– Déshabille-moi !
Depuis le temps, je désespérais d’entendre un jour ces mots-là dans cette bouche-là.
– Déshabille-moi, si tu veux mes seins. Je sais très bien que tu en en as envie depuis longtemps. Et comme tu n’oses pas me le demander…
Je ne rêve pas, c’est bien ma belle-sœur qui me parle. Elle a parfaitement raison, je suis tombé fou amoureux d’elle un jour de vacances communes, il y a … 30 ans ! Je revois encore l’instant exact où j’ai compris que je l’aimais. Depuis notre relation a fonctionné en dents de scie, avec des moments de grande complicité où nous nous faisons des confidences, et des périodes de tension où nous nous parlons à peine. Je dis toujours assez hypocritement qu’elle est la petite sœur que je n’ai pas eue, mais je me précise en moi-même que notre amour frôle l’inceste… Il ne s’est jamais rien passé de plus grave que des pieds qui se cherchent sous la table, que deux épaules qui s’appuient fugitivement l’une sur l’autre, que des regards complices qui se trouvent… Il y a eu un coup d’arrêt quand lors de vacances en groupe, deux personnes nous ont dit qu’elles étaient persuadées que Gene et moi étions mariés ensemble, et ma femme avec mon beau-frère. Il n’y a pas eu de suites chez nous, mais sans doute Bernard a-t-il demandé des explications, elle s’est montrée ensuite beaucoup plus distante.
Depuis cette saloperie de coronavirus nous nous voyons encore moins, et il est hors de question de nous faire même la bise fraternelle dont j’ai appris à me contenter. Je ne sais d’ailleurs toujours pas si elle est attirée par moi comme je le suis par elle, ou si elle me considère juste comme son grand frère. Pourtant… il y a eu cette soirée dansante où je l’ai sentie trembler dans mes bras ; le jour où j’ai remis en place une mèche de cheveux qui lui mangeait le visage et où j’ai vu ses yeux se remplir de larmes ; cette visite à l’hôpital où assise sur mon lit elle m’a tenu la main quelques minutes en m’encourageant à tenir le coup « parce que ma famille avait besoin de moi » ; et la fois où je l’ai tenue contre moi un peu plus longtemps que nécessaire en la relevant après une chute. C’est mon beau-frère qui a rompu le charme, il l’avait vue tomber et s’était précipité. Je l’aime bien, lui, il n’a rien d’un beauf. C’est plus un ami qu’autre chose, nous nous connaissions déjà quand nous avons rencontré les deux sœurs. C’est en partie par respect pour lui, mais aussi par peur de blesser ma femme, que je me suis tu pendant des années. Je me suis contenté de manœuvrer pour être assis à côté d’elle à table ou en voiture, pour nous organiser des vacances en commun, des excursions en famille … Et surtout je lui ai fait jouer une part active dans tous mes fantasmes, toutes les femmes dont j’ai pu rêver ont son visage, et son corps – du moins ce que j’en devine.
Aujourd’hui Geneviève a appris par hasard que sa sœur est absente pour la journée. Après une énième prise de bec, Nadette est allée se réfugier chez notre fils, à qui elle s’est plainte comme d’habitude. Pas dupe, le garçon a téléphoné à son oncle pour qu’il vienne me tenir compagnie ; il craignait sans doute que je retombe dans mon ancien travers de chercher réconfort dans le vin rouge. Bernard étant à une réunion de retraités, c’est Gene qui a décroché, et a accouru chez nous. J’ai été surpris de la voir ouvrir le portillon du jardin, je lisais tranquillement mon journal sur la terrasse, en buvant une bière sans alcool. Elle n’a pas gardé son masque longtemps, puisque je n’avais pas le mien. Elle s’est avancée vers moi…
– On s’embrasse ? Il n’y a que nous deux, tant pis pour le virus.
– Tu ne peux pas savoir comme ça m’a manqué !
