On avait convenu que je viendrais travailler tous les matins chez elle, C’était elle qui m’avait imposé ce choix, et j’ai assez vite compris pourquoi. En effet, elle consacrait l’après-midi à des courses, des balades, ou à la visite de ces hommes qui venaient pour du sexe, un sexe monnayé. Même si par la suite, elle m’a entraîné pour des moments de sexe en extérieur avec elle. Je me demandais si elle avait d’autres moyens de subsistance. Elle semblait à l’aise, sans travailler. Et surtout, elle ne faisait allusion à rien de sa vie, quelque chose de volontaire, qui laissait planer pas mal de questionnements. Mais je ne cherchais pas à en savoir plus. Je me contentais du moment présent.
Petit à petit, j’ai effectué les travaux nécessaires. Elle a semblé ravie de mes apports qui étaient pourtant bien modestes.
J’ai apprécié ces moments, tous ces moments. J’en garde une certain nostalgie, même si ma vision d’ensemble est plus sombre. Je n’ai jamais retrouvé d’équivalent. Et pourtant, je n’étais pas à plaindre, question sexe, vu toutes les opportunités que j’avais. Mais elle, c’était autre chose. Si j’avais dû la caractériser en une seule phrase, j’aurais dit une chose, qui était à la fois juste et fausse : elle ne vivait que pour le sexe. En tout cas, le sexe avait une part très importante dans sa vie. Elle aimait prendre du plaisir et en donner, elle avait une expérience inégalée, magnifiée par une imagination sans limites. Et surtout, ce qui changeait la donne, contrairement à pas mal de femmes, elle n’avait aucune de ces limites que peuvent imposer la société. Pour elle, rien n’était sale, ou condamnable.
On suivait toujours un peu le même rythme binaire. Je commençais les travaux, elle venait me chercher parce que, selon ses mots, ‘elle avait envie de sexe’ et on faisait une pause, qui durait plus ou moins longtemps, avant que je m’y remette. Elle avait souvent envie de sexe, et de plaisir variés, et imaginatifs.
Le premier jour, j’arrangeais des étagères dans la cuisine, quand elle était arrivée. Habillée simplement, caleçon et pull…Elle m’avait dit :
–J’ai envie d’une queue. Tu crois que tu peux faire quelque chose pour moi ?
Elle n’avait même pas attendu la réponse, à vrai dire. Elle était venue direct descendre mon pantalon de survêtement, et mon caleçon, cherchant quand même le confort et s’asseyant face à moi sur une chaise, et elle avait commencé à caresser ma queue de sa langue, avec une envie évidente. Tournant sur moi avec habileté. Dans les premiers temps, je devais me contrôler pour ne pas jouir immédiatement, mais par la suite, je suis arrivé à donner un temps long à ces moments. Elle a tourné sur ma chair, elle m’a caressé, la main fourrée dans son caleçon pour se caresser en même temps, au même rythme, jusqu’à ce que j’explose…Elle a ri en me laissant éclabousser son visage, avant de repartir sans avoir joui, elle, d’ailleurs.
Elle est revenue une demi-heure plus tard.
–Viens, j’ai envie d’une queue dans le ventre. Tu crois que tu as un moment ?
Elle savait bien que je ne dirais pas non. J’avais une envie d’elle aussi illimitée que ses envies de sexe à elle.
Elle m’avait fait glisser sur le divan, attrapant de la main droite un préservatif dans une boîte, descendant de l’autre le caleçon et le slip qu’elle avait dessous, déchirant l’emballage du préservatif pour venir ajuster le latex sur ma queue, dans un seul mouvement, venant se positionner au-dessus de moi, guidant mon sexe vers le sien, Je me suis retrouvé enveloppé par cette gaine chaude et douce. J’aurais bien passé ma vie comme ça. Elle a poussé une sorte de feulement, disant, pas forcément à moi :
–Une queue dans le ventre, bien à l’intérieur, qui me caresse, c’est quelque chose dont j’ai vraiment du mal à me passer.
Elle s’est faite bouger sur moi, totalement dans son trip, yeux mi-clos, gémissant alors que ma queue frottait les parois internes de son sexe, arrosant ma queue et mon ventre de liquides abondants, elle mouillait abondamment, prenant du plaisir, jouissant à certains points extrêmes, retombant, puis jouissant à nouveau…Quand j’avais enfin, au bout d’un processus où plaisir et contrôle de soi avaient été juxtaposés, joui, ça avait été un de mes meilleurs orgasmes, dans lequel elle m’avait accompagné, jouissant à nouveau quand mon sperme était venu taper contre les parois internes de son vagin.
J’aimais aussi énormément ces moments, dans l’après-midi, où elle était libre, et elle me proposait de la rejoindre pour l’aider à faire quelques courses. C’était bien sûr un prétexte et le sexe reprenait très vite le dessus. Souvent, on partait simplement se balader, le long d’une route, jusqu’à ce qu’on trouve un parking, et on enchaînait très vite sur un moment de plaisir. A l’extérieur elle faisait le choix de basculer sur des pratiques autres que celles dont nous avions l’habitude chez elle. Elle aimait bien simplement venir chercher ma queue et me masturber longuement, en me disant ‘Retiens-toi aussi longtemps que possible’, Pas mal de filles m’avaient déjà caressé, mais aucune aussi bien qu’elle. Tournant sur moi dans des caresses longues, courtes, rapides ou lentes, avec des pauses, elle me donnait un véritable plaisir, auquel je m’abandonnais totalement, et quand j’explosais enfin, l’orgasme était d’autant plus fort. Elle me demandait aussi de la caresser. J’avais pris l’habitude de contourner le véhicule, de venir me glisser à genoux devant elle, dans une position pas forcément très confortable, mais l’inconfort faisait partie du jeu, et de la fouiller avec la même intensité qu’elle avait mise à me caresser, tournant sur ses lèvres, d’abord en surface avant de me glisser loin en elle, au contact de ses chairs intimes. J’aimais voir le plaisir s’installer en elle, son sexe se transformer, jusqu’à la jouissance.
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