Mais ma routine a été cassée par cette nouvelle présence, qui m’avait suffisamment fasciné la première fois pour que je porte à nouveau mon attention sur elle. Et puis le hasard, le Destin, où je ne sais quoi l’a remise en ma présence plusieurs fois.
Il fallait dire que j’étais souvent dans ma chambre le matin, puisque je passais trois bonnes heures à étudier, pour préparer cette fois deux nouveaux diplômes, en étudiant par correspondance, et comme elle était dans mon champ de vision, je ne pouvais pas la louper.
Il y a eu tous ces moments, toutes ces images, qui se sont assemblées, superposées, jusqu’à me donner le concept de ce qu’elle pouvait être. Une femme dans le milieu de la quarantaine, que le temps l’avait pas usée, mais au contraire magnifiée, poussant à l’extrême ses charmes. Elle était très grande, fine, mais avec des formes très marquées, et un visage bien dessiné, Un corps vraiment appétissant, qu’elle savait mettre en valeur avec des tenues révélatrices, moulantes, ou les deux. Mais sans doute qu’elle avait, au-delà, bien plus à proposer que le simple éclat d’un corps de femme mûre. Une extrême sensualité, qui faisait que chacun de ses gestes était troublant, fut-il banal, une manière de se mettre en valeur, l’évidence aussi qu’elle aimait le sexe, sans tabou, sans préjugé, j’en avais eu la preuve le premier jour. Dans la première semaine, je devais aussi en avoir d’autres mises en évidence, qui devaient troubler ma routine. Même si j’allais de femme en femme, jour après jour, même si de nouvelles partenaires se posaient sur mon chemin, même si on avait des envies pas vraiment normées, je sentais bien qu’elle était différente, ayant quelque chose de plus fort à proposer, de plus intense.
Ma certitude s’est renforcée dans les jours qui ont suivi. D’abord sans doute, à la voir se masturber régulièrement.
La maison bénéficiait d’une vaste terrasse, à l’étage, que les anciens propriétaires avaient choisi de vitrer en faisant une véranda. Souhaitaient-ils se créer une illusion d’intimité ? Elle était en tout cas inexistante malgré quelques plantes vertes qui ne masquaient pas grand-chose.
Pensait-elle qu’elle était seule, ou souhaitait-elle s’exhiber ? Au fil du temps j’ai choisi entre les deux options…Au début, j’hésitais encore.
Elle était arrivée le dimanche. Le lundi, elle n’était pas là. Elle est rentrée très tard dans la nuit, avec des affaires, qu’elle a déchargé, seule. J’avais pensé que l’homme qui était avec elle le premier jour était son mari. Je n’avais pas compris que c’était l’un des gars qui traversaient sa vie. Je l’ai revu quelques semaines plus tard, pour un samedi après-midi. Il a disparu à nouveau. Il y avait des présences masculines et féminines autour d’elle, mais rien sur la durée.
C’est le mardi matin que j’ai vu la première scène, hors le moment du dimanche, qui m’ouvrait sur sa vie, ses choix, ses désirs. Il était neuf heures du matin, et depuis l’aube, très tôt, je bossais pour obtenir un diplôme de comptable. Je pensais que ça pourrait me servir si un jour je travaillais. J’étais donc en plein effort quand j’ai senti que quelque chose se passait dans la rue.
Sortant de l’intérieur de la maison proprement dit, elle a basculé sur la terrasse/véranda. Elle était enveloppée dans un peignoir, les cheveux humides. Elle venait sans aucun doute de prendre une douche.
L’objet qu’elle tenait à la main ressemblait à une perceuse. Le même dessin, un objet noir avec un manche et une poignée. Mais il semblait différent. Différence qui m’a réellement sauté aux yeux quand j’ai vu la boule ronde là où il y avait habituellement une mèche ou un embout tournevis.
Je m’en suis un peu voulu par la suite, parce que, alors que je regardais des tonnes de porno, et dans toutes les catégories, je n’avais pas été capable de comprendre la vraie nature de cet instrument. Il devait être récent, car je ne l’avais vu dans aucune bande porno.
Et il était bien conçu comme une perceuse. Il y avait un embout sur lequel on pouvait visser divers instruments. Au départ, je l’ai découvert en faisant quelques recherches, il était destiné à des massages faciaux. Mais comme bien des choses, il avait été détourné vers une nouvelle utilisation, qui, à en croire ce que j’ai vu dans les minutes qui ont suivi, était radicale.
