J’ai 22 ans et un statut sans doute très particulier. Pour résumer en quelques lignes un parcours sans doute très complexe, j’ai été détecté au début de l’adolescence HPI. Je subissais l’école, assimilant les programmes avec une facilité dont je n’avais pas du tout conscience, et sans y prendre aucun goût. J’ai eu mon bac avec cinq ans d’avance, C’est ensuite que je me suis engagé dans des études qui ont rebondi de manière constante. J’avais et j’ai encore une soif constante de savoir, mais je ne souhaitais pas, plus de contact social. J’ai suivi des cours par correspondance, en allant faire une semaine d’examens en fin d’année. A l’heure actuelle j’ai trois BTS et 8 licences…Sans avoir réellement envie de travailler…Je suis pour ainsi couvert par le fait que ma mère dirige une entreprise et qu’elle gagne énormément d’argent. Une femme indépendante. Mon père je ne l’ai jamais connu. Même si ça n’a jamais été formulé clairement, j’ai bien compris que ma mère, à l’exception de moi, détestait tous les hommes, sans doute justement à cause de mon père. Quand elle en ramenait un à la maison, c’était simplement pour satisfaire une envie de sexe, et il était vite éjecté de sa vie. Elle a tout fait que je sois heureux, et je sais donc que, même si je fais le choix de ne jamais travailler, ce ne sera jamais un problème. Et je ne suis pas sûr que j’aie envie des codes de la société, de choses que j’abhorre, devoir respecter des règles, des horaires, obéir…J’aime être ici dans cette immense maison, étudier, et profiter de la nature.
Quant au sexe…Assez curieusement, il est venu à moi assez naturellement. Je ne sais pas très bien pourquoi. Enfin, si, j’en ai quand même une petite idée. J’ai une conception du sexe, disons mathématique, qui fait, que, dès que j’ai eu mes premiers rapports sexuels, j’ai visualisé dans l’espace les schémas d’accouplement, et j’ai naturellement calculé les meilleurs angles pour atteindre le maximum de plaisir. Après bien sûr, il y a le savoir-faire, mais ça, c’est quelque chose qui m’a semblé tenir de l’acquis, et j’ai beaucoup lu sur le sujet, mais aussi de l’inné, la partie que vous avez héritée de vos ancêtres.
Bref, même lors de mon premier rapport sexuel, je me débrouillais déjà très bien.
Il se trouve que je me débrouillais également très bien pour tout ce qui concernait la maintenance de tous les appareils ménagers entre autres. J’avais appris sur le tas, avec des bouquins, et je pouvais tout réparer. Ma mère avait vanté mes mérites. Ça a été comme ça que je me suis retrouvé chez une de nos voisines, pour jeter un coup d’œil à son frigo. Blonde charnue, la trentaine, visage bien dessiné, des cheveux blonds taillés dans une coupe à la Louise Brooks. Je trouvais cependant que ce qui lui donnait le plus de charme, c’étaient ses lunettes. Ça lui donnait un look extrêmement sexy.
J’avais réglé très rapidement le problème, une inondation, avec un bout de fil de fer, pour nettoyer une partir obturée qui bloquait l’écoulement. Quand je lui avais dit que c’était réglé, elle m’avait regardé avec une expression qui pouvait laisser penser que je n’étais pas un être humain normal, mais un demi-Dieu.
–Je te dois combien ?
–Je me vois mal me faire payer. Je ne suis pas un professionnel.
Quelque chose s’était allumé dans son regard, quand elle m’avait dit :
–Mais je peux te payer à ma façon.
Ca s’est passé très vite, et je dois dire que je ne m’attendais vraiment pas à ça. Elle s’est laissée tombée à genoux, et elle a descendu mon pantalon de survêtement, puis mon caleçon pour mettre ma queue à nu. Queue qu’elle n’a pas trouvé au degré zéro, car j’avais eu le temps d’être troublé, en quelques minutes par une multiplicité de détails. L’odeur de son parfum, ses formes, le moment où, en ouvrant le frigo, elle s’était appuyée contre moi.
Je n’avais pas imaginé un tel basculement.
