Face-à-face avec une Milf partie 1

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alex condamines


exhibition et voyeurismeMILF


Elle est arrivée un dimanche après-midi. Je m’en souviens parfaitement parce que j’étais calé devant mon ordinateur. Je regardais du porno en me masturbant. J’avais choisi ma catégorie favorite : les MILF. J’aimais les femmes d’un certain âge, à qui le temps, s’il leur avait supprimé toute fraîcheur, avait donné une sensualité qu’elles n’auraient pas eu vingt ou trente ans plus tôt. Je ne me doutais pas que j’allais en avoir une sous les yeux d’ici quelques secondes. Et une MILF de qualité. Qui aurait pu figurer sans mal dans de telles vidéos…Et pas seulement pour sa silhouette…Mais aussi pour ce qu’elle a fait. Premier d’une très longue série d’actes qui n’auraient pas déparé les bandes les plus hard.

J’habite en province, un petit village dont l’une des particularités, en est-ce vraiment une, est qu’il est composé sur son axe principal, traversé par une départementale, Il y a quinze maisons d’un côté, quinze maisons de l’autre, en vis-à-vis, le reste du village, vraiment pas immense, se concentre derrière ces deux lignes. Et ce qui était curieux, sans doute parce que le village était dans une courbe, pas vraiment marquée, mais une courbe quand même, c’était qu’à un bout de la ligne, on pouvait voir toutes les maisons, et vice-versa.

C’est comme ça, alors que j’avais ma queue dans la main, que j’étais pas très loin de l’orgasme, et que je regardais sur l’écran une quinquagénaire dont les seins n’étaient certainement pas d’origine, et le visage refait, mais curieusement, ça me plaisait plus que si toutes ses parties avaient été d’origine, une blonde avec des seins énormes, juste vêtue d’un corset, qui s’activait sur deux queues qui lui étaient offertes par deux gars plus jeunes, que je l’ai vue arriver.

Je ne regardais pas vraiment la rue. Elle était dans mon angle de vue, un point c’est tout.

J’avais compris quelques jours plus tôt que la maison qui se trouvait juste en face, à l’avant de la ligne, allait de nouveau être habitée. Elle avait été à vendre, une personne âgée qui était partie à l’hôpital et qui n’était pas revenue. Une belle maison d’ailleurs, sur trois étages, avec un balcon spacieux, une avancée sur la rue, le long d’une porte fenêtre, maison récente, une dizaine d’années.

Ils sont arrivés alors que sur la vidéo, la MILF ouvrait la bouche, et que la queue dilatée crachait du sperme qui saturait son palais et qu’elle avalait, avant de se tourner vers la seconde queue.

Ils ont garé la voiture juste devant la maison. Il y avait un emplacement.

Je n’oublierai pas ce moment. Soudainement mon attention a glissé de l’écran à la rue. J’étais dans un angle qui me donnait une vue de trois-quarts et sur la maison, et sur eux. Je suivais le porno.

Le premier détail que j’ai perçu, ça a été ses jambes. L’attention se pose toujours sur un détail de personne, avant d’en envisager un autre, puis sa globalité.

Elle a ouvert la portière. C’était elle qui conduisait. Il y avait un homme à côté d’elle. Elle portait une jupe très courte, noire, courte à l’origine, et qui avait certainement remonté quand elle s’était installée dans la voiture, sans qu’elle juge nécessaire de la redescendre. Elle était donc encore de profil, et j’ai aperçu ces deux jambes magnifiques, gainées de nylon. C’étaient des jambes parfaitement dessinées, en ce sens qu’elles étaient très longues, fines, et en même temps suffisamment charnues. Il y a des jambes fines qui sont trop maigres. Ce n’était pas le cas.

Comme la jupe était haute, on voyait bien, et ce détail m’a troublé, que le nylon n’était pas celui d’un collant, mais de bas, une jarretière noire élastiquée enserrant le haut de la cuisse, et maintenant le parement.