Elle avait positionné là un grand fauteuil en rotin…Les pans de son peignoir ont commencé à s’ouvrir quand elle s’est assise, dévoilant des seins qui, dans leur forme et leur fermeté devaient certainement beaucoup à la chirurgie esthétique. Mais ça ne me gênait pas. Je préférais une belle poitrine, artificielle, à deux gants de toilette.
Elle a fini d’écarter le peignoir offrant sa nudité. Sans le vouloir. En le voulant ? J’ai vu un ventre plat, des jambes longues, des cuisses bien pleines, ce corps que je devais dans les jours qui venaient apprendre par cœur, au gré des circonstances.
Elle a amené l’une de ces jambes, longue, interminable, et bien dessinée, sur le côté, en la posant sur l’accoudoir, pour pouvoir accéder ainsi plus facilement à son sexe. Malgré la distance, j’ai eu une vision qui aurait sans doute pu être plus nette, si j’avais été plus près, d’évidence, de son dessin intime, ses lèvres sorties d’elle.
Elle n’a pas perdu de temps. Il n’y a pas eu de préliminaire, et l’objet qu’elle tenait à la main a pris son vrai sens quand elle l’a amené contre son intimité, la masquant. Je ne pouvais qu’imaginer, sans rien voir, l’objet, comment il se positionnait sur ses lèvres. Mais l’imagination peut beaucoup, surtout quand on a vu énormément de porno. Je voyais le boule noire, calée au bout de la perceuse vibrer, tourner peut-être, et la manière que pouvait avoir son sexe de se dilater, de s’ouvrir, de suinter, ou de couler avec plus d’abondance, selon les ressources de son corps.
Ce que je distinguais par contre, c’était la manière dont elle réagissait. Un plaisir très fort dès les premières secondes. Elle avait été projetée contre le dossier, tête en arrière, bouche ouverte pour un gémissement que je n’avais pas pu entendre. Elle est restée ainsi à se masturber avec l’appareil dont j’imaginais sans mal l’efficacité…
Mon trouble a grandi quand elle a amené sa main libre, celle qui ne tenait pas le vibro, sur ses seins, et qu’elle s’est mise à pincer ses tétons, en passant de l’un à l’autre. Ça devait sans aucun doute ajouter du plaisir au plaisir. Elle s’est finalement figée, bouche ouverte, lâchant, je l’imaginais, la scène était muette, un cri, puis sans doute d’autres cris, ou des gémissements, et s’agitant, avant de rester immobile.
J’aimais cette personnalité qui se dessinait. Celle d’une femme qui aimait le sexe, qui aimait se donner du plaisir, en prendre.
C’est l’après-midi que j’ai vu la scène et que je l’ai trouvée…Perturbante, pour tout dire. Elle m’a amené en tout cas à entièrement reconsidérer la nature des relations qu’elle pouvait avoir aux hommes. Quand je l’avais vue arriver avec l’homme j’avais pensé qu’elle vivait avec lui. Puis j’avais compris qu’il s’agissait d’un amant. J’ai réalisé cet après-midi-là que les rapports qu’elle pouvait avoir aux hommes pouvaient être, sans aucun doute, d’une autre nature.
Une voiture s’est arrêtée et deux types en sont descendus. La trentaine, interchangeables, vêtus l’un comme l’autre de costumes noirs, avec une chemise blanche en dessous. Sans originalité, sans expression, sans personnalité. Des hommes d’affaires, représentant une quelconque compagnie. La porte était ouverte, et ils sont montés.
Elle était sur la terrasse installée non pas dans le fauteuil, mais dans un divan de jardin, avec des coussins jaunes et bleus, et elle lisait. Vêtue simplement d’un jean et d’une chemise.
J’ai pensé qu’elle les attendait. En tout cas son attitude, comme la leur, allait totalement dans ce sens. Elle leur a souri, et parlé, alors qu’ils s’approchaient. Un des gars lui a tendu une enveloppe, dont j’ai pensé qu’elle contenait de l’argent.
Ca s’est enchaîne très vite. L’un et l’autre, ils se disposés de part et d’autre elle. J’ai pensé que je pouvais lire ce qui allait venir sans me tromper.
Elle a tendu ses mains vers l’un, puis l’autre, et elle a mis leurs queues à nu. Le gars à gauche avait déjà une bonne érection, excité par la situation, alors que celui de droite était lui nettement plus flasque.