Elle m’a caressé doucement, le temps de me faire gagner quelques centimètres, avant d’attaquer de la langue le long de ma queue. Une caresse habile, dans laquelle je sentais une application d’autant plus forte qu’elle était frustrée. Dans des commentaires pas toujours très aimables, ma mère parlait des voisins, ces potins de bas étage et rarement bienveillants partagés par une communauté et elle avait dit que Claire vivait seule, après de longs moments partagés avec un homme. Était-ce le résultat d’une frustration, un attrait pour moi ? Je penchais plutôt pour la première option, même si par la suite les choses avaient évolué, quand j’avais fait la preuve d’une certaine habileté. Cette première fois avec une voisine, je n’avais été qu’une victime consentante qui avait senti le plaisir monter en elle, en même temps que sa queue s’affermissait.
Elle portait un caleçon, très moulant, qui collait à des formes pleines. Elle avait glissé sa main dessous, me laissant apercevoir un bout de peau, le haut d’une toison blonde, un slip blanc, et elle s’était mise à se caresser. Paradoxalement, c’était d’autant plus excitant que je ne voyais pas ses parties intimes, il y avait juste cette main qui bougeait sous le tissu, avec une frénésie qui se rapprochait de celle avec laquelle elle avait parcouru ma tige, avant de la prendre plus classiquement dans sa bouche et de la faire aller et venir le long de ma verge à présent raide et dure.
On avait pris elle et moi notre plaisir très rapidement. Un mélange, pour moi, de surprise, de plaisir et de frustration. Chez elle, sans doute, plus simplement, la libération après une période de plaisir solitaire. Je voulais tenir longtemps, mais j’ai senti le plaisir monter en moi, intense, et je n’ai pas résisté, le corps secoué de spasmes, me libérant dans sa bouche qui m’enserrait, et qu’elle gardait obstinément close pour boire mon sperme comme un nectar précieux, ce n’était pas forcément le cas, jusqu’à la dernière goutte…Sa main, dans le caleçon, s’est faite plus rapide, et elle a éclaté elle aussi dans un orgasme qui m’a semblé intense, lâchant une espèce de cri primitif, et marquant de sombre le caleçon, des jets de jouissance, ou de pipi, ou les deux peut-être, une tâche qui, à chaque spasme, s’est encore plus élargie.
Les choses se sont faites très vite par la suite. Le bouche à oreille, bien évidemment. Dans ces petits villages, tout le monde parle beaucoup. J’ai imaginé sans mal, mais je me trompe peut-être, qu’elle ait vanté mes talents de réparateur, et le plaisir qu’on avait eu ensemble. Dans les semaines qui ont suivi, j’ai eu des demandes semblables, qui toutes passaient par ma mère. Très rapidement, le schéma s’est installé, un besoin d’aide, une machine en panne, et aussi une envie de sexe. Les deux allaient ensemble, et je permettais à ces célibataires, à ces femmes mariées frustrées, à ces divorcées, non seulement de réparer du matériel abîmé sans débourser le prix d’un réparateur, ou d’un appareil neuf, en désespoir de cause mais aussi d’avoir du plaisir. Je repartais à la maison avec des billets dont je me demandais s’ils payaient ma prestation sur la machine ou ma capacité à leur donner du plaisir. Passer par ma mère était l’alibi parfait, une manière de cautionner l’acte sexuel, un vernis de respectabilité pour cacher une envie que la morale pouvait réprouver, ce dont je me fichais bien.
C’est sur le coup de midi, le lendemain de l’arrivée de la nouvelle voisine que j’avais guetté la matinée, sans l’apercevoir, que ma mère m’a annoncé :
–Charline a besoin de ton aide. Sa chaudière.
La mairie avait rénové pas mal de maisons anciennes, ce qui nous avait valu un afflux de jeunes propriétaires intéressés par des bâtiments BBC à des prix plus que raisonnables, pour notre commune qui était située à quelques minutes d’une zone industrielle et d’un hôpital. Charline avait fait partie de ces nouveaux arrivants. J’étais intervenu chez elle six mois plus tôt, et depuis, elle avait un nombre incroyable d’appareils qui tombaient en rade. Il y avait quelque chose entre nous. Un goût commun pour le sexe, c’était une évidence, mais au-delà une entente qui passait autant par les silences que par les paroles. Je m’étais déjà fait la réflexion que si j’avais du aller de manière plus permanente avec une fille, ça aurait sans doute été elle.
Elle avait en tout cas une sensualité que d’autres filles, d’autres femmes n’avaient pas. Elle était totalement consciente de ses atouts, et elle savait les mettre en valeur. Elle était vraiment très grande, j’aurais dit un bon mètre quatre-vingt-dix sans talons, et quand elle en mettait, une silhouette fine, mais charnue là où il le fallait. Elle avait des seins lourds, et un cul bien plein.
