J’ai toujours apprécié ce moment où je venais rendre visite à Mathilde, la personne en charge de mon dossier à l’agence d’intérim. Nous avons une relation très particulière, et qui est devenue très intime en peu de temps. Il y avait eu un basculement, que je n’ai absolument pas anticipé. Il y a six mois, elle m’avait dit, alors que j’épluchais les offres qu’elle avait récoltées et qui pouvaient m’intéresser:
—J’ai envie que vous me preniez. Vous pensez que ce serait possible? On pourrait aller dans une pièce tranquille, j’en ai envie depuis un moment. Vous m’attirez énormément.
Ces paroles avaient agi comme un révélateur sur moi. J’avais vraiment compris qu’effectivement elle m’attirait. Et qu’une infinité de petits détails le disaient clairement. Elle était grande, plus grande que moi et plutôt massive. En surpoids, sans aucun doute, et de plusieurs kilos. En même temps, on avait le sentiment qu’être ainsi massive faisait partie de sa personne, et on l’imaginait difficilement autrement. Et puis avoir de telles rondeurs, vraiment marquées, ça lui allait vraiment bien. Je n’avais jamais aimé les filles trop fines. D’ailleurs, elle en faisait un atout, et elle n’était pas, semblait-il, du tout complexée par son corps. Au contraire, elle savait le mettre en valeur, et c’était vrai que j’avais souvent jeté un coup d’oeil intéressé sur ce qu’elle dévoilait.
Sa tenue de base, c’étaient les tailleurs veste/jupe. Elle en avait apparemment une quantité incroyable, je ne l’avais vue deux fois avec le même. Les vestes, elle les portait à même la peau, avec un soutien-gorge ou un body dessous, toujours des sous-vêtements colorés, qui prenaient une partie de ses seins, en laissant le reste à nu. Elle avait des seins généreux, bien ronds, et dans ma tête se dessinaient des scènes crues, dans lesquelles je me voyais faire glisser la veste, la défaire de son soutien-gorge, venir lécher ses seins, et voir enfin ses tétons, que j’imaginais, érigés, aussi longs et durs que ses aréoles devaient être larges.
Ses jupes, elles, étaient courtes, dévoilant largement des jambes, qui, bien qu’épaisses, étaient vraiment bien dessinées, magnifiées par des collants ou des bas stay-up. On faisait vite la différence, parce que ses jupes courtes avaient tendance à remonter très vite, laissant voir ses slips assortis à ses soutien-gorge, et si elle portait des bas, les jarretières enveloppant le haut de ses cuisses, ou des collants.
Sous ses collants, mais ce n’était pas une règle, elle ne se sentait pas toujours contrainte de mettre une culotte. Ca passait si le collait avait une partie culotte, ou un empiècement qui masquait sa vulve. Une fois cependant, j’étais arrivé dans le bureau alors qu’elle était pliée en deux sur son imprimante, la jupe relevée, et j’avais pu voir, en haut de ses cuisses, le bourrelet de sa vulve, fendu en deux. Un gros bourrelet, à l’image du reste de son corps.Elle m’avait entendu arriver, mais n’avait pas changé de position, et j’avais pu bien regarder, pendant que nous discutions. Je m’étais vu, approchant d’elle, retroussant la jupe, descendant le collant, et glissant ma queue entre ses lèvres. Mais bien sûr, il n’en avait rien été.
Il n’y avait d’ailleurs pas que ça qui me séduisait chez elle, d’autres détails me troublaient aussi. Elle prenait par exemple un soin tout particulier de ses cheveux, noirs, longs et soyeux, qui lui arrivaient jusqu’aux fesses. J’avais envie de plonger les mains dedans, de les caresser. Et puis certainement aussi sa bouche, très charnue, vraiment pulpeuse, et toujours marquée d’un rouge à lèvres dont la teinte n’était jamais identique. J’avais envie de mille choses, de mordre sa bouche, mais aussi de la voir cette bouche encercler ma queue, et laisser sur ma chair l’empreinte, nettement marquée, de sa muqueuse buccale. En rêvant d’autres muqueuses qui pourraient m’envelopper.