Elle a eu un petit rire. Son visage était solaire, et on comprenait bien, en la regardant, qu’elle prenait infiniment de plaisir à faire ce qu’elle faisait. Que, même au-delà, elle trouvait une sorte de sens à son existence, si cela était possible, dans un tel moment. Elle prenait du plaisir à donner du plaisir.
Calée pile entre eux, elle a masturbé leurs queues. Ses mains allant et venant sur leur chair avec une habileté qui laissait entendre pas mal d’expérience, mais aussi une réelle appétence pour le sexe. Elle a fait se roidir les deux membres, une main consacrée à chacun d’entre eux. Même si le premier bandait déjà, elle a métamorphosé sa queue, jusqu’à prendre un tiers de volume et de longueur en plus. C’était impressionnant. L’autre queue, elle partit d’un point quasiment zéro a pris elle aussi un volume important. Je me suis dit que ça devait être vraiment bon d’être caressé par elle. Les femmes dont je croisais la route m’avaient souvent masturbé, mais aucune ainsi, avec cette habileté. Il y avait là tout un savoir-faire, dans la manière de caresser, mais aussi dans le rythme. Elle glissait sur les queues, des gestes courts, qui allaient d’une zone à l’autre, elle cassait l’excitation qu’elle faisait monter, avant de revenir pour des caresses différentes. Concentrée, elle a eu un petit rire triomphal quand la première queue, dilatée à l’extrême s’est mise à l’arroser de sperme, crachant jet après jet. Elle en a pris sur la chemise, zébrée par des souillures, souriante, mais plusieurs traits de semence sont partis en travers de son visage et dans sa chevelure…Est-ce ce spectacle qui a déclenché la jouissance de l’autre homme ? Son sperme s’est ajouté à celui de son collègue. Elle a continué de caresser leurs queues ramollissantes, faisant tourner sa langue sur leurs chairs, et avalant le sperme qui suintait, avant qu’ils ne rengainent leurs membres et ne rejoignent le véhicule. Ça avait été très court. Elle est partie se nettoyer.
Des scènes comme celles-là, j’en ai vu quelques-unes dans les jours et les semaines qui ont suivi. Un homme, des hommes qui débarquaient, souvent par deux, une fois il y en a eu trois. Tout ne se passait pas sur la terrasse. J’ai commencé à comprendre qu’elle répartissait les actes en fonction des zones de la maison. Dehors sur la terrasse, elle masturbait des hommes.
On était ici dans un petit village où tout se voyait et se savait très vite. Comme elle ne se cachait pas, je ne doutais pas qu’elle serait très vite la cible de toutes les paroles, médisantes pour la plupart. J’ai vite compris aussi qu’elle saurait se dégager de toute situation fâcheuse le soir où j’ai vu le maire s’arrêter devant chez elle. Venait-il s’entretenir avec elle d’éventuels outrages aux bonnes mœurs qui lui auraient été rapportés ? Il est resté une bonne heure chez elle, et, en le revoyant une semaine plus tard, descendant de voiture avec une bouteille de champagne à la main, et s’engouffrant chez elle, j’ai bien compris qu’on ne lui reprocherait rien.
On ne prévoit souvent pas le prévisible, et il s’est encore passé quelques semaines avant que, rentrant de T…, la capitale régionale où je venais de passer, sur trois jours, mes examens de comptable, j’ai eu une surprise, qui, à bien réfléchir, n’en était pas vraiment une.
On était en début d’après-midi. Je me suis glissé chez moi, et j’ai entendu des voix, en même temps que je sentais une présence.
Je me suis glissé jusqu’à la cuisine. D’abord parce que c’était de là que venaient les voix, ensuite parce que j’avais faim. J’avais passé mon dernier examen entre huit et treize heures et j’étais rentré direct.
Ma mère et elle étaient installées autour de la table, ovale, au milieu de la pièce, devant un café et une tapisserie, une tarte aux poires de la veille au soir.
Ma première pensée ça a été de me dire ‘Ca devait arriver.’
C’était logique, si on y réfléchissait bien. D’abord parce qu’on était un petit village, et qu’on était tous forcément en contact les uns avec les autres, c’était vrai à plus ou moins brève échéance. Ensuite parce qu’elle vivait seule, et qu’elle aurait forcément besoin d’un coup de main chez elle. Je l’avais vue parler à pas mal de monde et donc une des femmes à qui j’allais rendre service lui aurait forcément parlé de moi.