Mais indéniablement, son atout majeur, c’étaient ses jambes fines, et bien dessinées, dont la longueur n’empêchait pas le galbe. Difficile de ne pas en tomber amoureux. Elle les aurait masquées…Mais elle était bien consciente de son potentiel, et elle les dévoilait, avec des jupes ou des robes ultra-courtes, qui descendaient avec la plus grande difficulté au-delà de son pubis, et donnaient à voir son intimité quand elle se posait, sous diverses formes, ou bien elle les soulignait avec des pantalons ultra-collants, caleçons, jean élastiqués, pantalons en vinyle ou en cuir…
Mais le reste de son anatomie était très bien aussi, je pouvais en témoigner. Ses jambes c’était simplement un produit d’appel.
Je me suis engagé dans les rues qui partaient de l’artère centrale. Sur la gauche, un quartier rénové, avec des bâtisses aux couleurs ocres. Elle vivait dans un immeuble carré de trois étages, qui était lui tout neuf, des immeubles insalubres ayant été rasés.
La porte de l’appartement était ouverte, Je me suis glissé à l’intérieur.
Elle m’attendait, puisque je lui avais envoyé un SMS pour la prévenir que je passais.
Installée dans un fauteuil à haut dossier, elle s’était mise en scène en quelques minutes. La plupart des femmes à qui je rendais visite aimaient se positionner pour m’attendre, faisant naître en moi un désir immédiat, qui était de toute façon latent quand je me rentrais chez elle. Pour la plupart d’entre elles, il y avait déjà un historique qui se réactivait, et je revoyais et revivais les meilleurs moments, ou en tout cas les plus excitants, de mes visites précédentes. La frustration et l’envie donnaient souvent pas mal d’imagination. J’avais de bons souvenirs avec elle. Mais aussi avec d’autres. Des moments réellement personnels, uniques à chaque fille. Chaque relation est spécifique et c’était bien comme ça.
Elle tirait sur une cigarette en m’attendant. Elle avait le regard dans le vague, qui s’est posé sur moi quand je suis rentré. Elle m’a souri. Dans ce sourire, il y avait une nuance de victoire. Me faire venir jusqu’à elle, mais c’était vrai aussi pour d’autres, c’était l’emporter quelques instants sur la solitude et pouvoir éprouver du plaisir.
J’étais à moitié dur, la regarder m’a fait devenir tout raide en quelques secondes. Ses jambes longues et fines étaient gainées du nylon de bas dont le parcours se terminait en haut de ses cuisses, laissant la place à sa chair. Son sexe était nu, parfaitement visible, déjà bien excité, gorgé de sang, ouvert, suintant. Avait-elle commencé à se caresser bien plus tôt, une fois le SMS de demande envoyé, ou bien quand je lui avais dit que j’arrivais ? Il y a toujours du mystère dans une relation, il y en avait dans de tels moments. Je ne faisais partie que du fragment d’une vie, et finalement pas mal de choses m’échappaient. Par exemple quand je les croisais dans la rue avec un homme, ou une femme, je me demandais souvent qui c’était. Mari, frère, compagnon, amant ou compagnon d’un soir…La seule certitude que je pouvais avoir, c’était quant à ce moment de rapprochement. Il y avait du concret, du visible, du tangible. Comme par exemple ces deux doigts réunis qu’elle faisait aller et venir dans son sexe, dans un mouvement de va-et-vient qui lui procurait indubitablement du plaisir, à en juger par les petits soupirs qu’elle poussait, la manière que son corps avait de se tendre, mais aussi les bruits visqueux qui se faisaient de plus en plus présents, alors que ses doigts rentraient à nouveau en elle, après être ressortis, et aussi le fait que ses doigts fonctionnent en piston, faisant jaillir des jus à chaque mouvement supplémentaire.
–Approche-toi, et donne-moi ta queue. On s’occupera de la chaudière après.
J’avais remarqué, ironiquement, que, chaque fois qu’elles m’appelaient, il y avait toujours une panne. Jamais de prétexte. Était-ce une manière de se donner une bonne conscience que de m’appeler uniquement quand il y avait une panne ? Vu la fréquence à laquelle certaines m’appelaient, et même si les appareils se détraquaient très vite, je soupçonnais qu’elles fabriquaient ces pannes. Après tout, il suffisait d’enlever une pièce…
Je me suis approché d’elle. J’aimais, plus que je ne me le serais avoué, moi qui voulais garder de la distance sur les choses, de tels moments. L’intensité du sexe, le partage, le fait de se sentir connecté à quelqu’un. Tout cela, c’était vraiment bon.