Dans les pornos, les filles portaient toutes des bas stay-up. Dans la vie réelle…Ça me paraissait totalement irréel.

J’ai pu m’en mettre plein les mirettes dans les minutes qui ont suivi. Ca a été très drôle parce que mon regard a glissé du porno, où la MILF recevait le sperme d’un second homme dans la bouche, mais la scène, qui un instant plus tôt représentait la source d’une excitation ultime ne m’intéressait pus du tout. Devant moi, il y avait la vraie vie, à quelques mètres, et c’était bien plus excitant, parce que réel.

Elle a d’abord amené sa jambe gauche, ou la droite, ça dépendait du point de vue, vers l’asphalte. Il y a eu un moment de latence, à la fois infiniment long, et en même temps trop court, durant lequel ses jambes ont été ouvertes, et j’ai vu le slip qui couvrait son intimité. Un simple slip blanc. Simple mais indéniablement excitant. Et ce d’autant plus que le tissu était gonflé, et même de loin ça se voyait nettement, par son sexe. Ca faisait une bosse, et ce détail était vraiment excitant. J’avais déjà remarqué dans les pornos que pas deux filles n’avaient leur chatte pareil et que certaines avaient un sexe vraiment proéminent. Était-ce vraiment le cas ou était-ce le slip qui faisait cet effet ? Une bonne question à se poser, A laquelle je n’ai jamais vraiment eu de réponse ferme. Elle avait effectivement un sexe proéminent, mais, en même temps, le slip ce jour-là avait vraiment du jouer.

Elle a amené l’autre jambe à l’extérieur. Restant calée sur l’asphalte, jambes ouvertes pour offrir un aspect plus général d’elle, ses deux jambes de face, avec entre ses cuisses son intimité enveloppée de tissu. Un aspect de sa personne qui a disparu quand elle s’est redressée.

C’est à ce moment sans doute que j’ai embrassé l’ensemble de sa personne. Elle était très grande, Vraiment fine, mais ses formes, sans être excessivement volumineuses, étaient suffisamment marquées. Une taille fine, des seins hauts et qui tendaient un T-shirt sous une veste. Une cascade de cheveux blonds encadrant un visage aussi fin de son corps, avec des traits délicats, qui illustrait une certaine idée de la beauté.

Indéniablement une belle femme. Et en même temps plus que cela. Il y avait quelque chose en elle de vraiment troublant. Certaines femmes étaient séduisantes, mais sans avoir rien d’excitant. Ce n’était pas son cas.

Je continuais à frotter ma queue, et j’approchais de la jouissance. Je me suis rendu compte que je voulais retarder mon plaisir, et lui donner une nouvelle dimension. En la regardant. Je me suis efforcé de redescendre de quelques degrés.

Un homme l’a rejoint, assis jusqu’à présent à la place du mort. Plus jeune qu’elle, sans qu’il y ait forcément une grande différence d’âge. Dix ans de moins. Il y avait entre eux une grande complicité, qui passait par un rapprochement physique, je m’en suis vite rendu compte. Il a glissé sa main sous la jupe pour la caresser, en même temps qu’il prenait sa bouche. Ils se sont embrassés longtemps, et la main sous la jupe a bougé aussi longtemps, Je ne voyais rien, mais c’était sans doute plus excitant que si je n’avais vu, j’imaginais les doigts caressant la chair de ses cuisses, venant contre le tissu du slip, se glissant peut-être dessous.

Il s’est finalement dégagé. Il y avait un ravissement sur le visage de la femme. Je me suis dit qu’elle aimait tout ce qui était charnel.

La voiture était pleine ; Un complément à ce que le camion avait déménagé la veille, sans aucun doute. Ils ont déménagé.

J’allais revenir au film porno quand il s’est produit quelque chose que je n’aurais pas cru concevable. La portière était restée ouverte. Elle s’est posée sur le siège se basculant en arrière pour attraper des objets dans le vide-poches. Ce faisant, elle m’a offert à nouveau une vision de ses jambes impeccables, gainées de nylon, même si ses jambes étaient trop resserrées pour laisser voir le blanc éblouissant de son slip.