L’étreinte est un peu trop appuyée pour être fraternelle, mais j’en profite ! Et j’ai l’impression qu’elle se sépare de moi à contre-cœur. Elle me prend la main, me regarde dans les yeux …
– Comment vas-tu ?
– Mieux depuis que tu es là !
– Tu es gentil. On rentre ?
– Si tu veux …
Sans nous lâcher la main nous rentrons dans l’ombre du séjour, son regard ne me quitte pas, le temps est suspendu… Et c’est là que j’entends LA phrase !
Pourquoi aujourd’hui, je n’en sais rien, mais je ne me pose pas trop de questions. Elle a raison, si elle ne fait pas le premier pas nous mourrons idiots … et frustré, en ce qui me concerne.
Je la reprends donc dans mes bras, je la sens fébrile, j’essaie de l’apaiser en lui donnant de petits bisous inoffensifs dans les cheveux, derrière les oreilles, dans le cou… Et comme je l’espérais, c’est elle qui tourne la tête pour attraper ma bouche, nos langues font connaissance, elles en ont du retard à rattraper depuis trente ans ! Nos bouches se joignent, se séparent, nos lèvres s’ouvrent, nos langues se caressent, se mêlent, ne se quittent que parce qu’il faut bien respirer.
– Ouf ! Eh ben dis donc !
– Oui… Je peux vraiment ?
– Puisque je te le dis…
Je défais le premier bouton de son chemisier, puis le second. Je découvre la dentelle d’un joli soutien-gorge, je vois le haut de ses seins se soulever au rythme de sa respiration, elle s’appuie sur moi pour cacher son visage rougissant. A mesure que je la déshabille son souffle s’accélère… et mon sexe durcit dans mon pantalon. Elle est bien obligée de reculer un peu pour que je puisse lui enlever son chemisier, j’essaie de croiser son regard mais ses yeux me fuient, ils sont pleins de larmes.
– Si tu veux on en reste là, Gene. Je ne veux pas que tu fasses quelque chose que tu regretteras.
– Tais-toi, sot. J’en ai au moins aussi envie que toi, si je pleure c’est sur tout le temps qu’on a perdu.
– Alors n’en perdons pas plus !
Je passe la main dans son dos, j’ai de la chance, l’agrafe s’ouvre facilement. Je me penche vers sa poitrine, et commence à lui embrasser le haut des seins. Le soutien-gorge glisse vers le bas, elle dégage ses bras, je peux enfin contempler les deux petites merveilles qui s’offrent à moi. Nous ne sommes plus tout jeunes, mais je retrouve mes émois d’adolescent, il me semble que ce sont les premiers seins que je vois !
– Ils sont petits, hein ? Tu les imaginais comme ça ?
– Ils sont encore plus mignons que ce que je rêvais, tu ne t’inquièterais pas si tu voyais l’effet qu’ils me font.
– Tu me montreras après.
– Compris !
Je m’arrache à ma contemplation, pose doucement les mains sur sa poitrine, la soupèse, elle frémit. Je commence à la caresser en douceur, je presse un peu, tendrement. Je suis le contour des aréoles, tourne autour des tétons, les agace du bout du doigt ; puis je prends ses seins à pleine main, en pinçant un peu les framboises entre deux doigts, je les étire, et comme je la sens impatiente je l’entraîne vers un siège et l’assieds sur mes genoux, je penche la tête pour lécher un sein puis l’autre, je regrette de n’avoir qu’une bouche ! Je prends ses tétons entre mes lèvres puis entre mes dents, je les mordille doucement, elle serre ma tête contre elle en gémissant doucement ; quand je commence à la téter comme un bébé elle pousse un cri et se cambre comme un arc sur mes genoux, j’en profite pour remonter sa jupe et glisser une main entre ses genoux. Même à distance je sens la chaleur de son sexe, je caresse l’intérieur d’une cuisse puis de l’autre, elle se tend à nouveau quand je franchis la limite des bas, j’arrive à sa culotte que je trouve trempée. Je laisse ma main sur son mont de Vénus, je ne bouge plus. Mais ma bouche et mon autre main continuent de câliner sa poitrine, elle gémit en continu maintenant, elle murmure des mots sans suite, je crois entendre « encore… encore… si j’avais su… comme c’est bon avec toi… je te veux » … Elle est secouée par des spasmes, je suis obligé de la lâcher.
