Face-à-face avec une Milf partie 7

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alex condamines


lesbienMILF


Ma mère était une grande et belle femme, avec un potentiel de séduction dont elle n’avait pas forcément su tirer parti. En tout cas pour arriver à une relation stable. Elle ne m’avait jamais vraiment parlé de mon père, dont j’avais cru comprendre, au fil du temps qu’elle en avait été amoureuse, mais que ça n’était pas réciproque, et qu’elle s’était donc retrouvée seule pour m’élever. Et quand elle l’évoquait, c’était dans des termes peu amènes. Le fait de ne pas avoir de présence masculine à la maison ne m’avait d’ailleurs pas dérangé outre mesure.

Des hommes, j’en avais pourtant vus partout autour de moi. Elle en ramenait souvent à la maison. Ils ne restaient pas qu’une seule soirée. J’aurais préféré, à la limite. C’était une relation de plusieurs semaines, qui se finissait toujours tragiquement.

Je connaissais le corps de ma mère par cœur. Elle s’était toujours baladée en petite tenue, ou carrément à poil devant moi, depuis que j’étais tout gosse. Certains auraient dit qu’elle était impudique. Même quand j’étais devenu plus grand, elle n’avait jamais pensé qu’elle puisse me troubler. Pas plus d’ailleurs qu’elle n’avait songé que, quand elle ramenait des amants, je pouvais être dans le coin, pas forcément couché, et j’avais surpris des moments dignes de figurer dans des productions érotiques, pour ne pas dire plus. Il y a des choses que j’ai vues, mais que je n’ai comprises que lorsque j’ai été en âge de comprendre ce qu’est l’acte sexuel.

Pourtant, sans aucun doute, rien ne me préparait à ce que j’ai surpris un samedi, en fin d’après-midi.

Ce samedi après-midi-là, mon existence venait de prendre un tournant. En effet, j’avais appris, seul, huit langues, dont le Japonais. On m’avait contacté le matin pour savoir si j’étais prêt à donner des cours dans cette langue pour une association ainsi qu’en institut professionnel.

Pour la première fois de mon existence, j’ai eu envie de travailler. Une activité, qui enfin, me plaisait, et qui était rémunérée.

Je devais avoir un entretien le samedi après-midi. Ledit entretien, face à deux personnes, dont un Japonais avec qui j’avais du converser, s’était très bien passé. En fin d’entretien, on m’avait dit clairement que j’étais embauché, et que je commençais lundi, car il y avait un besoin urgent sur l’un des sites, l’enseignant étant parti au Japon et ne comptant pas revenir. Je devais signer le contrat le lundi matin.

Un changement dans mon existence que j’accueillais avec joie. J’avais conscience qu’il était temps que j’évolue.

En plus tout s’enchaînait parfaitement. J’avais fini les travaux chez Clarissa la veille. Même si j’espérais qu’on continuerait à se voir.

Je n’avais rien dit à personne, prétextant une visite à un salon du manga, et je suis rentré une heure plus tôt que prévu.

Je venais de fermer la porte, et j’allais dire à ma mère que j’étais là et lui annoncer la bonne nouvelle quand j’ai entendu le gémissement.

J’ai reconnu tout de suite CE gémissement. Ma mère. Ma mère quand elle avait du plaisir, pour être plus précis. Un cri que j’avais déjà entendu quand elle était avec des hommes et qu’ils la caressaient, que ce soit avec leurs doigts, leur bouche, leur sexe…

Je me suis dit qu’elle avait trouvé un homme. Tant mieux pour elle, car ça faisait longtemps que je ne l’avais pas vue en compagnie masculine. Et qu’elle le veuille ou non, qu’elle l’accepte ou non, ça lui manquait forcément. On a tous besoin d’une forme d’équilibre, qu’on peut trouver de diverses façons.

J’allais monter jusqu’à ma chambre quand j’ai entendu une voix, succédant aux gémissements. Une voix que je connaissais bien.