Je me suis positionné devant elle. Elle a délaissé son sexe, utilisant ses deux mains pour me défaire, et mettre ma queue à nu. Sa main gauche était luisante, trempée de ses jus qui avaient dégouliné, au-delà des deux doigts, sur sa paume. Son visage s’est illuminé quand elle a tiré ma queue de mon caleçon. Pour ces femmes, dans leur vie en cahots et heurts, le sexe était un moment de plaisir qui permettait d’oublier bien des choses, et, sans doute, au-delà, une véritable bouée de sauvetage qui leur permettait de ne pas sombrer, même si bien sûr elles masquaient cela. Mais je le percevais. Valais-je mieux, étais-je plus fort ? Je n’en étais pas sûr.
Elle a ramené ses doigts sur son sexe, pour esquisser une autre caresse, un mouvement circulaire au niveau de son clitoris. Elle a approché sa bouche de ma queue, et elle s’est mise à donner de petits coups de langue dessus. Ça m’a fait des décharges électriques dans le corps, qui, partant de ma verge, sont remontées dans mon corps, devenant plus intenses à mesures que ses caresses s’intensifiaient, se faisaient plus appuyées, plus précises.
Du coin d’un œil qui ne voulait rien perdre, j’ai vu son clitoris sortir de sous la peau qui le couvrait et s’allonger. Elle avait un clitoris long et fin, qui pouvait s’allonger au fil de son excitation jusqu’à prendre de belles proportions, et le voir déjà sorti de sa gaine, et partir vers l’avant démultipliait l’excitation que me procurait cette langue qui venait de glisser sur mes couilles. Elle m’a caressé un moment, tournant sur mes testicules, et faisant monter le feu dans mon ventre d’un degré supplémentaire. J’ai lâché un jet de sperme, sans jouir pour autant, simplement un moment bref où j’ai été traversé par un éclair de plaisir, un mini-orgasme, qui dirait, qui a été très bon, mais je ne voulais pas jouir tout de suite, je voulais attendre, je n’étais jamais sûr si je jouissais une fois que je repartirais plus haut, et pour tout dire je préférais ce moment d’attente de l’orgasme, qui se prolongeait, où je sentais, degré après degré le plaisir se modifier, prendre des nuances différentes.
Elle a cessé de me caresser au bout d’un moment, revenant, après mes couilles, sur mon gland qui avait pris plus de sensibilité. Une manière de se tester, sans doute. Savoir si je pouvais résister encore. En tout cas, je ne me suis pas empêché de gémir.
J’ai glissé entre ses cuisses.
Il y avait, dans ce kaléidoscope de moments intenses, toujours celui d’avoir sous les yeux un sexe de femme, si différent d’un sexe d’homme, fascinant dans son dessin, chaque sexe de femme étant lui=même différent des autres…
Sa particularité à elle, c’était sans doute qu’elle mouillait beaucoup, et j’aimais voir ses liquides, épais et sirupeux, monter et venir saturer ses chairs avec une abondance assez rare au final, mais aussi ce clitoris qui était hors normes, non pas dans son épaisseur, mais dans sa manière de s’allonger, à la fois de manière naturelle, parce qu’elle était excitée, mais aussi sous l’effet de mes caresses. J’aimais le sentir vibrer, que ce soit au bout de mon doigt, au bout de ma langue…Je n’avais jamais vu de clitoris pareil, même si j’en avais déjà vu des dimensions très diverses, Quand il était au maximum de son érection…Au maximum, mais avait-il un maximum ? Non, il valait mieux dire quand il était très excité, il était impressionnant. Sans doute que je l’éprouvais vraiment mieux en le prenant dans sa bouche. J’avais vraiment la sensation qu’il me remplissait la bouche…Était-ce réel ? Était-ce une illusion ? Je savais que les deux se mélangeaient.
J’aurais donné n’importe quoi pour ce moment. J’aurais sacrifié tout le reste, si on m’avait donné à choisir, mais j’aurais eu ce moment, cela m’aurait comblé. Ma bouche venant gainer le clitoris, s’en remplissant, ma langue venant le caresser, tournant autour, autant pour en éprouver les dimensions que pour lui donner du plaisir.