– Tu m’as fait jouir, mon chéri. Je vais m’occuper de toi, maintenant.
Elle se lève, se débarrasse des vêtements qui lui restent, me fait lever aussi et commence à déboutonner ma chemise, défait rapidement ma ceinture… Je ne reconnais plus la calme Geneviève que je fréquente depuis 40 ans ! Quand nous somme nus tous les deux :
– C’est vrai que je te fais de l’effet ! Je suis bien contente de voir que tu as envie autant que moi.
Elle saisit mon pénis, le décalotte, commence à me masturber. Je suis obligé de calmer son ardeur, je ne tiens pas à éjaculer précocement comme un gamin ! Du coup elle me pousse assis dans le fauteuil, chevauche mes genoux face à moi, je sens son sexe mouiller le mien. Elle me tend à nouveau sa poitrine qui a durci, ses tétons qui s’érigent. Je me fais un plaisir de la peloter, de l’embrasser, de la téter. Elle reprend ma bouche puis glisse vers mon oreille :
– On monte ?
Elle est déjà debout, mais elle me tient par la verge comme un chien en laisse. Elle n’a visiblement pas envie de me lâcher ! Je suis ma maîtresse comme un brave toutou, lui indique la chambre d’amis, qui est devenue ma chambre depuis mon opération. J’ouvre le lit, elle s’y couche et avance jusqu’au bord, replie les genoux pour me présenter son sexe qui luit déjà de mouille.
– Tu veux bien me manger, même si je ne suis pas épilée ? J’y veillerai pour la prochaine fois…
– Avec ou sans poils, je ne veux que ça !
Je m’agenouille près du lit, ma bouche est à la bonne hauteur. Mes doigts écartent quand même un peu son buisson, avant d’entrer doucement en elle. Elle pousse des cris de souris, soulève son bassin pour venir à la rencontre de ma main, je la caresse en même temps dehors et dedans, je fais coulisser mes doigts jusqu’à toucher son clitoris, qui se met à grossir sous mes doigts. Je le saisis, je le pince, je le fais rouler… ma bouche vient à la rescousse, je lèche ses lèvres sur toute la longueur, vers le haut puis vers le bas, elle s’ouvre de mieux en mieux, ma langue peut entrer, elle la fouille avec délectation. Mes doigts continuent à malaxer son clitoris pendant que ma langue tourne en elle, la cyprine commence à couler dans ma bouche, je me régale ! Ma main restée libre saute vers un sein, le triture, quand je pince son téton elle crie et m’inonde de son jus.
– C’est la deuxième fois, je ne m’y attendais pas ! Et toi ? Tu veux que je te suce ?
– Seulement si tu en as envie. Ou si tu veux retarder le moment …
– Si toi tu n’as pas besoin d’une fellation, je suis prête, tu peux me prendre maintenant. Comment on fait ? Tu veux bien que je sois au-dessus ?
– Comme tu préfères, je suis à tes ordres.
– Idiot ! C’est pas un ordre, c’est juste parce que je te verrai mieux et que je crois que je te sentirai mieux comme ça.