–Tu as envie que je te pénètre ?

La voix de Clarissa.

J’ai été un rien surpris, non pas tant qu’elle soit à la maison avec ma mère, mais parce que je n’avais jamais pensé qu’elle pouvait être bisexuelle. Je l’avais vue avec des femmes, mais sans qu’il y ait rien d’équivoque.

Il y avait un long miroir dans le living, et, du couloir, en regardant dans cette direction, je les ai vues, l’une comme l’autre.

–Tu n’as pas de queue, a répondu ma mère, avec cette franchise qui était quelquefois de trop.

–Ca peut s’arranger.

Ma mère, fidèle à sa tendance naturelle à se foutre facilement à poil avait perdu tous ses vêtements. Elle n’avait plus rien sur le dos. Elle abordait la cinquantaine, et elle avait vraiment un corps appétissant, charnu aux bons endroits, sans flasquitude ni graisse en trop. Je n’avais d’ailleurs jamais regardé son corps sans être troublé. J’aurais préféré, et ce depuis longtemps, qu’elle soit plus pudique. Elle était posée sur le divan, et elle se caressait le sexe, dans un mouvement circulaire, un sexe dont l’état disait son excitation. Debout devant elle, se trouvait Clarissa, encore partiellement habillée, elle avait laissé glisser sa jupe sur le sol, mais elle avait gardé un string et un T-shirt.

–Tiens, regarde.
Elle avait tiré de son sac, posé sur le sol, un gros gode, long et épais, blanc. Ma mère avait compris. Dans son regard, il y avait eu une lueur d’envie. Clarissa lui faisait découvrir un pan tout nouveau de sexualité. A ma connaissance, c’était la première fois qu’elle avait une relation avec une femme. Avec Clarissa, ça ne risquait pas d’être ordinaire…

Clarissa s’est dépouillée des vêtements qui lui restaient, pour se mettre totalement nue. Ca n’était pas la pudeur qui l’étouffait, j’étais bien placé pour le savoir.

Cela faisait un mois maintenant qu’on avait des rapports sexuels quasi quotidiens, plusieurs fois dans la journée même, et je n’étais cependant pas blasé. La voir ainsi nue, désirable, quel que soit l’angle d’où on l’observait…Je ne l’avais pas vue depuis la veille, et j’avais envie de m’avancer dans la pièce, et de venir poser mes mains sur elle.

Je n’en ai pourtant rien fait.

J’ai continué à assister au spectacle, fasciné pour de multiples raisons. Elle s’est harnachée avec le gode, fixant la ceinture autour de sa taille, posant bien le membre artificiel contre son pubis et son sexe…Ma mère n’attendait plus qu’une chose, d’être pénétrée, et sa partenaire est venue au-dessus d’elle, avec ce pénis artificiel proéminent. Elle s’est laissé glisser sur elle, et elle a appuyé la tête du gode contre ses lèvres, avant de la pousser logiquement pour la faire rentrer. Le sexe de plastique a glissé entre ses chairs, semblant lui procurer une félicité sans bornes, à en juger par cette expression que j’ai lue sur son visage, et qui n’avait rien à voir avec celle, maussade, que je lisais habituellement sur ses traits. Le plaisir, intense, du sexe, qui lui manquait au final, comme un contre-balancement, un apaisement…La queue de plastique a enfin été totalement en elle, et son visage s’est encore plus éclairé.