Ce qui me troublait le plus cependant, c’était son regard. Il m’obsédait. Elle avait de grands lunettes, avec des verres très larges, mais ils ne masquaient pas ses yeux, au contraire, ils les sublimaient. Ils étaient sombres, profonds, des yeux de myope, mais qui savaient vous fixer et vous scruter aussi, et ils me fascinaient. Si je n’avais du penser qu’à une partie de son corps, ça n’aurait pas été ses seins, ses fesses, ses jambes, mais bien ses yeux.
Et six mois plus tôt, elle m’avait entrainé à travers le local, vide à cette heure-ci, sans quoi certainement rien ne se serait passé, et guidé jusqu’à une pièce remplie de fournitures. Là, fournissant un prolongement à sa position et ma vision quelques semaines plus tôt, elle avait retroussé sa jupe. Dessous, pourtant, elle n’était pas cul nu, même si elle portait un collant. Dessous, très sagement, elle avait mis un slip en dentelle rouge vif, assorti à son soutien-gorge.
Elle avait eu un de ces gestes que je trouvais érotiques chez une femme — il y en avait tant au final, si on y réfléchissait bien, descendant d’abord le collant, puis le slip. Sa nudité m’avait frappé de plein fouet. Oui, décidément, j’aimais ses formes rondes et pleines. Elle avait une croupe volumineuse, mais d’évidence, sans même la toucher, bien ferme, coupée en deux pas un sillon profond, et je retrouvais ce que j’avais déjà effleuré du regard, ce sexe de femme dont le volume était en accord avec le reste de son corps, une bosse massive coupée en deux, et qui commençait à s’ouvrir d’excitation sous mes yeux.
—J’en ai envie depuis un petit moment…J’ai envie que tu viennes en moi et que tu me fouilles longtemps…Tiens…
Elle avait sorti, apparemment d’une des poches de sa veste, une boite de préservatifs, qu’elle m’a tendu. Je me suis gainé de latex et je me suis approché d’elle. J’ai attrapé ma queue, et je suis venu frotter mon gland contre l’ouverture de son sexe. Ca devait être bon, parce qu’elle a poussé un long gémissement. Contre la sensibilité de mon gland, et ce malgré la barrière du latex, j’ai senti son sexe s’ouvrir, ses lèvres sortir et gonfler, et ses premiers liquides commencer à couler. Ils sont descendus sur sa chair, et à l’intérieur du collant, mais aussi le long de ma queue, collée à elle, faisant des stries sur le préservatif.
J’ai fini par glisser en elle. Assailli dès les premiers centimètres par les sensations. Etait-ce parce qu’elle était aussi volumineuse que son sexe était si chaud, si enveloppant, sa muqueuse si douce, comme de la soie? Une idée m’a assailli, qui a perduré en moi, chaque fois que nous avons eu un rapport, que ce n’était pas moi qui la prenais, mais plutôt elle, qui venait m’envelopper de sa masse pleine, chaude et protectrice.
J’ai glissé jusqu’au fond de son sexe, jusqu’à être totalement en elle. Je suis venue l’enserrer, mes mains glissant sur elle, sur sa taille, sur ses seins. Elle a été les chercher dans son soutien-gorge pour me les donner. On se ment souvent à soi-même ou bien on atténue ses envies, et je me rendais compte que le désir que j’avais d’elle était à la fois plus fort et plus ancien que ce que j’avais pu imaginer jusqu’alors. Je suis venu jouer avec ses tétons, déjà semi durcis, que j’ai caressés de la pulpe de mes doigts, les faisant prendre du volume, en même temps que je bougeais dans sa muqueuse dont j’aurais voulu ne jamais sortir.
Ca avait été la première fois. Depuis…Il y avait eu d’autres fois, ici, bien sûr, quand je finissais un contrat et que j’en cherchais un autre. Mais on était arrivés à se voir à l’extérieur. Un appel d’elle ou de moi, et on partageait un moment, fugace, de sexe. C’était sans doute la crainte qu’aller plus loin nous déçoive l’un et l’autre, alors même qu’on trouvait de l’équilibre et du plaisir dans ce rapport très bref, un peu plus que du quick sex, mais pas vraiment beaucoup, qui nous faisait nous retrouver dans des lieux très divers et avoir du plaisir ensemble.