Elle m’étend sur le lit, m’embrasse, place ses genoux de part et d’autre de mon ventre, prend ma verge, la caresse quelques fois. Puis elle frotte son sexe avec le mien, entre mon gland, le ressort, et finalement me prévient que c’est maintenant : elle se laisse descendre, ça y est, je suis dans ma belle-sœur ! Elle a pris les commandes, je n’ai plus qu’à me laisser faire et à jouir du moment. En trente-cinq ans de coïts conjugaux elle a eu le temps de roder sa technique, le plus difficile pour moi c’est de me retenir ! Elle fait coulisser son vagin autour de mon pénis, monte, descend, balance son bassin pour que mon gland touche toutes ses parois, me laisse presque sortir puis redescend brusquement. Mon bas-ventre monte à la rencontre du sien. Elle me pompe littéralement, les muscles de son vagin se serrent puis se détendent sur ma verge, je la regarde, elle surveille mes réactions et me fait un grand sourire, met ses bras autour de mon cou, m’embrasse, me dit que je peux éjaculer en elle, redescend encore une fois, me presse contre elle… Je pars ! Je jouis dans Gene, c’est un bonheur dont je rêve depuis très longtemps, je suis dans un état second, je n’en finis pas de trembler. Quand je suis calmé, elle couvre mon visage de baisers, dévide une litanie de petits mots doux. Elle veut me libérer mais je lui demande si je peux rester en elle, je nous fais basculer sur le côté et nous nous installons face à face. Ses grands yeux bruns dorés me sourient, je bécote ses petites rides, nous nous embrassons avec beaucoup de tendresse. C’est le calme après la tempête ! Je lui caresse les cheveux, elle tiraille gentiment les poils de ma poitrine. Nous sommes bien ! Elle me demande confirmation :
– Tu es bien, mon chéri ?
– Je voudrais rester comme ça, dans toi, pour le reste de mes jours.
– A notre âge ça risque de ne pas être très long…
– Merci beaucoup ! Mais tu viens de me donner un fameux coup de jeune. Je n’irais pas jusqu’à dire que nous avons bien fait d’attendre, mais c’était fabuleux.
– Heureusement que je me suis décidée, tu te rends compte de ce que nous aurions continué à rater ?
– Je t’en serai éternellement reconnaissant. Embrasse-moi !
– Embrasse-moi !
Je ne sais pas comment nous arriverons à nous quitter après cette séance torride, et encore moins comment nous pourrons reprendre le cours de nos vies « normales ». Mais ce n’est clairement pas encore au programme de ma partenaire, elle caresse ma poitrine avec la sienne, rampe sur moi en descendant petit à petit, finit par m’éjecter, mais je n’ai pas le temps de protester qu’elle prend mon pénis pour se caresser les seins. Je me remets illico à bander comme un jeune homme, elle triomphe :
– Pas si vieux que ça finalement, mon chéri ! Attends, nous n’en avons pas fini.
Elle plonge vers ma verge et entreprend de la nettoyer consciencieusement de nos secrétions, puis entame une fellation diabolique. Je pense fugitivement que Bernard a bien de la chance, mais elle me devine :
– Ce n’est pas mon habitude, loin de là, mais ce ne l’est pas non plus de faire l’amour à mon beau-frère. Disons que je mets à ton service le peu d’expérience que j’ai en la matière…
Sa langue court le long de ma hampe, elle titille le méat, gobe mes testicules en pressant mon sexe, puis c’est l’inverse, elle triture ma bourse en suçant mon dard ; elle m’enfonce dans sa gorge jusqu’à s’étouffer, me relâche, me reprend… Quand je suis de nouveau d’attaque, elle m’attire sur elle et je la prends en missionnaire, elle écarte les jambes puis les croise derrière mes reins, et attend mes assauts. Je la regarde, elle me fait un clin d’œil ! Je commence à la travailler doucement, je limite exprès l’amplitude de mes allers-retours, puis je l’augmente, j’accélère la cadence, je ralentis, j’entre de plus en plus profondément, je sens mon gland heurter la paroi de son vagin, son sexe malaxe le mien. Je dépose de temps en temps un baiser sur ses seins. Je me redresse sur mes bras pour modifier l’angle, et j’y vais à fond. Nous sommes tous les deux trempés de sueur, transportés dans un monde rien qu’à nous, en parfaite harmonie malgré l’apparente brutalité de notre union.
