gardien de nuit partie 3

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frederic mancini


au travailgros seinsMILF


Il s’est passé trois jours avant qu’elle ne revienne.
Cette fois, je faisais le four de la bâtisse. Ce qui s’était passé m’avait certes troublé, mais aussi et surtout inquiété, et je démultipliais ma vigilance, tournant plus souvent, et observant les lieux avec soin. Je cherchais un point de passage qui m’aurait échappé.
J’étais au bout d’une allée, elle est apparue à l’autre bout.
Elle était toujours aussi attirante, si j’avais jamais pu en douter. Habillée cette fois aussi tout en noir. Un legging ultra-moulant, qui soulignait bien ses charmes, un pull collant, ses cheveux coulant sur elle.
Et cette même question qui se posait à moi. Un rêve, ou une réalité? Comment était-elle entrée? Surtout, elle semblait surgie de nulle part.
Et si elle était réelle…Que venait-elle faire là? Une irrépressible envie de sexe qu’elle aurait souhaité assouvir avec un homme qui aurait été gardien dans un entrepôt…? J’avais du mal à y croire…
J’avais pensé la veille qu’elle avait peut-être un lien avec un membre du personnel. J’avais épluché les dossiers des personnes employées ici…Hélas, on n’avait pas de renseignements sur leurs proches, leur famille…Elle ne ressemblait à personne…Elle connaissait pourtant forcément les lieux et avait un moyen d’y accéder.
Ou alors j’avais un tel besoin de sexe que je me créais des hallucinations…
Ce n’était pas impossible, même si j’avais relativement confiance en moi-même. Je savais, je l’avais vécu dans ma famille, qu’on pouvait vite basculer dans la folie.
Elle s’est arrêtée pile devant moi, en me souriant. Comme la dernière fois, elle n’a absolument rien dit, mais j’ai senti une communion entre nous. Qui m’a guidé.
Elle s’est tournée et  appuyée contre les montants des étagères métalliques qui allaient jusqu’au plafond, tendant ses fesses parfaitement bien dessinées vers moi. Elle a tourné la tête, comme une invitation à venir vers elle. Ce que j’ai fait. Les mains tremblantes d’émotion et de désir, je me suis approché, et j’ai attrapé les bords du legging pour le tirer vers le bas. Dessous, elle avait un string blanc qui disparaissait entre ses fesses charnues, pour reparaitre plus bas et cacher sa vulve. J’ai enveloppé, une envie, ses fesses à pleines mains. Elles étaient fermes et brûlantes, et leur chaleur est remontée dans mes avant-bras. Je les ai caressées doucement. C’était bon pour moi, ça devait l’être aussi pour elle, car elle s’est mise à gémir. Elle a tendu la main en arrière, pour venir la poser sur ma queue, encore enveloppée de tissus, qu’elle a mise à nu, pour la masturber doucement.
J’ai attrapé le string au niveau de sa taille, et je l’ai descendu, dévoilant ses zones les plus intimes. La position entrouvrait ses fesses et permettait de voir clairement les plissements de son anus, comme gravés dans sa chair. Plus bas, si le regard descendait, le renflement de sa vulve, entrouverte, et dont pendaient des filaments baveux était une deuxième alternative pour enfoncer une queue qui avait de sentir autour d’elle la délicatesse d’une muqueuse féminine.
J’ai simplement suivi mon instinct. Je me suis approché et j’ai posé mon gland, je crois bien qu’il n’avait jamais été aussi gros, érection exceptionnelle à l’image d’une situation exceptionnelle en haut de son sillon fessier. Quelle était la nature de la fille qui était avec moi et qui s’offrait? A vrai dire, je ne me posais même plus la question, une seule chose comptait, mon désir, et l’envie de l’assouvir. Une envie qui, me semblait-il, quelle que soit la nature de la fille qui était près de moi, était partagée.
Je suis descendu, appuyant ma queue sur ses chairs…Elle a gémi…J’ai reproduit ma manoeuvre plusieurs fois, avant de me glisser entre ses lèvres. Ses chairs intimes étaient délicieusement douces et chaudes autour de moi. Un nid qui représentait une sorte de paradis.
Je me suis enfoncé jusqu’à la garde, et je suis resté un moment sans bouger. Je serais bien resté comme cela très longtemps, à profiter de ces sensations qui m’assaillaient et me procuraient un réel bonheur.
J’ai senti qu’elle glissait sa main sur son sexe, pour venir frotter son clitoris. Je me suis mis à bouger en elle, et j’ai senti son corps vibrer. Ma queue se lubrifiait en allant et venant entre ses muqueuses, et c’est sans doute parce que je me suis senti graissé par ses sécrétions que je suis sorti d’elle et que j’ai appuyé contre sa muqueuse anale.
Sans surprise, j’ai glissé en elle avec aisance. Pas seulement parce que ma queue avait été abondamment lubrifiée, mais aussi parce que je n’étais pas sûr de sa réalité, et que la fille irréelle qu’elle pouvait être ne pouvait que s’emboiter parfaitement avec moi. Je me suis glissé dans le conduit étroit et j’ai senti son corps frémir.
Si c’était une illusion, alors c’était une merveilleuse illusion. Elle me procurait un plaisir intense. Me sentir gainé par ce canal étroit, caressé par lui, me conduisait vers la jouissance, tout comme le fait de la sentir frémir contre moi. Mes mains ont glissé autour de sa taille, venant caresser une peau douce, avant de remonter jusqu’à ses seins que j’ai caressé doucement. Quand je me suis immobilisé en elle, ça a été pour cracher de multiples jets de semence, qui sont venus taper contre les parois de son rectum et l’ont faite jouir.
Je me suis détaché d’elle.
J’ai entendu un bruit dans l’entrepôt. Je me suis tourné en direction de ce bruit. Quand mon regard est revenu vers elle, elle avait disparu.

 

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