Clarissa est restée immobile un instant avant de commencer un mouvement de va-et-vient qui a fait totalement lâcher prise à ma mère…Elle s’est tordue, en gémissant, et son sexe laissait échapper, entre la chair et le plastique, des jets de sécrétion qui étaient la manifestation supplémentaire de son plaisir. Elle a attrapé ses seins, lourds, et elle s’est mise à les caresser. Elle s’est abandonnée à son plaisir, avant que Clarissa ne l’incite à changer de position. Cette dernière s’est laissé tomber sur le divan. Ma mère s’est redressée, et elle est venue se poser sur elle, me tournant le dos. Je ne pouvais qu’admirer sa silhouette, vraiment impeccable, silhouette fine, avec cette croupe bien charnue qui marquait le bas de son dos, et des jambes sans défaut. Elle s’est laissé descendre sur la queue de plastique, obscènement dressée, l’a attrapée du bout des doigts, et guidée vers son sexe. Le membre s’est bien ajusté sur ses lèvres, et est rentré en elle, jusqu’à ce qu’elle soit assise dessus, le sexe totalement avalé par la muqueuse. Clarissa l’a attrapée à pleines fesses, et elle s’est mise à la faire monter et descendre sur la queue de plastique qui se maculait d’une crème blanche issue de l’excitation de sa partenaire.

Il y avait des moments de répit. Ça a été au cours d’un d’entre eux qu’elle s’est retournée, me présentant son côté face. Elle avait enlevé un instant la queue de plastique d’elle. Elle l’a de nouveau faite rentrer. L’attrapant cette fois par les hanches, sa maîtresse d’un moment l’a faite aller et venir dessus. Ma mère est venue se frotter le clitoris pour accompagner sa montée vers la jouissance, qui d’évidence approchait. Elle a été secouée par des spasmes violents, éjaculant des jets de liquide puissants en hurlant, avant de s’immobiliser, comme une marionnette qui aurait été délaissée par son créateur.

Je me suis éclipsé, même si j’étais bien conscient qu’il y allait sans doute encore avoir un moment de sexe entre elles, et qu’elles inverseraient sans doute leurs positions. J’avais été suffisamment troublé par ce moment.

Dans les semaines qui ont suivi, mon existence a été radicalement bouleversée. Mais pas seulement la mienne, à vrai dire. J’ai commencé à enseigner le lundi et j’ai été happé à la fois par les cours et leur préparation. Clarissa est passée au second plan. D’ailleurs, elle ne m’a pas recontactée par SMS. Je ne l’ai pas non plus revue à la maison. En rentrant un soir, je l’ai vue chez le garagiste à l’entrée de la ville. Elle lui avait amené son véhicule, et elle lui faisait, sans grande pudeur, une fellation, quasiment au vu et au su de tous, même s’ils étaient calés derrière le véhicule immobilisé.

Cette image, Clarissa dans une robe rouge, accroupie, sa bouche allant et venant sur un sexe dressé est la dernière que j’ai eue d’elle.

J’ai éprouvé une sorte de soulagement, comme si un étau s’était desserré autour de moi. Pendant ce mois où j’avais travaillé pour elle, le plaisir que je pouvais avoir avec elle, si intense, si fort, était devenu une sorte d’obsession. Je suis revenu à l’ancien moi, qui aimait le sexe, mais un sexe qui soit sans doute plus naturel, plus sain, et pour tout dire moins sombre. Elle était une sorte de vampire qui prenait les forces vitales des personnes qui s’associaient à elle.

Je crois qu’elle est encore restée une semaine ou deux avant de disparaître. On a vu un jour un camion de déménagement venir chercher quelques affaires, elle n’était pas avec eux, et puis ça a été fini.

Il y a eu beaucoup de rumeurs sur elle. Rumeurs auxquelles on pouvait se demander quel crédit accorder. Qu’elle était en fuite pour avoir participé à des escroqueries internationales, qu’elle était une espionne…On ne l’a jamais revue en tout cas…

J’ai fini par m’installer comme enseignant de japonais, et je me suis aussi casé avec une de ces jeunes célibataires chez qui j’allais faire des réparations, Charline, avec qui je m’entendais vraiment très bien. Mais je n’ai jamais oublié cette parenthèse, plus glauque sans doute que je n’aurais bien voulu l’admettre.

 

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