Ca me plaisait de sentir que je lui donnais, aussi, du plaisir. On disait, je l’avais lu en tout cas, que les femmes éprouvaient plus de jouissance de cette partie de ce corps que de tout autre. Je savais que ça n’était pas totalement vrai, j’avais eu suffisamment de contact avec les femmes jusqu’à présent pour savoir que chacune d’entre elles était unique, certaines éprouvaient énormément de bonheur si on leur caressait les seins, jusqu’à jouir, pour d’autres c’étaient les fesses, d’autres les jambes, d’autres le sexe hors clitoris, et pour elle, c’était son clitoris. Je sentais bien la différence dès qu’il glissait en moi, dans ma bouche, et que je le caressais de la langue, dès simplement en fait qu’il était gainé par la chaleur de ma cavité buccale. Par l’intermédiaire de son clitoris je percevais, c’était étrange, si on y pensait bien, l’intégralité de son corps, et la manière dont ce dernier réagissait, dont il se tendait, dont il se tordait, dont elle se laissait aller, se dégageant du monde pour s’abstraire dans le bonheur intense du plaisir physique, jusqu’à la jouissance. Cette montée progressive vers l’orgasme, ce moment pour elle, qui la lavait de tout le reste, de la vie, dans sa banalité, sa médiocrité, ses agressions.
Et pour moi du plaisir, celui de lui donner à elle du plaisir, très fort. J’aimais, parce que ça me glorifiait peut-être, le fait de donner un moment intense à une femme, mais aussi, simplement un acte qui m’excitait, comme tout acte sexuel peut être excitant, et celui-là plus que d’autres, mais aussi, au-delà, de prendre le mien en même temps, en frottant ma queue qu’elle venait de caresser.
Et il y avait autre chose.
Dont j’avais pris conscience petit à petit.
Que son clitoris me remplisse réellement la bouche, ou que j’aie simplement l’impression que c’était le cas, j’éprouvais quelque chose de très trouble. Bien sûr, j’avais déjà pris pas mal de tétons dans ma bouche, mais je n’avais pas cette sensation qui, m’avait très vite renvoyé à une autre situation. Celle d’avoir une queue dans la bouche. Je me demandais si la sensation serait différente si j’accueillais une queue de la sorte. C’était différent, mais aussi semblable.
Il y avait eu une période où, tombé par hasard sur une vidéo de trans sur un site porno j’en avais consommé énormément absolument fasciné par ce mélange entre un corps de femme et une queue d’homme qui créait un troisième sexe, et, moi qui me serais mal vu, sans dégoût, ni rejet d’ailleurs, avoir de rapport avec un homme, je savais que j’aurais aimé aller au lit (ou ailleurs…) avec un transsexuel glisser des mains et de la bouche sur un corps qui aurait marié une paire de seins et de couilles, une queue roide et un anus dans lequel je me serais enfoncé tôt ou tard…Et puis ça m’était un peu passé, mais sucer ainsi son clitoris me renvoyait toujours à cette envie.
On prenait le temps du plaisir…J’aimais qu’il y ait ainsi cette cassure, cette respiration. Jusqu’à ce qu’elle me dise enfin :
–Maintenant !
Et c’était vrai qu’au final, et même si elle retirait un plaisir immense de son clitoris, elle aimait aussi et toujours sentir simplement qu’une queue la pénètre, et la caresse à l’intérieur, frotte ses muqueuses et complète sa jouissance. On n’en profitait pas vraiment très longtemps car généralement, que ce soit elle ou moi, elle à force de caresses sur son clitoris, moi de frotter ma queue et d’être troublé par la situation, on était au bord de la jouissance.
Il y avait tous les aspects d’un rituel, en tout cas, dans ce moment, car c’était elle qui préparait le préservatif, elle l’avait posé près d’elle, déchirait l’emballage pour venir gainer ma queue de latex, et je glissais dans son ventre, entouré par la caresse délicieuse de son sexe autour de moi, cette peau souple et chaude qui m’enveloppait, cette muqueuse délicate qui me prenait…Les derniers moments, ceux de la jouissance. Elle criait alors que ma queue allait et venait en elle. Je gardais toujours un œil sur son clitoris, figé dans sa tumescence, alors qu’elle criait à présent, après avoir gémi quand je caressais son clitoris, et hurlait quand je jouissais et que mon sperme remplissait le préservatif, venant taper contre ses muqueuses.
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