C’est le lendemain qu’on est partis ensemble jusqu’au magasin de bricolage. Je suis passé, comme convenu, sur le coup de neuf heures. Elle avait déjà sorti une fourgonnette du garage, qu’on lui avait, selon ses dires, prêtée. Elle portait une simple robe noire, courte, avec un collant, et des bottes hautes, noires, lacées. J’ai senti ma queue se durcir. Même la plus simple des tenues la rendait désirable.

–Allez, on y va.

Dans la voiture, elle m’avait laissé le volant, incapable de résister à ses démons, elle s’est tournée vers moi sur le siège, elle a soulevé le tissu de sa robe pour exhiber sa nudité, sous le collant.

–J’ai pas mis de petite culotte dessous. Le spectacle te plaît ?

Mon regard a glissé sur la fente entrouverte dont émergeaient ses lèvres qui pointaient hors d’elle. J’ai eu l’impression, mais c’était peut-être une illusion d’optique, que celles-ci évoluaient, gonflaient, se développaient, parce que la situation l’excitait. Mais toutes les situations devaient l’exciter.

D’un geste elle a fait passer sa main sur son sexe, dans un mouvement qu’elle a voulu infiniment lent, de bas en haut. Lé gémissement qui lui a échappé n’était pas, j’en ai été convaincu, un gémissement de plaisir. Ce qu’elle a dit m’a semblé le confirmer.

–J’adore me caresser quand il y a quelque chose entre mes doigts et ma chatte. C’est encore plus excitant.

Son geste devait peut-être être unique, mais elle l’a prolongé. J’ai cru que j’allais me jouir dessus. Ses lèvres, en ce temps très court, ont pris énormément d’épaisseur, et sa chair est devenue luisante, arrosée par les jus qui ont commencé à sortir d’elle. J’ai cru qu’elle allait pousser jusqu’à la jouissance, mais elle s’est freinée, redescendant sa robe avec regret.

–Bon, il faut qu’on y aille…On aura du plaisir à la maison.

Pourtant dans le magasin, alors que je sélectionnais les matériaux, le Diable est revenu la chatouiller. On était au niveau des mastics de tous ordres quand elle m’a dit :

–Tu sais ce que j’adore ? Des moments de sexe dans les magasins.

Mon regard a rencontré le sien. Il y avait dans son regard une sorte de jubilation qui m’a laissé penser que les minutes qui allaient suivre ne seraient pas décevantes.

–Avec des copains, on s’est déjà bien amusés sur ce plan, je peux te le dire…

Elle devait souvent évoquer, dans les jours à venir des ‘copains’…Un terme vague, qui faisait référence à tous les hommes avec qui elle avait eu des rapports sexuels, et laissait entrevoir qu’elle avec des rapports avec les hommes qui restaient dans la superficialité…Et le plaisir…Ou alors une manière de masquer les choses.

–Je vais t’expliquer ce qu’il faut faire…Il faut jouer sur deux critères…Le premier, il faut savoir repérer les caméras…Une question d’entraînement et d’habileté…Tu vois, généralement, les caméras ne couvrent pas tout, mais seulement les grands champs…Et donc il y a forcément des zones où tu ne seras pas vu…Ici, dans un magasin de bricolage, les allées parallèles, des niches pour des produits, souvent les zones de jardinage…

–Tu as déjà tout repéré ? je lui ai dit en faisant glisser dans le chariot une demi-douzaine de cartouches de mastic.

–Évidemment.

On est partis dans la zone peinture.

–Le deuxième critère important, c’est que les gens ne regardent pas autour d’eux. Tu en veux la preuve ?