Je crois bien que c’était la première fois que j’éprouvais, en présence d’une femme un désir aussi fort et aussi rapide. Quelque chose qui m’a littéralement submergé à la voir tout près de moi, à sentir son parfum, à percevoir l’épaisseur de son corps, sa chaleur. Ce que j’avais vu de loin n’était rien à côté de ce que je pouvais éprouver à quelques centimètres d’elle.
Il y avait quelque chose d’impressionnant en elle. D’abord sans doute parce que, même assise, et une tasse à la main, elle était massive. Très grande, j’ai pu le constater quand elle s’est levée, encore grandie par les talons aiguille qui affinaient sa silhouette, je ne l’ai jamais vue avec des chaussures plates, sauf pieds nus quand elle était chez elle. Mais elle n’occupait pas tellement l’espace par son physique, mais plutôt par une présence, indéniable. Elle s’imposait à vous par sa séduction, sa féminité, quelque chose de très fort, d’intense, qui vous subjuguait. Elle venait vous envelopper, simplement en étant là, et s’imposaient aussitôt des pensées, des schémas, des images, qui mettaient en scène des moments de sexe.
–Tu tombes bien…Je te présente Clarissa, notre nouvelle voisine.
J’ai failli lui répondre qu’avec tout ce dont j’avais été témoin, je la connaissais déjà bien, mais je me suis tu.
–Elle aurait besoin de services. Elle a loué la maison des A… Elle n’est pas en très bon état et si tu pouvais l’aider en faisant quelques travaux.
Elle resplendissait. Elle était habillée simplement, un tailleur jupe. Une jupe très courte qui dévoilait des jambes interminables, gainées de nylon, et prises en dessous des genoux par des bottes de cuir noir. Ses cheveux coulaient sur ses épaules et elle était légèrement maquillée.
–Je ne travaille pas gratuitement, j’ai dit.
—Il n’y aura pas de problème là-dessus, elle a répondu.
Elle était assise face à moi, de ce côté de la table. Ma mère elle était de l’autre côté, et Clarissa était donc accessible au regard. Elle s’est tournée vers moi, son regard accrochant le mien. J’ai compris comment elle pouvait attirer les hommes. Dans ce regard, il y avait énormément de choses. Il y avait avant tout la promesse que la personne en face aurait accès intégral à son corps, sans aucune limite, sans aucun tabou. Mais aussi qu’elle lui donnerait ce qu’il n’avait même pas imaginé. Des caresses, des effleurements, du plaisir comme il n’en avait même pas rêvé. Difficile de résister à un tel message…J’en étais bien incapable.
Au cas où il n’aurait pas été assez clair, assez net, elle s’est dévoilée. Lentement, et en même temps avec une certaine rapidité. J’avais déjà remarqué, et je devais le remarquer par la suite, qu’en sa présence, le temps avait une autre densité. Ses jambes étaient superbes. Je l’avais déjà remarqué. Mais ce qui était vu de près avait un autre impact que ce qui était vu de loin. Longues, bien dessinées, cuisses pleines. Elle les a surtout lentement ouvertes. La jupe était courte, elle était encore remontée quand elle s’était assise. Elle portait un collant, gris mais qui laissait parfaitement voir sa chair, et il n’y avait nul empennage qui aurait marqué son sexe de telle sorte que j’en ai eu une vision parfaitement nette. Le minuscule triangle, taillé au rasoir, la chair lisse autour, et l’ouverture de son sexe. Il y avait un bout de lèvre qui en émergeait, et sous mes yeux, disant clairement que, si elle me troublait, et elle était bien consciente qu’elle me troublait, la situation l’excitait aussi, il y a eu un autre bout de lèvre qui est sorti d’elle, un jaillissement. Ca équilibrait les choses. Un morceau de lèvre, au dessin différent de chaque côté.
Elle a écarté les jambes autant qu’elle le pouvait, sans attirer l’attention de ma mère, qui continuait de discourir (une fois qu’elle était lancée, on ne l’arrêtait plus…) pour me donner à voir son sexe. Les rayons du soleil, qui pénétraient dans la pièce, venaient l’éclairer. Souvent dans les églises, on voit un rayon de soleil qui, à un moment de la journée, vient éclairer un vitrail, le faisant resplendir. Là, c’était son intimité. Et c’était bien mieux.
Dans la vie, il y a des moments, rares, certes où on a un coup de chance. Tout est de son côté. Un basculement. On se dit que c’est formidable. Qu’il faut en profiter.
Et c’est bien ce qui s’est produit.
On a sonné à la porte.
