amené mon jouet fétiche. Comme ça, je serai prise en double, pareil qu’avec Karl, le voisin. Vous êtes quand même de fameux vicieux. Je vous vois encore vous branler quand Charlène et moi nous vous faisons notre show. Ça t’excite, n’est-ce pas ? de me voir faire l’amour à une femme.
— Mmmh !
Moi, je n’en peux plus. Je la baise comme une salope, d’autant plus que, d’après ses confidences, elle et Steve ont une vie sexuelle des plus débridées. Cathy prend sa position, s’écarte les fesses et m’introduit la bite dans son cul. Elle coule tellement que son liquide intime lubrifie son anus et que je n’ai aucun mal à l’enculer. C’est ma première fois !
— Mmmh ! Mmmh !
— Prends ton pied, c’est trop bon.
À bout de force, je jouis dans ses entrailles avec un plaisir énorme. Du sperme lui sort du cul qui se mélange à ses fluides. J’ai l’impression que mes couilles se sont contractées au maximum pour avoir la capacité d’envoyer autant de foutre. Pendant plusieurs jours j’en garderai une sorte de crampe, un témoignage fort de cette péripétie au cas où je douterais.
— Attends, tu as bien joui, à mon tour maintenant. Je vais me branler la chatte sur toi comme ça tu garderas un souvenir de ta Cathy salope.
— Mmmh !
— Oui, ha ! Ha ! Haaaaa !!! Qu’est-ce que c’est bon !
Je savais qu’il existait des femmes fontaines, mais c’est la première fois qu’une amazone pareille prend son orgasme sur moi. Je suis impressionné. C’est décoiffant. Que vais-je devenir moi, maintenant ? Cathy se rhabille déjà, m’abandonne nu, le corps rempli de sa cyprine. Que pensera l’infirmière du matin, arrivant tambour battant et me découvrant dans un tel appareil ?
Qu’importe. Je n’en ai rien à fiche ; je viens de vivre une expérience formidable et pour rien au monde je n’aurai de remords.
Après cette nuit, Steve et moi sommes restons ballots. Deux espèces de nigauds en proie à mille questions. Depuis cette histoire, Jessica est tombée enceinte, tout comme sa maman. Par soucis d’économie, nous vivons les quatre ensemble. Bizarrement, il m’arrive le soir de me sentir sans force ni volonté. Je rêve alors que Cathy et Jess nous échangent, Steve et moi. Je baise Cathy à sa demande comme une vraie pute. Dans mon songe, elle adore que je sois vulgaire et que je la traite comme une marie-salope. Au petit matin, je me réveille avec un mal de crâne terrible, ne sachant différencier réalité et fiction. L’impression est tellement intense.
— Et voilà, cher Docteur, la raison pour laquelle je désire consulter. Vais-je guérir de ce stress ? Je n’y arrive plus ; voilà que je fantasme sur ma belle-mère. C’est horrible. Que va penser Jessica ? Elle finira par m’en vouloir assurément. Même si, pour l’instant, elle semble baigner dans le bonheur.
— Mmmh !
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