On regardait les peintures, il y avait pas mal de choses à reprendre, portes, volets, elle voulait aussi que je refasse un mur…Sans aucune gêne, elle a remonté lentement sa robe, et a dévoilé ses charmes les plus personnels, bien visibles sous le collant qui laissait tout voir…Elle s’est déplacée, comme si elle cherchait des nuances de peinture, ce qui était bien le cas, d’ailleurs. Sur notre gauche, il y avait un type d’une quarantaine d’années qui lisait l’étiquette d’un pot de peinture. Il n’a absolument rien remarqué. Un peu plus loin, dans un angle, un couple d’un certain âge hésitait entre plusieurs nuances. Eux non plus n’ont rien remarqué, pas plus que les gens qui passaient dans l’allée…

-Tiens, viens, on va se caler là…

Il y avait une niche qui était réservée à des peintures innovantes, totalement végétales et qui ne causaient aucun dommage à l’environnement. On s’est positionnés comme si on lisait les panneaux explicatifs, et, avant que j’aie le temps de dire quoi que ce soit, elle m’a défait et elle a sorti ma queue que la situation avait durci. Elle n’avait pas rabaissé sa robe, et, alors que je paniquais un rien, elle a attrapé ma queue, et elle a baladé mon gland contre ses chairs intimes…Mes réticences se sont totalement effacées, et je me suis laissé guider, le plaisir prenant le dessus. Les sensations s’accumulaient, celle du nylon contre ma chair ultra-sensible, de sa chaleur, l’humidité du jaillissement de ses liquides intimes et du dessin de son sexe, le relief de ses lèvres qui gonflaient encore d’excitation. Je comprenais en tout cas une chose, se rapprocher dans un tel contexte était infiniment excitant, et donnait vraiment une dimension autre au plaisir.

–Et puis il y a un dernier aspect. Bouger, ne jamais rester au même endroit. C’est le meilleur moyen de se faire repérer, elle a dit, en refourrant ma queue congestionnée dans mon pantalon et en rebaissant sa robe.

On a tourné comme ça, dans un moment totalement décalé, récupérant du matériel et en même temps s’accordant de brefs intermèdes de sexe. Elle m’a proposé à l’arrêt suivant, le bois, ses fesses, guidant ma queue sur la surface de sa croupe et dans sa raie…Elle semblait examiner les liteaux disponibles et en même temps me baladait sur sa chair. Un moment intense.

On a fini du côté jardinerie. Il y avait un immense espace, entre extérieur et intérieur, couvert, et sans caméra apparemment avec de nombreux recoins. Elle avait envie d’aller plus loin et c’était l’endroit idéal. On s’est rapprochés, dans un angle, le long de pots divers, destinés à décorer le jardin, elle a repris ma queue dans sa main, m’a caressé avant de me dire :

–Je voudrais que tu pousses ta queue en moi à travers le collant…La double caresse de ta queue et du nylon à l’intérieur, ça va être très bon…

Il fallait croire que ça l’était, Elle a gémi tout de suite…J’avais la sensation, autour de moi, du nylon, et de l’humidité de son sexe, cette muqueuse délicate autour de moi…Ce qui nous entourait se dissolvait…C’était d’ailleurs un danger…En même temps, je comprenais bien que, ici, c’était un temps décalé, et que les conditions même, l’excitation, la peur de se faire prendre faisaient que le plaisir était décuplé, et forcément court.

–Quand tu sentiras que tu vas jouir, je veux que…

Elle venait à peine de finir sa phrase qu’un premier jet de sperme est sorti de ma queue, qui a maculé le nylon. Elle a descendu le collant, et a posé ma queue contre son ventre. Mon sperme est venu tremper son ventre, giclée après giclée. Après la dernière, elle a ramené le collant contre elle. De sa paume, elle a balayé mon gland, ramassant les coulures qui sortaient de moi, lapant sa main, son regard dans le mien, dans lequel j’ai cru lire un message…C’était bon, et c’est bon d’avoir du sexe partout, sans pudeur, sans limites…Un peu plus loin, on avait oublié un rayon, elle a relevé sa robe une dernière fois, et elle m’a montré la semence, qui couvrait son pubis et son sexe, traînées blanches qui se dissolvaient petit à petit et coulaient, prisonnières du nylon, le long de sa chair.

 

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