Elle s’est redressée, a pris une cigarette dans le paquet et l’a allumé.

Elle venait de tirer la première bouffée quand l’homme s’est approché d’elle. J’ai pensé qu’il voulait lui aussi tirer une bouffée de la cigarette.

Ca n’était pas vraiment ça.

Avec un sourire, elle a défait son pantalon, et elle en a sorti une queue à moitié érigée qu’elle est venue caresser de la langue, avec une habileté comme je n’en avais jamais vue. Si dans les films pornos dont je me délectais…Quoi que…C’était d’ailleurs intéressant parce que j’avais le sentiment que dans les pornos, il y avait une sexualité exubérante que les gens ne connaissaient pas dans la vraie vie, et ce que j’avais sous les yeux venait me prouver le contraire.

En même temps qu’elle caressait sa queue de sa langue, elle est venue glisser sa main entre ses cuisses. Sa jupe était assez haute pour qu’elle puisse avoir accès à son sexe. Elle s’est mise à se caresser à travers le tissu de son slip, sans glisser ses doigts dessous, et j’ai senti, à ce moment que j’allais jouir dans les minutes qui suivaient, sans pouvoir cette fois revenir en arrière et recommencer un nouveau cycle.

Elle a pris le sexe dans sa bouche, et a fait aller et venir celle-ci dessus. Un va-et vient auquel correspondait celui de sa main, dans un mouvement circulaire, sur le tissu tendu par son sexe. Elle lui donnait du plaisir et elle se donnait du plaisir.

J’ai bien perçu la différence entre le porno et la réalité. Dans les films, sauf amateur, ils feignaient le plaisir, et même une jouissance n’en était pas vraiment une. C »était plutôt un devoir commandé. Et là, il y avait du plaisir de sa part à elle, mais aussi de sa part à lui. Quelque chose de bien réel. Je n’avais certainement jamais eu sous les yeux une femme qui ait autant de plaisir à donner du plaisir et en avoir.

Elle a fini par écarter son slip, en tirant le tissu dans son aine, et j’ai eu une vision partielle de son sexe. Je devais en avoir par la suite d’autres, plus complètes. Le dessin effilé de ses lèvres, gonflées et sorties d’elle, luisantes de ses jus intimes qui coulaient d’elle. Elle a appuyé dessus, à la recherche d’un contact plus proche, et de plus d’efficacité. Elle a dégagé la queue de sa bouche, le gars était vraiment long et bien dilaté, une belle queue. Elle a ouvert la bouche, et elle a fait aller et venir sa main le long de la tige de chair. Ce qui devait se produire s’est produit. Il s’est mis à cracher des traits blancs et crémeux en frémissant. Est-ce sa jouissance à lui qui a déclenché la sienne ou bien étaient-ils montés en parallèle ? Elle s’est tendue, crispée, elle a ouvert la bouche, pour un cri dont je n’ai su, en étant trop loin, s’il était muet ou bien réellement audible. Ce qui m’a le plus intrigué par contre, ça a été qu’elle a craché, comme certaines filles dans les films pornos, des jets de liquide puissants et translucides, qui sont partis en arc-de-cercle, trois ou quatre, et qui sont venus frapper l’asphalte.

Je m’étais extrait de moi, totalement dans ma jouissance, et je suis revenu sur moi, en moi, pour me rendre compte à ce moment que j’avais abordé les rivages que la jouissance, et que celle-ci allait exploser en moi dans les secondes qui suivaient. J’étais déjà parcouru par des ondes de plaisir. J’ai crispé ma main sur ma queue, et ma semence est sortie, jet après jet. Si j’avais dû faire un banc-test de mes orgasmes, celui-là aurait été un des meilleurs. Sans surprise, d’ailleurs. Elle m’avait énormément troublé, dès la première seconde, et j’ai bien compris qu’elle ne devait pas cesser de me troubler.

Je n’anticipais sans doute pas tout ce qui devait se passer.

 

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