– Oooooh oui, encore, encore, tu vas encore me faire jouir, je viens, je … viens !
Quand je sens arriver son orgasme, je lâche tout, nous crions tous les deux en même temps, puis nous nous écroulons pour laisser refluer la vague qui vient de nous emporter.
Nous sommes à nouveau tranquillement dans les bras l’un de l’autre, elle me donne un sein à téter. Heureusement que nous n’avons pas découvert plus tôt notre symbiose sexuelle, nous aurions provoqué un beau scandale dans nos familles respectives : maintenant que nous y avons goûté je ne sais pas comment nous allons nous en passer. Une fois de plus elle m’entend penser, et m’interroge :
– Qu’est-ce qu’on va devenir ? On va « leur » dire ?
– Je ne sais pas, mon amour. Mais ça va être difficile de faire comme si de rien n’était. Je ne vais plus pouvoir te rencontrer sans avoir envie de te toucher…
– Il faudra bien, pourtant. On ne va pas déclencher un séisme à nos âges. Et les enfants ? Et les petits-enfants ? Tu vois leurs têtes ?
– Tu es bien ma Geneviève, raisonnable pour deux. Tu as raison, je rêvais. Mais promettons-nous que nous recommencerons chaque fois que nous pourrons, on doit pouvoir se libérer en même temps, on n’est pas prisonniers !
– Je vais m’acheter un téléphone et je te communiquerai le numéro dès que je le connaîtrai, tu pourras m’envoyer des photos et je t’en enverrai aussi : Gene au réveil, Gene sous la douche, Gene met ses bas, Gene fait la sieste, Gene va se coucher…
– Sans moi !
– Ben oui, mais c’est ça l’adultère, mon chéri ! Embrasse-moi !
– Embrasse-moi !
Nous restons longtemps l’un contre l’autre, à nous rappeler les moments de complicité que nous avons partagés, à nous raconter comment nous avons compris que nous nous aimions, à regretter les occasions perdues, à essayer de deviner notre avenir… J’ose lui avouer que pendant nos vacances à quatre, je fouillais dans son linge sale pour respirer ses culottes… Elle confesse qu’elle m’épiait dans la salle de bain, me voyait parfois me masturber et espérait que c’était en pensant à elle… Nous nous caressons doucement, tendrement, elle tient mon dard et j’ai un doigt en elle, mais nous ne bougeons pas … Ma bouche embrasse seulement ses petits seins, quand je les laisse sa langue joue avec la mienne. Le temps devrait s’arrêter, mais ma sage belle-sœur se lève à regret et passe à la douche – seule : nous n’avons plus le temps, et puis il faut laisser des plaisirs pour les prochaines fois – elle doit se hâter si elle veut rentrer avant Bernard, et Nadette va quand même finir par revenir à la maison.

Nous avons repris nos petites vies de confinés, mais nous faisons l’amour à chaque occasion. Nous sommes excessivement prudents, je me suis acheté un deuxième smartphone réservé à nos échanges. Quand nous sommes seuls mais pas certains de nous rencontrer sans danger, nous communiquons par Skype : elle me montre ses seins, son ventre, je me filme en train de me masturber pour elle… Si nous savons que nous allons nous voir, elle reste nue sous sa jupe, je ne mets pas de slip, et nous nous caressons dès que nous en avons l’occasion. Nous avons réussi à instiller chez nos conjoints l’idée de reprendre des vacances en commun pour fêter la fin du confinement. Dans un hôtel avec piscine et sauna : eux adorent ça, ma belle-sœur chérie et moi nous les y enverrons si souvent qu’ils auront la peau toute rétrécie… Une raison de plus pour souhaiter la fin de cette saleté d’épidémie !

 

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