Ma mère commandait beaucoup par VPC. Elle recevait souvent des colis.
–Ca doit être pour moi. J’attends un colis.
Une soudaine complicité s’est tissée entre Clarissa et moi. On était tendus vers le même but.
Ma mère venait à peine de quitter la pièce que je me suis avancé vers elle. Elle a eu un sourire radieux. Clairement, elle ne crachait sur aucun moment de sexe.
Elle m’a mis à nu. A dit, tout bas :
–Bon, tu as une belle queue.
Et c’est vrai qu’elle m’a trouvé bien dur. Sans doute que dans cette érection, il y avait autant l’envie devant le spectacle qu’elle m’offrait que, plus généralement sa personne, qui a elle-même suffisait, sans rien dévoiler, à inspirer du désir mais aussi, au-delà, l’accumulation de toutes les envies que j’avais pu avoir en la regardant, depuis la première seconde où mon regard s’était posé sur elle.
Elle m’a effleuré de la pointe de la langue, une fois, une fois unique. J’ai lâché un trait de sperme, qui est parti sur sa joue.
–Tu es bien chaud, dis donc. Laisse-moi faire. On n’a que quelques secondes. Mais ça sera parfait pour toi.
Ma mère était à la porte, elle parlait avec le livreur qui lui disait : ‘Je vais chercher le paquet’… Ca nous donnait un peu plus de temps. Mais un temps de toute façon très court. Elle a lâché ma queue pour remonter sa jupe à sa taille. Je me suis penché, elle a projeté son ventre en avant, et reprenant ma queue, elle l’a approché de son sexe, enveloppé du nylon. Contre mon gland, j’ai eu d’un seul coup le double contact, celui du nylon, électrisant mes chairs, et le relief de son sexe. Elle m’a frotté très vivement, condensant en quelques secondes ce qui aurait duré beaucoup plus longtemps en d’autres moments. Mais c’était bien comme ça. C’était justement ce qui était excitant. D’avoir très peu de temps. En tout cas, elle ne faisait pas que me donner du plaisir, et me faire comprendre comment elle pouvait payer sa dette. Elle en prenait aussi. Car si je me suis congestionné, et si le plaisir est monté en moi très rapidement, il en a été autant pour elle. J’ai vu son sexe s’ouvrir, et il y a eu un jaillissement de jus intime, qui est venu éclabousser l’intérieur du nylon, au moment où, retenant un cri, tenu fermement par sa main douce et chaude, j’ai joui, arrosant de traits de sperme copieux le collant, nappant et masquant le dessin de son sexe d’un blanc crémeux et épais. La porte a claqué, on a eu quelques secondes pour se rajuster et retrouver une posture moins osée et surtout moins révélatrice. Elle a refourré ma queue dans mon pantalon, je me suis reculé. Elle a rabattu sa jupe, resserrant ses jambes. Ma mère est arrivée avec son paquet, qu’elle a jeté sur le divan. Elle est revenue prendre sa place. Restant tournée vers moi, et parce que ma mère ne lui prêtait pas vraiment attention, elle a retiré sa jupe en arrière, me laissant voir son sexe, métamorphosé, et comment le sperme avait maculé le collant.
La discussion a pris fin, sur l’accord selon lequel je passerais le lendemain matin, accord qui convenait à toutes les parties. Elle n’avait sans doute pas de visites.
Ma mère lui a proposé, un signe d’accueil et d’intégration, des confitures maison. Clarissa a dit oui. Ma génitrice est partie les chercher à la cave.
Clarissa est restée où elle était. D’une main, elle a soulevé sa jupe, de l’autre, elle a glissé sa main sous son collant, jusqu’ à son sexe, y fourrant aussi son autre main. Elle a enfoncé ses deux index dans sa fente, et elle s’est écartée, me laissant voir, dans un temps qui a été à la fois bref et très long, un intérieur rose, muqueuses souples et humides. Elle a retiré ses deux doigts d’elle quand ma mère est revenue et s’est redressée. Je me suis rendu compte que je m’éjaculais dessus, crachant mon sperme dans mon caleçon, traversé par la fulgurance d’une jouissance. Ça ne m’était jamais arrivé avant. C’était dire à quel point elle me troublait. Si j’avais été seul j’aurais gémi de plaisir, mais j’ai du me retenir. Ma mère n’a rien vu. Elle si. Je suis passé dans ma chambre me changer après un dernier regard sur sa silhouette, qui ondulait naturellement en s’engageant dans la rue.
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