—J’ai quelque chose qui peut t’intéresser. C’est pas très loin d’ici, en plus, une trentaine de kilomètres. Un entrepôt où sont stockés des produits de luxe en attendant d’être expédiés. Que de grandes marques. Les expéditions se font le jour. Il faut quelqu’un pour surveiller la nuit.
Quand j’avais rempli les fiches, à l’agence, j’avais indiqué toutes mes compétences. J’avais des formations en maçonnerie, en électricité, et je n’avais pas peur de travailler. J’avais indiqué par ailleurs que j’avais derrière moi vingt ans d’arts martiaux avec une ceinture noire, et ça m’avait valu,à ma grande surprise, plusieurs propositions de gardiennage, durant lesquelles d’ailleurs, il ne s’était rien passé.
—C’est bien payé. Ils n’ont encore recruté personne. Ils se passaient de gardien jusqu’à présent, car le lieu est sécurisé, mais il y a eu une vague de cambriolages qui a fait qu’ils s’inquiètent, et ils préféreraient avoir une présence humaine.
—Ca m’intéresse.
Cinq minutes plus tard, j’avais pris toutes les coordonnées, on se retrouvait dans l’une de ces pièces qui, avaient déjà abrité nos rapports. Elle se laissait tomber sur une chaise, et elle venait chercher ma queue dans mon pantalon, poussant un gémissement de plaisir alors qu’elle l’attrapait, et baladait sa langue dessus…
—Ta queue…J’en avais envie aujourd’hui.
Elle était très habile, et s’il y avait de nombreuses raisons pour lesquelles j’appréciais d’aller avec elle, celle-là n’était pas la moindre. Elle m’a caressé habilement de la langue et de la bouche.
Quand j’ai été bien dur, elle a laissé tomber sa veste de tailleur. Dessous, à son habitude, elle avait juste un soutien-gorge. Celui-là était vert bouteille. Elle a glissé ses mains dans son dos pour le dégrafer, et mettre ses seins à nu.
Si j’aimais qu’elle me prenne dans son sexe, j’aimais aussi être englouti entre ses seins. La sensation,quoique différente, était aussi forte. Elle me faisait glisser entre les deux masses de chair, me faisant expérimenter la douceur de sa peau contre moi, dans d’infinies variations, et j’en tirais un plaisir intense. Elle m’avait niché au milieu de ses seins, et elle m’avait caressé doucement, en même temps qu’elle frottait ses cuisses l’une contre l’autre, pour apaiser son sexe en feu. Elle m’avait caressé, poussant mon plaisir au bord de la jouissance à chaque fois, et s’arrêtant quand elle sentait que j’allais franchir la limite, jusqu’à ce qu’enfin, je ne parvienne pas à revenir en arrière. Elle m’avait libéré de l’emprise de ses seins et elle était venue me capturer de sa bouche. Une partie de ma queue dans son palais, elle avait fait tourner sa langue sur mon gland jusqu’à ce que j’explose en elle, gardant la bouche très serrée pour ne pas perdre une seule goutte de mon sperme, qui était parti dans son oesophage. Elle m’avait gardé en elle pour ensuite laper ce qui restait sur mon gland, avide de sperme jusque dans mes dernières coulées.
Je m’étais reculé pour la regarder se caresser sous mes yeux. On avait des codes, des manières de fonctionner, signes d’une complicité qui s’était installée entre nous. J’aimais qu’elle me prenne entre ses seins, elle aimait me prendre dans sa bouche et boire mon sperme, elle aimait se caresser devant moi, et j’aimais la voir se caresser. Je n’étais pas encore lassé, je ne le serais sans doute jamais, de son gigantisme. J’aimais ce corps hors normes, et ce sexe qu’elle offrait à mon regard et à ma queue, ce sexe qui sous mes yeux, se dévoilait encore, avec ce gros paquet de lèvres qui se gorgeait de sang, les faisant longues et épaisses, étendues hors d’elle, ce clitoris qui sortait de sa gaine, long et épais, tendant la chair qui le couvrait, et ces jus qui ruisselaient d’elle, trempant tout alentour. J’aimais aussi la voir se caresser. Sa main, ses doigts tournant sur elle jusqu’à ce qu’elle explose de jouissance, et que cette jouissance se lise sur son visage, dans les tensions de son corps, et dans les jaillissements spasmodiques de son sexe.
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